Étiquette : Éric Salvail

Il y a quelques semaines, Éric Salvail avait été filmé à son insu en pleine séance de karaoké dans un bar de Montréal.

Toujours en attente de son procès qui aura lieu le 30 septembre prochain, on apprend aujourd’hui, par le magazine Échos Vedettes, que l’ancien animateur a réussi à vendre une de ses propriétés.

Ce n’est toutefois pas une de ses maisons en Floride qui a trouvé preneur.

On se rappelle qu’Éric Salvail et son conjoint et agent immobilier, Martin Lemay, ont acquis une maison et un condo situés sur le bord du canal Intracoastal, à Pompano Beach. Il semble que le marché se montre difficile pour le couple qui ont dû baisser les prix des demeures qui oscillent entre un et trois millions de dollars!

La chance a plutôt sonné en sol québécois, car c’est en effet le condo à Saint-Lambert d’Éric Salvail qui a été vendu.

D’une valeur de 1 545 000 millions de dollars, le penthouse fait près de 3000 pieds carrés!

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Éric Salvail, dont les dates d’enquête préliminaire ont été fixées hier au palais de justice de Montréal suite aux accusations d’agression sexuelle qui reposent contre lui, est de retour sur les réseaux sociaux.

Ses profils sur Facebook, Instagram et Twitter sont à nouveau actifs, alors qu’ils avaient tous été retirés à la fin du mois d’octobre 2017, moins d’une semaine après que les allégations d’inconduite sexuelle aient été portées.

Sa page Facebook n’a cependant pas été réactivée pour l’instant; seul son profil personnel est revenu sur le web. Aucune nouvelle publication n’a été faite sur ces réseaux sociaux.

Capture d’écran Twitter

Capture d’écran Instagram

Capture d’écran Facebook

Éric Salvail, qui est loin des projecteurs depuis près d’un an et demi, travaillerait présentement dans le milieu immobilier.

Son conjoint, Martin Lemay, est courtier immobilier et serait notamment responsable de la vente de la maison de Patricia Paquin et Louis-François Marcotte à Lachine, si on se fie au site de Via Capitale.

• Étiquettes Éric Salvail

C’est du 30 septembre au 2 octobre qu’Éric Salvail subira son enquête préliminaire concernant les accusations qui pèsent contre lui, rapporte notamment La Presse. L’animateur déchu était encore ce matin représenté par un avocat, Me Michel Massicotte, au palais de justice de Montréal puisqu’il n’avait pas à être lui-même présent au tribunal à ce stade, mais il devra y être à la prochaine étape, cet automne.

L’avocat a précisé que son client avait choisi de subir son procès devant juge et jury, mais l’accusé pourra changer d’avis d’ici là. En février dernier, Me Massicotte avait laissé savoir qu’Éric Salvail aurait l’intention de plaider non coupable, mais le plaidoyer n’a pas encore été enregistré pour le moment.

La défense compte présenter cinq témoins au cours de l’enquête préliminaire. L’un d’eux est Donald Duguay, seul plaignant dont la plainte a été retenue par le DPCP; l’identité des autres témoins est protégée par un interdit de publication.

L’enquête préliminaire sert à montrer la preuve contre l’accusé avant le début du procès. La procureure de la Couronne, Amélie Rivard, a dit avoir besoin d’environ une heure et demie pour interroger le plaignant, Donald Duguay, tandis que l’avocat de la défense a indiqué vouloir le contre-interroger pendant deux jours. Les autres témoins seront entendus à l’occasion d’une autre journée de l’enquête préliminaire, pour un total de trois jours. La juge Nathalie Fafard a estimé qu’il s’agissait d’une période plutôt longue pour une enquête préliminaire dans une affaire concernant un seul plaignant, mais l’a accordée.

Éric Salvail est accusé de harcèlement, séquestration et agression sexuelle pour des faits qui remonteraient en 1993, alors qu’il travaillait avec Donald Duguay au service du courrier de Radio-Canada.

Une semaine après avoir dévoilé son identité au public québécois, la victime alléguée d’Éric Salvail s’est rendue sur le plateau de Tout le monde en parle afin d’aborder les événements des dernières années et les impacts de son agression sexuelle sur sa vie.

Puisque son procès contre l’animateur déchu suit toujours son cour, Donald Duguay devait peser ses mots pour que son témoignage télévisuel ne puisse être analysé et retenu contre lui. Le touchant homme a tout de même livré un discours profondément pertinent et authentique sur le dossier.

Alors qu’il est le seul plaignant ayant été retenu par le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) en lien avec une poursuite contre Éric Salvail et qu’on lui ait fortement recommandé de ne pas donner d’entrevues, M. Duguay a tenu à répondre aux questions de Guy A. Lepage avec beaucoup de courage.

L’objectif était notamment de donner de la force à ceux qui se sont retrouvés ou se retrouvent dans la même situation que lui.

