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Les statines en prévention de la démence

Une nouvelle étude en provenance de Taïwan propose une nouvelle propriété bienfaitrice aux fameuses statines, initialement prévues pour lutter contre les affres du mauvais cholestérol, notamment en protégeant le cœur.

Selon les chercheurs en tête de l’étude, les statines pourraient avoir une autre utilité, soit celle de contribuer à la lutte et à la prévention de la démence lors du vieillissement, rapporte Santé Log.

Menée par des spécialistes de l’Université Yang Ming et de Tapei, l’étude analysait des dizaines de milliers de sujets utilisateurs de statines, sur une période de cinq ans.

On estime à la suite des recherches une diminution des risques de démence de 22 % chez les consommateurs de statines, et une réduction de ces risques plus élevée chez les femmes, à 24 %.

Il appert également que l’effet maximal protecteur apparaitrait au bout de trois années d’utilisation.

On ne confirme cependant aucun effet direct sur une maladie en particulier, comme l’Alzheimer par exemple. Il s’agit cependant d’une découverte importante, qui abonde dans le même sens que plusieurs autres études qui avancent de nouvelles propriétés aux statines.

Les conclusions de l’étude taïwanaise ont été publiées dans le Journal of Cardiology.

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Les suppléments de testostérone potentiellement dangereux

Les hommes qui consomment des suppléments de testostérone sont peut-être plus à risque de développer des problèmes cardiovasculaires, selon une nouvelle recherche de l’Agence européenne du médicament (EMA).

La nouvelle rapportée par Top Santé fait état d’un risque accru de crise cardiaque, même si la FDA américaine n’a pas encore statué sur le sujet, après avoir promis de se pencher sur le dossier. La prise de ces suppléments est particulièrement élevée en Amérique du Nord, et l’EMA veut s’assurer de la sécurité des Européens en la matière.

Les risques sont évidemment plus élevés chez les hommes de 60 ans et plus. Une étude publiée par PLoS One avait d’ailleurs lancé une alerte après avoir constaté deux fois plus de cas d’arrêt cardiaque dans cette tranche d’âge, chez les hommes qui consommaient de la testostérone.

Les chercheurs de l’EMA veulent notamment déterminer si les dangers relatifs à la prise de suppléments de testostérone sont liés à la consommation directement ou encore aux comportements ultérieurs, comme une vie sexuelle plus active ou un entraînement physique plus intense.

Un dossier à suivre donc, mais qui laisse sous-entendre que la prudence est de mise en ce qui concerne les hommes et les suppléments de testostérone.

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Une étude pilote prometteuse contre la violence chez les jeunes

Les croyances et comportements violents des jeunes du premier cycle du secondaire peuvent être réduits grâce à l’implantation d’un programme d’intervention ciblé. C’est ce que rapporte Medical News Today.

Au terme de l’étude du Dr Manny Sethi, professeur adjoint de chirurgie orthopédique et de réadaptation, et ses coauteurs de Vanderbilt, un seul programme sur les 27 s’est avéré concluant. Ce programme a été testé dans une école secondaire de Nashville, où le taux de violence est très élevé.

La recherche a été publiée dans le Journal of Injury and Violence Research. Selon Dr Sethi, la résolution du problème réside dans la collaboration des médecins et des éducateurs. « Les gens sont victimes de blessures causées par la violence, mais nous traitons la conséquence, et non la cause. »

En tout, 122 étudiants se sont prêtés au programme de résolution de conflit. À la fin du programme, les résultats ont démontré une diminution importante du niveau de violence et une grande amélioration des compétences des étudiants pour gérer la colère et la violence.

En ce moment, le programme dont il est question est en pilote dans 10 écoles, atteignant une clientèle de 3500 élèves.

En 2011, ce sont 707 212 jeunes de 10 à 24 ans qui ont été traités à l’urgence pour des blessures dues à la violence physique.

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Toujours aucun traitement spécifique contre le syndrome du côlon irritable

Le syndrome du côlon irritable est défini par de multiples symptômes possibles et touche de plus en de gens. Si aucun traitement spécifique et efficace pour l’ensemble des patients n’est encore sur le marché, il existe cependant des pistes de solution, et il subsiste de l’espoir.

Le syndrome du côlon irritable peut prendre la forme de douleurs abdominales (ventre), de constipation et de sentiments de gonflement ou de ballonnement. Il est associé par plusieurs au stress grandissant ressenti par une grande partie de la population.

