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Les éclairs et la migraine

Une étude qui nous provient du Missouri, rapportée par The National Library of Medicine, propose l’existence d’un lien entre la migraine et la tombée d’éclairs dans le voisinage.

Il n’est pas nouveau de voir des liens être créés entre les aléas météorologiques et la migraine, mais il s’agit d’une première en ce qui concerne la foudre. Les éclairs sont ciblés précisément ici, et les chercheurs se disent stupéfaits des résultats observés.

Ainsi, on allègue que les gens susceptibles d’avoir des maux de tête le seraient davantage lorsque des éclairs frappent dans un rayon de 25 miles (plus de 30 kilomètres).

« Nous sommes très surpris et très heureux de ces résultats. Il s’agit de la première étude qui réussit à établir un lien entre la foudre et la migraine », explique le Dr Vincent Martin, auteur principal de l’étude en provenance du collège de médecine de l’Université d’Ohio.

Bien que les éclairs ne soient pas des causes, ils seraient plutôt des déclencheurs importants. D’autres déclencheurs connus : le stress, le manque de sommeil et l’humidité.

Au final, les chercheurs croient que d’autres études sur le sujet seront nécessaires pour établir avec certitude cette causalité.

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Une étude relance le débat sur la marijuana thérapeutique

Des chercheurs israéliens viennent de jeter de l’huile sur le feu du débat concernant l’usage de la marijuana chez des patients souffrant de divers troubles, dont des maladies chroniques, annonce Santé Log.

On le sait, l’usage thérapeutique de cette drogue douce n’est pas vu d’un bon œil par tous les spécialistes et commentateurs, mais elle connait néanmoins des hausses impressionnantes de popularité, en pratique.

En effet, plusieurs praticiens n’hésitent plus à prescrire du cannabis à certains de leurs patients, et ce serait une bonne chose si l’on en croit les conclusions de l’étude proposée par l’Université de Tel-Aviv.

Les chercheurs en tête de l’étude ont noté une panoplie d’effets bénéfiques dans le traitement ou l’apaisement de plusieurs troubles et maladies chroniques ou autres, parlant même parfois de « résultats remarquables ».

Ce serait particulièrement vrai dans plusieurs cas de patients aux prises avec de la douleur, des troubles du sommeil, des problèmes d’appétit ou encore des problèmes musculaires (comme des spasmes ou des douleurs dorsales).

On note par ailleurs une baisse conséquente des autres traitements chez ces mêmes patients. Cela signifie que pour plusieurs, un traitement parallèle au cannabis permet de réduire les prescriptions de certaines drogues beaucoup plus fortes.

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Le yoga au secours de la santé mentale

Il appert que le yoga n’a pas que des vertus sur la santé physique, mais aussi sur la santé mentale. La discipline pourrait, apprend-on sur Santé Log, avoir des effets bénéfiques sur plusieurs aspects en santé mentale, notamment dans le traitement de la dépression et de la schizophrénie.

C’est du moins ce que croient les chercheurs de l’Université Duke, le Dr P. Murali Doraiswamy en tête, qui dévoilent les résultats d’une étude probante sur le sujet.

Ainsi, on apprend que la pratique du yoga peut non seulement aider les gens aux prises avec des troubles dépressifs légers, mais aussi ceux qui sont confrontés à des problèmes de stress, de sommeil, d’hyperactivité, de schizophrénie et de troubles de l’attention.

Bien que l’on prenne le soin de préciser que ceci implique surtout les troubles de dépression légère, et que tous ces maux ne peuvent malheureusement pas être réglés uniquement grâce au yoga, on confirme l’efficacité de ce « traitement »

Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont analysé les données de 124 autres études sur le sujet, qui abondent presque toutes dans le même sens.

On peut retrouver ces conclusions dans la plus récente édition de Frontiers in affective Disorders and Psychosomatic Reseach.

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Certains médicaments contre la fièvre pourraient causer des problèmes rénaux chez les enfants

Le Journal of Pediatrics publie les résultats d’une étude affirmant qu’environ 3 % des problèmes rénaux graves chez les enfants pourraient être directement attribués à ces médicaments.

Même si le nombre d’enfants ayant développé ces maladies était bas, les conséquences étaient sévères, puisque quatre d’entre eux avaient maintenant besoin de dialyse, et sept d’entre eux souffraient de dommages permanents.

