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Des pressions pour réduire le prix des passeports canadiens et américains

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’instauration du passeport obligatoire entre le Canada et les États-Unis n’aura pas été très bénéfique pour l’économie touristique des deux pays, principalement pour les destinations situées à quelques centaines de kilomètres d’un côté de la frontière ou de l’autre.

La Midwest State Legislators Conference qui s’est tenue à Toronto aujourd’hui aura été unanime dans ce sens, la réduction des coûts du passeport, voire son abolition, permettrait aux deux pays de raviver le tourisme de l’un comme de l’autre, en profitant du mouvement accru par la frontière commune.

L’un de ceux qui pilotent d’ailleurs ce dossier visant à encourager la baisse du prix du passeport, le premier ministre du Manitoba, Jim Maloway, croit que les gouvernements canadien et américain devraient baisser de façon considérable le coût du renouvellement ou de l’obtention d’un passeport.

Dans un communiqué de presse qu’il a émis en marge de cette conférence, Maloway explique qu’il en coûte près de 500 $ pour une famille américaine de 4 personnes pour leur passeport, et que ce montant est de loin trop cher.

« Nous aimerions voir les familles américaines utiliser leurs économies sur les frais de passeports pour payer leurs vacances au Canada. »

Deux millions d’Américains de moins sont venus au Canada durant les deux dernières années, tandis que seulement un tiers des habitants du pays de l’Oncle Sam possèdent leur passeport.

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Il en coûtera 14 dollars de plus pour visiter les États-Unis

Une nouvelle taxe d’entrée instaurée aux États-Unis, à compter du 8 septembre prochain, obligera les ressortissants de 36 pays dans le monde à débourser 14 $ pour traverser la frontière.

Ces 36 pays, parmi l’on compte notamment la France, la Belgique, le Royaume-Uni et l’Espagne, ont tous en commun l’exemption du visa, la plupart au sein de l’Union européenne.

Les frais de 14 $ seront perçus, lorsque la personne de ces pays voudra se rendre au pays de l’Oncle Sam, et elle devra remplir de façon électronique son autorisation de voyage via l’Electronic System Travel Authorization (ESTA), le nouveau système qui sera mis en place le 8 septembre prochain.

Ce sont les personnes se rendant aux États-Unis avec une compagnie aérienne ou maritime qui devront se plier à cette exigence.

Ils devront indiquer s’ils sont atteints d’une maladie contagieuse, de troubles mentaux ou physiques, s’ils font usage de stupéfiants, s’ils ont déjà été impliqués dans des actes d’espionnage ou de terrorisme.

Des 14 $ perçus, 10 $ iront à un organisme de promotion du tourisme aux États-Unis.

Les Canadiens n’auront pas, heureusement, à se soumettre à cette taxe.

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Les deux tiers des vacanciers préfèrent leur pays

D’après TourMag, une étude effectuée par le groupe GfK révèle notamment que ce sont les deux tiers des personnes prenant des vacances qui préfèrent les passer à l’intérieur de leur pays.

Cette étude analyse les comportements de voyage des habitants de 16 pays d’Europe ainsi que des États-Unis.

La première chose relevée est que 60 % des individus interviewés iront en vacances. La différence est que : « l’Europe de l’Ouest voyage moins cette année, l’Europe de l’Est davantage ». Les voyageurs les plus réguliers sont les Suédois (87 %), les Néerlandais (85 %) et les Belges (77 %).

Par rapport à la sélection des destinations, la grande envie de ne pas bouger de son pays est confirmée par l’étude. « Sur l’ensemble des répondants, deux tiers préfèrent rester dans leur propre pays. Cette proportion tombe juste sous 50 % dans l’Europe de l’Ouest. »

Finalement, on apprend avec intérêt que « les habitants des pays du sud de l’Europe sont les plus assidus à rester dans leur propre pays : presque 70 % des Portugais, presque autant pour les Espagnols et les Italiens, et 60 % des Français aiment profiter de leur temps libre en restant chez eux. La plupart des Américains (80 %) ne voyagent également pas à l’étranger. »

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Arcade Fire ira plus souvent aux États-Unis

Arcade Fire, qui s’apprête à faire un grand retour sous les projecteurs avec la sortie prochaine, le 3 août, de son 3e album studio, The Suburbs, a annoncé une série de concerts aux États-Unis. Ces concerts s’ajoutent donc à l’annonce de deux spectacles de rodage à Sherbrooke dans la petite salle de 1 200 places du Théâtre Granada.

En plus de son apparition américaine au festival Lollapalooza à Chicago, Arcade Fire ira jouer certaines de ses nouvelles compositions au mythique Madison Square Garden de New York, en plus de faire passer par Philadelphie, Atlanta, Washington, Boston et Nashville.

