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Toute la famille au yoga!

Nous connaissons déjà les bienfaits que peut procurer le yoga aux adultes, mais en est-il de même pour les enfants? Il semble que oui. Toutefois, le yoga des tout-petits est un peu différent et certains mouvements en particulier sont conseillés.

Par exemple, se concentrer sur sa respiration est un très bon exercice pour l’enfant. L’échauffement l’est aussi, comme lorsqu’il est assis ou couché par terre et qu’il suit les instructions du moniteur (ou du parent) pour se calmer.

Quant aux mouvements comme tels, il doit s’agir principalement d’étirements. On peut par exemple demander aux tout-petits d’imiter la position d’animaux et de plantes.

La partie la plus importante demeure bien sûr la relaxation. Étendu au sol, les yeux fermés, l’enfant se concentrera à visualiser, s’imaginant par exemple flotter dans les airs.

S’il est pratiqué correctement, le yoga peut devenir une réelle activité physique. De plus, selon MayoClinic, des études ont démontré ses bienfaits sur la santé en général, réduisant l’obésité et aidant à maîtriser certains problèmes, comme le syndrome du côlon irritable ou les maux de tête.

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Les étirements ne préviennent pas les blessures

Allant à contre-courant des croyances populaires, une étude américaine a démontré que les étirements que nous faisons avant d’aller courir ne préviennent pas les blessures, lisons-nous sur Mail Online.

Toutefois, si une période d’échauffement est déjà incluse dans vos entraînements sportifs, ne changez pas vos habitudes, car vous pourriez vous blesser en changeant de routine.

L’étude dont il est question ici a porté sur 2 729 coureurs qui courent au moins 16 kilomètres (10 miles) par semaine. Parmi eux, avant d’aller courir, 1 366 faisaient partie d’un groupe d’étirements et 1 363 n’en faisaient pas. La période d’échauffement, s’il y en avait une, durait de trois à cinq minutes.

Aucune différence quant aux blessures n’a été observée d’un groupe à l’autre. C’est qu’en réalité, les véritables facteurs résideraient en les blessures chroniques ou celles survenues dans les quatre mois précédents, car elles entraînent souvent une augmentation de l’indice de masse corporelle et des changements dans la routine d’étirements.