Karine Dufour

Donald Duguay a affirmé qu’il ne voulait plus avancer la tête basse, mais plutôt la tête bien haute, et que les agresseurs baissent la leur. Il s’est aussi ouvert sur sa tentative de suicide, ayant eu lieu en janvier dernier : 

« Je me suis rendu compte que j’étais le seul plaignant, ça reposait tout sur mes épaules. C’était une lourde responsabilité. J’entendais toutes sortes de commentaires, un peu à gauche et à droite sur mon cas, de gens qui ne me connaissent pas du tout. Oui, je me noyais en moi-même. Je me disais, à ce moment-là, qu’on avait peut-être les agresseurs qu’on mérite en tant que société. Rendu là, pour moi, c’était un point de non-retour. Tant qu’à continuer de vivre dans une société comme ça, qui préfère fermer les yeux, je préférais partir », a-t-il confié avec une force et une résilience incroyables.

L’animateur de l’émission l’a plus tard interrogé sur le fait que plusieurs admirateurs souhaitaient toujours le retour d’Éric Salvail au petit écran.

M. Duguay a répondu avec franchise : « D’une certaine manière, ils ont raison. C’était un bon animateur. Il avait du talent. Mais je crois personnellement que même si ces gens-là veulent qu’il revienne, il faut quand même, par respect pour la justice, attendre le verdict de la justice. S’il se trouve à être non coupable, ce sera à l’industrie de décider si elle veut le réintégrer. Mais s’il est coupable, est-ce qu’on est prêts à réintégrer des gens qui agressent et d’en faire des vedettes, des modèles pour nos enfants? C’est un peu ça la question ».

Depuis la parution du dossier de La Presse sur les inconduites sexuelles de Salvail, en octobre 2017, Donald Duguay mène un combat constant afin de redonner du sens à sa vie.

Il tente entre autres d’aider son prochain grâce à l’initiative 7 millions de mousquetaires, en soutien aux victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale.

Ce dimanche à Tout le monde en parle, la victime présumée d’Éric Salvail qui est sortie de l’ombre cette semaine, Donald Duguay, fera partie des invités.

Seule personne dont la plainte a été retenue par le DPCP, il s’est confié à quelques médias en disant voulant renverser la honte.

On se souvient que, lorsqu’il a interviewé Paul Arcand cet automne, Guy A. Lepage était d’accord pour dire que le producteur déchu ferait un « invité idéal »; on ne doute pas que sa victime alléguée le sera tout autant, sinon plus.

Guylaine Tremblay, notre Marie Lamontagne nationale, et l’auteure Danielle Trottier seront également sur le plateau cette semaine pour la finale d’Unité 9, qui sera diffusée mardi prochain.

Le réalisateur français François Ozon sera lui aussi de la partie pour son film Grâce à Dieu, tandis que Marie-Lyne Joncas et Ève Côté du duo Les Grandes Crues discuteront de leur spectacle Su’l gros vin.

La pédiatre microbiologiste-infectiologue Dre Caroline Quach et la docteure en anthropologie de la santé Dre Eve Dubé comptent également parmi les invités de la semaine puisqu’elles seront de passage à l’émission avec le Pharmachien Olivier Bernard, qui est la cible de menace pour sa vulgarisation scientifique, au sujet de la vaccination.

Finalement, Lise Vadnais sera à Tout le monde en parle pour son livre Attention chien dangereux qui porte sur la mort de sa soeur.

Des onze plaintes déposées au SPVM contre Éric Salvail en mai dernier, une seule a été retenue. Pendant plusieurs mois, le plaignant Donald Duguay a préféré conserver son anonymat, mais sort aujourd’hui de l’ombre et se confie sur l’affaire via plusieurs médias.

«C’est important dans mon cheminement personnel de sortir de l’anonymat, de lever la tête pour faire changer la honte de côté. Ce n’est pas à moi à baisser la tête. C’est la seule journée où je vais en parler », a-t-il confié à la journaliste Monic Néron du 98.5 FM.

L’homme a aussi raconté que ce sont les multiples allégations d’exhibitionnisme et de harcèlement de la part d’Éric Salvail, révélées notamment dans la foulée du mouvement #MeToo, qui ont réveillé chez lui les souvenirs de sa propre agression survenue alors qu’il était âgé de 20 ans et travaillait au service du courrier de la tour de Radio-Canada.

Salvail, son collègue de l’époque, était alors inconnu du public. À la suite de la lecture des multiples témoignages accusant l’animateur d’inconduites sexuelles, Donald Duguay révèle avoir subi un choc post-traumatique et vouloir aujourd’hui obtenir justice pour toute la souffrance occasionnée par les agressions qu’il aurait subies sur une période de sept mois en 1993.

« Qu’il fasse un an, six ans ou dix ans de prison, pour moi, ça ne changera rien. » a-t-il aussi confié à Jean-François Guérin de TVA Nouvelles avant d’ajouter que d’être le seul cas reconnu rend le tout plus lourd à porter et qu’il « devient le point focal de la haine » des fans d’Éric Salvail.

