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Une étude explique pourquoi les filles ont de meilleures notes que les garçons à l’école

Des chercheurs ont analysé les données provenant de plus de 5800 enfants de la maternelle à la cinquième année, comparant leurs résultats scolaires dans des tests standardisés à l’évaluation de leur performance par leur enseignant. Leur constatation : l’écart entre les sexes commence tôt et favorise uniformément les filles.

La différence entre les deux se trouvait, toujours selon l’étude, non pas dans les capacités cognitives, mais plutôt dans « l’attitude envers l’apprentissage » que démontraient les enfants.

Cet aspect était défini comme « la manière dont chaque enfant était investi dans la classe, la manière dont il ou elle gérait les problèmes de façon externe ou interne, la fréquence à laquelle l’enfant “perdait le contrôle” de soi, et la manière dont il ou elle développait des liens interpersonnels ».

Les filles performaient généralement mieux dans six aspects bien définis : l’attention, la persistance à accomplir une tâche, la volonté d’apprendre, l’autonomie, la flexibilité et l’organisation.

Sans en arriver à une conclusion définitive sur l’influence de l’enseignant dans cet écart, les auteurs ont remarqué que « la vaste majorité des enseignants au primaire sont des femmes », selon ScienceDaily.

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Les médecins utilisent les médias sociaux dans le cadre de leur travail

Une intéressante étude rapportée par www.nlm.nih.gov nous apprend qu’un médecin sur quatre utiliserait les médias sociaux alors qu’il est au travail.

Ce serait du moins le cas en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis, alors que les médecins avouent sans honte utiliser ces systèmes. Et ce ne serait pas que pour se payer du bon temps, mais aussi pour discuter entre collègues et échanger de l’information, ce qui s’avère une bonne idée, selon plusieurs.

Ces résultats découlent d’un sondage effectué auprès de plusieurs membres de la communauté médicale, plus particulièrement en oncologie. On y apprend que 14 % des médecins et oncologues sondés partagent de l’information qu’ils ont obtenue quotidiennement sur les médias sociaux, afin d’en faire profiter leurs collègues.

61 % affirment utiliser ces nouveaux médias au moins une fois par semaine, et 46 % disent partager des informations aussi de façon hebdomadaire.

Au final, le consensus semble être que les médias sociaux sont une bonne chose pour les praticiens, qui se disent plus près de leurs patients et de leur réalité, en plus d’avoir effectivement obtenu ou partagé d’importantes informations médicales qui les aident dans leur travail.

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Le fructose est-il le véritable coupable du surpoids?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui porte encore une fois un blâme au fructose, un sucre retrouvé dans les fruits, qui se voit réutilisé mécaniquement dans une panoplie de produits retrouvés sur le marché, sous la forme notamment du sirop de maïs.

Cette fois, on suggère que le fructose pourrait bien être la cause principale de la hausse des cas d’obésité et des statistiques désastreuses concernant le poids moyen des Nord-Américains.

C’est qu’en plus d’être un sucre et de ne pas posséder de véritables vertus pour la santé, le fructose ne couperait pas non plus la faim. Ainsi, malgré de larges quantités ingérées, les gens seraient tout de même enclins à manger rapidement de nouveau pour aller finalement chercher ce sentiment de satiété.

Ce sont des chercheurs de l’Université Yale qui arrivent à ces conclusions, après avoir analysé les réponses cérébrales de 20 sujets types, des hommes adultes en santé, à la suite de la consommation de produits renfermant de fortes doses de fructose.

Les hormones associées à la satiété ne sont pas produites en grande quantité lorsque les sujets consomment du fructose. Pour les spécialistes, cela signifie que le cerveau envoie le message que le corps a encore faim, malgré des tonnes de calories déjà consommées.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Les médecins se portent à la défense de la récréation

L’American Academy of Pediatricsa publié un communiqué vantant les avantages de la récréation, expliquant qu’il s’agissait « d’une pause nécessaire durant la journée » et ajoutant qu’elle devrait « être considérée comme du temps personnel pour les enfants, et ne pas être enlevée pour des raisons scolaires et punitives », selon Med Page Today.

Le fait de prendre une pause entre les périodes de manière complètement séparée de l’environnement de la classe aide les enfants à mieux assimiler les connaissances et à améliorer leur performance scolaire.

La récré diminue également le stress chez les enfants, et elle les fait explorer un environnement social non structuré « qui favorise l’apprentissage social et émotionnel, en leur donnant du temps pour interagir avec leurs pairs et apprendre des compétences sociales essentielles », affirme le communiqué.

La fréquence et la durée des récréations devraient être « suffisantes pour permettre aux écoliers de décompresser mentalement », ont ajouté les pédiatres.

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De nouvelles recommandations sur la bactérie C. difficile chez les enfants

L’American Academy of Pediatrics a publié un rapport sur les enfants atteints de la bactérie Clostridium difficile, qui cause une diarrhée sévère, souvent après l’administration d’antibiotiques qui ont détruit la flore intestinale.

