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Un nouveau traitement pour les cicatrices

Les victimes d’accidents viennent de voir naître un espoir avec cette découverte, dont les résultats sont publiés dans le FASEB Journal.
 
Un nouveau traitement permettrait de réduire considérablement la taille des cicatrices, en plus d’améliorer l’aspect de la peau autour.
 
Ce traitement est un antagoniste des récepteurs de l’adénosine qui, appliqué localement, réduit l’apparence des cicatrices.
 
Les cicatrices peuvent non seulement affecter l’aspect de la peau, mais peuvent grandement affecter la qualité de vie des victimes. Elles sont parfois très importantes et peuvent même défigurer dans certains cas.
 
Cette découverte des chercheurs de l’Université de New York représente donc un grand espoir qui pourra remonter le moral de plusieurs.
 
« Nous espérons que nos résultats conduiront à de nouveaux agents qui vont contribuer à diminuer la cicatrisation et la défiguration liée aux brûlures, plaies, ou même à certaines maladies qui abîment la peau. Enfin, à un meilleur confort de vie », explique le Dr Bruce N. Cronstein.
 
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Nouvel espoir pour gérer les acouphènes

Les acouphènes sont caractérisés par un sifflement ou un bourdonnement constant dans une ou les deux oreilles. Une personne sur cinq en développera. Au quotidien, la situation devient pénible, d’autant plus qu’il n’y a aucun traitement possible pour en guérir.
 
La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) pourrait toutefois avoir des effets réellement bénéfiques sur la gravité des acouphènes, révèle une étude néerlandaise publiée dans The Lancet.
 
492 personnes ont été suivies pendant 12 mois. 247 ont reçu les soins courants comme le contrôle audiologique, des conseils ou une prothèse auditive. 245 autres personnes ont eu ces mêmes traitements, en plus de suivre des séances de thérapie cognitiovo-comportementale avec un psychologue, des séances de relaxation et de gestion du stress.
 
Après 12 mois, on a constaté une plus grande amélioration de la santé générale et de la qualité de vie chez les patients ayant suivi la TCC. Le seul problème est que beaucoup de patients abandonnent la thérapie dans les 12 mois.
 
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Nouvel espoir contre la rétinite pigmentaire

Une équipe de l’Université d’Oxford fait naître un tout nouvel espoir contre la rétinite pigmentaire, une maladie héréditaire rare et incurable qui mène à la cécité. Cette maladie se caractérise par la détérioration progressive des cellules qui détectent la lumière.
 
Grâce à des implants électroniques créés par Retina Implant AG, en Allemagne, deux hommes britanniques de 54 et 60 ans souffrant d’une rétinite pigmentaire ont été en mesure de détecter à nouveau la lumière et retrouver graduellement leur vision, rapporte le NHS.
 
Pour le moment, seuls ces deux patients ont pu tester cette nouvelle méthode, mais prochainement, 10 autres recevront l’implant électronique.
 
Cet implant contient une puce contenant 1500 minuscules détecteurs de lumière électroniques. Lors de l’intervention chirurgicale, on l’installe sous la rétine à l’arrière de l’œil, permettant au nerf optique de capter les signaux électroniques de la puce.
 
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Un vaccin contre le cancer du cerveau pédiatrique?

Encore aujourd’hui, il y a peu d’espoir pour les enfants atteints de tumeurs cérébrales, alors que la seule option efficace est souvent la radiothérapie.

Or, une nouvelle alternative pourrait bien faire briller une lumière au bout du tunnel, ont expliqué des chercheurs à la réunion annuelle de l’American Association for Cancer Research (AACR) à Chicago récemment.

En effet, le Dr Ian Pollack de l’Université de Pittsburgh, auteur de l’étude dont les données et les conclusions doivent être encore considérées comme provisoires, a démontré qu’un vaccin pouvait être bien toléré et avoir des réponses favorables, voire surprenantes, sur le système immunitaire des petits atteints d’un cancer du cerveau.

La majorité des 27 enfants participants à l’étude ont bien répondu au vaccin. Par voie de communiqué, le spécialiste explique : « Certains des enfants ont connu ce qu’on appelle une “pseudoprogression” après avoir reçu le vaccin, ce qui signifie que la tumeur a progressé temporairement et les symptômes de la maladie se sont aggravés, mais plus tard, la tumeur est devenue plus petite et la maladie s’est stabilisée ».

Devant cette première étude de ce genre, qui a permis de voir un rétrécissement des tumeurs dangereuses dans le cerveau de plusieurs petits, les chercheurs sont épatés et très encouragés par les résultats.

Bien que pour le moment, il soit impossible de savoir si ce vaccin pourra améliorer la qualité de vie et le taux de survie global, il devient tout de même un nouvel espoir considérable dans le combat de la maladie.

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Un espoir pour traiter l’anorexie

La revue Nature révèle qu’une équipe de l’Université de Washington a découvert, sur des souris, les circuits du cerveau qui peuvent causer la perte de l’appétit.
 
Cela ouvre la voie à de nouvelles thérapies possibles pour les troubles alimentaires, les nausées, les aversions alimentaires et l’anorexie mentale.
 
Une perte d’appétit peut être seulement passagère, mais elle peut aussi être continue et conduire à une malnutrition.
 
Les chercheurs se sont concentrés sur ce qu’ils appellent le noyau parabrachial dans le cerveau, qui joue un rôle dans la prise alimentaire. Les signaux transformés par ce noyau peuvent par exemple causer les nausées.
 
On connaît maintenant les types de cellules et l’emplacement de celles-ci dans le cerveau. Elles envoient des signaux et étouffent l’appétit.
 
