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Nouvel espoir dans le traitement de l’épilepsie

L’épilepsie n’est pas qu’un moindre mal et change radicalement la vie de la plupart des gens qui en souffrent.

Le problème en ce moment, selon Santé Log, c’est que pas moins de 40 % des patients qui en souffrent ne répondent pas aux traitements et aux médicaments offerts.

Des patients attendent donc un miracle, qui pourrait bien arriver sous la forme d’injection de cellules cérébrales. C’est la nouvelle technique à l’essai du côté de l’Université de Californie, qui publie une étude sur le sujet.

Un traitement futuriste mais bien réel, assurent les spécialistes en place, qui seraient parvenus à réaliser l’exploit sur des souris.

Le bilan de ces premiers essais, publiés notamment dans la revue Nature Neuroscience, fait état d’un bon pourcentage de réussite sur les rongeurs, alors que la transplantation de cellules spécifiques au cerveau permet bel et bien l’inhibition de certains processus liés à l’épilepsie.

On parle d’un bel « espoir » du côté des chercheurs de la UCLA, un mot qui sonne comme de la musique aux oreilles des patients en attente d’une solution viable.

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Un traitement expérimental du cancer ovarien qui donne de l’espoir

On rapporte, notamment du côté de The National Library of Medicine, qu’un nouveau traitement expérimental du cancer des ovaires donne de l’espoir aux spécialistes qui s’y affairent.

Sous la forme d’un simple vaccin, le traitement aurait permis à une patiente en stade avancé d’atteindre une rémission complète, sans l’aide d’aucune autre forme de traitement ou de médication.

Ce succès viendrait donc clore la première phase d’essais cliniques du nouveau vaccin, et ces conclusions seront déposées lors de la rencontre annuelle des spécialistes de l’American Association for Cancer Research, samedi prochain (13 avril).

Bien que le cancer ovarien ne fasse pas énormément de victimes, selon ce que l’on apprend, il n’en demeure pas moins qu’il est plus difficile à détecter. Trop de femmes, parmi le 1,8 % qui seront diagnostiquées d’un cancer des ovaires, le sauront très, ou trop, tard…

Encore une fois, le traitement se base sur des théories similaires retrouvées dans d’autres essais effectués par d’autres spécialistes, à savoir que chaque tumeur possède sa propre empreinte, et qu’elle doit donc être ciblée par un traitement qui la vise « personnellement ».

Bien que le cancer soit encore une source d’inquiétudes et trône parmi plusieurs palmarès peu enviables, il faut avouer que plusieurs nouvelles récentes permettent d’être optimiste et d’entrevoir des traitements viables d’ici peu.

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Espoir pour le combat contre les tumeurs cérébrales chez l’enfant

Le Medical New Today publie qu’une étude conjointe entre l’Hôpital général de Harvard et l’équipe du Dr. Peter Carmeliet du VIB-Ku Leuven a démontré que le blocage du facteur de croissance placentaire enrayerait la formation de métastases de ce cancer.

Cette technique étudiée sur des souris a démontré une réduction des métastases ainsi que le ralentissement de la croissance des tumeurs, rallongeant ainsi leur espérance de vie.

L’importance clinique du blocage de croissance placentaire a aussi été confirmée auprès des patients atteints de médulloblastome. Le traitement actuel pour ce type de cancer commun chez les enfants consiste à un retrait chirurgical partiel de la tumeur, suivit de radiothérapie et de chimiothérapie.

Malheureusement, il s’agit de traitements très handicapants, qui peuvent aller jusqu’à créer des dommages permanents au cerveau. Cette découverte majeure ouvre donc la voie à un nouveau traitement causant moins d’effets secondaires, tant pour les patients déjà aux prises avec des dommages post-traitement que ceux pour qui la thérapie actuelle n’a pas été concluante.

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Découvrez la molécule TIC 10

Santé Log nous apprend l’existence d’une molécule qui s’avère une alliée de taille dans la lutte au cancer, selon des recherches publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

Appelée TIC 10, cette molécule « pousserait les cellules cancéreuses au suicide », une image dramatique qui explique bien ses méthodes de fonctionnement. Cette molécule TIC 10 favoriserait la création de la protéine baptisée Trail, qui lutte contre les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la protéine Trailperd de son efficacité lorsque le cancer gagne du terrain. Il est donc primordial de lui redonner les outils afin qu’elle poursuive son combat tout au long de la terrible maladie.