Éviter le stress s’avère donc la première piste pour calmer le jeu, et les symptômes sont souvent variables et réversibles, rappelle la FDA. Plusieurs pistes de solution sont envisagées pour l’avenir d’un traitement, mais de nombreuses questions demeurent.

« Il y a pas mal de recherches à propos du rôle des féculents dans le déclenchement du syndrome du côlon irritable, plus spécialement celui d’un nutriment appelé polyol. De plus, les médecins et chercheurs examinent de plus près le rôle du régime alimentaire. Bien que plusieurs conditions médicales ont une prédominance masculine ou féminine, on ne comprend pas encore pourquoi les femmes sont plus touchées par le syndrome », explique Andrew Mulberg, de la FDA.

Ce dernier suggère aux patients de consulter fréquemment leur médecin et de tenter de multiples expériences, notamment en réduction du stress et en alimentation, afin d’observer les variations des symptômes.

Les spécialistes ont bon espoir d’en arriver à un consensus et à un traitement du syndrome du côlon irritable dans le futur.

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Une diète à forte teneur en gras augmente les risques de cancer du sein

Les femmes qui observent des régimes à forte teneur en gras saturé sont plus à risque de développer un cancer du sein que les autres, nous dévoile une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des régimes comme la diète Atkins, par exemple, seraient possiblement des facteurs de risques supplémentaires à l’apparition éventuelle d’un cancer du sein chez la femme, conclut l’étude.

On évalue la hausse de ces risques à 28 %, selon les résultats proposés par les chercheurs du National Tumour Institute de Milan, en Italie.

« Les résultats de cette étude prospective sur une large population de femmes européennes indiquent que les diètes fortes en gras et gras saturés augmentent les risques du cancer du sein », mentionne la Dre Sabina Sieri, coauteure principale de l’étude.

L’étude tire ses conclusions de plus de 300 000 dossiers de femmes analysés au cours d’une période donnée, répartis dans 10 pays de l’Europe.

Les résultats de la Dre Sieri et de son équipe ont été publiés dans le Journal Of The National Cancer Institute.

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L’utilisation de Viagra pourrait augmenter les risques de cancer de la peau

Les hommes qui consomment du Viagra sur une base régulière pourraient courir davantage de risques de développer un cancer de la peau, selon des informations rapportées par Top Santé.

C’est une nouvelle étude américaine en provenance du Rhode Island qui propose ces conclusions inquiétantes, alors que des chercheurs de l’Université Brown estiment qu’une hausse remarquable des risques de cancer de la peau est observable chez les consommateurs de Viagra.

Un risque qui augmenterait même de 84 %, un nombre qu’on ne peut négliger, chez certains sujets mâles.

« Mais comme nous n’en sommes qu’aux études préliminaires, il est encore trop tôt pour suggérer aux hommes de cesser de prendre du Viagra », mentionne le Dr Abrar Qureshi de l’Université Brown.

L’étude propose cependant des résultats préliminaires inquiétants, obtenus à la suite de l’analyse de 26 000 sujets américains.

D’autres recherches seront effectuées afin de confirmer ces premiers résultats et décider si une campagne d’avertissement doit être lancée par la suite.

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Troubles alimentaires : Les hommes font souvent fi des symptômes

Si les troubles alimentaires peuvent aussi toucher les hommes, il semble que ces derniers s’en préoccupent souvent peu ou pas du tout, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

La recherche en provenance de l’Angleterre analysait 29 femmes et 10 hommes diagnostiqués avec des troubles alimentaires. Du nombre des maladies ou problèmes reconnus comme des troubles alimentaires, on retrouve la boulimie, l’anorexie et la consommation chronique de nourriture (binge eating).

Les hommes sondés par l’étude ont tous affirmé n’avoir reconnu les symptômes de leur problème que très longtemps après leur apparition. L’une des principales raisons qui expliquent le phénomène serait tout bonnement que les hommes croient trop souvent que les troubles alimentaires ne touchent que les femmes.

Les symptômes communs des troubles alimentaires reconnus vont du calcul obsessif des calories à l’entraînement excessif, un comportement de plus en plus répandu chez les hommes.

