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Un enfant sur trois qui souffre d’une allergie alimentaire est victime d’intimidation

Les chercheurs ont sondé 251 enfants allergiques ainsi que leurs parents. Ceux-ci ont répondu à des questionnaires portant sur l’intimidation en général, que celle-ci soit reliée ou non aux allergies, sur la qualité de vie et sur une possible détresse vécue par les enfants ou par leurs proches.

Presque la moitié des parents dont les enfants étaient victimes d’intimidation n’étaient pas au courant, et ce, même si leur enfant affirmait souffrir d’un niveau plus élevé de stress ainsi que d’une moins bonne qualité de vie.

« Les parents et les pédiatres devraient souvent demander aux enfants qui ont des allergies alimentaires s’ils sont victimes d’intimidation. Découvrir ce fait permettrait des interventions ciblées, ce qui pourrait mener à une réduction du stress et à une amélioration de la qualité de vie chez ces enfants qui doivent gérer leurs allergies alimentaires », a expliqué le Dr Eyal Shemesh, auteur principal de l’étude, selon Science Daily.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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Certaines zones du génome seraient plus particulièrement sujettes à des mutations

La revue médicale Cell a publié les résultats d’une recherche portant sur la séquence d’ADN et montrant que certaines « grappes » peuvent subir des mutations parfois 10 fois plus fréquemment que le reste du génome.

Pour le bien de l’étude, les chercheurs ont séquencé l’ADN de 40 personnes, plus spécifiquement 10 paires de jeunes jumeaux qui souffraient d’un trouble du spectre de l’autisme, ainsi que leurs parents.

L’expérience a révélé environ 600 mutations « germinales », c’est-à-dire présentes chez les deux jumeaux, mais pas chez leurs parents, et une moyenne de 60 mutations uniques chez chaque enfant.

« Le nombre total de mutations n’est pas surprenant », a indiqué l’auteur, Jonathan Sebat, selon Science Daily, « puisque celui-ci correspond à ce à quoi nous pouvions nous attendre en nous basant sur le taux de mutation normal chez les humains. »

Cependant, la présence de nombreuses mutations dans des « grappes » données était un fait nouveau.

« Nos données procurent une certaine perspective dans le développement de l’autisme – apparemment, le génome humain n’hésite pas à modifier ses gènes importants… Au contraire, les gènes responsables des maladies faisaient preuve d’hypermutabilité. »

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Certaines zones du génome seraient plus particulièrement sujettes à des mutations

La revue médicale Cell a publié les résultats d’une recherche portant sur la séquence d’ADN et montrant que certaines « grappes » peuvent subir des mutations parfois 10 fois plus fréquemment que le reste du génome.

Pour le bien de l’étude, les chercheurs ont séquencé l’ADN de 40 personnes, plus spécifiquement 10 paires de jeunes jumeaux qui souffraient d’un trouble du spectre de l’autisme, ainsi que leurs parents.

L’expérience a révélé environ 600 mutations « germinales », c’est-à-dire présentes chez les deux jumeaux, mais pas chez leurs parents, et une moyenne de 60 mutations uniques chez chaque enfant.

« Le nombre total de mutations n’est pas surprenant », a indiqué l’auteur, Jonathan Sebat, selon Science Daily, « puisque celui-ci correspond à ce à quoi nous pouvions nous attendre en nous basant sur le taux de mutation normal chez les humains. »

Cependant, la présence de nombreuses mutations dans des « grappes » données était un fait nouveau.

« Nos données procurent une certaine perspective dans le développement de l’autisme – apparemment, le génome humain n’hésite pas à modifier ses gènes importants… Au contraire, les gènes responsables des maladies faisaient preuve d’hypermutabilité. »

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Les oméga-3 ne préviendraient pas la fibrillation auriculaire

Plusieurs études et recherches ont suggéré dans le passé que les oméga-3 étaient bénéfiques pour contrer les effets de la fibrillation auriculaire, ou atriale, une condition qui se définit par des battements irréguliers du cœur.

La plus récente étude sur le sujet, rapportée par www.nlm.nih.gov, suggère qu’il n’en est rien. À tout le moins, si les oméga-3 ont un effet sur cette condition, il serait minime, selon les chercheurs.

