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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.

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1 patient pédiatrique sur 4 ne va pas chercher ses médicaments d’ordonnance

Une analyse américaine a inclus 4800 patients pédiatriques, qui ont reçu un total de 16 953 prescriptions lors d’environ 11 000 visites à un médecin. Les enfants et leurs parents avaient 60 jours pour aller chercher la prescription, après quoi celle-ci était considérée comme non réclamée.

Les chercheurs ont évalué que 78 % des prescriptions ont été réclamées après deux mois, incluant 69 % dans les 24 premières heures. Les médicaments ont été classés selon 8 catégories, chacune avec son propre taux de réclamation.

Les multivitamines et le fer avaient le taux de réclamation le plus bas, avec 64,7 %. Venaient ensuite des médicaments gastro-intestinaux, avec 71 %. Les stimulants prescrits pour le déficit de l’attention et l’hyperactivité n’étaient réclamés que dans 71,5 % des cas, tandis que les médicaments dermatologiques et les analgésiques avaient un taux de réclamation de 74,5 %.

Les médicaments pour l’asthme (80,3 %) et les antibiotiques oraux (91,2 %) étaient les plus réclamés, selon Medscape.

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La ventilation continue ne semble pas nuire aux grands prématurés

L’étude a été menée auprès de 1316 nouveau-nés « grands prématurés », c’est-à-dire nés entre 24 et 28 semaines de gestation. Ceux-ci ont reçu soit une VPPC, qui permet de toujours garder leurs voies respiratoires ouvertes, dès leur naissance, soit des surfactants.

Le taux de décès avant 18 à 22 mois ainsi que les déficiences neurologiques et reliées au développement à ce stade étaient similaires entre les deux groupes, c’est-à-dire 27,9 % pour le VPPC et 29,9 % pour les surfactants.

Parmi les bébés du groupe de VPPC, certains ont reçu un taux de saturation d’oxygène élevé, tandis que le taux de saturation d’oxygène était plus bas pour les autres. Il n’y avait pas de différence significative entre ces deux sous-groupes, à l’exception de la mortalité, qui était légèrement plus fréquente pour les nouveau-nés du deuxième sous-groupe (22,1 % pour ceux dont la saturation de l’oxygène était basse, contre 18,2 % pour les autres).

« La VPPC peut constituer une alternative aux surfactants, même chez les prématurés aussi jeunes que 24 semaines. Une saturation de l’oxygène plus basse ne peut toutefois pas être recommandée pour les grands prématurés », ont conclu les auteurs de l’étude, selon MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le New England Journal of Medicine.

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L’obésité chez les tout-petits est en baisse

Le Journal of the American Medical Association rapporte qu’après une augmentation constante depuis les années 90, une légère baisse de l’obésité pédiatrique a été observée. Le taux d’obésité extrême est quant à lui passé de 2,22 % en 2003 à 2,07 % en 2010.

L’étude a porté sur plus de 27 millions d’enfants américains provenant de 30 États et appartenant à des familles à faible revenu.

Durant la période, l’obésité extrême a diminué chez tous les groupes ethniques, sauf pour les Amérindiens, incluant ceux de l’Alaska. La plus grande réduction a été observée chez les enfants de 2 ans et chez ceux d’origine asiatique ou des îles du Pacifique.

Les résultats suggèrent « des progrès récents modestes dans la prévention de l’obésité chez les jeunes enfants », a avancé le Dr Liping Pan, auteur de l’étude, cité par MedPageToday. « Mais il y a encore des implications très importantes pour la santé publique, à cause des risques pour la santé associés à l’obésité et à l’obésité extrême durant l’enfance, étant donné que ces risques perdurent pour la vie entière. »

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La douleur chez les enfants serait d’ordre génétique

Les chercheurs ont d’abord analysé les gènes de 168 enfants qui allaient subir une opération lourde, soit abdominale, soit des os et des tendons, ainsi que ceux de leurs parents. L’étude était particulièrement à l’affût de variantes possibles pour six gènes possiblement reliés à la douleur.

La douleur de ces enfants a ensuite été mesurée dans les 24 premières heures suivant la chirurgie. Pendant ce temps, les patients avaient un accès direct à un analgésique puissant, dérivé de la morphine.

Les enfants qui avaient une variante du gène ABCB1, qui transporte le médicament au système nerveux central, étaient 4,5 fois plus susceptibles d’éprouver un niveau de douleur élevé, tandis que ce risque était 3,5 fois plus élevé pour les enfants présentant une variante du gène OPRM.

Toutefois, les chercheurs ont constaté que même si les variantes génétiques affectaient le niveau de douleur, elles ne semblaient pas avoir d’influence sur le dosage total d’analgésique que les enfants avaient reçu. Ce dosage, puisqu’il était contrôlé par les patients eux-mêmes, était un indicateur objectif important de la douleur.

L’auteure de l’étude, la Dre Chantal Mamie, a noté que « les données suggéraient fortement que la réponse à la douleur était d’origine génétique chez les patients pédiatriques », selon Science Daily.

