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Un vent d’espoir pour la maladie d’Alzheimer

La recherche pour la maladie d’Alzheimer et autres pathologies neurologiques fait face à un grand obstacle chaque fois. Aucun médicament n’a pu être administré directement dans le cerveau, car aucun n’a pu traverser la barrière hématocéphalique qui protège le cerveau contre les toxines.
 
Un vent d’espoir vient toutefois de se lever grâce à des chercheurs de l’Université d’Oxford. Selon le Nature Biotechnology, ils sont parvenus à franchir cette barrière en administrant de minuscules particules dégagées naturellement par les cellules. On les appelle les exosomes.
 
Injectées dans le sang, elles ont franchi la barrière de protection chez des souris. C’est donc la toute première fois qu’un médicament a pu être administré directement dans le cerveau et éteindre le gène lié à la maladie d’Alzheimer.
 
Plusieurs mesures de sécurité devront être prises et de nombreuses autres recherches seront faites avant de tester cette méthode sur l’humain. Si les résultats sont aussi prometteurs, cela permettrait de traiter des maladies comme l’Alzheimer, le Parkinson ou la dystrophie musculaire.
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Un nouvel espoir contre le cancer de la prostate

Le magazine Science rapporte les résultats de travaux effectués à l’Université du Michigan sous la direction de la chercheuse Bushra Ateeq. Apparemment, le médicament connu sous le nom d’Erbitux au Canada, approuvé par Santé Canada pour vaincre les cancers colorectaux, de la tête et du cou, serait aussi efficace contre le cancer de la prostate.
 
Les recherches ont été faites sur des souris, mais démontrent que ce médicament agit sur la sécrétion de la protéine présente dans certains cancers de la prostate des plus agressifs.
 
Il bloque la protéine SPINK1, ce qui freine la croissance tumorale chez la souris. Des tests seront effectués sur les humains, mais les chercheurs croient que les résultats seront similaires.
 
L’avantage est que cette protéine, contrairement à d’autres, se retrouve sur l’extérieur des cellules, ce qui facilite donc son traitement puisqu’il s’agit d’une cible facile pour les anticorps.
 
Seulement cette année au Canada, on diagnostiquera 24 600 nouveaux cas de cancer de la prostate et 4 300 hommes en mourront malheureusement.
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Nouvel espoir contre le cancer de la prostate

La lutte contre le cancer de la prostate vient de faire une avancée importante.
 
Des oncologues européens de l’Institut Gustave Roussy, en France, ont découvert un nouveau traitement oral qui peut prolonger la vie des hommes ayant un cancer de la prostate.
 
En associant deux molécules, celles-ci bloqueraient la fabrication d’hormones masculines androgènes produites par les testicules, les glandes surrénales et les cellules cancéreuses.
 
Après avoir fait des essais sur 1 200 patients, ce nouveau traitement réduirait de 36 % les risques de décès chez les patients avec un cancer métastatique après un ou deux traitements de chimiothérapie. De plus, ce médicament aurait peu d’effets secondaires.
 
Au cours de sa vie, un homme sur sept recevra un diagnostic de cancer de la prostate et 1 sur 27 en mourra.
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Les ovaires artificiels sèment l’espoir

Des scientifiques sont parvenus à créer les premiers ovaires artificiels qui fonctionnent. Cette découverte pourrait donc venir en aide aux femmes qui sont devenues stériles en raison de la chimiothérapie ou d’autres traitements qui ont endommagé leur système reproducteur.
 
Selon le Journal of Assisted Reproduction and Genetics, les ovaires ont été cultivés en laboratoire et créés à partir de tissus de femmes en âge de procréer.
 
Ensuite, les chercheurs y ont inséré des « œufs » pour voir si les ovaires aideraient à leur développement et, en effet, les ovaires artificiels traitent ces ovules naturellement et les aident à se développer pour ensuite les libérer dans l’utérus.
 
Les femmes qui s’apprêtent à suivre des traitements comme de la chimiothérapie et qui souhaitent avoir des enfants pourraient ainsi congeler des ovules matures qui seraient ensuite implantés dans les ovaires artificiels.
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Des cornées artificielles soulèvent de l’espoir

La Dre May Griffith d’Ottawa soulève de grands espoirs pour les personnes dont la cornée a été endommagée.
 
En association avec des chercheurs suédois, elle a tenté de restaurer la vision de dix personnes dont les cornées étaient abîmées.
 
Leur cornée a été retirée lors d’une chirurgie et remplacée par une cornée artificielle. Selon le journal Science Translational Medicine, six des dix patients déclarent avoir vu une amélioration de leur vision. Quant aux quatre autres, ils voyaient mieux avec des lentilles cornéennes.
 
Fait intéressant, neuf patients sur dix ont vu leurs nerfs et leurs cellules se régénérer complètement. « Cette étude clinique est importante, car elle montre pour la première fois qu’une cornée fabriquée artificiellement peut s’intégrer dans l’œil humain et stimuler la régénération des tissus », explique la Dre Griffith.
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De l’espoir pour ceux qui souffrent d’insuffisance cardiaque

Des chercheurs américains sont parvenus à transformer des cellules cardiaques ordinaires, comme des fibroblastes qui permettent au cœur de battre.
 
