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Le jeûne n’est pas la solution

Il n’aura pas fallu une étude très profonde et exhaustive pour constater les effets néfastes du jeûne dans une tentative de perte de poids.

En fait, selon ce que rapporte Santé Log, il n’aura fallu aux chercheurs que 30 sujets (des femmes) pour tirer leurs conclusions.

Et ces dernières ne sont pas en faveur du jeûne, le fait de ne pas manger, allant même jusqu’à mettre en garde la population des dangers possibles d’un tel comportement.

L’étude a été publiée dans le magazine Nutrition & Metabolism et souligne néanmoins qu’il est possible d’utiliser le jeûne temporaire comme outil dans une démarche de perte de poids massive, mais sous supervision d’un professionnel (médecin, nutritionniste, etc.).

On associe au fait de se priver totalement de nourriture durant 24 à 72 heures des symptômes et effets secondaires qui vont des troubles du sommeil à l’anxiété, l’angoisse et la somnolence en journée, jusqu’à la déshydratation et des troubles du caractère (stress, irritabilité).

On suggère donc, particulièrement aux jeunes et aux adolescents, d’éviter ce type de comportement extrême. On rappelle qu’il existe beaucoup de dangers inhérents au fait de prendre ou de perdre du poids rapidement.

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La malbouffe associée à l’asthme et l’eczéma chez les enfants

L’étude a inclus plus de 500 000 enfants et jeunes provenant de 51 pays différents, en faisant ainsi un portrait vraiment global plutôt rare dans le domaine de la recherche. Ceux-ci ont été interrogés sur leurs symptômes d’asthme, d’eczéma, et de rhinoconjonctivite, ainsi que sur leurs habitudes alimentaires.

Les enfants et les jeunes qui mangeaient de la malbouffe au moins trois fois par semaine avaient 39 % plus de chances que les autres de souffrir d’asthme sévère, tandis que ce risque était 32 % plus élevé pour la rhinoconjonctivite, et 70 % plus élevé pour l’eczéma sévère.

Ceux qui mangeaient de la malbouffe moins souvent, mais quand même une à deux fois par semaine, avaient également beaucoup plus de chances que les autres de souffrir de ces problèmes.

Fait remarquable: les chercheurs ont constaté que ceux qui mangeaient des fruits au moins trois fois par semaine bénéficiaient d’un effet protecteur devant ces maladies.

« Ces données sont de la plus haute importance pour les autorités en santé publique, étant donné la popularité grandissante de la malbouffe partout sur la planète », ont noté les auteurs dans le journal Thorax, tel que rapporté par Med Page Today.

Ils ont ajouté que « l’association avec la forme sévère de ces maladies et la consommation de fruits et de légumes serait à explorer chez chacun des pays participants ».

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La planche à neige, reine des blessures hivernales

The National Library of Medicine rapporte une étude qui place la planche à neige en tête de liste des sports d’hiver les plus dangereux.

Selon les U.S. Centers for Disease Control and Prevention, la planche à neige est responsable de près du quart des blessures sportives totales à survenir en hiver.

Le Dr Daryl O’Connor confirme ces statistiques en rappelant que l’hiver apporte son flot de nouveaux patients dans les hôpitaux un peu partout. Au banc des accusés : la planche, mais aussi le ski, la luge, le hockey et les traîneaux.

Ces derniers causeraient des lésions ou des blessures à près d’un million d’individus annuellement en Amérique du Nord!

Si la planche à neige est un sport louable et respecté (désormais présenté en compétition olympique), il en va autrement d’un autre fléau décrié par l’étude : le skitching.

Faisant référence au phénomène des gens (notamment des jeunes) qui se laissent trainer par un véhicule sur des routes enneigées ou glacées en se tenant au pare-chocs arrière, le skitching est une expérience qui peut s’avérer désastreuse, mettent en garde les spécialistes.

« C’est tout simplement inconscient », ajoute le Dr O’Connor.

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Les relations sérieuses augmenteraient l’espérance de vie

Célibataires, vous voudrez peut-être réviser votre style de vie à la suite de la parution d’une nouvelle étude qui traite de longévité et de relations amoureuses et sociales.