La plupart des 1015 enfants étudiés avaient pris ces médicaments, par exemple l’Advil, dans les doses recommandées. Le risque était particulièrement élevé pour les enfants déshydratés ou qui avaient la grippe (l’influenza, et non pas le rhume), parce que ces médicaments fonctionnent en restreignant l’accès du sang aux composantes des reins qui doivent filtrer celui-ci.

L’auteur de l’étude, le Dr Jaon Misurac, a noté que ces résultats « étaient extrêmement significatifs, spécialement puisque des alternatives qui ne provoquent pas de dommages aux reins sont proposées », selon EurekAlert!.

Les médecins recommandent plutôt l’utilisation de l’acétaminophène (par exemple le Tylenol) chez les enfants qui font de la fièvre.

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Mauvaise économie et nutrition ne font pas bon ménage

Il appert que nos habitudes alimentaires pourraient varier en fonction de la santé économique du pays où l’on se trouve, lance Top Santé.

Selon des spécialistes basés à Miami, en Floride, une économie nationale laborieuse et une période de crise seraient des facteurs qui mèneraient les citoyens à se tourner vers une alimentation moins saine et plus grasse.

Est-il possible de manger ses émotions de façon collective? C’est un peu ce que propose l’étude américaine. Pour étayer cette théorie, les chercheurs de la Miami School of Business ont étudié les comportements de plusieurs sujets, divisés en deux groupes.

Le premier groupe a été placé devant une version de chocolats (une marque bien connue) auxquels on prêtait un apport calorique plus élevé. Le deuxième groupe a quant à lui été placé devant les mêmes chocolats, mais en version allégée, affirmait-on. Bien sûr, tous les chocolats étaient en fait les mêmes.

On a ensuite soumis les deux groupes à une série d’images, certaines alarmistes et inquiétantes, et d’autres plus neutres, moins négatives.

Résultats : 70 % plus de bonbons caloriques ont été dévorés lorsque les sujets étaient placés devant les images agressives et négatives.

On expliquerait ce comportement, outre par le stress, par le besoin inconscient de « se faire des réserves » en période de crise.

Les conclusions de cette étude légère sont parues dans le magazine Psychological Science.

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Les femmes porteuses du VIH ne devraient pas allaiter leur bébé

L’association de pédiatres (AAP) a publié un éditorial dans la revue Pediatrics, pressant les femmes porteuses du VIH de nourrir leur bébé de lait maternisé. Selon celle-ci, le seul moyen sûr d’empêcher la transmission du virus entre la mère et l’enfant est de s’abstenir d’allaiter.

Même si les mères reçoivent un traitement avec des antirétroviraux, et que leur taux de virus est très bas, celles-ci peuvent tout de même transmettre le VIH à leur bébé par le lait maternel.

Selon l’AAP, si la mère ne suit pas de traitement, le risque d’infection pour le bébé par l’allaitement est de 1 % par semaine dans les 4 à 6 premières semaines, puis de 0,2 % par semaine pour le reste de la durée de l’allaitement. Ce risque est cumulatif, posant une possibilité de transmission de 14 % pour le bébé.

Si la mère prend des antirétroviraux depuis au moins six mois, ce risque se situe plutôt entre 1 et 5 % pour le bébé. Le risque est plus élevé si la mère souffre d’une infection, si elle a une mastite ou si elle pratique l’allaitement mixte, rapporte Med Page Today.

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Il est possible d’améliorer le QI des jeunes enfants

Des chercheurs américains ont combiné les résultats de plusieurs études portant sur le quotient intellectuel des enfants et ont tenté de voir quelles interventions produisaient vraiment des résultats.

« Notre but premier était de créer une base de données sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas pour rendre les gens plus intelligents. Mais notre but au sens plus large était de comprendre la nature de l’intelligence et de voir comment celle-ci peut être stimulée à chaque phase du développement chez les humains », ont expliqué les auteurs, selon Science Daily.

Les jeunes participants des études étaient ce que l’on considère comme « normaux », c’est-à-dire qu’ils n’avaient pas reçu de diagnostic de difficultés intellectuelles et s’attardaient sur des interventions à moyen et long terme.

Au terme de leur analyse, les chercheurs ont constaté que certaines méthodes fonctionnent vraiment. Parmi celles-ci, donner des suppléments d’oméga-3 aux femmes enceintes et à leur bébé augmentait le QI de 3,5 points.

