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Les avantages des amis imaginaires

Une chercheuse a compilé les résultats de 265 questionnaires remplis par des parents d’enfants qui avaient des amis imaginaires.

88 % d’entre eux affirmaient qu’ils ne voyaient pas d’inconvénients à ces « amis ». Les parents voyaient au contraire plusieurs avantages, par exemple de favoriser l’imagination et les jeux symboliques, ainsi que « d’avoir toujours un compagnon pour jouer et s’occuper ».

Les amis imaginaires peuvent également aider les enfants à traverser des périodes difficiles ou stressantes, et leur permettent même de tester les réactions de leurs parents, en blâmant l’ami imaginaire pour un petit méfait par exemple. En majorité, les enfants avaient des amis imaginaires du même sexe qu’eux, en particulier les petits garçons.

L’auteure de l’étude, la Dre Karen Majors, a expliqué que les résultats montrent que « les amis imaginaires offraient aux enfants un exutoire pour leur imagination, leur manière de se raconter des histoires, facilitant le jeu et le plaisir. Par-dessus tout, ces amis nous rappellent à quel point les enfants sont imaginatifs, ce qui devrait nous réjouir », selon Science Daily.

Ces résultats ont été présentés lors du récent congrès annuel de la British Psychological Society’s Division of Educational and Child Psychology.

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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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Un traitement intensif extrêmement efficace pour les enfants autistes

L’étude a inclus 35 enfants américains âgés de 7 à 12 ans, qui avaient reçu un diagnostic de trouble du spectre de l’autisme, mais à haut niveau de fonctionnement. 17 d’entre eux ont participé au « camp de jour » étalé durant 5 semaines pendant l’été, tandis que les 18 autres faisaient partie de la liste d’attente.

Le traitement se déroulait 5 jours par semaine, et les enfants étaient placés dans des groupes de 6, avec trois intervenants. Différents ateliers touchaient les habiletés sociales, le langage non verbal, la reconnaissance des émotions, et l’élargissement des intérêts. Les parents recevaient aussi des formations sur une base hebdomadaire.

À la fin du traitement, les enfants qui ont participé au camp de jour avaient des résultats beaucoup plus élevés que les autres quant du langage non verbal et la compréhension des comportements sociaux acceptables, de même que dans l’évaluation de leurs parents sur leurs comportements sociaux et la diminution des symptômes de l’autisme. Les enfants avaient également maintenu leurs acquis 2 à 3 mois après le camp.

Les auteurs de l’étude ont noté que les résultats étaient remarquables, puisque peu de traitements jusqu’à présent ont réussi à démontrer une diminution des symptômes à moyen ou à long terme, contribuant ainsi à un meilleur fonctionnement au quotidien, selon Science Daily.

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Est-ce vraiment mieux pour les enfants d’attraper des microbes lorsqu’ils sont jeunes?

Une large étude clinique publiée en 2002 semble confirmer que les petites maladies répétées en bas âge seraient bénéfiques à long terme.

En effet, selon cette étude, les enfants qui fréquentaient des garderies avec beaucoup d’enfants avaient deux fois plus de rhumes à l’âge de deux ans que ceux qui étaient dans de petites garderies ou restaient à la maison, mais à l’âge de 6 ans, lorsque tous ces enfants se retrouvaient à l’école, ils en attrapaient trois fois moins.

Une autre étude publiée en 2010 a confirmé ces résultats. Ce n’était qu’à l’âge de 13 ans que l’effet « protecteur » des grandes garderies et des maladies en bas âge s’estompait. L’explication : une fois qu’un enfant est exposé à un virus, son organisme produit des anticorps pour le combattre, et ces anticorps demeurent toute sa vie.

Une pédiatre, Yael Wapinki, a confirmé que « tous les enfants finiront par être exposés aux virus, ce n’est qu’une question de temps. Inutile de trop en faire sur le plan sanitaire : laver leurs mains suffit bien souvent. Il ne faut pas essayer de vivre dans une bulle! »

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Les aliments « organiques » sont-ils vraiment préférables?

De plus en plus de gens mangent sainement et ne jurent que par les produits bios. Les aliments dits « organiques » sont donc répandus et jouissent d’une popularité grandissante.

Mais valent-ils vraiment la peine? Voilà la question que pose www.nlm.nih.gov, en collaboration avec l’American Academy of Family Physicians.

D’abord, il faut comprendre que pour se qualifier comme producteurs organiques, les cultivateurs doivent se plier à une série de règles. L’une d’entre elles, probablement la plus importante pour les fans de ces produits, indique que les aliments doivent être cultivés et produits sans l’utilisation de produits chimiques ou de pesticides.

Un bon point, mais en contrepartie, il appert que les valeurs nutritives des aliments organiques sont très similaires à celles des autres produits traditionnels.

Par ailleurs, si la façon organique implique de ne pas utiliser d’agent de conservation, cela signifie aussi que les aliments arriveront à terme plus rapidement.

