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Dans les coulisses

Les bagarreurs de la LNH meurent plus jeunes selon une étude

Des chercheurs de l’Université Columbia, à New York, ont analysé des statistiques provenant de 6000 joueurs ayant évolué dans la LNH entre 1969 et 2022 pour connaître l’effet des bagarres sur la santé des joueurs. Cette étude leur a permis de comprendre que les durs à cuir de la LNH meurent 10 ans plus jeunes que ceux qui ne se battent pas.

Les chercheurs ont comparé des joueurs qui se battaient avec d’autres joueurs qui ne se battaient pas, mais qui étaient repêchés au même moment, avaient la même taille et le même poids.

Les bagarreurs de la LNH sont plus susceptibles de mourir de suicide, de surdoses de drogue et de maladie neurodégénérative.

Ce qui est le plus étonnant dans cette étude, c’est à quel point tous les joueurs de hockey meurent en moyenne très jeunes. On ne parle plus seulement de bagarreurs ici. Les bagarreurs meurent en moyenne à l’âge de 47,5 ans, contrairement à  57,7 ans pour ceux qui ne se battent pas. Pour les joueurs punis plus de trois minutes par match dans leur carrière, l’âge moyen à la mort est 45,2 ans, contre 55,2 ans pour les joueurs peu punis.

Ça fait extrêmement peur. Les durs à cuir ne dépassent même pas les 50 ans et les joueurs réguliers dépassent à peine le milieu de la cinquantaine!

En voyant ces résultats, le professeur de l’Université de Montréal et neuropsychologue, Dave Ellemberg, ne comprend toujours pas pourquoi les amateurs et les joueurs de hockey s’entêtent à garder la tradition des combats en vie. Il souhaite l’arrêt des combats dans le sport.

Je ne suis pas contre la réduction du nombre de bagarres au hockey, mais je crois aussi qu’il faut garder cette tradition en vie. Ça fait partie du sport et c’est un spectacle qui a toujours attiré les foules.

La LHJMQ prévoit abolir les combats et nous verrons ce que ça donnera. Abolir les combats au niveau junior c’est correct, parce que les joueurs sont jeunes et leur cerveau est encore en développement. Par contre, une fois pros, les joueurs devraient toujours pouvoir se battre.

En rafale

– Le combat entre les partisans de Toronto et de Montréal pourrait coûter cher au Toronto FC.

– Les Golden Knights ont de gros problèmes de gardiens.

– Peut-être une soirée de première pour la Floride.

– Ça va finir par coûter bien plus cher que prévu.

– Le gars est confiant et on aime ça.

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Grands Titres

Une étude dévoile que les moustiques choisissent bien leurs victimes.

Les moustiques seraient très sélectifs quant à leurs victimes selon une récente étude scientifique.

En effet, selon les chercheurs qui ont mené l’étude, les antennes des moustiques seraient dotées de «récepteurs» qui ont la capacité de distinguer les odeurs de peaux humaines.

Au cours des années précédentes, des recherches avaient déjà démontré que les moustiques étaient attirés par la chaleur du corps, le CO2 et le groupe sanguin.

Voici d’ailleurs cinq facteurs qui détermineront si vous êtes ou non une cible de choix pour les moustiques:

1. Les odeurs corporelles

La transpiration et le CO2 expiré par un individu influencent grandement ses chances d’être choisi par les moustiques en guise de cible.

En effet, une étude japonaise a déjà démontré que les gens avec le groupe sanguin O sont plus sujets à être piqués.

Sachez d’ailleurs que la théorie du «sang sucré» est un mythe, or les personnes qui ont un taux de cholestérol plus élevé pourraient attirer davantage les moustiques.

2. La température du corps

Plus la température de votre corps est élevée et plus vous donnerez faim aux moustiques. C’est que les moustiques aiment manger «chaud», mais aussi, parce que vous transpirerez davantage.

3. Les vêtements

Cela reste encore à être prouvé scientifiquement, mais plusieurs experts disent croire que certaines couleurs pourraient influencer les moustiques. Ainsi, les gens qui portent des vêtements clairs se feraient moins piquer que celles qui portent du linge foncé.

D’un point de vue scientifique, cette théorie pourrait tenir la route, puisque les vêtements sombres emmagasinent plus de chaleur, ce qui attire les insectes piqueurs.

Notez aussi que plus votre peau sera exposée et plus vous attirerez les moustiques.

4. La pleine lune

La science a déjà démontré que l’activité des moustiques augmente jusqu’à 500 % lors de la peine lune. Pourrait-on parler de moustiques-garous?

5. La consommation d’alcool

Des chercheurs japonais ont découvert que le CO2 émis par la bière attire les moustiques.

