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L’ultime truc minceur

On en parle souvent, et on rapportait des théories sur le sujet récemment d’ailleurs, mais voilà que des chercheurs se sont penchés officiellement sur la question et confirment que l’ultime truc minceur est bel et bien réel.

On ne parle pas ici de quoi manger, mais plutôt de comment le manger!

En effet, Santé Log rapporte que ce fameux adage qui dit que de prendre le temps de manger et de prendre de petites bouchées est excellent pour la santé et votre tour de taille serait tout à fait exact.

Pour confirmer le tout, les chercheurs originaires des Pays-Bas ont analysé les réactions de 53 participants qui se sont portés volontaires pour l’étude. On leur a fait avaler des aliments, notamment de la soupe, à différentes vitesses et avec des portions (bouchées) différentes.

On analysait aussi les comportements des sujets lorsque ceux-ci étaient distraits ou très concentrés.

Ainsi, les conclusions sont claires : les participants qui étaient concentrés à prendre de petites bouchées et à bien mastiquer ont consommé 30 % moins de calories (apport alimentaire) que les autres.

Il serait donc possible de réduire grandement cet apport, et d’ainsi mieux contrôler son poids, par ce comportement excessivement simple.

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Un nouveau nom pour désigner le syndrome ovarien polykystique?

Les National Institutes of Health annoncent avoir demandé à un panel d’experts de se pencher sur la question de l’appellation du syndrome ovarien polykystique, qu’il juge trop complexe.

Selon l’organisation, l’appellation actuelle apporte beaucoup de confusion au sein de la population, spécialement chez les femmes qui souffrent de ce syndrome.

Le syndrome ovarien polykystique est un désordre hormonal chez la femme qui peut créer de la douleur et des problèmes de fertilité. On note une hausse des cas rapportés en Amérique du Nord, et voilà pourquoi de plus en plus de spécialistes soulignent l’importance d’étudier le phénomène.

Le premier point à l’ordre du jour est justement le nom de ce syndrome, qui ne permet pas de bien comprendre sa complexité et ses impacts sur le corps et la santé des femmes.

« Le nom syndrome ovarien polykystique est une distraction qui nuit au progrès. Il est temps d’assigner un nom qui reflètera les interactions qui caractérisent ce syndrome. Le bon nom devra souligner et reconnaitre le problème et être favorable à une meilleure recherche », conclut le panel d’experts.

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Les enfants allergiques aux oeufs peuvent recevoir le vaccin contre la grippe

Un total de 31 enfants souffrant d’allergie aux œufs ont reçu soit une injection de 0,1 ml de vaccin trivalent contre l’influenza, soit une injection de solution saline. Si l’injection ne produisait pas de réaction, elle était suivie par le vaccin en entier, dans les deux groupes.

Puis, dans un deuxième volet de l’étude, 112 enfants allergiques aux œufs ont aussi reçu le vaccin, mais en deux demi-doses.

Aucun des enfants n’a eu de réaction, même après l’administration de la pleine dose du vaccin. Parmi les enfants du 1er volet, 45 % avaient déjà eu une réaction anaphylactique après avoir consommé des œufs, indiquant la forme la plus sévère de cette allergie, ainsi que 77 % des enfants ayant participé au 2e volet.

« Nous montrons, par deux méthodes différentes, que l’administration du vaccin saisonnier trivalent contre l’influenza est complètement sécuritaire pour les enfants souffrant d’une allergie aux œufs, et qu’il n’est pas nécessaire de séparer les doses », ont affirmé les auteurs de l’étude, selon Medscape.

Le vaccin contre la grippe est produit dans des œufs de poule, c’est pourquoi il existait une controverse ou une crainte quant à son administration pour les enfants allergiques.

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Attention à l’abus d’acétaminophène!

La FDA américaine met en garde toute la population contre l’abus d’acétaminophène en cette saison froide.

L’association croit que beaucoup de gens sont en ce moment même en train de surconsommer ce médicament, souvent sans le savoir. Elle explique que plusieurs médicaments populaires renferment de l’acétaminophène, et pas simplement les fameux cachets contre la migraine et les maux de tête.

Donc, au final, une personne grippée ou enrhumée pourrait consommer plusieurs médicaments qu’elle croit dénués d’acétaminophène, à tort, pour ensuite avaler quelques cachets contre la migraine.

Ce cocktail explosif dépasse donc largement la posologie pour ce médicament, et les gens n’en sont souvent même pas conscients. Il faudrait choisir quel mal nous voulons vraiment soigner, et nous concentrer sur celui-ci.

Ici, donc, des deux maux, il faut choisir le pire!

Selon la FDA, plus de 600 médicaments et traitements sur le marché contiennent de l’acétaminophène. Il serait donc bien de lire les étiquettes et de consulter son pharmacien avant de consommer quoi que ce soit, surtout lorsqu’on prévoit aussi avaler des cachets contre le mal de tête.

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Un protocole bien établi améliore le traitement d’enfants souffrant de septicémie

La septicémie est une infection bactérienne généralisée qui, si elle n’est pas traitée rapidement, peut être fatale. Plusieurs études précédentes ont prouvé que lorsque les patients reçoivent des antibiotiques moins d’une heure après le diagnostic, leur guérison est plus rapide et plus complète.

Parmi les patients pédiatriques ayant fait partie de l’étude, seulement 22 % ont obtenu des antibiotiques en une heure ou moins suivant le diagnostic. Toutefois, les enfants admis à l’urgence, où un protocole était en place, ont obtenu leur antibiotique plus rapidement que ceux qui se trouvaient dans les différents départements de l’hôpital, qui n’avaient pas de protocole.

