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Des aliments pour contrer le reflux gastrique

Les liquides pour aider vos symptômes

Une cuillère de vinaigre de cidre dans un verre d’eau, pris avant le repas, aidera votre digestion et diminuera la douleur des reflux.

Le lait d’amandes peut être fait maison, mais il est désormais aussi sur les tablettes de l’épicerie. Il peut être consommé avant ou après avoir mangé.

Le jus d’aloe vera doit être mixé à la maison, à partir de la plante, informe Améliore ta santé. La sève de la tige doit être mélangée à de l’eau, et sa consommation diminuera les symptômes de brûlure d’estomac.

Les infusions

La réglisse, pas la friandise, mais bien l’herbe, peut servir à préparer une infusion à boire après le repas. Elle se présente sous forme d’herbe séchée, et une poignée est nécessaire pour préparer un litre d’infusion.

Clou de girofle, cardamome et gingembre. Ces épices peuvent être utilisées séparément ou ensemble. Elles ont toutes un effet apaisant sur l’estomac.

Les graines de cumin dans une tasse d’eau bouillante font une excellente tisane à boire pendant que vous mangez.

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Le gingembre et ses vertus sur la santé

Le gingembre pousse dans les climats tropicaux. Malgré son apparence de grosse racine, son arôme et sa saveur sont non seulement délicieuses, elles offrent énormément d’avantages pour la santé.

À priori, on connaît ses propriétés antinauséeuses, puisqu’il est utilisé par différentes marques de médicaments à cet effet. Mais plus encore, il aide tout le système digestif.

Il traite notamment les ulcères et les gastrites, aide à la digestion grâce à la stimulation du pancréas, et lutte contre la diarrhée et la constipation avec ses propriétés antibactériennes.

Son pouvoir anti-inflammatoire permet de soulager les douleurs articulaires, incluant l’arthrite et l’arthrose, et aide à régénérer les tissus musculaires blessés.

Les gens souffrant de fatigue chronique, de problèmes de circulation sanguine et de troubles cardiaques ont tout avantage à consommer régulièrement du gingembre. Même pendant la grippe ou le rhume, il devient un allié précieux.

Préférez le gingembre frais, râpé dans des soupes, ragoûts, plats orientaux, desserts et smoothies. Sinon, une bonne infusion est recommandée.

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Du Botox pour traiter le cancer?

Depuis longtemps, les scientifiques observent chez l’humain et les souris que d’innombrables connexions nerveuses sont présentent au niveau des cellules tumorales. Le Botox s’avère efficace pour bloquer les signes nerveux en lien avec la croissance de ces tumeurs.

Des chercheurs du Herbert Irving Comprehensive Cancer Center de Columbia ont voulu s’attarder sur le rôle crucial qu’avaient les liens nerveux dans l’apparition et la croissance d’un cancer. Ils se sont notamment attardés au cas du cancer de l’estomac qualifié de « tueur silencieux », explique-t-on dans Science World Report.

Il s’est avéré qu’en utilisant du Botox sur des souris atteintes de divers cancers de l’estomac, ils ont réussi à bloquer les nerfs qui cherchaient à se connecter aux tumeurs. Cette procédure appelée « vagotomie » inhibe les nerfs, ce qui les empêche d’envoyer des signaux aux cellules souches du cancer de l’estomac. 

Le Botox peut donc ralentir de façon considérable la croissance des tumeurs et augmenter le taux de survie. Les chercheurs espèrent que ce traitement pourra servir dans d’autres cas, entre autres où les tumeurs sont à un stade plus avancé.

Les résultats sont parus dans la revue Science Translational Medicine.

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La chirurgie bariatrique pourrait être aussi bénéfique pour le foie

La fameuse chirurgie bariatrique, qui fait beaucoup parler d’elle depuis quelques années, se retrouve en vedette dans une nouvelle étude qui vante ses mérites pour la santé du foie également.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, provient de l’Université de Floride du Sud et s’attarde aux dossiers de 152 patients considérés comme obèses, avant et après la sérieuse opération.