D’ailleurs, puisque les moustiques peuvent détecter une source de CO2 à 70 mètres, on vous souhaite bonne chance afin de les déjouer lors de votre prochaine bière estivale…

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Trucs et Bricolages

La couleur du maillot de bain de votre enfant pourrait lui sauver la vie

L’été, c’est fait pour sa baigner. Malheureusement, chaque année, des drames surviennent… Une des façons de prévenir les noyades peut sembler inusitée, mais c’est un détail qui peut faire la différence…

Une étude qui a été menée par ALIVE Solutions Inc,une entreprise spécialisée dans la sécurité en milieu aquatique, a révélé que dans  l’eau comme ailleurs, il vaut mieux opter pour les couleurs vives, car elles permettent de voir les enfants de loin, et de ce fait,  d’intervenir plus rapidement. 

L’expérience très sérieuse a consisté à immerger des maillots de bain de diverses teintes pour savoir quelles couleurs étaient les plus visibles sous l’eau.  

Le lieu de baignade devrait influencer notre choix de couleur de maillots.

À la mer,  les chercheurs  ont procédé à partir de trois postes d’observation, plus ou moins éloignés et plus ou moins élevés par rapport au niveau de l’eau, pour voir les choses sous différentes perspectives. 

Ils s’est avéré que dans cet environnement, les couleurs les plus repérables étaient: le jaune fluo, le vert fluo et l’orange fluo.

Adobe Stock

L’entreprise recommande de miser sur la luminosité et le contraste, lorsque vient le temps de choisir un maillot de bain.

«Si la clarté de l’eau et la météo du jour peuvent influer sur la visibilité, il est clair que les couleurs les plus éclatantes sont toujours gagnantes », nous dit-on.

Même constat en piscine. Les teintes doivent attirer le regard le plus possible.

Il faut donc oublier le bleu clair et le blanc et se tourner vers le rose fluorescent et l’orange flou.

ALIVE Solutions Inc conseille de choisir la couleur du maillot en fonction du milieu dans lequel l’enfant se baignera.

La société prévient  que, même si les maillots sombres peuvent être très visibles dans les piscines claires et peu profondes, on pourra les confondre avec des ombres, de la saleté ou des feuilles.

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Il faut aussi savoir que, si les couleurs fluo sont hautement à privilégier, toutes les teintes ne réagissent pas de la même façon selon le type d’eau ou de bassin.

Ainsi, le rose fluo se voit facilement dans une piscine,  mais est pratiquement impossible à détecter dans un lac.

Maintenant , il ne vous reste qu’à aller magasiner en faisant des choix éclairés. Nous vous souhaitons un excellent été, en pleine sécurité!

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Mon Fric

Les travailleurs québécois sont plus heureux que les employés ailleurs au Canada

Une nouvelle étude couronne les Québécois comme étant les travailleurs les plus heureux au pays, rapporte l’Agence QMI

C’est du moins ce que conclut l’Indice de bonheur au travail d’ADP Canada, réalisé en partenariat avec Maru Public Opinion. 

Sur une note de 10, le Québec a eu la plus haute note, avec un score de 7. La moyenne nationale pour le mois de mars est de 6,7 sur 10.

La Colombie-Britannique et l’Alberta suivent en deuxième et troisième place avec des scores respectifs de 6,9 et 6,8 sur 10. Les provinces de l’Atlantique, la Saskatchewan et le Manitoba sont ensuite à égalité avec une note de 6,7. L’Ontario est bonne dernière avec un pointage de 6,5. 

« Nous passons une grande partie de notre vie au travail ou à penser au travail, de sorte que le bonheur au travail est primordial pour notre bien-être général », a fait savoir Holger Kormann, président d’ADP Canada dans un communiqué.

« Non seulement les travailleurs heureux sont généralement plus productifs, engagés et performants, mais un environnement de travail propice au bonheur peut également avoir des répercussions positives sur d’autres aspects importants de notre vie », a-t-il poursuivi.

Pour établir son score, l’Indice s’est basé notamment sur le sentiment de bonheur que les travailleurs éprouvent dans leurs tâches actuelles, mais aussi sur l’équilibre travail— famille, la flexibilité, le salaire et les avantages sociaux, le sentiment de reconnaissance et les options d’avancement de carrière.

Les plus heureux au travail sont les baby-boomers. La génération Z vient en deuxième, les millénariaux, en troisième, et finalement la génération X. 

Les informations ont été recueillies au début du mois. Un total de 1 200 Canadiens ont participé à l’enquête. 

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Art de vivre

Québec, 2e meilleure ville au monde pour les familles en 2020

L’étude a classé les 150 meilleures villes dans le monde pour élever des enfants et vivre paisiblement en famille.