En fait, l’étude américaine propose le constat suivant : entretenir une relation amoureuse sérieuse et à long terme permettrait de vivre plus longtemps.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord, rapporte Santé Log, qui proposent ce constat, après avoir analysé les dossiers de près de 5000 personnes nées dans les années 40.

Ces sujets ont répondu aux questions des chercheurs, et ces derniers ont aisément remarqué que les gens qui vivaient en couple jouissaient d’une longévité supérieure.

Ceci serait particulièrement vrai à partir de 40 ans, souligne l’équipe de spécialistes. Être seul passé la quarantaine pourrait augmenter les risques de mortalité par trois fois, croient-ils.

Après avoir analysé les variables et les autres paramètres qui pouvaient influencer la santé des sujets en question, ils concluent que le concubinage a un réel impact, et un impact majeur.

Ceci pourrait s’expliquer par les réactions émotionnelles ressenties en couple, en plus des styles de vie plus sains qui accompagneraient ce choix de vie.

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Beaucoup plus de risques immédiats pour les enfants obèses

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 43 300 enfants américains âgés de 10 à 17 ans. Ils ont évalué la corrélation entre le poids et 21 différents indicateurs de leur santé générale, de leur fonctionnement psychosocial et de maladies spécifiques.

Les enfants obèses avaient trois fois plus de chances que les enfants de poids normal de souffrir d’au moins trois problèmes de santé physique, de santé mentale ou reliés au développement. Les jeunes qui avaient un surplus de poids sans pour autant être obèses avaient quant à eux un risque plus élevé de 30 %.

Les enfants obèses étaient plus susceptibles de souffrir de toutes ces conditions très variées, en plus d’une mauvaise santé générale : problèmes émotifs et comportementaux, problèmes scolaires, déficit de l’attention avec hyperactivité, dépression, problèmes cognitifs et de développement, asthme, allergies, maux de tête, otites et problèmes au niveau des os, des muscles et des articulations.

L’auteur de l’étude, Neal Halfon, qui est professeur à l’UCLA, a expliqué qu’il s’agissait de la première étude à « esquisser un portrait vraiment complet de l’obésité chez les enfants, et nous avons été vraiment surpris de constater le nombre de problèmes qui étaient associés à ce fléau dans une population aussi jeune », selon Science Daily.

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Votre chat pourrait améliorer votre santé

Si vous possédez un chat, et qu’il aime bien ronronner, il pourrait bien s’avérer plus utile que vous le croyez, spécialement en ce qui concerne votre santé!

C’est ce que l’on comprend des propos du Dr Jean-Yves Gauchet, vétérinaire et père de la théorie du « ronron », ou « ronron thérapie », comme il l’appelle.

Ses dires sont rapportés par Top Santé, et le docteur affirme que le ronronnement félin peut venir en aide à plusieurs patients qui souffrent, notamment, de problèmes d’anxiété et de stress.

« Quand l’organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique. C’est le premier signal que la mère envoie à son petit, un appel de reconnaissance et d’apaisement qui fonctionne aussi avec l’homme », lance le vétérinaire.

Cette idée est bien connue de certains peuples, notamment des Japonais.

Même son de cloche du côté de la journaliste Véronique Aiache, qui rappelle : « À fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal. Les vibrations émises par le ronronnement ont d’ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse ».

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La plupart des erreurs médicales seraient gardées secrètes

Un constat qui pourrait en effrayer plus d’un fait état de plusieurs erreurs médicales qui sont demeurées secrètes, les praticiens choisissant de ne pas révéler l’information à leurs patients.

Il semble que ce soit un comportement courant dans les corps médicaux du monde entier, rapporte nlm.nih.gov.

Il est cependant bon de spécifier que la plupart des erreurs non révélées dont on fait mention n’ont eu pour ainsi dire aucune conséquence sur les patients visés.

Doit-on alors inquiéter davantage un patient lorsqu’une erreur sans conséquence est commise? Voilà la grande question d’éthique qui se pose ici.