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Une protéine dans le sang liée à l’état dépressif

On apprend par l’entremise de www.nlm.nih.gov que des chercheurs viennent d’identifier une protéine spécifique qui pourrait indiquer l’état dépressif, voire mener à la maladie.

Les chercheurs danois qui publient cette étude croient avoir remarqué que les taux de la protéine C réactive dans le sang sont clairement plus élevés chez les gens qui souffrent de dépression que chez les autres.

Il est d’autant plus intéressant d’apprendre cet état de fait que la hausse de C réactive est aussi un symptôme lié aux inflammations ou à certaines infections.

Une grande question demeure : ces taux de protéine C réactive dans le sang sont-ils simplement des indicateurs ou sont-ils aussi en cause dans le développement des troubles dépressifs?

Bien sûr, s’il était prouvé que les humeurs peuvent varier en fonction de ces taux, les chercheurs pourraient éventuellement en arriver à certaines nouvelles formes de traitement.

Pour l’instant, le Dr Borge Gronne, du Copenhagen University Hospital, se limite à confirmer que les gens avec des taux élevés de C réactive sont deux à trois fois plus sujets à la dépression que les autres.

Il précise par contre qu’ils ignorent lequel déclenche quoi, c’est-à-dire quelle action vient en premier.

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L’Amérique latine serait la région la plus heureuse du monde

Le Daily Mail rapporte une étude intéressante et divertissante qui donne la palme du bonheur à l’Amérique centrale, ou l’Amérique latine, si vous préférez.

On apprend en effet que malgré des conditions de vie plus difficiles dans certains pays et une économie moyenne parfois fragile, les habitants de ces régions seraient les plus heureux, optimistes et agréables à vivre.

Les auteurs s’étonnent de voir d’autres peuples du monde, comme les Japonais par exemple, ne pas faire bonne figure dans ce genre de palmarès, malgré de bonnes situations financières et une espérance de vie élevée.

Il semble donc que ni l’argent ni les prévisions de longévité n’influencent le bonheur. C’est le premier constat que l’on peut décoder de cette étude, menée par la société Gallup, spécialisée en sondage.

Les gens de Gallup ont interrogé 1000 personnes par pays dans 148 pays pour en arriver au bilan final.

85 % des résidents du Panama et de l’Uruguay se disent heureux, et les proportions sont également très élevées chez les citoyens du Salvador, du Venezuela, de Trinidad et Tobago, du Guatemala et des Philippines.

On suggère donc aux touristes pour qui l’hospitalité et la joie de vivre sont des facteurs importants de songer à visiter ces pays et l’Amérique latine.

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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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Des chercheurs découvrent la protéine responsable d’une maladie génétique infantile très rare

Des chercheurs ont découvert qu’une protéine appelée gigaxonine joue un rôle dans la dégradation des filaments intermédiaires qui forment la structure des cellules nerveuses.

Un défaut dans le fonctionnement de cette protéine expliquerait pourquoi les enfants qui souffrent de NAG ont une agrégation massive de ces filaments dans leurs cellules neuronales.

Dans le cadre de l’étude, les chercheurs ont obtenu des cellules provenant de la peau d’enfants atteints du NAG ainsi que d’autres personnes non atteintes. Lorsqu’ils ont introduit le gène de la gigaxonine dans ces cellules, les agrégats de filaments anormaux sont disparus.

La NAG est une maladie génétique qui s’attaque au système nerveux central et périphérique des enfants. Il n’y a en ce moment que 31 cas rapportés dans le monde, incluant 19 aux États-Unis. La maladie cause une dégénération des muscles progressive, mais continue. Il n’existe aucun traitement, et peu de ces enfants survivent jusqu’au début de l’âge adulte.

Cette découverte pourrait avoir des implications pour d’autres maladies caractérisées par une accumulation de filaments reliés aux protéines, par exemple le Parkinson ou l’Alzheimer, ont indiqué les chercheurs, selon Medical News Today.

Les résultats de cette recherche ont été présentés au récent congrès de l’American Society for Cell Biology.

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Un enfant sur trois qui souffre d’une allergie alimentaire est victime d’intimidation

Les chercheurs ont sondé 251 enfants allergiques ainsi que leurs parents. Ceux-ci ont répondu à des questionnaires portant sur l’intimidation en général, que celle-ci soit reliée ou non aux allergies, sur la qualité de vie et sur une possible détresse vécue par les enfants ou par leurs proches.

Presque la moitié des parents dont les enfants étaient victimes d’intimidation n’étaient pas au courant, et ce, même si leur enfant affirmait souffrir d’un niveau plus élevé de stress ainsi que d’une moins bonne qualité de vie.

« Les parents et les pédiatres devraient souvent demander aux enfants qui ont des allergies alimentaires s’ils sont victimes d’intimidation. Découvrir ce fait permettrait des interventions ciblées, ce qui pourrait mener à une réduction du stress et à une amélioration de la qualité de vie chez ces enfants qui doivent gérer leurs allergies alimentaires », a expliqué le Dr Eyal Shemesh, auteur principal de l’étude, selon Science Daily.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.