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Injecter de l’argent en santé bénéficierait davantage aux hommes qu’aux femmes

Une étude proposée par un candidat au doctorat montréalais dévoile des statistiques intéressantes en matière de développement du système de santé et de ses impacts sur les hommes et les femmes.

Rapportée par The National Library of Medicine, l’étude en question analyse des données en provenance de 27 pays développés concernant leur système de santé, et l’efficacité des sommes injectées.

« Nous avons été surpris de découvrir un large écart entre les sexes en matière d’efficacité des sommes injectées à travers les pays industrialisés dans le monde », lance Douglas Barthold, de l’Université McGill.

Il appert en effet que depuis 1991, les avancées médicales et les investissements en capitaux dans les systèmes de santé ont largement profité aux hommes, qui ont vu leur espérance de vie augmenter plus rapidement que celle des femmes.

Il semble que pour chaque 100 $ investi dans un système de santé de l’un de ces pays, un homme gagnerait 2,56 mois d’espérance de vie, contre 1,26 pour les femmes.

Ces étranges conclusions demeurent à être développées et expliquées plus en détail, mais on peut noter que les femmes bénéficiaient déjà d’une espérance de vie plus grande, ce qui s’avère vrai à ce jour.

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Les femmes peuvent encore espérer vivre quatre ans de plus que les hommes

Le Telegraph (UK) rapporte une étude statistique qui donne encore une fois l’avantage de l’espérance de vie aux femmes, alors que ces dernières peuvent espérer vivre quatre ans de plus que les hommes.

Ces chiffres, basés sur des données britanniques, mais qui se transposent facilement à la population mondiale, font également état d’une hausse de longévité potentielle de quelques points pour les enfants nés entre 2010 et 2012.

On parle donc d’une espérance de vie de 79 ans pour les hommes et de près de 83 % pour les femmes, et d’une moyenne globale totale de près de quatre années de différence.

Encore une fois, ces chiffres peuvent varier grandement en fonction de la classe sociale, du style de vie et du lieu de résidence d’un individu, mais on constate néanmoins des hausses générales de longévité, même chez les hommes, chez qui celle-ci semble même plus rapide dans son évolution.

Pour l’instant, les femmes conservent la palme et peuvent aspirer à quatre années de plus que leurs congénères, quatre années de paix et de tranquillité, diront certaines. 

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Rester debout pourrait vous faire gagner deux années supplémentaires

Des chercheurs de l’Université de Chester dévoilent leurs conclusions se basant sur une prémisse fort simple, mais qui ne nous apparait pas toujours de façon évidente au quotidien.

Le Dr John Buckley et son équipe ont en effet déterminé que les impacts positifs sur la santé du simple fait de rester debout, au lieu de toujours chercher à s’assoir, sont nombreux et vérifiables, rapporte Top Santé

On le sait, la sédentarité (terme qui définit l’inaction, le manque d’activité physique) est blâmée et considérée comme l’un des principaux facteurs de problèmes de santé, comme l’obésité et les maladies cardiovasculaires.

Or, il n’est pas toujours facile de bouger dans un contexte de travail de bureau, par exemple, et de trouver le temps qu’il faut pour l’activité physique au fil de semaines qui s’étirent et n’en finissent plus.

Selon Buckley, la solution est toute simple et réside en partie dans le fait de se lever et de rester debout dans le plus de situations possible, ce qui permettrait à un individu de brûler 750 calories de plus par jour, et même de gagner deux ans en espérance de vie!

« Faire du sport présente de nombreux avantages pour la santé, mais cela ne pourra pas réparer les dommages causés par la position assise prolongée. Notre corps a besoin d’être stimulé et de produire une activité musculaire quotidienne », explique Buckley, qui croit qu’un minimum de trois heures passées debout par jour devrait être observé pour en retirer tous les bénéfices.

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Les Américains gagnent deux ans à leur espérance de vie

Une nouvelle étude américaine trace un bilan de santé positif des citoyens, une recherche que l’on peut facilement appliquer au Canada, alors que les Américains auraient gagné deux ans à leur moyenne d’espérance de vie.