Les chercheurs britanniques en tête de l’étude appellent la gent masculine à faire preuve de prudence dans ses comportements alimentaires et dans ses activités physiques, et à se renseigner sur le sujet.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine BMJ Open.

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L’arsenic dans l’eau potable pourrait nuire aux performances du cerveau

La présence d’arsenic dans l’eau potable inquiète un grand nombre de citoyens et de spécialistes, même si celui-ci se retrouve souvent en faibles quantités.

Il n’en demeure pas moins que le fait d’associer l’arsenic à l’eau potable semble terrifiant, et une nouvelle étude en provenance de l’État du Maine donne des munitions à cette peur, selon The National Library of Medicine.

La présence de traces d’arsenic dans l’eau potable du Maine n’étant pas un secret pour ses citoyens, des chercheurs ont décidé de faire passer des tests d’intelligence et de performance mentale à des groupes de jeunes étudiants, dont certains sont davantage exposés à la présence d’arsenic.

Les craintes des chercheurs américains se sont avérées fondées, alors que ces derniers ont observé des résultats plus faibles chez les groupes exposés à l’arsenic.

« Même si le fait d’acheter un filtre standard à la quincaillerie est inadéquat pour traiter l’eau potable des puits, la bonne nouvelle est qu’il existe des étapes pour améliorer la situation », explique l’auteur des travaux, Joseph Graziano.

Ce dernier fait référence à un système appelé « inversement de l’osmose », malheureusement coûteux. Des programmes éducatifs sont également offerts aux familles du Maine pour en apprendre davantage sur le phénomène et les méthodes de prévention possible.

Les conclusions et observations de l’étude menée par M. Graziano ont été publiées dans le journal Environmental Health.

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Le tabac, nouvel allié de la lutte au cancer?

C’est toute une nouvelle, aussi ironique que paradoxale, que nous propose le Daily Mail (UK) en matière de lutte au cancer.

Le quotidien rapporte en effet une nouvelle étude qui dévoile les bienfaits et les possibilités du tabac dans la lutte au cancer. g

Ironiquement, des scientifiques ont identifié une molécule dans la plante du tabac, utilisée par cette dernière comme système de défense, qui permet de combattre contre les infections et les bactéries.

Connue sous le nom de NaD1, la molécule agirait d’une telle manière sur la cellule visée que celle-ci exploserait littéralement. On peut donc comprendre l’intérêt des chercheurs basés à Melbourne, en Australie, pour la plante et sa molécule miraculeuse.

« La prochaine étape est d’effectuer des études cliniques préliminaires afin d’évaluer le rôle potentiel de la NaD1 dans le traitement du cancer », explique le Dr Mark Hulett, du La Trobe Institute for Molecular Science de Melbourne.

Des recherches très prometteuses, en définitive, qui pourraient s’avérer spectaculaires au cours des prochains mois. D’ici à la publication de la suite des travaux et essais, inutile de rappeler que les cigarettes et les divers produits du tabac sont à éviter complètement, même considérant les possibilités de la plante en tant que telle.

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La caféine permettrait de lutter contre le développement de l’Alzheimer

Une nouvelle étude avance et confirme que la caféine permettrait bel et bien de lutter contre le développement de la démence et de la maladie d’Alzheimer, rapporte Santé Log.

C’est une équipe de l’Université de Bonn, en Allemagne, et de l’Université de Lille, en France, qui s’est penchée sur les effets bienfaiteurs présumés de la caféine en prévention de l’Alzheimer.

L’équipe conjointe franco-allemande a rapidement observé les effets protecteurs de la caféine sur des souris, qui se voyaient mieux protégées contre le développement de certaines protéines (notamment la protéine Tau) associées à la maladie d’Alzheimer.

Cette récente étude va de pair avec de précédentes recherches sur le sujet, qui confirmaient presque toutes les effets préventifs du café et de la caféine sur la mémoire et le déclin cognitif.

Les effets seraient observables à la suite d’une consommation « régulière à modérée », ce qui laisse entendre que les accros du café possèdent un avantage marqué en prévention de l’Alzheimer.

D’autres études seront nécessaires avant de confirmer ces observations, mais les chercheurs ont bon espoir de pouvoir confirmer la théorie, et même d’utiliser d’autres molécules relatives à la caféine pour possiblement créer une forme de traitement de la maladie.

Les conclusions tirées de l’étude franco-allemande ont été publiées dans le magazine Neurobiology of Aging.