En ce qui concerne le Canada, Toronto est sur l’itinéraire du groupe, en plus des spectacles déjà annoncés à Québec, Montréal et Ottawa, tous dans le cadre de festivals.

Sur le site d’Arcade Fire, plusieurs de ces nouveaux spectacles n’ont pas encore été ajoutés à la section des concerts, mais ce ne serait qu’une question de temps avant qu’ils ne le soient, en plus de dates supplémentaires, selon la rumeur qui circule. Si l’on regarde les villes mentionnées, il serait en effet surprenant que la formation montréalaise n’aille pas plus à l’ouest que Nashville, au Tennessee.

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Les Canadiens voyagent plus

Les résultats ne font pas vraiment mention du pourquoi de la chose, mais les chiffres faisant état de l’augmentation des voyages à l’étranger des Canadiens sont peut-être un bon signe quant à la santé économique de leur portefeuille.

Les statistiques du mois de mars 2010 par rapport au mois précédent, février 2010, montrent que les Canadiens ont voyagé à l’extérieur du pays dans une proportion supérieure de 3,6 %. De l’autre côté, ce sont 3,7 % moins de touristes étrangers qui sont venus au pays.

En tout, ce sont 4,4 millions de déplacements vers l’extérieur du pays qui ont été enregistrés, dont 3,7 millions pour les États-Unis seulement et 690 000 outremers. Pour le pays de l’Oncle Sam, cela représente une augmentation de 4 %, alors que les voyages outremer représentent quant à eux une hausse de 1,8 %.

Si les Canadiens sont plus nombreux à dépenser de l’argent à l’extérieur, seulement 1,7 million d’Américains sont venus nous rendre la politesse durant la même période, une baisse de l’ordre de 4,3 %. Du côté des pays outremer, ce ne sont que 368 000 voyages vers le Canada qui ont été entrepris, représentant une baisse de 0,7 %.

La hausse enregistrée auprès des Canadiens pourrait très bien s’expliquer par les nombreuses promotions remarquées qui envahissent le marché touristique.

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Air Canada rajoute des destinations américaines

Air Canada veut à tout prix consolider sa position comme transporteur aérien idéal à destination des États-Unis. Pour se faire, elle vient d’ajouter quatre nouvelles liaisons avec le pays de l’Oncle Sam depuis la ville de Toronto.

En ajoutant les villes de Cincinnati (Ohio), Memphis (Tennessee), Syracuse (New York) et Portland (Maine), chacune bénéficiant de 2 aller-retour par jour, la compagnie aérienne canadienne, avec sa filiale Air Canada Jazz et un tiers partenaire, offrira désormais 233 vols quotidiens vers 55 destinations américaines depuis 6 aéroports au pays.

Pour ce qui est des vols en direction de Memphis et Cincinnati, les passagers voleront avec Air Canada Jazz, alors que Syracuse et Portland seront avec Air Georgian, une compagnie établie à Mississauga, en Ontario, qui a une alliance stratégique avec Air Canada.

Air Canada a aussi annoncé qu’elle offrira 4 nouveaux vols vers l’Europe cet été, trois depuis Toronto et un de Montréal. De la ville reine, on pourra rallier Athènes, Barcelone et Copenhague, alors que le vol depuis la métropole québécoise se fera vers Bruxelles, en Belgique.

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L’art islamique trouve une niche à Détroit

La fin de l’année 2001 n’aurait certes pas été le meilleur moment aux États-Unis pour inaugurer une galerie entièrement consacrée à l’art islamique, mais depuis le mois dernier, le Detroit Institute of Arts a fait exactement cela.

Ce musée, qui se classe parmi les 5 plus importants du pays, a la particularité d’être érigé à Détroit, la ville qui compte la plus grande proportion d’habitants qui se disent de religion musulmane. Dès le départ, cet avantage statistique garantit un certain succès auprès des visiteurs.

La collection qui niche maintenant à Détroit compte plus de 170 pièces qui couvrent au-delà de 1 500 ans d’histoire de l’islam. Avec autant de pièces exposées, cette collection est la plus importante de ce côté-ci de l’Atlantique. Elle contient notamment une reproduction manuscrite complète du Coran qui date du XVe siècle.

D’autres pages individuelles du précieux document sont également sur place et certaines ont plus de 1 000 ans.

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De plus en plus de césariennes aux États-Unis

De plus en plus de césariennes sont pratiquées aux États-Unis. Selon le Centre national de statistiques sur la santé, les césariennes sont les interventions chirurgicales les plus pratiquées au pays.
 
En 2007, on estimait à 1,7 million le nombre de bébés qui ont vu le jour par césarienne, soit 32 % des petits.
 
