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Diner plus tôt : un truc pour la perte de poids?

Une étude en provenance de l’Espagne, rapportée par The National Library of Medicine, affirme que les gens qui dinent plus tôt que les autres démontrent de meilleures aptitudes à perdre du poids.

Ainsi, il serait bénéfique de manger dans la première portion de l’heure du diner plutôt que dans la deuxième, ou même en après-midi.

Bien que l’étude ne puisse prouver ou démontrer avec certitude que le fait de manger plus tôt fait perdre du poids de façon directe, les chercheurs croient cependant mordicus au fait que les heures de prise de repas sont des facteurs importants dans la façon pour le corps de réagir aux aliments.

« Nous devrions sérieusement commencer à considérer l’heure de nos repas. Pas seulement ce que l’on mange, mais aussi quand on le mange », lance Frank Scheer, chercheur à Harvard et coauteur d’une étude sur le sujet.

C’est après avoir analysé les réponses de 420 volontaires pour une étude nutritionnelle, sur une période de 20 semaines, que des chercheurs ont constaté qu’à repas égal et activité égale, les gens qui mangeaient plus tôt perdaient étonnamment plus de poids que les autres…

On devra probablement s’attarder davantage à cette facette en matière de nutrition dans le futur, croient plusieurs spécialistes.

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Le sexe au service du système immunitaire

Faire l’amour est une action qui possède plusieurs propriétés thérapeutiques, mais saviez-vous qu’elle permet également de renforcer le système immunitaire?

C’est du moins ce que l’on apprend par l’entremise de Top Santé, qui rapporte les conclusions d’un chercheur suisse qui croit pouvoir prouver cette théorie.

Manfred Schedlovski s’est concentré sur les taux de globules blancs, ou de cellules T, dans l’organisme avant, pendant et après l’acte sexuel. Ces globules sont primordiaux dans la réponse du système face aux virus et maladies virales de toutes sortes, notamment la grippe.

Le spécialiste constate que les taux de cellules T augmentent dès qu’il y a rapport sexuel, allant même jusqu’à se dupliquer pour un effet qui dépasse la durée des ébats amoureux.

« Le sexe augmente la quantité de ces cellules T, ce qui favorise la récupération de l’organisme, mais appuie son système immunitaire », déclare avec certitude le professeur Peter Schleicher.

Plusieurs études corroborent ces conclusions et parlent aussi de prévention des maladies cardiaques. La « posologie » minimale pour bénéficier de ces effets serait d’au moins deux relations par semaine.

Exit le jus d’orange pour contrer la grippe, bienvenue au sexe!

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Des poumons de fumeurs approuvés pour transplantation

Une étude incroyable affirme que certains fumeurs chroniques seraient tout de même éligibles comme donneurs, rapporte The National Library of Medicine.

On parle bien sûr ici des poumons, des organes que l’on aurait cru impossible de prélever sur des donneurs fumeurs. Encore moins sur des fumeurs chroniques depuis 20 ans (un paquet par jour), mais il semble que la réalité soit toute autre.

En fait, selon les chercheurs américains en tête de l’étude, plusieurs personnes en attente de greffe pulmonaire pourraient bénéficier de poumons de fumeurs, puisque ceux-ci ne seraient pas toujours nécessairement très endommagés, apprend-on.

Un fumeur peut très bien présenter des activités pulmonaires et respiratoires tout à fait normales, croit le Dr Sharven Taghavi, de l’hôpital universitaire Temple de Philadelphie.

Il explique : « Nos découvertes démontrent que les critères actuels concernant les transplantations pulmonaires pourraient être revus afin d’inclure les gens avec un passé de fumeur. Cela pourrait faire baisser les listes d’attente, ainsi que les taux de mortalité ».

« Par exemple, un chirurgien pourrait décider d’accepter des poumons sains d’un fumeur en bonne santé. D’autres poumons moins “bons” pourraient aussi permettre de sauver la vie de personnes en seuil critique, près de la mort. »

Voilà qui a de quoi surprendre, mais qui s’avère une excellente nouvelle.

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De longues heures à la garderie ne causent pas de comportements négatifs

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 72 000 mères et leurs enfants, incluant les frères et sœurs. Les mères ont répondu à un questionnaire leur demandant d’identifier les comportements d’agression et de désobéissance chez leurs enfants à l’âge de 18 et de 36 mois, ainsi que le nombre d’heures que ceux-ci passaient dans une garderie. On parle ici d’un centre de type installation, et non pas d’une garderie en milieu familial.