Les preuves étaient par contre insuffisantes pour affirmer que d’autres suppléments de vitamines et minéraux, comme le fer, la vitamine B et le zinc, avaient un effet sur l’intelligence.

Les interventions où les parents lisaient avec leurs enfants et les faisaient participer à la lecture apportaient 6 points de QI.

Envoyer son enfant à une garderie de type « installation » augmentait le QI de 4 points, et si cette garderie faisait une intervention spécifique langage, plus de 7 points étaient gagnés.

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Les fruits et légumes et la santé mentale

Les « rois de la bouffe » et protecteurs de la santé en alimentation, les fruits et légumes, sont maintenant affublés d’une nouvelle réputation, lance La Presse.

En effet, les fruits et légumes sont non seulement les meilleurs alliés de la minceur et de la santé, mais ils seraient aussi fort bénéfiques sur la santé mentale.

C’est du moins ce que croient des chercheurs néo-zélandais, alors qu’ils ont vérifié cette théorie sur 281 sujets, de jeunes adultes, sur une période de 21 jours. L’étude qui en ressort parle carrément d’un effet sur la bonne humeur!

« Les jours pendant lesquels les sujets mangeaient plus de fruits et légumes, ils rapportaient se sentir plus calmes, plus énergiques et plus dynamiques qu’à leur habitude. », conclut la Dre Tamlin Conner, auteure en chef de l’étude.

De plus, on signale que ces effets seraient observables également le lendemain. On peut donc dire que oui, il existe des impacts sur la santé mentale à manger des fruits et des légumes, puisque la bonne humeur (ou le fait d’être heureux) réduit le stress… et ce dernier est l’ennemi numéro un à abattre en santé dans notre société moderne.

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La gentillesse rendrait plus heureux

Ah! Le karma. Cette notion qui promet que chaque geste aura sa conséquence, que l’on récolte ce que l’on sème, et que le bien engendre le bien et le mal, le mal.

S’il s’agit d’une philosophie bien reconnue et fort véridique pour bien des gens, n’allez pas compter sur la communauté scientifique pour corroborer ce genre de théorie.

Voilà qu’à la surprise totale, certains chercheurs se sont penchés sur la variation du bonheur en fonction de nos actions, rapporte The National Library of Medicine, plus précisément l’impact de nos bonnes actions sur notre bonheur.

Ainsi, effectuer de beaux petits gestes altruistes permettrait d’être plus heureux, selon Sonja Lyubomirsky, professeure en psychologie à l’Université de Californie, qui étudie le phénomène du bonheur depuis plus de 20 ans maintenant.

Pour elle, il est clair que des actions positives engendrent des émotions tout aussi positives, et ainsi de suite. Elle précise également que le dosage de ces actions et activités est un facteur important, et une variable.

Aussi, répéter la même action finirait par atténuer son effet « bonheur ». Il faudrait donc varier nos gestes de générosité et de gentillesse, et en effectuer le plus souvent possible.

Étrangement, elle note que le meilleur rapport gentillesse/bonheur est observé chez les gens qui font une bonne action de façon hebdomadaire.

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De meilleures étiquettes pour de meilleurs choix santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude voulant que la population bénéficie grandement de meilleures étiquettes sur les produits qu’elle achète et consomme.

L’étude, effectuée par la FDA, croit que les consommateurs pourraient faire de meilleurs choix et ainsi être plus proactifs en ce qui concerne leur santé s’ils étaient mieux informés.

Ainsi, on suggère un système uniforme d’étiquetage, dans lequel on retrouverait les fameux tableaux nutritifs présentés sous forme plus détaillée et claire.

On éviterait ainsi aux gens la tâche de devoir multiplier et faire des calculs pour bien comprendre combien de calories ils consommeront, et quel sera l’apport alimentaire de leurs portions. On veut aussi s’assurer que les ingrédients soient tous inscrits.

« Je crois que les gens ont un véritable problème à bien interpréter les étiquettes et à bien comprendre de quoi il retourne. C’est presque comme s’il y avait une surcharge d’informations, en plus de ne pas être toujours très claires », commente le Dr Eric Matheson, chercheur en nutrition de l’Université de Caroline du Sud.

On pourrait donc assister à une révolution en la matière dans les prochains mois et les prochaines années.