Depuis 1996, les césariennes ont fait un bond de 71 %, représentant ainsi 53 % des naissances américaines totales, alors qu’en France, cela représente 20,1 % des naissances.
 
Ce sont surtout les femmes de moins de 25 ans qui ont recours à la césarienne, bien souvent sans nécessité médicale. Elles veulent faire comme plusieurs stars, comme Demi Moore par exemple, qui ont opté pour cette pratique.
 
En 2007, on notait toutefois que 48 % des mères de 40 à 54 ans avaient aussi eu recours à cette chirurgie.
 
Cette augmentation du nombre de césariennes est expliquée par le fait que plusieurs femmes choisissent toujours cette méthode, malgré qu’il y ait également des risques rattachés. Les grossesses tardives, la commodité de ce type de naissance et l’évolution de la médecine font souvent pencher la balance du côté de la césarienne.
 
Toutefois, ces derniers mois, plusieurs médecins préconisent les césariennes seulement en cas de nécessité médicale.
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États-Unis : Les parcs de loisirs en Floride

Walt Disney World
Disney World à Orlando, c’est quatre parcs thématiques qui proposent pas moins de 150 attractions différentes et deux parcs aquatiques.
 
Magic Kingdom, le plus célèbre, s’étire au pied de son très symbolique Château de Cendrillon. Il se divise en sept sites distincts qu’il vous sera bien difficile de parcourir en une seule journée. Là, vous dévalez une chute d’eau, traversez à grande vitesse un nuage de météorites et voyagez dans le temps et l’espace. Vous pouvez aussi visiter les appartements de Mickey et applaudir chaleureusement la fanfare.
 
Le second parc, Epcot, se divise en deux parties bien distinctes. D’un côté se trouve Future World, le monde de la science du futur. Il présente l’évolution de l’espèce humaine à travers diverses inventions, telles les communications ou la conquête spatiale. De l’autre côté s’étend le World Showcase, la vitrine du monde qui propose un tour du globe express : onze pavillons nationaux reconstituent l’architecture des pays qu’ils représentent. Partez à la découverte de la gastronomie et des traditions de ces différents pays.
 
Aux Disney-MGM Studios, jetez un coup d’œil dans les coulisses d’un studio et découvrez comment sont réalisés les effets spéciaux de vos films cultes. Partez à la découverte du monde des stars d’hier et des vedettes d’aujourd’hui. Ne manquez pas la Twilight Zone Tower of Terror, où vous pourrez jouer à vous faire peur lorsque l’ascenseur tombe de treize étages.
 
Enfin, le Disney’s Animal Kingdom encourage à respecter la nature et les animaux en présentant, dans leur habitat naturel reconstitué, plus d’un millier d’animaux. Partez à la découverte des girafes, éléphants et autres rhinocéros et effectuez un sauvage parcours aquatique avec l’attraction Primeval Whirl.
 
Universal Orlando Resort
Entrez dans l’action de vos films préférés en explorant les parcs thématiques d’Universal Orlando Resort. Oubliez l’écran et figurez dans vos films préférés à Universal Studios, le premier parc thématique du monde consacré au cinéma et à la télévision. Il propose un choix incroyable de spectacles, scènes de films et attractions, dont les nouvelles montagnes russes multisensorielles Hollywood Rip Ride Rockit, le Simpsons Ride et plus encore. Universal’s Islands of Adventure vous propose quant à lui un voyage mémorable dans cinq îles extraordinaires où mythes, légendes, personnages de bandes dessinées et d’histoires pour enfants prennent vie. Vous découvrirez des manèges et des attractions incroyables comme The Amazing Adventures of Spider-Man, The Incredible Hulk Coaster ou encore The Jurassic Park River Adventure, qui mettront vos sens en émoi.
 
SeaWorld
SeaWorld Orlando, c’est 80 hectares de promenades et de visites surprenantes, de spectacles prodigieux et de rencontres inoubliables avec les animaux. Les mystères des profondeurs marines n’auront plus de secrets pour vous. Les attractions les plus folles, comme le toboggan Kraken et le circuit Voyage à Atlantis, vous réservent, à chaque boucle et tournant, des sensations fortes inégalées dont vous ressortirez trempé jusqu’aux os, mais heureux de vos rencontres avec les épaulards, dauphins, otaries, requins… Incontournable : l’exceptionnel spectacle Believe avec l’orque Shamu qui présente, dans une chorégraphie époustouflante, un magnifique jeu entre hommes et orques.
 