Il existe toutefois un moyen de bloquer ces cellules afin de restaurer l’appétit normal d’une personne. Cela pourra donc aider à traiter certains troubles alimentaires.
 
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Nouvel espoir dans le traitement du diabète de type 1

Une nouvelle approche permettrait aux patients qui souffrent de diabète de type 1 de fabriquer leurs propres cellules productrices d’insuline.
 
Depuis des années déjà, les scientifiques tentent de trouver un moyen de remplacer les cellules productrices d’insuline perdues dans le diabète de type 1. Ils y seraient peut-être parvenus.
 
Jusqu’ici, la seule technique qui semblait idéale était avec des cellules souches embryonnaires. Les chercheurs avaient réussi à en créer des productrices d’insuline en laboratoire, mais elles n’étaient pas adaptées à une transplantation, car elles ne libéraient pas d’insuline selon les niveaux de glucose.
 
Selon le Naure Genetics, une équipe de l’Université de Columbia aurait réussi l’exploit avec des cellules progénitrices dans l’intestin de souris, qui ont pu fabriquer des cellules productrices d’insuline.
 
« Ces différentes observations nous permettent de penser qu’inciter l’intestin d’un patient à fabriquer des cellules productrices d’insuline serait une meilleure façon de traiter le diabète que les thérapies basées sur les greffes de cellules souches embryonnaires », dit le Dr Domenico Accili.
 
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Une importante avancée médicale au Royaume-Uni

Des équipes de l’Institut Wellcome Trust Sanger et de l’Université de Cambridge ont utilisé ensemble, pour la première fois, deux grands espoirs thérapeutiques de la médecine moderne.
 
Ils ont utilisé la technique des cellules souches et la thérapie génique.
 
En réunissant les deux méthodes, ils ont réussi à corriger des erreurs génétiques à l’origine de la cirrhose. Ils ont utilisé les cellules souches pluripotentes induites que l’on obtient en reprogrammant des cellules adultes d’une personne pour les faire devenir des cellules souches.
 
Jusqu’à présent, les cellules souches d’une personne atteinte d’une maladie génétique ne peuvent être réutilisées, car elles possèdent également le code génétique incorrect.
 
Avec cette découverte, il serait possible de traiter ces personnes avec leurs propres cellules.
 
Bien entendu, il reste de nombreux tests à effectuer, mais il s’agit d’une avancée importante.
 
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Nouvel espoir pour le cancer de l’ovaire

Un nouveau programme pancanadien de diagnostic et de traitement du cancer de l’ovaire sera prochainement mis sur pied.
 
35 chercheurs seront regroupés pour mieux comprendre la maladie, mais surtout mieux dépister les nouveaux biomarqueurs afin de poser un diagnostic précoce et offrir des traitements mieux ciblés à chaque patiente.
 
L’Hôpital Notre-Dame de Montréal, l’Institut de recherche Terry Fox et le Partenariat canadien contre le cancer ont annoncé qu’ils investiraient 5 millions de dollars au cours des cinq prochaines années dans ce nouveau programme.
 
En ce moment, le cancer de l’ovaire est la cinquième cause de décès par cancer au pays. Il touche 2500 Canadiennes chaque année et malheureusement, 1700 en décèdent annuellement.
 
Ce type de cancer montre très peu de symptômes et souvent, lorsque le diagnostic est posé, la maladie est déjà à un stade avancé. Voilà pourquoi il est important de créer de meilleurs moyens de dépister la maladie.
 
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Un nouvel espoir contre la dengue

Des chercheurs australiens viennent de faire une percée dans la lutte contre la dengue. Il s’agit d’une fièvre tropicale qui cause de la forte fièvre, des maux de tête sévères et des douleurs musculaires et articulaires. Elle peut même entraîner la mort.
 
La dengue est transmise par des moustiques. Jusqu’à présent, il n’existe aucun traitement ni vaccin pour contrer cette maladie qui touche 50 millions de personnes par année.
 
Selon la revue Nature, les moustiques infectés par une certaine bactérie ne peuvent transmettre la maladie. Les chercheurs ont découvert que les femelles résistantes qui s’accouplent avec des mâles résistants ou ordinaires ont des bébés résistants. Toutefois, si des femelles ordinaires s’accouplent avec des mâles résistants, leurs rejetons meurent.
 
Ainsi, il serait possible de réduire le nombre de moustiques capables d’infecter les humains.
 
140 000 moustiques résistants ont été relâchés dans deux communautés isolées du nord-est de l’Australie. Maintenant, les scientifiques doivent savoir si leur stratégie s’avère efficace. À suivre…
 
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Un test de sang pour dépister le cancer de l’ovaire

La revue Cancer Epidemiology Biomarkers & Prevention rapporte que des chercheurs américains ont découvert une molécule sanguine qui pourrait permettre le dépistage précoce du cancer de l’ovaire.

Ce type de cancer est surnommé le « tueur silencieux » car il ne présente pas de symptôme avant d’être à un stade avancé, ce qui fait que le taux de mortalité est de 71 %.

Jusqu’à présent, il n’existait aucun moyen pour les médecins de diagnostiquer la maladie à un stade précoce. Mais la découverte de ce biomarqueur pourrait bientôt changer les choses, en permettant la création d’un simple test sanguin pouvant détecter la présence de tumeur cancéreuse de l’ovaire.

Il reste encore beaucoup de travail à effectuer pour en arriver à un test sanguin qui sera assez fiable pour être utilisé, mais ceci représente tout de même un grand espoir pour des milliers des femmes qui pourront éventuellement être sauvées grâce à une telle avancée médicale.