Les chercheurs ont comparé les enfants provenant de différentes familles, mais aussi les enfants de la même famille qui ne passaient pas nécessairement le même temps à la garderie.

Les chercheurs n’ont pas constaté une augmentation de comportements problématiques chez les frères et sœurs qui passaient plus de temps à la garderie. De la même manière, passer plus de temps dans un service de garde ne résultait pas à une détérioration du comportement, lorsque mesuré dans le temps, selon EurekAlert!.

Les auteurs ont expliqué que ces données contredisaient une étude similaire qui avait été menée aux États-Unis, et ont émis l’hypothèse que cela tenait peut-être au fait que la Norvège possède un système de service de garde en installation très enviable et de très grande qualité.

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Les enfants diabétiques devraient être traités comme les adultes

L’association de pédiatres affirme ainsi que la plupart des enfants et des jeunes qui reçoivent un diagnostic de diabète de type 2 devraient en premier lieu recevoir un médicament appelé metformine, ainsi qu’adopter des changements de style de vie.

Il existe toutefois deux exceptions à cette recommandation : les enfants qui présentent une cétose, ou dont la distinction entre le type 1 et le type 2 n’est pas claire, ainsi que ceux qui ont un taux de glucose sanguin de plus de 250 milligrammes par décilitre. Pour ces enfants, les médecins recommandent plutôt d’amorcer le traitement directement avec de l’insuline.

Les enfants ne devraient pas recevoir une dose initiale de metformine dépassant les 500 milligrammes par jour, parce que ce médicament a des effets secondaires sur le système gastro-intestinal. Par contre, ces effets néfastes disparaissent souvent complètement si la prise du médicament continue, alors la dose pourrait être progressivement augmentée, jusqu’à 2000 mg.

Les recommandations ont été publiées dans la revue médicale Pediatrics.

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Les jeunes joueurs de soccer d’élite montrent des signes d’épuisement

Un chercheur britannique a analysé le cas de 167 jeunes joueurs de soccer masculins, dans 8 académies d’excellence à travers le pays. Celui-ci a étudié les liens entre le perfectionnisme et l’épuisement « professionnel » chez ces enfants.

Les résultats montrent que jusqu’à un quart des jeunes présentent occasionnellement des symptômes d’épuisement, tandis que 1 % des garçons les présentent de façon chronique.

Ces enfants sont recrutés à partir de l’âge de 8 ans, et chaque année jusqu’à l’âge de 16 ans, ils doivent subir des coupes de joueurs et survivre à celles-ci, afin de ne garder que les meilleurs.

Les garçons qui affirmaient subir beaucoup de pression de la part des autres, une peur de faire des erreurs, ainsi que d’autres pressions extérieures étaient le plus à risque de subir l’épuisement, de même que ceux qui étaient très perfectionnistes pour eux-mêmes.

L’auteur, Dr Andrew Hill, a noté que « le perfectionnisme peut être une force énergisante, mais il peut également avoir un coût très élevé pour certains athlètes. Nous devons faire du sport une expérience positive pour tous les participants », a-t-il ajouté, selon ScienceDaily.

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Les bébés vietnamiens sont souvent propres à 9 mois

Des chercheurs suédois ont étudié le cas de 47 bébés vietnamiens et ont constaté que là-bas, l’apprentissage de la propreté commence dès la naissance. Ainsi, les enfants n’ont habituellement plus besoin de couches à l’âge de 9 mois.

La technique utilisée par les mamans vietnamiennes consiste à apprendre à reconnaître les signes subtils et les habitudes du bébé, pour décoder lorsque celui-ci a besoin d’uriner. Puis, chaque fois que le bébé urine, les mères émettent un sifflement.

« La femme peut par la suite siffler pour rappeler à son bébé d’uriner. La méthode du sifflement commence dès la naissance et devient de plus en plus efficace pour la communication à mesure que le bébé grandit », a expliqué l’auteure de l’étude, Anna-Lena Hellström, selon Science Daily.

Les bébés commencent à montrer des progrès dès l’âge de 3 mois et peuvent habituellement utiliser la toilette à l’âge de 9 mois, avec des rappels. Ils sont habituellement complètement propres et autonomes avant 2 ans.

Les enfants occidentaux sont aujourd’hui propres plus tard qu’auparavant, et il n’est rare qu’ils continuent à porter des couches jusqu’à l’âge de 3, voire 4 ans.