Discovery Cove
C’est le lieu où vos rêves deviennent réalité! Dans cet endroit paradisiaque, rien ne vous sépare de vos nouveaux amis marins. Grâce à une vaste lagune tropicale, vous pouvez nager avec les dauphins, mais aussi faire de la plongée libre sous l’œil curieux des raies et poissons exotiques dans les lagunes de Coral Reef ou de Ray Lagoon, sans manquer d’admirer la beauté des alentours. Les visiteurs peuvent également se retirer pour se reposer dans les baies et sur les plages paradisiaques environnantes. Dépaysement garanti!
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États-Unis : La route des vins en Californie

Au gré des wineries renommées de Napa, de Sonoma ou de celles, plus confidentielles, de Mendocino ou de la Central Coast, vous apprendrez à distinguer les cépages rois comme le Cabernet Sauvignon, le Zinfandel, le Chardonnay et autre Pinot Noir. Dans cette campagne très « bio », une gastronomie locale aux accents raffinés prolongera le plaisir. Enfin, pour couronner cette fête des sens, sachez que les vallées de Napa et de Sonoma comptent à elles deux près de 300 spas, une activité bien-être dont l’essor est attribué à un immigré italien du Wine County, un certain Joe Jacuzzi…
 
Napa, la prestigieuse
À une heure et demie de route au nord de San Francisco, la Napa s’élance sur 48 km, presque en parallèle à Sonoma. La Napa se découvre idéalement en suivant le Silverado Trail, la route des vins qui vagabonde par delà les collines généreusement tapissées de vergers et de vignes sur lesquelles plane la figure tutélaire de Robert Mondavi, l’un des pionniers de la viticulture moderne californienne.
À Oakville, vous pourrez visiter le domaine de ce vigneron qui s’associa à Mouton-Rothschild pour composer l’Opus One, un Cabernet Sauvignon d’exception qui contribue à la réputation d’excellence de la vallée, à l’instar du Dominus, son principal rival.
Dans cette vallée gourmande, vous trouverez quantité de marchés bios, comme celui de Napa où vous ferez provision de charcuteries, d’huile d’olive et de tomates. À Yountville, The French Laundry laissera à vos papilles un souvenir impérissable. Et si vous souhaitez combiner dégustation et découverte, prenez place au restaurant du Wine Train qui sillonne la Napa. Enfin, les amateurs de golf sortiront leurs bâtons sur le parcours du sublime Relais & Châteaux Meadowood à St. Helena, une ville qui accueille également deux des plus anciennes caves de Napa, Beringer et Charles Kug.
En dehors des sentiers battus, le domaine de Frog’s Leap à Rutheford séduit par sa volonté écolo. Et ne manquez pas le Niebaum-Coppola, le domaine du réalisateur de films Francis Ford Coppola, ainsi que la Plumpjack, l’exploitation fondée par le maire de San Francisco.
Avant de découvrir les sources chaudes de Calistoga, faites une halte dans le spectaculaire domaine de Sterling Vineyards, doté d’un petit téléphérique surplombant les vignes dans un fabuleux panorama. C’est l’occasion pour un vol en montgolfière avant de dîner chez Solbar avec son impressionnante carte de champagnes.
 
Sonoma, l’authentique
Après la pittoresque Russian River, vous rejoignez Sonoma par la route panoramique qui serpente le long des coteaux de Mayacamas, entre forêts de chênes et pâturages. Berceau de la viticulture californienne, cette calme vallée qui a gardé son authenticité compte plus de 200 domaines, dont le plus ancien, le Buena Vista, fut fondé en 1857 par le comte Haratzy, un aventurier hongrois.
Outre la dégustation de vin dans les caves de Sebastiani, Gloria Ferrer Champagne Vaces, Bonny Doon ou encore de Benziger, vous pourrez pratiquer de nombreuses activités (randonnées à cheval ou à pied, excursions à vélo ou en limousine…). Sans oublier les spas extraordinaires comme celui du Hyatt Vineyard qui propose bains au Sauvignon et gommages à la pulpe de raisin ou les Spa Osmosis inspirés d’une technique japonaise de bain aux enzymes. Sensation bien-être garantie!
 
Des vignobles discrets
Plus modestes que leurs prestigieuses aînées, d’autres régions californiennes célèbrent la vigne de jolie manière. Tout au nord, le comté de Mendocino s’enorgueillit de son savoir-faire en matière de vins biologiques. Visitez la petite ville d’Hopland et les pittoresques Boonville et Philo avant d’atteindre le village côtier de Mendocino.
Pus au sud, vous découvrirez les Chardonnays de la côte de Monterey. Dans les montagnes de Santa Cruz, la visite du domaine de Ridge est incontournable. La région de San Luis Obispo est réputée pour son cépage du Rhône. Toute proche de Santa Barbara, la vallée de Santa Ynes est célèbre pour ses Pinots noirs.