C’est ce qui ressort de l’étude publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par The National Library of Medicine, qui laisse également entendre que les Nord-Américains sont en santé plus longtemps qu’il y a vingt ans et peuvent aspirer à vivre plus vieux sans troubles graves de la santé.

Il s’agit d’un gain spectaculaire effectué au cours d’une seule génération, et les experts qui commentent l’étude s’en réjouissent.

« Ce dont nous parlons ici n’est pas simplement en termes de longévité et d’espérance de vie, mais aussi en termes de qualité de vie. Plusieurs études ont mesuré ceci de plusieurs façons, mais c’est vraiment la première fois que nous sommes en mesure de le mesurer sur l’entière population des États-Unis, en utilisant des données complètes sur une longue période », résume Susan Stewart, dans un communiqué de Harvard.

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Espérance de vie : Découvrez le phénomène de l’ampoule

Le Daily Mail (UK) rapporte de nouvelles statistiques concernant la longévité, la santé, le vieillissement et la mort.

D’abord, les chercheurs de l’Université Harvard constatent bel et bien une longévité accrue, ce qui signifie que l’on vit plus longtemps, tout simplement. De plus, autre bonne nouvelle, non seulement nous vivons plus longtemps, mais il semble que la maladie soit de moins en moins fréquente.

Il n’y a pas si longtemps, on s’attendait à voir les six ou sept dernières années d’une vie se terminer dans la maladie et la souffrance. Ce ne serait plus nécessairement le cas, selon le professeur David Cutler.

« Avec l’exception de la dernière ou des deux dernières années, les gens sont plus en santé qu’ils ne l’étaient auparavant. Par conséquent, la période de temps associée à la maladie ou à une santé pauvre se retrouve compressée juste à la fin de la vie. Nous nous étions habitués à voir des gens très, très malades pour les six ou sept dernières années de leur vie, ce qui s’avère beaucoup moins commun », explique Cutler, enthousiaste.

Cependant et en conclusion, ce que ces données signifient est que les humains vont avoir tendance à « s’éteindre » plus abruptement, spontanément, sans souffrir sur de longues périodes. On baptise pour l’instant ce phénomène celui de « l’ampoule ».

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Une plante comestible qui allonge l’espérance de vie

Science Daily rapporte des conclusions stupéfiantes concernant la rhodiole, une plante bien connue des botanistes et des amateurs de produits naturels.

Des chercheurs (UC Irvine) avancent que cette plante permet à certaines espèces d’allonger leur espérance de vie, un fait qu’ils espèrent pouvoir confirmer ou implanter chez l’humain.

C’est d’abord et principalement la mouche du vinaigre (fruit fly) ou drosophile qui a mis la puce à l’oreille des chercheurs, alors que celles qui évoluent et se nourrissent de cette plante obtiennent une longévité accrue d’environ 24 %!

« On a découvert que la rodhiole augmente l’espérance de vie, et ce, même chez les sujets déjà en santé », se réjouit Mathab Jafari, l’un des deux meneurs de cette étude.

Plusieurs peuples connaissent les multiples vertus de cette plante et de ses extraits, notamment les Russes et les Scandinaves, qui l’utiliseraient pour faire baisser le stress, notamment.

Jafari et son équipe souhaitent maintenant maximiser les applications de cette plante, qui aurait le potentiel d’améliorer la condition des gens qui souffrent d’Alzheimer et même de détruire les cellules cancéreuses.

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Une étude prétend démontrer que les végétariens vivent plus longtemps

Slate rapporte une vaste recherche sur les habitudes alimentaires qui croit pouvoir conclure de façon efficace que les gens qui ne mangent pas de viande ont effectivement un potentiel accru de longévité.

L’étude, publiée par le magazine médical JAMA et rapportée également par le Wall Street Journal, comprend les analyses de plus de 70 000 personnes et de leurs habitudes alimentaires.