Il y a aussi les fameuses hormones de croissance, un dossier chaud, qui donnent un autre bon point à l’organique, qui en est dépourvu. On dit aussi que cette façon de faire serait nettement meilleure pour l’environnement.

Au final, on note cependant les coûts astronomiques des aliments organiques, ce qui pourrait en décourager plus d’un.

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Des distractions modernes placent les travailleurs à risque

Une étude provenant du Michigan traite d’un phénomène récent, mais tout à fait réel, celui des « distractions modernes » chez plusieurs types d’employés.

On parle ici bien sûr de certains gestes qui sont apparus de façon contemporaine avec la montée en flèche des appareils électroniques portables, mais aussi de ceux qui sont là depuis que le travail existe.

Donc, en plus des collègues qui viennent bavarder pendant que vous êtes occupé ou de la prise de courriels, l’apparition des messages texte et des médias sociaux ne viendrait qu’ajouter aux risques encourus par de telles distractions.

Selon l’étude américaine, rapportée par nlm.nih.gov, il peut s’agir de comportements aux conséquences minimes, voire banales, pour certains. Mais, pour d’autres, ce genre de distraction peut mener tout droit à la catastrophe.

Le chercheur Erik Altmann commente l’étude en soulignant le fait que les erreurs commises au travail sont statistiquement en hausse, ce qu’il considère comme inquiétant. Il nomme au passage quelques professions qui n’ont tout simplement pas le droit à l’erreur, comme les médecins urgentologues ou encore les mécaniciens spécialisés.

On suggère notamment aux employeurs de bien entourer leurs employés et de créer un environnement propice à la création et au travail, avec le moins de distractions possible.

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Prévention de la grippe : pas de régime en hiver

Une étude affirme que la pire résolution du Nouvel An pourrait être celle d’entamer un régime, rapporte Top Santé, puisque ce comportement laisserait la porte grande ouverte à la prolifération de la grippe.

C’est ce que l’on comprend des conclusions dévoilées dans cette étude américaine, qui rappelle l’importance d’entretenir un bon système immunitaire. Surtout en hiver, alors que plusieurs maladies aisément transmissibles se propagent allègrement, comme la gastro-entérite et la grippe, entre autres.

La Dre Elizabeth Gardner, de l’Université du Michigan et auteure de l’étude, explique : « À la base, nous pensions que la restriction de calories pouvait rendre le système immunitaire plus résistant, mais nous nous sommes aperçus que c’était en fait le contraire. Plus de calories pendant la saison grippale permettent d’éloigner le virus ou au moins de présenter moins de symptômes et de récupérer plus rapidement ».

Il faut donc manger pleinement lors de ces mois d’hiver, en choisissant aussi de bons aliments. Manger plus et éviter les régimes? Voilà une recommandation unique en son genre, surtout pour une étude en nutrition. Profitons-en!

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Le ginseng et la dysfonction érectile

On prête depuis des lunes des propriétés thérapeutiques ainsi que des vertus sexuelles et aphrodisiaques au ginseng.

Si certaines théories s’avèrent exactes, d’autres ne seraient que des légendes et des mythes. L’une d’entre elles propose que le ginseng puisse venir en aide aux hommes souffrant de troubles érectiles. Mythe ou réalité?

Santé Log s’est penché sur la question, en rapportant une étude coréenne sur le sujet. Publiés dans le Journal of Impotence Research, les résultats décevront les fans du ginseng : celui-ci n’aurait presque aucun effet sur les problèmes de dysfonction érectile.

Les chercheurs coréens parlent de « presque », car ils notent un léger effet placebo chez certains sujets, en plus d’une certaine amélioration des fonctions sexuelles chez des hommes déjà en bonne santé.

On lierait plutôt ce phénomène aux vertus aphrodisiaques confirmées du ginseng, plutôt que de parler de résolution dans les cas de troubles érectiles.

On attend d’autres recherches sur le sujet, mais il semble que ceux qui comptaient sur cet ancien ingrédient pour régler leur problème devront se tourner vers d’autres solutions.

Le ginseng ne comporte essentiellement aucun effet secondaire et peut être utilisé sans risque par la population.

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Un lien entre l’asthme chez les bébés et l’exposition au pollen durant la grossesse

Des chercheurs suédois ont analysé une cohorte de 110 381 enfants nés entre 1988 et 1995, incluant 940 jeunes qui avaient été hospitalisés pour de l’asthme durant leur première année de vie.

Pour bien évaluer l’exposition réelle des mères et de leur bébé au pollen, les chercheurs ont fait appel à des statistiques météorologiques historiques.

Même en ajustant les données pour tenir compte de facteurs incluant l’année de naissance, le tabagisme de la mère, le sexe, l’âge gestationnel à la naissance et les infections, une mère exposée à un haut taux de pollen durant les 12 dernières semaines de grossesse avait 35 % plus de chance que les autres d’avoir un bébé asthmatique hospitalisé, selon ce que rapporte Medscape.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Allergy, Asthma and immunology.

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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.