L’association de pédiatres recommande aux médecins de chercher d’autres causes de maladies qui pourraient infecter les jeunes enfants, et ce, même lorsqu’ils ont reçu une confirmation de la présence de la bactérie.

Les médecins expliquent ce point de vue par le fait que les très jeunes enfants ont un taux de colonisation asymptomatique de la bactérie C. difficile beaucoup plus élevé que celui des adultes, signifiant que ce n’est pas nécessairement celle-ci qui aurait causé les symptômes.

Ainsi, chez les bébés de 12 mois et moins, qui peuvent avoir un taux de colonisation asymptomatique aussi élevé que 37 %, les médecins ne recommandent même pas de faire un test pour le C. difficile, sauf dans les cas de troubles inhérents spécifiques.

« Il est possible de considérer un test pour les enfants âgés de 1 à 3 ans, mais nous recommandons tout de même de commencer par chercher d’autres causes de la diarrhée, en particulier des causes virales, chez cette population », indique le rapport, selon Med Page Today.

Chez les enfants âgés de 3 ans ou plus, qui ont un taux de colonisation similaire à celui des adultes, une confirmation de la présence du C. difficile explique probablement l’infection. Souvent, l’arrêt des antibiotiques est suffisant pour cesser l’infection, ont noté les pédiatres.

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L’environnement économique lié à la délinquance plus tard

Pour une nouvelle étude, des chercheurs ont tenté de trouver un parallèle entre la crise économique qui a eu lieu aux États-Unis au début des années 80 et la délinquance des jeunes en 1997. Ils ont analysé les données provenant de 8984 adolescents qui étaient nés entre 1980 et 1984.

Ils ont découvert que si les jeunes avaient été exposés à une déviation de seulement 1 % du taux régional de chômage à l’âge de 1 an, ils étaient plus susceptibles de fumer de la marijuana, de boire de l’alcool, de se faire arrêter par la police, d’appartenir à un gang de rue ou d’avoir commis un vol.

Les chercheurs ont toutefois indiqué qu’il n’y avait pas de lien pour ce qui est de la consommation de drogues dures et de violence physique.

« Nos données suggèrent que des conditions économiques défavorables durant la petite enfance pourraient créer des circonstances qui affectent le développement psychologique de l’enfant et mener à des problèmes de comportement à l’adolescence », a indiqué l’auteur, Seethalakshmi Ramanathan, selon Science Daily.

Les résultats ont été publiés dans le journal médical Archives of General Psychiatry.

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Bientôt une application pour allergiques

La technologie fait des miracles chaque jour dans le domaine de la santé, non seulement en milieu hospitalier où des vies sont sauvées, mais aussi quotidiennement dans des contextes un peu plus banals, mais tout aussi importants.

Voilà qu’une autre percée pourrait bien venir changer la vie des gens aux prises avec des problèmes d’allergies alimentaires fréquentes, puisque santelog.com rapporte qu’une nouvelle application de téléphone intelligent ferait bientôt son apparition sur le marché… afin de détecter les allergènes!

Donc, plus question de s’inquiéter avant de prendre une bouchée qui pourrait s’avérer fatidique, puisque l’application détecterait les dangers avant qu’ils soient dans votre bouche.

Science-fiction? Pas vraiment. Bien que cela semble impossible, on comprend que la personne qui veut utiliser ce système devra se procurer un dispositif spécial (appelé pour l’instant iTube) qui permettra d’évaluer si le repas devant vous est dangereux pour vos allergies ou non.

Il faudra également attendre 20 minutes avant que l’application termine le processus, expliquent les chercheurs californiens (UCLA) qui ont créé la technologie.

On s’attend à ce qu’une commercialisation du produit soit imminente, et qu’il connaisse un énorme succès

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Chialer serait bon pour votre santé

Voici une étude qui en fera rigoler plus d’un et qui donnera des munitions aux personnes qui aiment bien maugréer, ruminer, chialer, bref, exprimer leur mécontentement.

C’est que selon ce que rapporte topsante.com, exprimer ses émotions négatives et ses humeurs maussades serait excellent pour la santé.

Plus question de dire à ces personnes de cesser ce comportement, hélas! Plus encore qu’un simple truc santé, toujours selon l’étude allemande, ce comportement pourrait même être l’une des raisons qui expliquent la longévité accrue des Italiens et des Espagnols!

Ces peuples sont reconnus pour être plus extravertis, critiques, bref, avec le sang chaud. Le fait qu’ils émettent leurs opinions et émotions à voix haute serait excellent pour l’organisme, qui ne réprime pas de « mauvaise énergie ».

Cette étude vient corroborer plusieurs théories qui prétendent que le secret d’une longue vie en santé passe par la façon de gérer ses émotions, dont le stress.

Une autre étude rapportait même que les gens qui ne mentent pas ont une durée de vie plus grande! Alors, si vous êtes du genre à dire « oui » quand vous voulez dire « non », ou que vous réprimez vos émotions négatives, il serait sûrement temps de vous exprimer!