C’est là qu’intervient la fameuseTIC 10, qui stimule les facultés et le rôle joué par la protéine. D’ailleurs, l’appellation « TIC » signifie « TRAIL-Inducing Compound ».

Le processus a été étudié sur des souris, et dans plusieurs cas, celui-ci s’est avéré efficace pour contrer les cellules cancéreuses, et ce, en moins de trois semaines.

D’autres recherches sur des rongeurs sont prévues avant de commencer les essais, cliniques, mais il s’agit d’une autre percée porteuse d’espoir.

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Vers un traitement de la sclérose en plaques grâce à la testostérone?

Santé Log rapporte des conclusions dévoilées par des chercheurs de Strasbourg, en France, qui indiquent qu’un traitement de la sclérose en plaques est envisageable.

Ce traitement serait basé sur une utilisation de la testostérone, apprend-on, qui permet de régénérer des cellules qui créent un phénomène appelé myélinisation, qui mène à des cas de sclérose en plaques lorsqu’inefficace.

Ce phénomène se définit par un système protecteur des fibres nerveuses et du système nerveux central. Lorsque ce système est endommagé, la porte s’ouvre pour les maladies dégénératives et immobilisantes.

Il n’existe encore, hélas, aucun traitement pour contrer ou traiter la sclérose en plaques, dont souffrent près de trois millions de personnes dans le monde, selon les estimations.

Cela pourrait bientôt changer, car selon ces conclusions publiées dans la plus récente édition du magazine Brain, les réactions observées chez des souris chez qui on a tenté ce genre de traitement (par testostérone) ont été positives.

Les rongeurs sont parvenus à régénérer les cellules clés qui permettent la myélinisation, une première dans le domaine.

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Espoir majeur dans le traitement de la maladie d’Alzheimer

Santelog.com rapporte que des chercheurs des NIH (National Institutes of Health) affirment avoir réussi à inverser le processus de la maladie d’Alzheimer chez des souris, pavant ainsi la voie à de nouvelles possibilités de traitement.

C’est toute une nouvelle que cette percée, alors que la maladie d’Alzheimer fait encore et toujours des ravages partout sur la planète.

Les chercheurs auraient utilisé une molécule du nom de TFP5 pour bloquer le signal cérébral qui poserait problème dans les cas de cette maladie, ce qui aurait eu pour effet d’inverser les symptômes communs et de rétablir la mémoire.

Le tout est d’autant plus incroyable que les spécialistes parlent maintenant d’essais cliniques à court terme, c’est-à-dire des tests sur des patients humains.

On ne rapporte pas, ou très peu, d’effets secondaires sur les sujets rongeurs, et on souhaite bien entendu que le modèle soit identique sur l’être humain.

Il s’agit d’un espoir majeur pour toute la population, mais surtout pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie et ceux qui les entourent.

On attend maintenant avec impatience la suite des choses.

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L’ONU croit qu’il est possible d’enrayer le SIDA

C’est toute une déclaration que fait l’Organisation des Nations Unies (ONU), alors qu’elle affirme qu’il est « faisable » d’enrayer la problématique du SIDA à travers le monde.

Des chiffres récents rapportés par www.nlm.nih.gov tendent à donner raison à l’ONU, puisque l’on constate une baisse de nouveaux cas enregistrés partout sur la planète.

Si le VIH et le SIDA sont encore loin de disparaitre, on peut conclure en ce moment à une fin pour l’effet pandémique du virus.

Les Nations Unies expliquent cette excellente nouvelle par le fait que de nouveaux traitements plus efficaces sont maintenant accessibles dans presque toutes les régions du monde. Ces traitements permettent entre autres de ralentir la progression de la maladie et de prévenir son développement et sa transmission.