Les deuxièmes tests effectués 29 mois après la chirurgie bariatrique chez ces patients démontrent que le foie bénéficie grandement de la procédure. Notamment, on remarque une baisse de l’inflammation du foie, parfois jusqu’à 75 %. Les dépôts graisseux qui se retrouvent sur le foie seraient également diminués de 70 % chez plusieurs de ces patients.

« Nous sommes au cœur d’une épidémie d’obésité qui peut conduire en plus à une épidémie de maladies non alcooliques du foie. Si la chirurgie bariatrique est un outil pour la lutte contre l’obésité, elle pourrait également aider à traiter la maladie hépatique généralisée », déclare le Dr Murr, auteur de l’étude.

Les conclusions de l’équipe floridienne ont été dévoilées lors de la Digestive Disease Week.

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L’utilisation à long terme d’antiacides liée à une carence en B12

Les gens qui ont recours aux antiacides pour contrer leurs maux d’estomac pourraient faire face à une carence en vitamine B12, selon ce que rapporte MedicalNewsToday.

C’est ce que révèle une recherche sur l’utilisation à long terme de ces produits vendus pour contrer les maux liés au reflux d’acidité, un phénomène somme toute assez répandu. Les personnes qui utilisent les antiacides depuis une certaine période de temps devraient donc être vigilantes à cette possible carence en B12, une vitamine nécessaire au maintien et au bon fonctionnement du système nerveux (cerveau, nerfs, etc.).

« Une déficience en B12 est relativement commune, spécialement chez les adultes plus vieux. Elle comprend cependant plusieurs complications médicales potentielles, si elle s’avère non diagnostiquée », expliquent les chercheurs californiens en tête de cette recherche.

Les consommateurs d’antiacides depuis plus de deux ans devraient donc considérer la prise de suppléments de vitamine B12, mais comme pour toute prise de suppléments, non sans avoir d’abord consulté un médecin.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine JAMA.

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Les jus de fruits et les probiotiques seraient un match parfait

Les probiotiques ont pris le monde de l’alimentation et nos assiettes d’assaut au cours des deux dernières années, devenant une tendance incontournable en nutrition.

Il faut dire que les troubles de santé bénéficiant des vertus des probiotiques, comme les problèmes digestifs, sont en hausse en Amérique du Nord, selon les statistiques.

Les probiotiques nous sont souvent offerts au sein de produits laitiers comme les yogourts ou les laits enrichis, mais une nouvelle combinaison pourrait s’avérer le match parfait, selon MedicalNewsToday.

Selon une étude de l’Institute of Food Technologists (IFT), initialement publiée dans le Journal of Food Science, ce sont les jus de fruits qui seraient les meilleurs « véhicules » pour les probiotiques et qui permettraient de conserver massivement les effets bénéfiques de ceux-ci.

Non seulement l’ajout de probiotiques à certains jus de fruits permettrait un effet maximal, mais deux autres avantages majeurs seraient alors vérifiables.

D’abord, cela inciterait probablement une plus grande proportion de la population à consommer des jus de fruits (un avantage tant que ceux-ci en soient de vrais, et non des produits concentrés).

De plus, la manœuvre permettrait aux gens qui souffrent d’intolérance au lactose et aux produits laitiers, un phénomène également en hausse, de profiter des vertus des probiotiques.

Les jus de fruits véritables sont déjà reconnus pour leurs apports en vitamines, en antioxydants, en minéraux et en fibres.

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L’opération bariatrique pour enfant obèse, une intervention discutable

Selon le Dr Aaron S. Kelly, de l’Université Minnesota Medical School, « l’obésité sévère » représente désormais un risque qui atteint 6 % des enfants et adolescents. Ce qui l’inquiète, c’est que les solutions efficaces sont très limitées.