« Mais je n’ai rien à voir dans sa chute, il a provoqué sa chute lui-même » explique-t-il.

On rappelle qu’Éric Salvail est présentement formellement accusé de harcèlement, agression et séquestration à l’endroit de Donald Duguay et que l’affaire sera de retour en cour le 27 mars.

Salvail aurait d’ailleurs l’intention de plaider non coupable.

La Presse rapporte les propos renversants d’un ancien employé de Radio-Canada qui accuse Éric Salvail d’inconduites sexuelles graves, celui-là même dont l’histoire et les faits allégués ont été retenus par le DPCP afin d’aller de l’avant dans une poursuite au criminel contre l’animateur déchu.

Selon Donald Duguay, les faits reprochés à Éric Salvail se sont produits au cours des années ‘90, et se seraient échelonnés sur une longue période de temps.

M. Duguay affirme avoir vécu, et vivre toujours, des épisodes importants de détresse émotionnelle et psychologique, et estime que c’est l’article de La Presse de 2017 dévoilant les témoignages de 11 personnes qui en avaient long à dire sur les comportements d’Éric Salvail qui aurait fait tout basculer pour lui, qui ne pouvait alors plus embouteiller ses émotions.

Duguay, qui avait 20 ans au moment des faits présumés, croit qu’il est temps pour lui d’accepter qu’il soit une victime désormais, mais se garde de parler des gestes de l’agression présumée et du harcèlement allégué vécu aux mains d’Éric Salvail selon son propre témoignage à la police, afin de garder les éléments pour le procès éventuel intacts.

Éric Salvail doit faire face à des accusations de harcèlement criminel, séquestration et agression sexuelle dans ce dossier.

L’affaire sera de retour en cour le 27 mars, si tout se passe comme prévu, rapporte Radio-Canada.

Découvrez ici l’article original de La Presse.

Crédit photo: Facebook, V, promo

C’est ce matin qu’Éric Salvail devait comparaître au palais de justice de Montréal pour faire face aux trois chefs d’accusation déposés contre lui, soit agression sexuelle, harcèlement criminel et séquestration. L’animateur et producteur déchu était cependant absent, n’ayant pas l’obligation de se présenter, et était représenté par son avocat, Me Michel Massicotte.

Bien qu’Éric Salvail n’ait pas besoin à ce stade d’enregistrer un plaidoyer, son avocat a mentionné qu’il avait l’intention de plaider non coupable, rapporte La Presse, qui avait publié en octobre 2017 un dossier comprenant une dizaine de témoignages de victimes et de témoins allégués des inconduites sexuelles de l’accusé. Me Massicotte a également précisé au juge qu’il souhaite obtenir l’accès à des éléments supplémentaires de la preuve contre son client.

Éric Salvail doit toujours se soumettre à certaines conditions, principalement ne pas voyager à l’extérieur du pays et ne pas entrer en communication avec la victime présumée, qui aurait récemment lancé une campagne de sociofinancement dans le but de couvrir ses frais judiciaires dans une poursuite au civil.

L’affaire sera de retour en cour le 27 mars prochain.

Il y a quelques jours, Éric Salvail a finalement été arrêté et trois chefs d’accusation – agression sexuelle, séquestration et harcèlement criminel – pèsent contre lui pour des faits allégués survenus entre avril et novembre 1993.

Aujourd’hui, une personne qui s’identifie comme sa victime présumée (la seule dont le dossier a été retenu par le Directeur des poursuites criminelles et pénales dans l’affaire) a lancé une campagne de sociofinancement en demandant l’aide du public pour payer ses frais d’avocat.

C’est sur le site GoFundMe que la personne connue par les initiales D.D. a lancé un appel au public afin de recueillir les fonds nécessaires à payer son avocat et à poursuivre Salvail au civil. En effet, la poursuite en cours au criminel ne vise pas à indemniser la victime, mais seulement à établir ou non la culpabilité de l’accusé, contrairement à une poursuite au civil.

D.D. désire ainsi amasser 5000$ afin que son avocat puisse lancer ladite poursuite au civil.

« Je suis le fameux D.D. Bien que la poursuite criminelle que je souhaite pour éviter qu’il ne fasse plus aucune victime, ici ou ailleurs, soit ma priorité numéro un, cela ne réparera en rien les préjudices que j’ai subis et subis toujours. Mais je n’ai pas les fonds nécessaires pour entreprendre une action au civil qui serait le seul moyen d’obtenir justice pour moi-même et ainsi réparer une partie de mon être qui se trouve en lambeaux. Je suis prêt à prendre les coups pour protéger la société d’un agresseur. Êtes-vous prêt à m’aider pour que je trouve aussi justice pour moi-même? », peut-on lire sur la page de sa campagne de sociofinancement.

Jusqu’à maintenant, plus de 400$ ont été amassés ici.