« La communauté internationale s’est embarquée dans une quête historique qui a jeté les fondations d’une éventuelle fin pour l’épidémie de SIDA connue depuis au moins dix ans. Cet effort n’est plus que simplement visionnaire, c’est entièrement faisable », lance un porte-parole de l’organisation.

Les chiffres concernant le SIDA sont en baisse depuis cinq ans, notamment au niveau des décès (2,3 millions en 2005 comparativement à 1,7 million en 2011).

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Un mécanisme de défense naturel pour combattre le SIDA

Les scientifiques étudient et tentent de mieux comprendre pourquoi certains patients semblent être naturellement mieux équipés pour combattre les effets du virus du SIDA, explique nlm.nih.gov.

Certains patients semblent en effet posséder un mécanisme naturel qui combat le VIH, ce qui permettrait aux chercheurs de développer un vaccin efficace.

Pour la plupart des gens, un diagnostic de VIH non traité signifie presque à coup sûr une progression vers le SIDA. Cependant, il appert qu’un patient sur 300, en moyenne, éviterait la progression du VIH naturellement, sans traitement. Ces personnes sont appelées par la communauté scientifique des « contrôleurs élites » (elite controllers).

Ces derniers produiraient une cellule-tueuse qui attaquerait deux ou trois régions du virus. « En se concentrant sur ces régions, le système immunitaire contrôle le virus », déclare le professeur de pathologie David Watkins, de l’University of Miami Miller School of Medicine.

Il poursuit : « Comprendre ce mécanisme pourrait jeter de la lumière sur les manières de développer un vaccin efficace qui enrayerait définitivement la crise mondiale reliée au VIH et SIDA ».

De quoi donner de l’espoir. La prochaine étape consiste à cerner les raisons pour lesquelles ces cellules-tueuses sont si efficaces.

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Un espoir contre la dengue

La dengue menace près de 3 milliards de personnes dans le monde. La maladie, transmise par un moustique, ne peut être traitée efficacement encore, mais des travaux menés en Thaïlande sèment un nouvel espoir contre la maladie.
 
Un vaccin offrirait une protection contre deux des trois sérotypes du virus et serait sécuritaire.
 
« La complexité de l’infection par le virus de la dengue a entravé la recherche de vaccins pendant des décennies. C’est la première fois en 50 ans de recherche que nous avons un vaccin qui protège un grand groupe d’enfants de la maladie. Mieux encore, le vaccin répond aux contraintes les plus exigeantes de sécurité », déclare le Dr Scott Halstead à la revue The Lancet.
 
Pour le moment, seul le sérotype 2 échappe à la vaccination, et d’autres recherches sont en cours pour comprendre pourquoi.
 
Chaque année, 220 millions de personnes souffrent de cette infection, et deux millions d’enfants développent une forme sévère de la maladie.
 
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Nouvel espoir de traitement de la maladie d’Alzheimer

Lors de la Conférence internationale de l’Alzheimer’s Association, des chercheurs ont présenté leurs premiers résultats, forts prometteurs, sur les effets des immunoglobulines intraveineuses (IgIV) sur la maladie d’Alzheimer.
 
Les IgIV auraient la capacité de s’attaquer aux plaques de protéines amyloïdes dans le cerveau des patients atteints d’Alzheimer.
 
L’étude a été faite sur trois ans en tout. Aux deux semaines, 24 patients recevaient des doses de IgIV, alors que d’autres avaient un placebo. Avec les IgIV, on a pu conserver totalement les capacités cognitives des patients.
 
« Le traitement est censé effacer les protéines toxiques appelées bêta-amyloïde dans le cerveau et permettre aux neurones de fonctionner à nouveau correctement », mentionne la Dre Anne Corbett.
 
La recherche n’en est qu’aux premiers stades, mais pour le moment, le tout semble prometteur. Si les résultats se confirment après les nombreux essais cliniques, on pourrait voir apparaître ce traitement d’ici dix ans.
 
Les IgIV sont fabriquées à partir d’anticorps de dons de sang et sont utilisées pour combattre des formes rares d’infections graves ou certaines maladies auto-immunes. Elles inciteraient le système immunitaire à s’attaquer aux plaques qui s’accumulent dans le cerveau des patients.