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Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.

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Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.

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Les travailleurs qui s’entraînent ont moins de dépression et d’épuisement professionnel

Une autre étude apporte des bienfaits à l’exercice physique et démontre que les entreprises qui offrent une salle d’entraînement à leurs employés font un geste particulièrement bénéfique pour eux.
 
Selon les travaux des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, publiés dans le Journal of Applied Psychology, les travailleurs qui brûlent des calories au gym vivent moins de dépression et d’épuisement professionnel.
 
Il suffirait d’au moins quatre heures par semaine d’entraînement physique pour que cela ait des effets bénéfiques sur l’humeur.
 
Les chercheurs ont suivi 1632 personnes qui ont été divisées en quatre groupes. Le premier groupe ne faisait aucune activité physique, le deuxième en faisait de 75 à 150 minutes, le troisième s’exerçait de 150 à 240 minutes par semaine, et le dernier groupe le faisait au moins 240 minutes hebdomadairement.
 
Les dépressions et les épuisements professionnels étaient beaucoup moins élevés dans les groupes qui s’exerçaient régulièrement. Plus l’activité physique était élevée, moins les risques de dépression et d’épuisement professionnel étaient grands.
 
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Le travail ennuyant rend plus vulnérable au burn-out

Le BMC Psychiatry rapporte que le travail ennuyant rend plus vulnérable à l’épuisement professionnel.
 
Les personnes qui ont un travail monotone et peu stimulant doivent faire face à la désillusion causée par le sentiment d’être coincées dans une activité professionnelle qui les laisse indifférentes, les ennuie et qui est peu gratifiante, mentionnent les chercheurs.
 
L’étude affirme que les personnes qui évoluent dans les milieux administratifs et de service seraient plus susceptibles de faire un burn-out. De plus,les hommes sont plus à risque que les femmes.
 
Il n’est pas surprenant toutefois de constater que les gens qui travaillent plus de 40 heures par semaine ont six fois plus de chances de vivre un épuisement professionnel que les autres qui travaillent moins de 35 heures.

On ajoute également qu’avoir une famille offrirait en quelque sorte un coussin de protection. Les personnes qui ont un conjoint et des enfants laissent plus souvent leurs soucis derrière elles en quittant leur bureau.

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L’épuisement professionnel détecté par la salive et le sang

Des chercheurs montréalais sont parvenus à déceler l’épuisement professionnel par de simples échantillons de salive et de sang.
 
Selon la revue Psychoneuroendocrinology, 30 personnes ont participé à cette recherche. On leur a prélevé de la salive à différents moments de la journée pour mesurer le taux de cortisol, l’hormone liée au stress. On a également vérifié leurs niveaux d’insuline, de sucre, de cholestérol, d’inflammation et de tension artérielle. De plus, chaque personne devait répondre à un questionnaire pour évaluer son niveau de stress ainsi que les symptômes de dépression et d’épuisement professionnel.
 
Chez les personnes avec un épuisement professionnel, le niveau de cortisol était plus bas que la normale et il y avait certains dérèglements métaboliques. Pour les personnes avec des signes de dépression, le niveau de cortisol était trop élevé et les dérèglements n’étaient pas les mêmes.
 
Cette découverte permettrait des traitements mieux ciblés, car les personnes souffrant d’épuisement professionnel sont souvent traitées avec des antidépresseurs qui abaissent le niveau de cortisol, ce qui ne fait qu’aggraver le problème finalement.
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Détecter l’épuisement professionnel par de simples tests sanguins ou salivaires

Une étude du Centre de recherche sur le stress humain de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine démontre que le burnout laisse des traces biologiques qui sont facilement détectables. Ainsi, de simples tests pourraient déterminer si l’épuisement professionnel guette un patient.
 
30 travailleurs ont répondu à un questionnaire pour évaluer leur niveau de stress, en plus de fournir un échantillon sanguin pour mesurer quinze facteurs liés au stress chronique, comme le cholestérol et l’insuline. Avec le test de salive, on a également pu mesurer le taux de cortisol, l’hormone du stress.
 
Ces tests permettraient donc aux médecins de déceler rapidement les personnes sujettes à souffrir d’épuisement professionnel et ainsi leur assurer un suivi adéquat.
 
Mentionnons que le burnout et la dépression sont souvent considérés comme une même pathologie, mais ce n’est pourtant pas le cas. Le niveau de cortisol est anormalement bas lors d’un épuisement professionnel, ce qui n’est pas le cas durant une dépression.