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Les projets créatifs augmentent la productivité au travail

Les personnes qui s’adonnent à des projets créatifs dans leurs loisirs seraient plus performantes au travail, peut-on conclure des analyses révélées dans une nouvelle étude en la matière.

The National Library of Medicine rapporte en effet la publication d’une étude sur les impacts de la création, effectuée par des chercheurs basés à l’Université de San Francisco.

On note une capacité accrue de résolution des problèmes et une plus grande capacité de performance chez ceux qui s’adonnent à des projets créatifs.

« Peu importe leur activité créative, les participants la décrivent habituellement comme une expérience profonde et luxuriante, qui procure beaucoup d’avantages pour eux. Ils mentionnent également que l’idée de l’auto-expression est une occasion d’en apprendre davantage sur eux-mêmes », résume le professeur Kevin Eschleman, de l’Université de San Francisco.

Les activités décrites vont de l’écriture à l’utilisation des jeux vidéo, rapporte-t-on, toutes des activités empreintes de créativité et de liberté se qualifiant comme bienfaitrices pour la productivité et les capacités cognitives.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Occupational and Organizational Psychology.

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L’intimidation laisse des traces tout au long de la vie

Une nouvelle étude rapportée par La Presse trace un bilan très sombre du phénomène de l’intimidation et des séquelles à long terme qui s’y rattachent.

Il s’agit de la première recherche exhaustive du genre à analyser les impacts de l’intimidation sur un individu tout au long de sa vie. Ce sont des chercheurs du King’s College de Londres qui se sont penchés sur le dossier, en analysant les cas de 7771 enfants tout au long de leur vie… jusqu’à l’âge de 50 ans.

Une étude spectaculaire, en somme, qui demandait d’abord aux parents d’enfants touchés par l’intimidation entre l’âge de 7 et 11 ans de fournir des informations relatives à leur expérience.

Selon le Dr Ryu Takizawa qui pilote l’étude, les résultats sont clairs : un individu victime d’intimidation à un jeune âge se verra confronter à des obstacles sociaux et économiques plus importants au cours de sa vie.

Plus encore, ces sujets ont démontré plus de problèmes de santé que les autres, notamment à l’approche de la cinquantaine. Même chose sur le plan psychologique, alors que l’on note un risque accru de dépression, d’anxiété et de suicide.

Même l’aspect cognitif des sujets de l’étude a semblé en souffrir au cours de l’analyse, ce qui fait dire aux observateurs que l’intimidation n’est pas un phénomène à prendre à la légère.

Heureusement, la sensibilisation au phénomène est bien entamée, mais il reste encore pas mal de travail à faire.

Les conclusions de l’étude du Dr Takizawa ont été publiées dans l’American Journal of Psychiatry.

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Grossesse : attention aux antinauséeux

Le Devoir rapporte quelques statistiques et la publication d’une lettre ouverte concernant les antinauséeux, dont un en particulier, et les problèmes qui peuvent s’y rattacher.

On rapporte d’abord que 80 % des femmes enceintes québécoises se font prescrire des antinauséeux au cours de leur grossesse. De ce nombre, une grande majorité se verra offrir du Diclectin, l’antinauséeux justement visé par les avertissements rapportés.

Plusieurs médecins estiment que le Diclectin est à utiliser avec prudence, bien que l’on ne veuille pas créer un sentiment de panique chez les femmes québécoises et d’ailleurs.

La Société des obstétriciens gynécologues du Canada (SOGC) souhaite simplement sensibiliser les médecins et les femmes au phénomène, et estime que les médicaments ne devraient pas être la première solution désignée pour contrer des problèmes de nausée lors de la grossesse.

On estime à 33 millions le nombre d’utilisatrices du Diclectin.

La lettre de mise en garde en question a été publiée dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology of Canada (JOGC).

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La consommation de riz contribue à la bonne santé

Ceux qui aiment bien manger du riz seront certainement ravis de prendre connaissance des conclusions d’une nouvelle étude sur le sujet, alors que les autres voudront peut-être commencer à intégrer l’aliment à leur régime hebdomadaire.

Une nouvelle recherche partiellement fondée par le département de l’agriculture américain semble confirmer plusieurs avantages du riz sur la santé des individus qui le consomment de façon régulière, rapporte MedicalNewsToday.

On mentionne d’abord que le riz permet de maintenir son poids ou d’en perdre plus facilement, en plus de proposer des apports nutritifs non négligeables. Le riz contient notamment du fer, du potassium, du magnésium et des fibres.