« Il n’y a aucun rôle de prévention joué par les oméga-3 en ce qui concerne la fibrillation auriculaire. Les patients qui souffrent de cette condition n’obtiennent pas de résultats grâce aux oméga-3. Par contre, il est possible que ceux-ci puissent aider à la prévention, mais la preuve est loin d’être faite », lance un Dr Alejandro Macchia convaincu.

Ce dernier est responsable de l’étude et voit d’un mauvais œil que l’on attribue aveuglément des propriétés aux oméga-3.

Les problèmes de fibrillation auriculaire sont plus communs qu’on pourrait le croire et peuvent mener à de sérieux problèmes de santé, voire la mort, en plus d’être très coûteux aux systèmes de santé dans le monde.

Les chercheurs indiquent cependant que la prise d’oméga-3 ne peut nuire aux gens qui souffrent de cette condition, et que ceux-ci possèdent réellement de belles qualités pour la santé cardiaque.

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Les grains entiers réduisent les risques de prédiabète

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui donne de bonnes notes aux grains entiers en matière de prévention du diabète. Plus précisément, on parle ici de prédiabète, une condition qui se caractérise par une hausse massive des taux de sucre dans le sang et qui précède souvent le diabète.

Les chercheurs suédois en tête de ces recherches ont fait la preuve de cette affirmation en analysant les résultats obtenus sur deux groupes de personnes. Le premier groupe a reçu des doses importantes de grains entiers (50 grammes et plus) durant la période d’essai, et le deuxième groupe en recevait moins de 30 grammes par jour.

Au final, les chercheurs sont convaincus : ajouter des grains entiers à son alimentation peut réduire les risques de prédiabète jusqu’à 27 %.

« Ceci est d’une grande importance, parce que les statistiques concernant le prédiabète sont en hausse. Près d’un quart des gens aux prises avec une condition de prédiabète développeront le diabète dans leur vie », explique Tina Wirström, de l’Hôpital Universitaire Karolinska.

Il appert également que ce « régime de grains entiers » fonctionne mieux chez l’homme que chez la femme, en vertu des résultats obtenus.

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Le QI ne mesurerait pas l’intelligence avec précision

Le QI, pour quotient intellectuel, est cette unité de mesure qui sert à déterminer la force de votre intelligence, qu’elle soit faible, moyenne ou au-dessus de la masse.

Utilisée depuis longtemps, elle plait à ceux qui ont de bons scores, alors que ceux qui obtiennent de moins bons résultats sont enclins à critiquer la méthode, on le comprendra.

Ceux-ci peuvent toutefois se réjouir d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par topsante.com, qui prétend que l’unité de mesure connue sous le nom de « quotient intellectuel » ne serait pas précise et ne permettrait pas de définir réellement l’intelligence globale d’une personne.

C’est que selon les chercheurs britanniques en tête de l’étude, il faudrait au minimum trois tests différents pour arriver à un résultat concret. Des facteurs comme la mémoire à court terme, le raisonnement et les compétences verbales, notamment, devraient aussi être pris en compte dans l’évaluation de l’intelligence.

De plus, des tests sur le cerveau effectués par l’équipe de chercheurs ont démontré l’existence de trois types d’intelligence qui s’appuient sur différentes zones cérébrales.

Pour eux, il faut revoir radicalement la façon dont on analyse l’intelligence humaine.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le magazine Neuron.

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Un rapport sur le vieillissement en santé déposé au Nouveau-Brunswick

Les autorités du Nouveau-Brunswick ont mandaté un groupe d’experts pour déterminer les meilleures façons de garder sa population vieillissante en bonne santé le plus longtemps possible.

Le rapport a finalement été déposé cette semaine et souligne plusieurs actions possibles afin de donner une meilleure qualité de vie aux aînés, rapporte Radio-Canada.

Entre autres, on parle des soins et de la résidence à domicile, qui seraient de loin préférables à l’institutionnalisation ou la vie en résidence, surtout du point de vue psychologique.

« Le Nouveau-Brunswick est la province où les gens de 65 ans et plus sont les plus âgés. Il faut faire quelque chose, avoir un plan pour l’avenir. Il faut trouver un moyen où les gens pourront demeurer chez eux plutôt que d’être au foyer de soins. La province n’a pas les moyens de construire des foyers de soins à tout jamais, malgré que 97 % des gens demeurent dans leur résidence. C’est une stratégie globale. On parle par exemple de transport, de logement, il faut avoir la collaboration de tous les groupes », lance Pierre LeBouthillier, porte-parole du groupe de chercheurs et d’experts dont il fait partie.