En fait, Kelly et ses collègues affirment que même après l’intervention chirurgicale au niveau de l’estomac ou des intestins, « ils demeurent toujours très obèses, sans amélioration notable du profil métabolique et cardiovasculaire ».

Malheureusement, les études relatives à la médication pour aider les enfants aux prises avec de l’obésité morbide sont encore embryonnaires. Notamment, deux nouveaux médicaments ont été mis sur le marché l’an dernier sans qu’aucune recherche sur la compatibilité avec les enfants ait été présentée. Il s’agit du Qsymia et du Belviq.

Dr Valentin Fuster, directeur du Mount Sinai Heart au Mount Sinai Medical Center de New York, abonde dans le même sens. Il a confié à MedPage Today qu’avant d’intervenir de façon chirurgicale, il faut se poser les bonnes questions. L’obésité morbide ne met pas seulement en cause le fait de trop manger. Plusieurs facteurs tels que la génétique, l’environnement et le comportement sont à considérer : « Dans la situation actuelle, il vaut mieux identifier plus tôt les enfants à risque de devenir obèses ».

Ainsi, si votre enfant a tendance à prendre du poids plus que la moyenne, n’hésitez pas à consulter votre pédiatre plutôt que d’en arriver à l’inévitable.

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Moins manger grâce à un nouveau type d’intervention

The National Library of Medicine rapporte qu’une nouvelle technique développée dans le cadre de la lutte à l’obésité permettrait à certaines personnes de manger moins ou d’avoir moins faim, selon les conclusions des chercheurs de la New York Cardiovascular Research basés à New York.

Il s’agit d’une intervention peu invasive, mais qui aurait déjà fait ses preuves lors des premiers essais cliniques. Cinq patients ont pour l’instant testé l’opération, et ils ont en grande majorité perdu du poids, parfois jusqu’à 45 livres.

La technique propose de bloquer une artère située dans l’estomac, empêchant ainsi un certain apport sanguin vers l’organe, un processus qui produit une hormone que l’on dit « responsable » de la faim.

Moins de sensation de faim, donc, pour les patients qui subiraient l’intervention et qui pourraient ainsi avoir un meilleur contrôle sur ce qu’ils mangent.

Présenté lors du congrès annuel de l’American College of Cardiology, ce rapport soulève l’optimisme de plusieurs chercheurs, mais il faudra attendre des tests plus poussés pour parler d’une véritable percée.

« Si des études plus larges et aléatoires démontrent des résultats similaires, ceci pourrait s’avérer une méthode alternative simple à la chirurgie de l’estomac que l’on connait en ce moment. »

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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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Les amateurs de thé vert mieux protégés contre le cancer

Les amateurs de thé vert seraient mieux protégés contre le cancer, affirme une étude reprise par www.nlm.nih.gov.

Ce serait particulièrement vrai pour les femmes plus âgées qui en boivent régulièrement. Les risques pour cette tranche de la population, en consommant du thé vert, diminueraient considérablement en ce qui a trait aux cancers du côlon, de l’estomac et de la gorge

Les recherches, effectuées sur des femmes originaires de la Chine, démontrent que celles qui boivent du thé ont 14 % moins de chances de développer une de ces maladies, contrairement à celles qui n’en boivent pas.

Si les résultats semblent évidents, les chercheurs tiennent à mettre un bémol sur la question, puisque selon eux, les gens qui sont amateurs de thé sont aussi généralement plus conscients de leur santé en général. D’autres facteurs sont donc peut-être à considérer.

Malgré tout, selon le Dr Wei Zheng, chef du département d’épidémiologie de la Vanderbilt University School of Medicine de Nashville, les vertus du thé en matière de prévention du cancer sont tout de même prouvées et claires.

Il est donc suggéré d’intégrer cette boisson à notre régime alimentaire, même si l’effet de causalité n’est pas démontré entièrement.