C’est la capitale de la Finlande qui décroche le titre mondial, selon une étude réalisée par Movinga, une firme experte pour aider les familles à déménager. 16 critères étaient pris en compte, dont les aides financières familiales, la qualité de l’éducation, les soins de santé, le taux de chômage ou encore la qualité de vie en général.

L’enquête réalisée auprès de répondants du monde entier s’est tenue à la fin novembre 2019. 20 000 parents de toutes les villes ayant des enfants âgés de 0 à 21 ans ont répondu au questionnaire.

Les villes canadiennes font bonne figure dans cette étude. 

Outre Québec au deuxième rang, les villes de Calgary (8) et Montréal (9) se classent dans le top-10.

Voici le top-10 des meilleures villes au monde pour les familles en 2020 :

1. Helsinki, Finlande

2. Québec, Canada

3. Oslo, Norvège

4. Munich, Allemagne

5. Copenhagen, Denmark

6. Stockholm, Suède

7. Reykjavik, Islande

8. Calgary, Canada

9. Montréal, Canada

10. Göteborg, Suède

Source: Movinga

Photo : Cover Images

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Art de vivre

Vous passerez plus de 78 000 heures devant la télé

Une étude commandée par le fabricant de télé LG electronics révèle que le téléspectateur moyen regarde la télé 3,5 heures par jour, soit l’équivalent de 3279 jours durant son existence.

La recherche a été réalisée auprès de 2000 adultes britanniques.

Durant tout ce temps devant son téléviseur, le téléspectateur verra 3639 films, et regardera 31507 épisodes de 11278 feuilletons différents.

L’étude révèle aussi que 60% des répondants seraient «perdus» s’ils devaient se passer de télé.

Finalement, alors que les téléviseurs offrent de plus en plus de gadgets, 15% des personnes ayant participé à cette étude soulignent qu’ils sont frustrés, car ils ont maintenant trop d’options. 

En effet, sur plus de 78 000 heures de télé, 2943 heures sont passées à chercher ce que nous allons regarder au petit écran!

Photo : Cover Images

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Ton petit look

Quand un programme d’étude évalue seulement la capacité à se bourrer le crâne

Depuis que j’ai recommencé mes études universitaires, je dois réapprendre à gérer certains des éléments que je trouve problématiques par rapport à cette scolarisation. Il faut dire que mes problèmes d’anxiété sont fortement liés à la performance. Pendant des années, j’ai puisé presque toute ma valorisation dans ma réussite scolaire. Jusqu’à ce que ce ne soit plus suffisant, et que je ne parvienne plus à fonctionner normalement. J’ai beaucoup travaillé sur cet aspect de ma personnalité. Et après beaucoup de réflexion, je suis retournée à l’université, même s’il pourrait sembler que c’est cette dernière qui m’a rendue malade.

J’arrive aujourd’hui à poser un regard plus neutre, moins émotif, sur cet établissement. Et je ne peux faire autrement que de remarquer de profondes lacunes. La culture de performance qui y est solidement ancrée vient déformer le système d’apprentissage.

Plutôt que de viser la compréhension, la capacité à appliquer les notions, à les généraliser… on vise une mémorisation d’une quantité si grande de thématiques qu’il devient presque impossible de toutes les assimiler et les comprendre. On exige une mémorisation presque complète de toutes les informations présentées; mémorisation qui est ensuite testée dans des examens où la seule façon d’évaluer l’apprentissage sera de poser un lot de questions à choix multiples.

Probablement que ce n’est pas le modèle de fonctionnement qui vaille pour tous les programmes universitaires. Cependant, c’est la façon de faire en psychologie. Un domaine qui vise l’intervention et la compréhension profonde des êtres humains. Qui forme ses étudiants à tout, sauf à être en mesure de pratiquer cet emploi. Je suis consciente que pour être psychologue, un doctorat est nécessaire.

Cependant, vu le fort contingentement des cycles supérieurs,  plusieurs étudiants (la grande majorité) compléteront un baccalauréat sans avoir la possibilité de suivre le reste de la formation. Après trois ans d’études intenses et des milliers de dollars d’investissements, je ne trouve pas qu’on offre à ces étudiants une réelle formation qui puisse être utile en milieu de travail. Dans mon cas, j’ai parfois l’impression que plusieurs bribes de notions me restent en tête, que j’arrive à expliquer divers phénomènes, à présenter mon point de vue sur des éléments de la pratique thérapeutique, mais que je suis loin d’être en mesure d’agir comme intervenant ou thérapeute.

Et si je ne suis pas admise pour la suite? Je rêve depuis bien des années de travailler sur un doctorat en psychologie. Mais je suis bien consciente que la concurrence est féroce et qu’il est bien possible qu’il me soit impossible de poursuivre cet idéal. Qu’est-ce que je serai en mesure de faire avec cette formation? Je n’aurai eu que très peu de cours concernant la thérapie ou l’intervention. Est-ce que j’aurai fait tout ça pour rien?