De plus, les chercheurs en tête de l’étude estiment que le riz permet l’amélioration de plusieurs marqueurs de santé importants. Choisir le riz permet aussi de réduire les apports en sel, sucre et calories.

En contrepartie, quelques études mettaient récemment en garde les grands consommateurs de riz conter la présence possible, et souvent infime, d’arsenic dans certains produits, mais il semble néanmoins que la situation n’est pour l’instant pas trop alarmante.

Les conclusions de l’étude mentionnée ont été publiées dans le journal Food and Nutrition Sciences.

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Des débuts prometteurs pour un vaccin « anti-cancer »

Des chercheurs américains confirment les débuts prometteurs d’un vaccin aux capacités « anti-cancer » potentielles, rapporte The National Library of Medicine.

Ce vaccin, aux premières phases d’essais, pourrait un jour permettre aux patients atteints de cancer de lutter efficacement contre la maladie grâce aux armes de leur propre organisme, croit l’équipe de chercheurs menée par Tibor Keler.

« Le traitement a été bien toléré même à des doses élevées. Nous planifions d’autres essais pour notre vaccin, en nous concentrant sur des combinaisons possibles avec d’autres immunothérapies qui pourraient mener à des bénéfices cliniques significatifs », explique Keler, qui pilote le dossier.

Le traitement passe donc avec succès la première d’une série de trois étapes imposées par les autorités de la santé américaines.

Une oncologue extérieure aux travaux de Keler et de son équipe, Elizabeth Mittendorf, voit ces résultats d’un bon œil, mais rappelle que la promesse d’un traitement du genre a été faite depuis longtemps par bien des spécialistes. Peut-être l’heure est elle enfin arrivée.

Les résultats de ces essais et de l’étude en question ont été publiés dans le magazine Science Translational Medicine.

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La barbe pourrait s’avérer un allié de la santé des hommes

Les hommes qui arborent la barbe sont nombreux. Et ceux-ci pourraient bien découvrir un nouvel avantage à ce choix de vie, si l’on se fie à une nouvelle étude australienne sur le sujet.

L’étude en question, rapportée par le Daily Mail (UK), explique que le port de la barbe permettrait de prévenir de certains problèmes de santé. Ce serait notamment vrai en ce qui concerne le cancer de la peau, les attaques de pollen et le vieillissement prématuré de la peau.

Si l’on comprend pourquoi la barbe permet un barrage des rayons UV, et donc une diminution des risques de cancer de la peau dû au soleil, on peut s’étonner d’apprendre que celle-ci agirait aussi comme filtre au pollen.

De plus, le port de la barbe permet de contrer le vieillissement de la peau visage, selon les chercheurs de l’Université du Queensland qui publient leurs observations, car celle-ci garde la peau hydratée en tout temps. Le rasage est également l’une des raisons qui expliquent souvent la sécheresse de la peau du visage chez les hommes, en plus de favoriser les infections.

En clair, les barbus ont maintenant quelques nouveaux arguments pour défendre leur choix.

Les conclusions de l’étude australienne ont été publiées dans le magazine Radiation Protection Dosimetry.

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Être perfectionniste pourrait nuire à votre santé

On considère souvent le perfectionnisme comme une grande qualité, les gens perfectionnistes (et les autres) n’hésitant pas à mentionner cet atout lors d’entrevues d’embauches et pour se décrire lors de diverses situations.

Or, selon de nouvelles recherches, les personnes perfectionnistes nuiraient à leur propre santé avec de tels comportements, rapporte Top Santé. Si la source mentionne notamment les femmes, on peut facilement conclure que l’avertissement s’adresse à tous.

« Nous vantons toujours le perfectionnisme comme une marque d’accomplissement professionnel, mais c’est au contraire un puissant facteur de maladies (…) qui devrait être davantage considéré par les médecins », explique la Dre Danielle Molnar, de l’Université Brock.

Dre Brock n’est pas la seule à nous mettre en garde contre les contrecoups d’une vie passée à atteindre la « perfection ». Des collègues comme le professeur Gordon Flett, de l’Université de York, abondent dans le même sens. M. Flett a notamment étudié le comportement perfectionniste sur la santé lors de recherches qui s’étendent sur une période de 20 ans, et constate que la quête de la perfection tourne souvent à l’obsession et mène au stress.

