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Le golf prolonge la vie de cinq ans

Une étude suédoise démontre que la pratique régulière du golf augmente de cinq ans l’espérance de vie.
 
Selon le Scandinavian Journal of Medicine & Science in Sports, on a comparé l’espérance de vie de la population en Suède à celle de 300 000 golfeurs assidus. Pour l’étude, les chercheurs ont également tenu compte de la classe sociale des participants, de leur âge et de leur sexe. On conclut que les golfeurs vivent en moyenne cinq ans de plus que les personnes qui ne pratiquent pas ce sport.
 
Bien que, pour plusieurs, le golf ne représente pas une activité aussi exigeante que le jogging, le tennis ou autre, il n’en reste pas moins qu’au départ, c’est une activité physique. Pratiqué régulièrement, le golf diminue les risques de maladies cardiovasculaires, surtout pour les 45 ans et plus. De plus, jouer au golf deux à trois fois par semaine permet d’augmenter le bon cholestérol dans le sang.
 
On explique également le phénomène de la longévité plus grande par le fait que les golfeurs en général pratiquent ce sport avec des adeptes de leur âge. Or, si l’un d’entre eux a plus de difficulté à suivre le groupe, il sera porté à consulter un médecin et à vouloir modifier la situation.
 
Les chercheurs ont également constaté que le golf permet de lutter contre le vieillissement cérébral, car cela prend de la concentration et de la stratégie de la part des joueurs.
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Une espérance de vie prédéterminée par un gène

Le professeur Tomohiro Kono et son équipe de chercheurs de l’Université de Tokyo affirment que la semence des hommes contient un gène qui détermine l’espérance de vie.

Selon un article du Human Reproduction, ceci expliquerait pourquoi les hommes vivent en moyenne moins longtemps que les femmes. Ce gène serait en effet présent chez les deux sexes, mais serait actif seulement chez les mâles.

Pour en arriver à cette conclusion, on a effectué des travaux sur des souris qui ont été créées génétiquement par deux mères, sans aucun père. On a manipulé l’ADN des ovules des souris afin que les gènes se comportent comme des spermatozoïdes. Cette manipulation génétique a par la suite été implantée dans les ovules de souris femelles.

Les souriceaux nés de cette expérience démontrent une espérance de vie plus longue d’un tiers que les souris normales. De plus, ces rongeurs nés de deux mères avaient un meilleur système immunitaire.

C’est le gène Rasgrf 1 qui serait à l’origine de ce phénomène. Celui-ci permet également aux hommes d’être plus gros et plus forts, ce qui explique également pourquoi les souris nées de deux mères étaient beaucoup plus petites à la naissance.

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Nos amis prolongent notre espérance de vie

Le New York Times mentionne que l’amitié est très bénéfique dans notre vie.

Des chercheurs de l’Université d’Harvard se sont penchés sur les effets de l’amitié en examinant 12 067 personnes pendant 32 ans. Chaque nouvel ami heureux augmente notre bonheur de 9 %, tandis que les amis malheureux influencent notre moral de 7 %.

Il semblerait que ce soit parce que notre cerveau est inconsciemment poussé à imiter les gens par les effets des neurones miroirs.

Toutes nos habitudes de vie sont influencées par nos amis, proclament les chercheurs. Ainsi, plus nos amis ont des habitudes saines, plus nous serons portés à adopter ces habitudes. On maigrit plus efficacement en groupe. Le contraire est aussi vrai; si une personne est obèse, ses amis ont 57 % plus de risques de le devenir.

L’amitié nous influence même plus que l’amour. Les amis peuvent diminuer le risque de maladie cardiaque mortelle chez l’homme d’âge moyen, mais les conjoints n’ont pas cet effet.

Si nos proches cessent de fumer, on a 34 % de chances de le faire aussi. De plus, après une opération, les personnes entourées d’amis récupèrent mieux. L’amitié nous permet aussi de mieux tolérer la douleur.

Bref, les amis sont bons pour la santé et prolongent notre espérance de vie, et ce, même s’ils sont éloignés, nous disent les experts.

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Qualité du sperme et longévité vont de pair

Une recherche effectuée de 1963 à 2001 par une équipe de scientifiques de l’Université du Danemark Sud auprès de 43 277 hommes a permis de prouver le lien entre l’espérance de vie et la qualité du sperme.

Selon le Dr Rune Jacobsen, une concentration de plus de 40 millions de spermatozoïdes par millilitre équivaut à 40 % moins de risques de mortalité, comparativement aux hommes dont le sperme contient 10 millions de spermatozoïdes par millilitre.