Et même si ce n’était pas le cas, j’ai l’impression que la majorité de l’apprentissage que j’aurai à faire en lien avec mon emploi devra se faire sur le tas, parce que ce que j’ai appris à l’université ne se révélera peut-être pas tellement utile sur le terrain. Bien sûr, j’ai choisi d’étudier dans ce programme par passion. J’y suis retournée parce que la psychologie demeurera toujours ma passion. C’est ce qui me fait vibrer. Et ce programme offre une solide formation théorique qui mène probablement de façon très pertinente aux cycles d’études supérieurs.

Mais il m’est difficile de me défaire de l’impression que ce que le programme vise, ce n’est pas de former des étudiants « compétents », qui auront bien assimilé les notions et seront en mesure de les appliquer, mais bien de déterminer quels étudiants sont les meilleurs pour mémoriser tous les concepts et quels étudiants ont le plus de temps à mettre dans la mémorisation des concepts.

J’ai discuté de cette problématique avec des étudiants d’autres programmes universitaires. Et cette impression revient chez beaucoup d’entre eux. L’impression de devoir se gaver de notions pour simplement les vomir sur la feuille d’examen et en oublier la moitié le lendemain. Et prier pour obtenir un A ou un A+, parce que c’est ainsi qu’on évalue notre valeur en tant d’étudiants.

Avec le recul que j’ai aujourd’hui, j’arrive à être beaucoup plus zen par rapport à cette exigence de la performance en milieu universitaire. Mais je ne peux faire autrement que de me questionner sur la valeur réelle d’une telle méthode de scolarisation (et d’évaluation).

Qu’en pensez-vous?

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Art de vivre

Vos tatouages affectent votre vie sexuelle

Une recherche réalisée à l’université de Miami et publiée dans l’International Journal of Dermatology révèle que les personnes arborant un tatouage sont plus sujettes à prendre des risques et ont plus de partenaires que celles qui ne sont pas tatouées.

Effectuée sur 2 008 adultes tatoués ou non, l’étude s’est attardée à identifier les différences fondamentales entre les deux groupes. 

Parmi les grandes conclusions, les chercheurs ont constaté que les gens tatoués fument plus, ont plus souvent séjourné en prison, et ont plus de partenaires sexuels que leurs congénères non tatoués.

Autres constatations, les gens tatoués ont aussi plus souvent de problèmes de santé mentale. Ces mêmes personnes auraient également plus de difficulté à trouver le sommeil.

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En conclusion, les chercheurs croient que les personnes tatouées sont plus souvent sujettes à s’engager dans des comportements à risque que les autres personnes non tatouées.

Photo : Cover Images

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Art de vivre

Vos tatouages affectent votre vie sexuelle

Une recherche réalisée à l’université de Miami et publiée dans l’International Journal of Dermatology révèle que les personnes arborant un tatouage sont plus sujettes à prendre des risques et ont plus de partenaires que celles qui ne sont pas tatouées.

Effectuée sur 2 008 adultes tatoués ou non, l’étude s’est attardée à identifier les différences fondamentales entre les deux groupes. 

Parmi les grandes conclusions, les chercheurs ont constaté que les gens tatoués fument plus, ont plus souvent séjourné en prison, et ont plus de partenaires sexuels que leurs congénères non tatoués.

Autres constatations, les gens tatoués ont aussi plus souvent de problèmes de santé mentale. Ces mêmes personnes auraient également plus de difficulté à trouver le sommeil.

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En conclusion, les chercheurs croient que les personnes tatouées sont plus souvent sujettes à s’engager dans des comportements à risque que les autres personnes non tatouées.

Photo : Cover Images

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Musique

Michelle Obama s’offre Kelly Clarkson, Lea Michele et Missy Elliott

Michelle Obama s’offre les services de plusieurs femmes fortes de l’Industrie de la musique pour une chanson destinée à l’appuyer dans son message de motivation envers les femmes.

La pièce intitulée This Is For My Girls est écrite par la vétérane et nommée aux Oscars Diane Warren, et met notamment en vedette Kelly Clarkson, Missy Elliott, Lea Michele, Janele Monae et Kelly Rowland.

This Is For My Girls sera présentée en marge de l’allocution de la première dame des États-Unis lors du festival SXSW, ce mercredi (16 mars). Michelle Obama fera ainsi la promotion de l’initiative Let Girls Learn, rapporte le Rolling Stone, qui vise à aider les jeunes femmes à terminer leur éducation.

La présence de Michelle Obama fera suite à celle du président Barack Obama, qui proposera un échange interactif lors du festival.

This Is For My Girls sera disponible pour téléchargement dès ce soir, à minuit.