Les conclusions de la Dre Danielle Brock ont été publiées par le Daily Mail (UK).

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Une protéine naturelle pour traiter l’intolérance au gluten

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, semble atteindre de plus en plus de gens et est ouvertement discutée par plusieurs, dont certaines célébrités.

Il s’avère donc important de mieux comprendre et de trouver de nouvelles pistes de solution, croient les spécialistes appelés à commenter cette hausse observable des cas d’intolérance au gluten.

La solution pourrait bien venir d’un groupe composé de chercheurs de trois établissements différents, soit l’INSERM (France), l’Université McMaster (Canada) et l’École polytechnique fédérale de Zurich (Suisse).

Les chercheurs de cette équipe seraient en effet parvenus à livrer avec succès une bactérie probiotique dans l’estomac de souris, et ainsi paver la voie à de possibles traitements contre l’intolérance au gluten, rapporte NutritionNews.

Plus encore, les spécialistes qui dirigent ces recherches auraient également confirmé avec succès les bienfaits d’une protéine naturelle de l’organisme en traitement de la maladie coeliaque. Il s’agit de la protéine humaine Elafin, qui permettrait l’élaboration de certains traitements.

Une bonne nouvelle, puisqu’aucun traitement officiel et efficace contre la maladie coeliaque n’a encore été découvert et approuvé. La seule solution qui se présente aux patients qui en souffrent est de cesser complètement la consommation de tout aliment comprenant du gluten.

Les conclusions et observations des chercheurs de cette étude ont été publiées dans l’American Journal of Gastroenterology.

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Du sucre pour un couple en santé

Avec toute la mauvaise presse que doit subir le pauvre sucre, il était temps que quelqu’un lui trouve un bénéfice, histoire de déculpabiliser un peu.

Top Santé rapporte maintenant une nouvelle étude américaine qui vante les mérites du sucre sur la santé… du couple!

Selon des chercheurs basés à l’Université d’Ohio, le manque de sucre rend plus agressif et enclin aux conflits. On conseille donc aux couples partageant plusieurs moments de la journée de ne pas constamment se priver de sucre.

C’est en étudiant 107 couples mariés durant 21 jours que les chercheurs ont pu constater les effets bénéfiques du sucre sur la relation de ceux-ci. Les sujets ont reçu des poupées vaudou, rien de moins, et un assortiment d’épingles.

Les chercheurs analysaient alors les taux de sucre dans le sang de chacun, tout en leur demandant d’exprimer leur niveau de colère envers l’époux.

« Plus le taux de sucre était bas, plus le nombre d’épingles plantées était élevé. Et le lien entre taux de glycémie et degré de colère persistait même en prenant en compte le fait que le couple se déclare satisfait de cette union », concluent sans hésiter les chercheurs américains.

On rappelle l’importance de consommer du sucre avec modération, mais il semble que le fait d’être en couple accorde quelques passe-droits.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).

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Le revers de la médaille du surpoids

Le surpoids, voire l’obésité, est-il une condition qui permettrait d’augmenter les chances de survie dans certaines situations données?

C’est la question que pose et sur laquelle se penche une nouvelle recherche du Baker IDI Heart and Diabetes Institute, des travaux rapportés par Top Santé.

Le professeur John Dixon dirige la recherche et croit que le surpoids permet en effet de diminuer les risques de décès dans certains cas, une affirmation qui peut sembler plus qu’étonnante.

« Ce phénomène est réel et certifié chez les personnes âgées qui sont protégées par leur surpoids, en particulier celles qui souffrent de maladies graves. Les personnes avec un IMC entre 23 et 33 vivraient plus longtemps que les personnes ayant un IMC dans l’extrémité inférieure du poids normal (entre 18,5 et 23) », affirme le professeur Dixon, citant quelques autres études.

Un autre professeur de l’Université de Melbourne, Joseph Proietto, abonde dans le même sens. Un individu à l’IMC bas a plus de risques de mourir d’une crise cardiaque à cause d’un taux élevé de cholestérol qu’un obèse. Comme son IMC ne révèle pas son taux de cholestérol, il sera probablement moins bien diagnostiqué que l’obèse et donc sûrement pas traité. »

Le phénomène porte même un nom, soit celui du « paradoxe de l’obésité ». Un paradoxe qui pourrait donner de l’espoir à ceux qui souffrent de surpoids, même si cette condition mène souvent en premier lieu à de sérieux problèmes de santé potentiels.