Dans le premier cas, les enfants ont obtenu leur antibiotique en moyenne 90 minutes après le diagnostic, comparativement à 141 minutes pour les patients à l’extérieur de l’urgence. Le plus grand délai n’était pas entre le diagnostic et la prescription d’antibiotique, mais plutôt entre la demande formelle de ce médicament et son administration.

Les auteurs ont suggéré qu’un protocole relié à la septicémie devrait être mis en place partout dans les hôpitaux. Les médecins pourraient également s’assurer que leur demande d’antibiotique, dans le cas de ces patients dans un état critique, soit traitée par la pharmacologie le plus rapidement possible, selon MedPageToday.

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L’inflammation durant la grossesse pourrait augmenter le risque d’autisme

Pour l’étude menée en Finlande, les dossiers de 677 enfants ayant reçu un diagnostic de trouble du spectre de l’autisme (TSA) ont été analysés, puis jumelés avec le même nombre d’enfants au développement normal.

Les chercheurs ont constaté que les enfants avaient un risque de 43 % plus élevé de développer le trouble lorsqu’au début de la grossesse, leur mère avait été dans le 20e percentile supérieur pour la présence d’une protéine appelée CRP, indiquant l’inflammation.

Lorsque les mères avaient plutôt été dans le 10e percentile, ce risque devenait plus élevé, soit 80 %.

Les résultats de l’étude, publiés dans le journal Molecular Psychiatry, ajoutent aux preuves de plus en plus claires qu’une réponse auto-immunitaire exagérée durant la grossesse peut altérer le développement du système nerveux central chez l’enfant à naître, selon Science Daily.

L’auteure de l’étude, la Dre Linda Bimbaum, a expliqué que « le cerveau se développe rapidement durant la grossesse. Ceci a des répercussions importantes pour la compréhension de la manière dont notre environnement et nos gènes interagissent pour causer le TSA et d’autres problèmes neuro-développementaux ».

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La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.

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Une décennie de perdue pour les fumeurs chroniques

Les gens qui auront fumé tout au long de leur vie de façon chronique perdront l’équivalent d’une décennie en durée de vie, rapporte The National Library of Medicine.

Ces statistiques proviennent d’une profonde étude américaine qui se penchait sur le sujet. On avance donc que les fumeurs peuvent perdre jusqu’à dix ans de leur vie, à moins qu’ils ne cessent au bon moment…

Ce bon moment serait évalué à environ 35 ans. Donc, il serait possible de « récupérer » ces dix ans de vie si une personne décide d’arrêter de fumer avant d’atteindre la mi-trentaine.

Il y a donc de l’espoir pour plusieurs personnes, et on souligne aussi qu’il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’arrêt du tabagisme.

L’étude massive analysait les données de plus de 200 000 personnes et conclut que les taux de mortalité chez les fumeurs sont trois fois plus élevés que chez les non-fumeurs.

« Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les non-fumeurs, et d’une moins bonne pour les fumeurs. Même chose pour les femmes, qui affichent des statistiques comparables. Les femmes fument comme les hommes… et meurent comme les hommes », termine le Dr Jha, de l’hôpital St Michaels de Toronto.

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Seulement 20 minutes d’exercice par jour peuvent prévenir le diabète chez les enfants

Des chercheurs ont enrôlé 222 enfants obèses et leur famille dans l’étude. Ces enfants âgés de 7 à 11 ans faisaient très peu d’exercice et n’avaient pas de conditions médicales chroniques qui auraient pu influencer les résultats.

Toutes les familles ont reçu une formation sur un mode de vie sain, puis les enfants ont été séparés en 3 groupes : soit aucun exercice particulier, soit 20 minutes d’exercice aérobique par jour, soit 40 minutes d’exercice par jour.

Après 13 semaines, sans grande surprise, les enfants des deux groupes avec de l’exercice avaient de meilleurs résultats quant au marqueur de la résistance à l’insuline, qui est un signe avant-coureur du diabète.

Par contre, la différence entre les deux groupes d’exercice n’a pas été significative. Les enfants dans le groupe des 40 minutes d’exercice ont réduit leur taux de graisse corporelle de 1,4 %, comparativement à 0,84 % pour le groupe des 20 minutes.

Selon Medscape, les résultats « suggèrent que 20 minutes d’exercice par jour sont suffisantes pour voir des bienfaits sur la santé, et les écoles qui veulent réduire le temps récréation devraient tenir compte de ces données ».

 

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Vers une nouvelle manière de diagnostiquer le déficit d’attention?

Pour sa thèse de doctorat en pharmacologie, la chercheuse basque Alaitz Molano a prélevé 400 échantillons de salive chez des enfants ayant reçu un diagnostic de trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), ainsi que 400 échantillons chez des sujets qui n’avaient aucun problème de ce genre.

Parmi ces échantillons, un total de 250 polymorphismes, c’est-à-dire des variations génétiques entre les individus, ont été découverts, incluant 32 qui étaient directement reliés au TDAH, à l’évolution de la maladie, à son sous-type, à sa sévérité ainsi qu’à la présence d’autres problèmes.

L’analyse a même confirmé l’existence de 3 sous-types : le déficit d’attention, l’hyperactivité et la combinaison des deux. Mme Molano a expliqué « qu’il était véritablement possible de constater, sur le plan génétique, à quel sous-type les enfants appartiennent », selon Science Daily.

La doctorante propose de mettre au point une puce à ADN contenant les 32 polymorphismes et pouvant être mis à jour au besoin si d’autres sont découverts, afin de faciliter le diagnostic du trouble.

Dans le monde, le taux de TDAH oscille entre 8 et 12 % des enfants. Environ 50 % des jeunes patients diagnostiqués continuent de montrer les symptômes à l’âge adulte.

Jusqu’à présent, le diagnostic n’était basé que sur l’observation comportementale, et non sur une confirmation clinique.