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Selon le quotidien Daily Mail, le couple royal consent à payer près de 9000$ (US) par jour pour sa sécurité.

Le Duc et la Duchesse de Sussex vivent depuis quelques semaines à Beverly Hills, une riche banlieue de Los Angeles. 

Dès leur arrivée, ils ont été pris à parti par les paparazzis, qui n’hésitent pas à utiliser des drones pour violer leur intimité.

La firme de sécurité appelée GDBA a été fondée par l’ancien chef de la sécurité du président Ronald Reagan.

Elle est spécialisée dans la surveillance de célébrités hollywoodiennes ou de milliardaires. Le patron d’Amazon Jeff Bezos, l’acteur Tom Hanks, l’actrice Jennifer Lawrence, les chanteuses Madonna, Cher et Barbra Streisand sont au nombre de leurs clients.

Harry et Meghan vivent avec leur fils Archie dans une maison louée de 18 millions de dollars appartenant à l’acteur Tyler Perry. Récemment, ils ont fait installer des clôtures opaques autour de la propriété afin d’avoir plus d’intimité.

Malgré cela, la police de Los Angeles (LAPD) a reçu au moins cinq plaintes du couple qui est continuellement pourchassé par les paparazzis depuis son arrivée en Californie.

Photo : Cover Images

Le couple royal a quitté le Canada pour rejoindre les États-Unis en toute hâte en mars dernier, quelques heures avant que la frontière canadienne ne soit fermée en raison de la pandémie de coronavirus.

Depuis le «Megxit», survenu en janvier, le Duc et la Duchesse de Sussex vivent loin de l’Angleterre. Maintenant installé en Californie, le couple est à la recherche de sa prochaine résidence permanente.

Selon ce qu’a appris le Daily Mail de Londres, c’est Oprah Winfrey qui aurait trouvé cette résidence au couple. La grande star de la télévision américaine avait été invitée par Meghan et Harry à leur mariage en 2018.

Cette résidence de style toscan, d’une valeur de 18 millions de dollars (US), est située en haut d’une montagne sur un terrain de neuf hectares à Beverly Ridge Estates. Elle compte huit chambres à coucher et 12 salles de bain.

Selon le quotidien, la grande demeure appartient à l’acteur américain Tyler Perry. Proche ami d’Oprah Winfrey, l’acteur aurait déjà rencontré dans le passé le couple royal avant son arrivée aux États-Unis.

Selon des informations parues dans les derniers jours, le Prince Harry et Meghan Markle auraient mandaté un agent immobilier afin qu’ils leur dénichent une nouvelle maison pour un prix variant entre 15 et 20 millions de dollars.

Photo : DailyMail

Selon ce qu’a appris le site spécialisé Gimme Shelter, le Duc et la Duchesse de Sussex auraient un budget de 15 à 20 millions (US) pour leur magasinage.

«À ce prix, les résidences sont belles et isolées, offrant toute l’intimité qu’ils recherchent», confie une source proche du dossier.

Le couple royal, qui vit en Californie depuis mars dernier, chercherait à acquérir une maison dans les secteurs de Beverly Hills et Brentwood, deux banlieues cossues de la ville de Los Angeles.

Le Prince Harry et Meghan Markle chercheraient une maison avec au moins six chambres et autant de salles de bain. Ils souhaiteraient avoir un grand jardin pour que leur fils, Archie qui aura bientôt un an, puisse avoir de l’espace pour jouer.

Rappelons que le prince et son épouse ont quitté le Royaume-Uni en janvier dernier. Ils se sont d’abord installés à North Saanich, située à 30 minutes de route de Victoria en Colombie-Britannique, dans une maison de 18 millions de dollars.

En mars, peu avant que les frontières entre le Canada et les États-Unis soient fermées, le couple s’est envolé pour la Californie.

Depuis qu’ils vivent avec leur enfant sur la côte ouest-américaine, le duc et la duchesse ont lancé une fondation appelée Archewell. Ils ont aussi participé à l’effort collectif pour vaincre la pandémie en étant bénévoles auprès de gens dans le besoin.

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Le Duc et la Duchesse de Sussex ont annoncé qu’ils rompaient les liens avec une certaine presse en Angleterre.

C’est une suite logique au «Megxit» qui s’est déroulé en janvier dernier. Le couple royal soulignait alors qu’il quittait l’Angleterre, entre autres en raison de la couverture médiatique qu’il subissait.

Harry en a contre la presse britannique depuis des années. Les paparazzis ont joué un rôle important dans la mort de sa mère, Princesse Diana. Malgré des appels réguliers au droit à une vie privée par la monarchie britannique, la presse britannique reste friande des dessous de la royauté.

Pour ces raisons, Prince Harry et Meghan Markle placent sur la liste noire quatre publications anglaises, soit Daily Mail, The Sun, Daily Mirror, et Daily Express.

Les quatre journaux ont reçu une lettre du duc et de la duchesse dans laquelle ils les informent qu’ils ne seront plus les bienvenus dans leur entourage. 

«Lorsque le pouvoir (de l’information) est utilisé sans responsabilité, la confiance que nous plaçons dans cette industrie essentielle se dégrade», écrit le couple.

Pour cette raison, les quatre journaux ne recevront plus de mises à jour provenant du couple et ne seront plus invités à leurs futures activités. 

Harry et Meghan réfutent l’allégation qu’en agissant ainsi, ils censurent la presse.

«Cela n’a rien à voir avec de la censure. Les médias ont tous les droits de rapporter ou d’avoir une opinion sur le Duc et la Duchesse de Sussex, bonne ou mauvaise. Mais cela ne peut être bâti sur des mensonges», poursuit le communiqué du couple.

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Le président américain indiquait qu’il était hors de question que les États-Unis paient la facture pour assurer la sécurité du couple royal qui s’est maintenant installé en Californie.

Dans l’une de ses publications sur Twitter, Donald Trump ne laissait planer aucune ambiguïté sur ses intentions.

«Les États-Unis ne paieront pas pour leur sécurité. Ils doivent payer!», écrivait le président.

Hier soir (29 mars), le Duc et la Duchesse de Sussex confirmaient qu’ils paieraient eux-mêmes la facture salée, évaluée à 25 millions de dollars (US) par année, à même leurs propres fonds, pour leur sécurité.

«Le Duc et la Duchesse de Sussex n’ont aucunement l’intention de demander au gouvernement américain des ressources pour assurer leur sécurité. Des arrangements privés ont été organisés », ont indiqué les représentants du couple aux États-Unis.

Jusqu’au 31 mars, les coûts engendrés pour la sécurité du prince, sa femme et leur fils Archie étaient défrayés par le gouvernement britannique et le gouvernement canadien lorsque le couple vivait encore au Canada.

Avec le «Megxit» qui entre en vigueur le 1er avril, Harry et Meghan doivent maintenant subvenir à leurs besoins. En contrepartie, ils peuvent aussi engranger des revenus privés, chose qu’ils ne pouvaient faire lorsqu’ils étaient sous l’emprise de la couronne britannique.

Harry et Meghan n’auront probablement aucune difficulté à engranger des revenus importants. 

La duchesse de 38 ans avait dû mettre sa carrière d’actrice en veilleuse lorsqu’elle s’est jointe à la famille royale britannique. Elle pourra bientôt reprendre cette lucrative carrière, auréolée d’une nouvelle notoriété planétaire. 

Certains estiment qu’elle pourrait générer des revenus de 100 millions par année.

De son côté, le prince semble pencher vers la poursuite des oeuvres pour les plus démunis dans le monde, comme le faisait avant lui sa regrettée mère, la Princesse Diana.

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