Faisant partie de la même communauté et devant se plier pour la plupart aux lois du végétarisme, les chercheurs ont comparé les taux de mortalité et les cas de décès de ces sujets en deux groupes, soient les végétariens convaincus et les mangeurs de viandes.

Conclusion? « Les choix alimentaires semblent avoir joué un grand rôle dans la protection des participants vis-à-vis des maladies cardiaques, dont les végétariens ont 12 % de chances de moins de mourir que les carnivores », expliquent les observateurs du Wall Street Journal.

Une raison de plus de calmer ses envies de viandes… En plus, on avance qu’avec la montée en flèche de population d’ici 2050, la planète entière pourrait devoir réviser ses habitudes alimentaires et faire passer ses apports de viandes de 20 à 5 %, afin de nourrir tout le monde!

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Une longévité accrue grâce au calcium est observée chez la femme

Les femmes peuvent-elles vivre plus longtemps en consommant quotidiennement du calcium? C’est la question posée dans une nouvelle étude québécoise, réalisée à l’Université McGill auprès de près de 10 000 participants.

Après avoir suivi pendant 12 ans 9033 sujets canadiens, tous issus de villes différentes, les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium peut avoir un réel impact sur la longévité, mais seulement chez la femme.

Les suppléments alimentaires sont très controversés depuis quelque temps, alors qu’on se rend compte qu’ils profitent souvent plus aux comptes de banque des compagnies pharmaceutiques qu’aux consommateurs en général.

Cependant, l’étude proposée ici, et rapportée par Radio-Canada, semble exhaustive et indépendante.

« Nous avons découvert que la prise quotidienne de suppléments de calcium est associée à un risque moins élevé de décès chez la femme, et ce, indépendamment de la cause », déclare le professeur David Goltzman, chercheur et coauteur de l’étude.

Goltzman et son équipe publient maintenant les résultats de leur étude dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, qui s’ajoutera aux précédentes sur le sujet. Plusieurs autres études ont déjà avancé certains dangers liés à une prise supplémentaire de calcium. Le débat demeure donc bien ouvert.

 

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37 jours de plus à vivre pour les Québécois

Le Québec vient de faire grimper une statistique qui en réjouira plus d’un, et qui en fera sourire bien d’autres.

C’est que selon des informations rapportées par La Presse, l’année 2012 a vu l’espérance de vie des Québécois bondir de près de 37 jours, un chiffre minime, mais qui démontre à tout le moins une certaine progression.

L’espérance de vie, en moyenne, des femmes québécoises demeure donc à 83,8 ans, alors que celle des hommes approche doucement de la barre des 80 ans, se situant à 79,8.

Ces statistiques confirment que la longévité québécoise n’a rien à envier à celles des autres peuples dans le monde, s’avérant l’une des meilleures.

C’est ce qui ressort du bulletin publié par l’Institut de la statistique du Québec, intitulé Coup d’œil sociodémographique, qui remarque toutefois une hausse des décès. Cette statistique serait normale en vertu de la hausse de la population, et du vieillissement global de celle-ci.

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Le système immunitaire des femmes vieillit moins rapidement que celui des hommes

Le Daily Mail rapporte une nouvelle étude qui explique partiellement la longévité des femmes, qui vivent plus longtemps que leurs congénères masculins.

On estime, en moyenne, l’espérance de vie des femmes à environ 82 ans, pour seulement 79 ans chez les hommes.

Cette différence de quelques années s’expliquerait notamment par le système immunitaire, plus résistant au temps chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, les maladies mortelles sont plus à risque de frapper les hommes qui prennent de l’âge que les femmes, ou à tout le moins plus tôt, croient les chercheurs japonais auteurs de l’étude.

D’autre part, il existe des cellules défensives qui se bonifient avec l’âge pour assurer le maintien de la protection de l’organisme, mais encore une fois, le phénomène serait plus efficace chez la femme.

De bonnes nouvelles pour la gent féminine, qui doit subir au cours de la vie sa part d’ennuis que les hommes n’ont pas à craindre.