« Les hommes ayant un sperme de meilleure qualité ont de plus grandes chances de survie que les autres. La diminution de la mortalité chez les hommes au sperme de meilleure qualité se constate autant chez les hommes seuls que chez ceux qui ont des enfants. Ces résultats ne sont donc pas la conséquence d’une vie en solitaire ou d’un quelconque autre facteur social. Nous penchons plutôt vers des facteurs biologiques. Si un homme se reproduit plus facilement, il aura donc également plus de chances de vivre plus longtemps », a souligné M. Jacobsen.

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Augmenter son espérance de vie par le bénévolat

Les retraités qui s’adonnent au bénévolat auraient une meilleure espérance de vie, selon des gérontologues américains.

Ces médecins ont analysé les données de 6 360 personnes retraitées et âgées de plus de 65 ans. Sur la période de suivi de quatre ans, on a noté que le taux de mortalité était réduit de 54 % chez les personnes qui faisaient des activités bénévoles, comparativement à celles qui étaient inactives.

En plus de briser la solitude, le bénévolat aurait pour avantage d’étendre le réseau social des gens. Les ressources sont plus faciles d’accès et l’estime de soi est considérablement améliorée. Tout ceci aiderait au maintien d’une bonne santé chez les aînés.

Selon les statistiques canadiennes actuelles, une personne sur 7 a plus de 65 ans. En 2004, 32 % des personnes âgées faisaient du bénévolat à raison de 245 heures par année en moyenne.

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Quelques kilos en trop pour vivre vieux

Une recherche menée avec plus 11 000 sujets ayant un surplus de poids a permis de conclure que cette condition n’entrave pas la longévité, bien au contraire.

En fait, selon l’équipe du Dr Mark Kaplan, coauteur de l’étude, ces patients vivent plus vieux que ceux qui ont un poids santé.

« Cela peut être attribué au fait que les quelques kilos en trop protègent les gens un peu plus âgés contre le déclin de la santé. Mais cela ne veut pas dire que les personnes ayant un poids santé peuvent engraisser sans s’en soucier », ont indiqué les auteurs.

Les résultats démontrent qu’un poids en dessous de la moyenne est associé à un risque de mortalité de 70 % supérieur à ceux ayant un poids normal.

Quant à ceux ayant un surplus de poids, le taux de mortalité était de 17 % inférieur aux patients ayant un poids santé.

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Être mince pour vivre vieux

Une recherche, publiée sur la version électronique de The Lancet, confirme l’hypothèse qui veut que l’obésité réduise l’espérance de vie.

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Oxford ont analysé 57 études antérieures portant sur cette association entre l’obésité et la longévité.

Ils ont comparé l’indice de masse corporelle (IMC) des sujets au taux de mortalité et ont découvert qu’un IMC entre 30 et 35, ce qui représente l’obésité, retranchait trois années de vie.

Quant aux patients souffrant d’obésité morbide, l’espérance de vie diminuait de 10 ans.

« Si vous tendez à l’obésité, maigrir peut être une bonne idée », a suggéré l’un des auteurs de cette recherche, le Dr Richard Peto.

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L’espérance de vie en Chine passe à 73 ans

La population chinoise a ajouté 1,6 an à son espérance de vie en l’espace de 5 ans. En effet, l’âge moyen du décès était de 71,4 ans en 2000 et de 73 ans en 2005.

Autre bonne nouvelle : selon les autorités chinoises de la santé, le taux de mortalité infantile a diminué au cours des dernières années. En effet, il est passé de 25,5 pour 1000 en 2003 à 15,3 pour 1000 en 2007.

On observe une tendance similaire en matière de mortalité maternelle dont l’indice a chuté entre 2003 et 2007, passant de 51,3 à 36,6 pour 100 000.

Le gouvernement chinois se félicite donc de l’amélioration de l’état de santé de ses citoyens, comme en témoigne cet extrait d’un rapport officiel : « L’état de santé des ruraux comme des urbains s’est encore amélioré. »

Toutefois, il faut préciser que le Japon demeure le pays où la population a une espérance de vie remarquable, soit 82 ans.

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Baisse de l’espérance de vie des Américains

Depuis deux décennies, les États-Unis baisse au rang international de l’espérance de vie, malgré l’amélioration des soins de santé. Il semble que les habitudes de vie des autres pays soient une explication.

Selon le Dr. Christopher Muray, de l’Institut for Health Metrics and Evaluation, à l’Université de Washington, il est franchement anormal qu’un des pays les plus riches du monde et dépensant des fortunes en santé ne puisse concurrencer d’autres pays.

L’espérance de vie d’une personne née en 2004 aux États-Unis est de 77,9 ans, ce qui place le pays au 42e rang mondial, soit 11 rangs de moins en 20 ans, selon les données internationales provenant du Census Bureau et du National Center for Health Statistics.

Les gens de l’Andorre, un minuscule pays, ont l’espérance de vie la plus élevée soit de 83,5 ans, suivi de près par les Japonais.