L’auteure a par exemple relevé qu’en Suède, les parents croient habituellement que les bébés ne peuvent être propres et qu’il est préférable d’attendre que ça vienne de l’enfant.

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Une grenade qui fait maigrir

Vous aurez sans doute compris que l’on parle ici du fruit, qui a presque complètement perdu sa place dans le régime alimentaire nord-américain (comme bien d’autres excellents fruits et légumes, d’ailleurs).

Voilà que Top Santé rapporte une étude écossaise, effectuée à l’Université Queen Margaret d’Édimbourg, qui affirme que la grenade est une alliée de taille dans la lutte aux kilos en trop.

Il appert que cet aliment permet de mieux gérer sa faim et d’en ressentir beaucoup moins les effets.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les comportements de 29 sujets. Certains ont reçu des compléments de grenade à leur régime, alors que d’autres n’ont reçu qu’un simple placebo.

On leur demandait ensuite de se placer devant une bonne assiette de pâtes, alors que les chercheurs identifiaient les réactions de ces volontaires en les observant et par voie de sondages.

Les résultats semblent probants, à un point tel que les chercheurs peuvent affirmer que le groupe ayant reçu des suppléments de grenade ressentait moins la faim (12 % moins), se sentait plus satisfait après les repas (plus 16 %) et avait moins envie de manger constamment (21 % moins).

Avec de tels chiffres, la grenade n’a plus de raison de ne pas effectuer un grand retour dans votre assiette! On recommande les compléments et extraits de grenade, vendus dans plusieurs boutiques.

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Création de la première carte de l’intelligence émotionnelle humaine

Il s’agit d’une première : des chercheurs ont finalisé ce qui s’avère être une carte détaillée de l’intelligence émotionnelle chez l’humain, annonce The National Library of Medicine.

C’est en fait une carte des régions du cerveau qui abrite et provoque les réactions liées à cette intelligence, l’intelligence émotionnelle, et les chercheurs se sont basés sur des analyses effectuées sur des vétérans de la guerre pour y parvenir.

Ainsi, 152 vétérans aux prises avec différents types de blessures à la tête et au cerveau ont été soumis à des tests afin de déterminer les différences entre certains types d’intelligence.

Les spécialistes en tête de l’étude ont constaté que l’intelligence « classique » et l’intelligence émotionnelle sont souvent intrinsèquement liées, et qu’elles se « croisent » parfois lors de leurs réactions.

L’auteur principal de l’étude, Aron Barbey, explique : « Historiquement, nous croyions que l’intelligence générale était distincte de l’intelligence émotionnelle. Nous savons maintenant que des régions spécifiques du cerveau servent aux deux types d’intelligence, et que certaines blessures peuvent affecter certains aspects spécifiques de l’une ou l’autre, ou des deux ».

« Ce groupe de patients était remarquable, car il nous a permis de déterminer le degré de dommages nécessaires pour brimer le travail de ces réactions (intelligence émotionnelle et générale). »

Le Dr Barbey croit que ces découvertes permettront de meilleurs traitements dans le domaine neurologique.

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Plus de fruits et légumes abaisseraient les risques de cancer du sein

La réputation des fruits et légumes en matière de santé et nutrition n’est plus à faire, mais voilà que The National Library of Medicine propose une nouvelle étude qui parle d’une vertu bien précise de ces aliments.

Il s’agit du cancer du sein, plus particulièrement dans certaines de ses formes les plus agressives, qui pourraient voir ses chances de se développer baisser dramatiquement chez les femmes qui consomment régulièrement des fruits et des légumes.

Bien que les chercheurs précisent qu’ils ne sont pas parvenus à prouver directement une cause à effet, et que ce comportement ne ferait pas baisser les chances de développer un cancer du sein en général, ils sont convaincus qu’il est tout de même efficace contre les formes les plus difficiles à traiter de la maladie.

Ces formes, notamment, sont définies comme des « cancers du sein de type récepteur œstrogène négatif ». Ces tumeurs ne réagissent donc pas au flux d’œstrogène chez la femme et compteraient pour 15 à 20 % de tous les cancers du sein.

Les chercheurs du département de nutrition de Harvard avancent que les femmes qui mangent quotidiennement des fruits et légumes présentent des statistiques inférieures en ce qui a trait à ce type de cancer que leurs consœurs qui n’en consomment pas ou peu.