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4 façons inusitées d’améliorer votre espérance de vie

Voici 4 façons faciles et efficaces de profiter plus longuement de la vie, parmi les suggestions offertes par Yahoo et empowher.com.

20 mg de vin quotidiennement

Des études affirment que le risque de maladies cardiaques est moins élevé chez les gens qui boivent un peu moins d’une consommation de vin par jour par rapport à ceux qui n’en boivent pas.

Zoothérapie

Adopter un animal, selon plusieurs recherches, est excellent pour la santé physique et mentale. Un chien, entre autres, encourage les gens à marcher quotidiennement. Un animal réduit aussi le stress et les risques cardiovasculaires par le fait même.

Plus de sexe

Les relations sexuelles sont reconnues pour leur potentiel de longévité. L’orgasme lui-même est relié à une vie plus longue, sans compter que le système immunitaire s’en trouverait aussi renforcé.

Éviter les boissons gazeuses

Une étude publiée dans l’American Journal of Public Health a découvert un lien entre la consommation de boissons gazeuses et la réduction de la longueur des télomères au bout des chromosomes. Ce phénomène est relié directement au vieillissement prématuré de l’humain.

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L’espérance de vie n’a jamais été si élevée

Désormais, l’Américain moyen vit jusqu’à 78,8 ans, selon les données de 2012. Le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) affirme que ce nouveau record est attribuable à un style de vie plus sain.

« Les Américains vivent plus longtemps et sont sensibilisés à la prévention des maladies chroniques », a indiqué Dr Jiaquan Xu. « L’espérance de vie des gens a augmenté parce qu’ils s’alimentent mieux et font de l’exercice », spécifie-t-il.

Une fois de plus, informe Every Day Health, les femmes devancent les hommes dans la course à la survie. Elles ont une espérance de vie moyenne de 81 ans, alors que pour les hommes, elle est de 76 ans.

Quant aux causes principales de décès, il n’y a eu aucun changement, selon le rapport. En 2012, environ 75 % étaient causés par les maladies cardiovasculaires, le cancer, les maladies respiratoires dégénératives, les AVC, les blessures involontaires, l’Alzheimer, le diabète, l’influenza, la pneumonie, la maladie rénale ou le suicide.

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L’incapacité des jeunes à penser au futur augmente la tendance criminelle

La recherche, portant sur de jeunes délinquants graves, s’est basée sur la réponse à une seule question ouverte. On demandait aux adolescents : « Combien de temps pensez-vous vivre? » La réponse permettait de prédire le schéma de récidive des délinquants.

Le principal auteur de l’étude, Dr Alex Piquero, a découvert que la réponse était directement reliée avec la gravité des méfaits et la répétition des crimes commis. Spécialisé en criminologie, Piquero a expliqué que les jeunes dans cette situation croient toujours qu’ils ne vivront pas longtemps.

« Nombreux sont les jeunes qui nous ont dit “Je ne vivrai même pas jusqu’à la semaine prochaine, alors pourquoi je m’en ferais?” » Ainsi, ces adolescents qui ne pensent qu’à l’instant présent, se soucient beaucoup moins des conséquences et agissent impulsivement.

Au contraire, ceux qui pensent à long terme contrôlent leurs impulsions, réfléchissent avant de répéter leurs méfaits et évitent plus souvent les drogues, informe Medical News Today.

Les chercheurs travaillent de concert avec le président américain Barack Obama, qui a mis sur pied l’opération My Brother’s Keeper, un effort pour encourager les jeunes hommes à poursuivre leurs études et les garder loin du système criminel.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Être trop mince comporte aussi des risques pour la santé

Une nouvelle étude estime qu’une personne sous le poids santé recommandé court aussi plusieurs risques pour sa santé et pourrait même voir son espérance de vie diminuer, rapporte le ScienceWorldReport.

C’est un physicien du St. Michael’s Hospital de Toronto, le Dr Joel Ray, qui s’est penché sur la question et a analysé les données de 51 études précédentes qui étudiaient les impacts sur la santé d’un poids considéré trop faible.

Les risques de décès prématurés seraient aussi grands, sinon plus, chez les personnes trop minces que chez les personnes obèses, observe le Dr Ray. Ce dernier croit par ailleurs qu’il pourrait être utile de revoir nos façons de penser en termes de quantification et d’analyse du poids des patients.

« Nous avons l’obligation de nous assurer d’éviter de créer une épidémie d’adultes trop minces, et qui seraient en temps normal de poids correct. Nous sommes alors obligés d’utiliser le bon outil de mesure. Si notre objectif est plutôt la lutte à l’excès de gras, nous pourrions changer pour une mesure de la circonférence de la taille », explique le Dr Ray, en lien avec le l’IMC (Indice de Masse Corporelle), qu’il croit désuet et non représentatif.

L’étude complète a été publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Un test qui détermine l’espérance de vie

Si on vous donnait la chance de connaître vos chances de survivre aux cinq prochaines années, voudriez-vous vraiment le savoir?

C’est un peu la question morale qui se pose lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par Santé Log, informant qu’un test de « dépistage de l’espérance de vie » pourrait bientôt être développé et mis en marché.

Selon cette source, des chercheurs européens et américains seraient parvenus à créer un test préliminaire capable d’identifier l’espérance de vie au cours des cinq années suivantes, à l’aide de multiples facteurs.

Avec ce test s’effectuant grâce à un prélèvement sanguin et à une analyse des biomarqueurs d’un individu donné, les spécialistes croient être en mesure d’identifier les chances de celui-ci de survivre aux cinq prochaines années.

Les chercheurs semblent satisfaits et un peu surpris du haut taux de succès de ce premier test, qui pourrait mener à de nouvelles façons de faire en médecine et en prévention de certaines maladies et des décès prématurés.

Les conclusions et résultats en lien avec ce test ont été publiés dans le magazine PLoS Medicine.

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Le sentiment de contrôle pourrait bien allonger votre espérance de vie

Les gens en contrôle, ou qui ont le sentiment de contrôle, sur les événements et éléments de leur vie pourraient bien bénéficier d’une espérance de vie plus longue que les autres, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un parallèle entre la longévité et l’attitude affichée par un individu au cours de sa vie, un constat qui n’est pas relevé pour la toute première fois par des chercheurs et spécialistes.

« La santé et la longévité ne sont pas dues qu’à un accès aux soins de santé. L’attitude fait une différence. Comment vous construisez votre attitude et relevez les défis détermine si vous prenez action ou si vous abandonnez, et si vous vous sentez stressé ou motivé. Les personnes avec un fort ou faible sens du contrôle vont percevoir la même situation différemment, que ce soit comme un stress ou comme un défi à relever », explique Margie Lachman, professeure en psychologie.

L’étude parle cependant des personnes sans éducation postsecondaire, étrangement, qui jouiraient au départ d’une moins grande espérance de vie.

Les conclusions de ces recherches vont donc de pair avec de précédentes, qui établissaient elles aussi un lien entre l’attitude, le moral et la longévité.

Les résultats de l’étude fondée par le NIH ont été publiés dans la plus récente édition du journal Health Magazine.