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Potins

L’amour fou pour Sofia Vergara et Joe Manganiello

Planant sur un nuage, les nouveaux amoureux Sofia Vergara et Joe Manganiello se sont envolés vers Miami le 24 juillet dernier. À l’aéroport international de Fort Lauderdale, en attente de ses bagages, le couple ne se cachait pas pour s’embrasser langoureusement.

Ils ont été repérés un peu plus tard à leur arrivée à l’hôtel St. Regis à Bal Harbour, au nord de Miami. Le lendemain, le couple en tenue décontractée serait allé deux fois au restaurant.

Selon le magazine américain People, le séjour en Floride était le deuxième en quelques semaines pour Manganiello, qui y était déjà allé pour rencontrer la famille colombienne de sa douce lors du 42e anniversaire de celle-ci, le 10 juillet. L’acteur semble déjà très apprécié par la famille de sa dulcinée.

Selon E!News, lors d’une réunion familiale le 26 juillet au restaurant Makoto, où 12 membres de la famille Vergara étaient présents, le couple était mignon et affectueux, se tenait sans cesse par la main. Vergara passait beaucoup de temps à traduire de l’espagnol à l’anglais pour Manganiello ,qui ne parle pas un mot de la langue latine.

Si l’acteur de Magic Mike et True Blood n’a jamais compris l’espagnol, cela ne l’a jamais empêché de fantasmer sur la beauté latine. Il avait d’ailleurs déjà confié sa préférence pour « les femmes qui font des squats – j’aime les fesses. Sofia Vergara, tout simplement. Elle a ce côté latin. Elle a des fesses, des courbes, un beau visage, de beaux cheveux. Elle est magnifique et déterminée ».

Sofia Vergara a rompu ses fiançailles avec Nick Loeb en mai dernier. L’actrice et Joe Manganiello vivent maintenant au grand jour leur idylle, eux qui se sont rencontrés en avril dernier à Washington, au dîner des correspondants de la Maison-Blanche.

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Nouvelles quotidiennes

Le meilleur barman du monde est espagnol

David Rios, barman au Jigger Cocktail, à Bilbao, a été sacré meilleur barman au monde lors de la finale du concours Diageo World Class 2013, à Barcelone.

Parmi 44 représentants de la mixologie mondiale, l’Espagnol de 28 ans s’est démarqué en finale grâce à l’équilibre des notes franches et du soupçon d’amertume de son cocktail Le Gold Basque Punch, à base d’un mélange de Johnnie Walker Gold Reserve, de vodka, de Picon, de jus de pamplemousse et de Kumquat.

Cette année, la cinquième édition du Diageo World Class, organisée par l’alcoolier Diageo Reserve, invitait 15 000 barmans internationaux à se distinguer. Quarante-quatre pays ont organisé leur sélection nationale afin d’élire un représentant destiné à concourir lors de la finale mondiale.

L’événement s’est tenu en juillet sur le paquebot Azamara Journey, qui a sillonné la côte méditerranéenne de Monte-Carlo à Ibiza, avant de s’établir à Barcelone pour la grande finale.

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Musique

Deux nouveaux albums pour Smokey Robinson

La légende du Motown âgée de 72 ans, Smokey Robinson, a confié à Billboard être impatient d’enregistrer son album en espagnol.

« J’ai étudié l’espagnol pendant les trois ou quatre dernières années. Je suis maintenant en train d’écrire des chansons, mais je compte aussi enregistrer de la musique traditionnelle espagnole », a-t-il révélé.

Malgré son excitation à faire découvrir à ses fans son amour pour la langue latine, Robinson doit commencer par l’enregistrement de son album de Noël, qui devrait se faire en mai ou juin.

« Nous devons faire l’album de Noël parce qu’il y a une fenêtre de temps pour cela, mais je suis impatient de faire mon album en espagnol et vivre quelque chose de différent. »

Selon le chanteur, cet opus des fêtes se voudra très traditionnel. « Il se peut que j’écrive quelques nouvelles chansons de Noël, mais ce que je désire faire plus que tout, c’est enregistrer des chants traditionnels qui font vibrer les gens depuis des générations. Nous avons une liste de 50 chansons pour le moment, nous allons en sélectionner très bientôt. »

Mentionnons également que le 12 avril, Smokey Robinson et les membres de son groupe The Miracles, qui ont connu leur heure de gloire entre 1965 et 1972, seront intronisés au Rock and Roll Hall of Fame à Cleveland.

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Nouvelles quotidiennes

Une exposition à New York soulignera l’histoire new-yorkaise des immigrés d’origine latine

Dans la riche histoire culturelle de New York, l’arrivée des immigrants latins remonte à bientôt quatre siècles et une exposition au El Museo del Barrio tournera son attention vers ceux-ci à compter du 17 septembre.

L’exposition Nueva York: 1613-1945, qui se poursuivra jusqu’en 2011, montrera la ville de New York comme le carrefour culturel qu’elle fût durant toutes ces années pour les personnes provenant des différents pays où l’on parle espagnol et qui s’y sont établis.

Que ce soient des artistes, des intellectuels ou même des agitateurs révolutionnaires, New York est devenue durant cette période la terre d’accueil de nombreux immigrés d’origine latine qui y ont laissé leur marque.

Si l’arrivée massive à New York des personnes parlant l’espagnol comme langue première s’est principalement déroulée après la seconde Guerre mondiale dans l’esprit des gens, l’exposition prouvera le contraire et démontrera que le tout a commencé il y a plus de 300 ans quand un groupe de 23 Juifs séfarades, terme désignant un juif vivant normalement en Espagne ou au Portugal, a débarqué à New York, craignant d’être persécuté au Brésil, là où ils s’étaient installés.

Le musée, qui exposera plus de 200 objets comme des cartes, lettres, peintures, photographies, livres et des affidavits, a reçu l’aide de la New York Historical Society, le plus vieux musée de la ville.

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Immunisés à vie contre la grippe

Selon une étude dont les résultats complets sont publiés dans la revue scientifique Nature, les personnes ayant survécu à l’épidémie de grippe espagnole de 1918 produisent encore des anticorps.

En cas de nouvelle pandémie, les 32 participants à cette recherche seraient donc immunisés contre le virus puisque leurs anticorps sont si puissants qu’ils ont même guéri des souris infectées par le virus de 1918.

L’auteur principal de l’étude, le Dr James Crowe, espère maintenant mettre au point des anticorps similaires afin de développer un traitement efficace contre les différentes souches du virus de la grippe aviaire.