Il veut aussi que le gouvernement crée un comité sur la question, afin d’effectuer un suivi du dossier au fil de la prochaine décennie. D’autres rapports et recommandations sur le sujet sont donc à prévoir.

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Le stress aussi dangereux que la cigarette

Peu importe le nombre d’études qui sortent concernant les effets et dangers du tabagisme ou d’une mauvaise alimentation, un autre facteur commun serait aussi néfaste que les autres : le stress.

C’est ce que confirme une nouvelle étude sur le sujet, que rapporte topsante.com. Les chercheurs de l’Université Columbia en tête de l’étude affirment que les gens stressés nuisent à leur cœur, de la même façon que s’ils consommaient l’équivalent de cinq ou six cigarettes par jour.

L’étude en question analyse et compile les résultats de six autres études précédentes, qui confirment toutes cet état de fait.

Les conclusions des chercheurs sont publiées dans la plus récente édition du Journal of Cardiology et parlent d’un risque d’accident ou de maladie cardiaque accru de 27 % chez les gens qui affirment ressentir du stress sur une base quotidienne.

Bien entendu, le corps humain est capable de tolérer un certain degré de stress, mais si celui-ci devient très intense et régulier, c’est-à-dire que vous le vivez chaque jour, il vous faudra certainement réviser certains aspects de votre vie.

Après tout, il en va de votre santé cardiaque… et mentale!

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Un nouveau test d’urine pour mieux détecter la maladie de Kawasaki

Des chercheurs ont découvert un ensemble de protéines détectées dans l’urine des enfants atteints de la maladie de Kawasaki.

Cette maladie cause une inflammation des vaisseaux sanguins, ce qui, si la maladie n’est pas diagnostiquée à temps, peut mener à des problèmes cardiovasculaires graves.

Un test d’urine permettrait donc un diagnostic plus rapide et, par conséquent, un meilleur traitement.

La maladie de Kawasaki affecte seulement 1 enfant sur 10 000 aux États-Unis, mais sa prévalence a beaucoup augmenté dans les dernières années, et ce, partout dans le monde. Au Japon, par exemple, elle atteint maintenant un enfant sur 100 chez les 5 ans ou moins.

La maladie se traite facilement et ne cause habituellement pas de séquelles, mais la rapidité d’intervention est cruciale : environ 25 % des enfants non traités vont faire un anévrisme de l’artère coronarienne.

À l’heure actuelle, il n’existe pas d’outil de diagnostic simple, et les symptômes de la maladie, comme de la fièvre, des éruptions cutanées et des ganglions enflés, peuvent être facilement confondus avec d’autres infections bactériennes ou virales fréquentes chez les jeunes enfants.

Les chercheurs ont identifié 190 protéines spécifiques qui ne se trouvent que chez les enfants atteints de la maladie. Le test d’urine, jusqu’à maintenant utilisé uniquement sur un petit nombre de patients, s’est avéré efficace à 98 % pour distinguer la maladie des autres infections, selon EurekAlert!.

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Les réseaux sociaux nuiraient à une alimentation saine

Une étude traitant des médias sociaux vient de paraître et accuse ce genre de site d’être un ennemi du contrôle de soi, et par conséquent d’une saine alimentation.

C’est ce qu’on apprend par l’entremise de santelog.com, qui rapporte les conclusions de l’étude proposée par l’Université Columbia et l’Université de Pittsburgh.

Selon les chercheurs, les sites comme Facebook peuvent mener à des comportements de négligence personnelle, notamment en ce qui concerne l’alimentation.

Outre les nombreuses heures passées devant l’écran, c’est un autre facteur qui viendrait renforcer ce phénomène : celui de la confiance en soi.

Il appert que s’il existe plusieurs aspects néfastes à cette nouvelle technologie, cette dernière permet également d’augmenter la confiance en soi. Cependant, avec la confiance viennent des choix plus égoïstes, notamment de manger ce que l’on désire au détriment de ce dont on a besoin.

Les gens seraient plus enclins à prendre de multiples collations lorsqu’ils sont en permanence sur le Web, expliquent les chercheurs.

Les chercheurs croient également que d’autres comportements peuvent être encouragés par cette nouvelle « dépendance », comme la boulimie et l’anorexie, par exemple.

Il y a fort à parier que plusieurs autres études sur le sujet seront publiées en 2013.