Le Dr Asad Latif, auteur en chef de l’étude, se dit surpris de ces révélations, mais prend le temps de préciser que 98 % des erreurs commises n’ont pas de réels impacts sur la santé ultérieure des patients.

De plus, il semble que la majorité de ces erreurs soient commises en urgence et aux soins intensifs, alors que la pression est à son paroxysme.

Il ajoute qu’il serait prématuré de s’inquiéter de ce phénomène, et que d’autres études sont à prévoir pour relancer le débat.

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Plus les enfants regardent la télé le soir, et moins ils dorment

Dans le cadre de l’étude, 2017 enfants âgés de 5 à 18 ans ont été interrogés sur l’heure à laquelle ils s’endormaient, les comportements sédentaires, l’activité physique et les soins durant les 90 minutes précédant l’heure du coucher. Les activités étaient évaluées en fonction du temps et selon leurs « coûts énergétiques » ainsi que leurs « propriétés psychométriques ».

Une heure de coucher plus hâtive était associée à beaucoup moins de temps passé devant les écrans. Il y avait une différence allant de 4 à 13 minutes de temps passé devant les écrans entre les sujets se couchant tôt et se couchant tard.

La Dre Louise Foley a relevé le fait que les enfants d’aujourd’hui dorment beaucoup moins qu’il y a 100 ans, et que le sommeil inadéquat est directement associé à des problèmes de santé et de comportements chez les jeunes.

Elle a ajouté que les écrans ne peuvent pas expliquer tous les problèmes, mais « pourraient bien contribuer à déranger le sommeil », selon ce que rapporte Med Page Today.

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Les émotions au service de la minceur

Top Santé rapporte une étude-sondage effectuée auprès de la population et de psychologues, qui explique que l’aspect émotionnel serait beaucoup plus important que l’on croit en matière de perte ou de prise de poids.

Pour contrôler son poids, on sait depuis longtemps qu’il faut manger moins et bouger plus. Les experts ne remettent aucunement en question cet état de fait, mais pensent que l’on doit également faire entrer la variable émotionnelle dans l’équation.

Ainsi, si vous respectez à la lettre les recommandations nutritionnelles et faites de l’exercice, mais que vous ne semblez pas arriver aux résultats escomptés, il se pourrait que vos émotions soient responsables.

Les répondants au sondage, professionnels ou non, affirment tous croire que les émotions jouent un rôle dans la perte ou la prise de poids, que ce soit pour le contrôle de soi (sur l’alimentation) ou encore la réaction éventuelle de l’organisme face à vos actions.

On suggère donc fortement aux gens qui veulent se mettre au régime ou changer radicalement de style de vie de consulter un spécialiste, un psychologue, afin de les aider dans leurs démarches.

Se faire aider par ses proches (encouragements, coaching, discipline) semble aussi être une technique qui porte des fruits.

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L’aspartame blanchi par les autorités européennes

Des conclusions de l’Autorité européenne de sécurité des aliments, rapportées par Top Santé, risquent fort de créer de vifs débats en matière de santé et de nutrition.

Les spécialistes européens viennent de « blanchir » l’aspartame, cet édulcorant utilisé notamment dans les boissons gazeuses et la gomme à mâcher pour remplacer le sucre.

Ils concluent donc que l’aspartame n’est d’aucun danger pour la population et les consommateurs, ce qui s’avère un brusque virage d’opinion. L’aspartame est considéré depuis longtemps comme un puissant ennemi de la santé, ce qui pourrait s’avérer un mythe.

L’étude semble étoffée, et des tonnes de documents connus ont été épluchées et analysées afin d’en venir à ce constat final.

« … pas de problème de toxicité pour les consommateurs aux niveaux actuels d’exposition », affirme l’équipe de chercheurs.

Ces derniers expliquent qu’avec les niveaux d’aspartame contenu dans les différents produits offerts sur le marché en ce moment, il faudrait une consommation inouïe, et ce, tout au long de la vie d’une personne, pour arriver à des seuils de toxicité dangereux.

L’Agence met toutefois en garde les femmes enceintes contre ces produits, et suggère de les éviter pendant la grossesse.