Selon la revue Cell, c’est une équipe de l’Institut Gladstone à San Francisco qui a fait cette découverte.
 
Ces cellules très spécialisées sont incapables de se régénérer et lors d’un infarctus, elles sont détruites définitivement.
 
Bien que les résultats soient encore préliminaires, les chercheurs sont parvenus à reprogrammer ces fibroblastes. Ceux-ci sont présents dans plusieurs tissus et jouent un rôle important pour réparer les lésions dues aux traumatismes.
 
Des tests ont été faits sur des souris et en quelques semaines, les fibroblastes se sont mis à se comporter comme des cellules musculaires cardiaques. Il reste maintenant à savoir si on obtiendra les mêmes résultats sur l’homme.
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Un nouvel espoir contre le cancer de la peau

Le New England Journal of Medicine nous apprend qu’une équipe de chercheurs de l’Université de la Californie du Sud a découvert qu’un anticorps augmentait le taux de survie dans les cas de cancer de la peau.
 
L’Ipilimumab, administré par intraveineuse, permet aux personnes ayant un mélanome avancé de vivre plus longtemps.
 
Deux ans après les traitements, l’équipe mentionne que 24 % des participants ayant reçu l’anticorps sont encore en vie, alors que ce taux est de 14 % chez le groupe témoin n’ayant pas reçu le traitement.
 
« C’est tout simplement la première fois qu’un essai clinique avec des patients atteints d’un mélanome avancé montre un gain de survie », mentionne la Dre Lynn Schuchter de l’Université de la Pennsylvanie qui commentait les travaux.
 
L’Ipilimumab est un anticorps généralement bien toléré, mais dans 10 à 15 % des cas, il peut malheureusement provoquer des effets secondaires importants.
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Nouvel espoir contre le cancer des ovaires

TopSanté nous apprend que la découverte d’un anticorps, la protéine AD5-10, permettrait de créer un nouveau traitement contre le cancer des ovaires.
 
Une équipe de la Faculté de médecine de Vienne a découvert que la protéine AD5-10 avait des propriétés très intéressantes et qu’elle était un anticorps efficace contre le cancer des ovaires.
 
Non seulement elle agit contre le cancer, elle augmente également la puissance des cellules ou des molécules qui combattent aussi le cancer.
 
Les cellules cancéreuses deviennent donc moins résistantes aux mécanismes de protection du corps. L’AD5-10 augmente la force des cellules naturelles et active la destruction des cellules indésirables.
 
De plus, autre avantage non négligeable, cette protéine rend les médicaments de chimiothérapie encore plus efficaces.
 
Cette découverte représente donc un espoir important pour parvenir à combattre la maladie et faire avancer les recherches en ce sens.
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Un grand espoir pour le VIH/sida

L’ASC Chemical Biology rapporte qu’un transfert du VIH/sida d’une cellule à une autre a été interrompu grâce à une molécule mise au point par une équipe en France.
 
Cette molécule affecte le récepteur DC-SIGN qui est habituellement utilisé par le virus pour se propager dans le corps.
 
L’équipe de l’Université Joseph Fourier étudie le DC-SIGN qui se trouve sur la surface des cellules. Il est celui qui est en contact avec l’extérieur et se retrouve sur l’épiderme et les muqueuses, qui sont les portes d’entrée des pathogènes dans le corps.
 
Le DC-SIGN semble être une voie prometteuse et inexplorée jusqu’à présent. Avec la mise au point de cette molécule qui a été capable d’arrêter le transfert du VIH aux autres cellules, cela représente un énorme espoir pour combattre cette maladie qui fait des millions de victimes chaque année, surtout en Afrique.
 
De plus, cette découverte pourrait aussi servir dans le traitement des infections comme l’hépatite C, la dengue, l’Ebola, le SRAS et la tuberculose.
 
Jusqu’à présent, les tests se sont avérés prometteurs in vitro. Maintenant, des essais sur des animaux devront être pratiqués. Le chemin avant son autorisation aux humains est encore long et rien ne garantit que l’on obtiendra les mêmes résultats à cette étape, même si on en garde l’espoir.
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Un véritable espoir pour le sida

Un traitement personnalisé contre le VIH/sida, développé par une équipe du Centre de recherche du Centre Hospitalier de l’Université de Montréal et du Centre universitaire de la santé McGill, vient de réussir la première phase des essais cliniques. Il s’agit donc d’un véritable espoir pour combattre la maladie.

Les docteurs Jean-Pierre Routy et Rafick-Pierre Sékaly ont créé un vaccin qui se base sur une toute nouvelle thérapie personnalisée à chacun des patients.

Chez les patients, on prélève des cellules dendritiques, les chefs d’orchestre du  système immunitaire. En éprouvette, on les met en contact avec le matériel génétique du virus propre à la personne. C’est ce qui est injecté de nouveau dans le corps humain par la suite.

Après trois injections, la réponse immunitaire augmente assez pour réduire la charge virale à son minimum.

La deuxième phase des essais cliniques, qui porte cette fois sur l’efficacité, est presque terminée.

Même si le vaccin ne sera disponible que dans quelques années, il s’agit d’un véritable espoir, plus efficace que la trithérapie, dans le combat contre cette maladie qui touche 33, 4 millions de personnes dans le monde, dont 2,1 millions ont moins de 15 ans.