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Les fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol.

Les taux de mauvais cholestérol, appelé LDL, représentent un facteur de risque pour la santé cardiovasculaire. La hausse observable du phénomène au sein de la population pousse les chercheurs à tenter de trouver des solutions naturelles et alimentaires au problème.

C’est ainsi que des chercheurs canadiens se sont penchés sur les propriétés des pois et des lentilles, en se basant sur l’analyse de 26 études alimentaires sur le sujet, comprenant au total de plus de 1000 sujets volontaires.

Les résultats démontrent que seulement une portion par jour (3/4 de tasse) de ces légumes permet une réduction du LDL de 5 %.

5 % qui signifient aussi directement une baisse du risque cardiovasculaire de 5 %, selon le Dr John Sievenpiper de l’Hôpital St. Michaels de Toronto.

Même si aucune cause à effet n’a été démontrée, tous les spécialistes ayant travaillé à ces études ou ayant été questionnés sur le sujet n’ont pas hésité à conseiller vivement la consommation des pois, fèves et lentilles pour améliorer les taux de cholestérol dans le sang.

Les résultats de cette plus récente méta-analyse ont été publiés dans le Canadian Medical Association Journal.

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La dépression est un facteur de risque d’insuffisance cardiaque

Alors qu’on pourrait croire que la dépression et les troubles dépressifs nous font tourner au ralenti et que, par conséquent, ils nous éloignent de la crise ou du problème cardiaque, il semble que ce soit le contraire.

Une nouvelle étude dévoile des statistiques alarmantes en la matière, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs norvégiens évaluent la hausse du risque d’insuffisance cardiaque à 40 % chez les personnes dépressives.

« Nous avons constaté une relation entre les symptômes dépressifs et le risque de développer une insuffisance cardiaque. Cela signifie que le plus vous vous sentez déprimé, plus vous êtes à risque d’infarctus » explique l’infirmière Lise Tuset Gustad.

C’est en évaluant 1500 cas d’insuffisance cardiaque au cours de l’étude que les chercheurs ont découvert que 40 % d’entre eux vivaient des problèmes de dépression. On recommande maintenant aux personnes qui se sentent déprimées de consulter rapidement un spécialiste.

« Les personnes qui ont perdu tout intérêt pour les choses auxquelles elles prenaient plaisir, comme lire ou regarder une série télévisée, peuvent présenter les premiers signes de la dépression. C’est une bonne idée de les inciter à consulter le médecin pour obtenir quelques conseils sur la façon de réduire le niveau de dépression », estime Mme Lise Tsuet Gustad.

Les conclusions de l’étude ont été présentées dans le cadre de l’EuroHeartCare, un congrès annuel de la Société européenne de cardiologie.

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Le lait sans gras en prévention de l’ostéo-arthrite chez la femme

Une nouvelle étude vante les mérites du lait sans gras ou faible en gras en prévention de l’ostéo-arthrite chez la femme, rapporte MedicalNewsToday.

L’effet serait particulièrement vérifiable en prévention de l’ostéo-arthrite du genou et permettrait de retarder l’apparition de troubles de la santé similaires.

Attention cependant, d’autres produits laitiers comme le fromage et le yogourt ne possèderaient pas les mêmes facultés. L’étude américaine effectuée par le Brigham & Women’s Hospital de Boston ne confirme que les effets bienfaiteurs du lait sans gras.

« La consommation de lait joue un rôle important dans la santé des os. Notre étude est la plus large à enquêter sur l’impact de la consommation de produits laitiers sur la progression de l’OA (ostéo-arthrite ) du genou. Nos résultats indiquent que les femmes qui boivent fréquemment du lait peuvent réduire la progression de l’OA », lance l’auteur principal de l’étude, le Dr Bing Lu.

Ce dernier avoue cependant que d’autres études seront nécessaires pour en savoir davantage sur le sujet, mais que la recherche actuelle est concluante.

Les résultats et conclusions de l’étude de la Brigham & Women’s Hospital de Boston ont été publiés dans le journal Arthritis Care & Research.

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Le cellulaire pourrait nuire à la santé sexuelle des hommes

Les hommes qui portent ou tiennent leurs téléphones intelligents et cellulaires dans leurs mains constamment pourraient courir le risque de voir leur santé sexuelle s’affaiblir, selon une nouvelle étude européenne rapportée par le Daily Mail (UK).

La recherche menée par le chercheur Badereddin Mohamad Al-Ali s’attarde aux effets d’une trop longue utilisation de ces appareils sur la santé sexuelle des hommes, et constate un possible effet négatif.

On a comparé les résultats d’hommes séparés en deux groupes, dont l’un utilisait moins son téléphone, et l’autre plus fréquemment. Une différence de la santé sexuelle et une hausse des risques de dysfonction érectile ont été observées chez ceux qui tenaient dans leurs mains et leurs poches un téléphone allumé sur une longue période, quotidiennement.

« Les hommes souffrant de dysfonction érectile utilisent leurs téléphones plus souvent que ceux qui n’en souffrent pas, et conservent ces appareils plus longtemps allumés dans leurs poches que les autres », conclut M. Mohamad Al-Ali.

Bien que l’étude soit petite, et qu’il est impossible de conclure à une cause à effet, les chercheurs poursuivront leurs travaux avec de plus grands groupes d’hommes afin d’en découvrir davantage.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Central European Journal of Urology.

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Enrayer l’E. coli grâce aux bactériophages

Le MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des bactériophages contre l’E. coli, cette bactérie retrouvée dans certains aliments.

Ce sont des chercheurs de l’Université Purdue qui proposent la théorie et croient que les bactériophages permettraient d’enrayer 99 % des traces d’E. coli dans les aliments visés.

C’est d’ailleurs le résultat obtenu à la suite de l’essai et l’injection de bactériophages dans du brocoli et de la viande de bœuf, rapporte-t-on dans l’étude.

« Le traitement par les “phages” permet de libérer les propriétés naturelles antibactériennes de celles-ci, et de limiter l’E. coli et les autres pathogènes importants transmis par la nourriture », explique le professeur Paul Ebner.

Les résultats sur le brocoli ont même parfois atteint un taux de réussite de 99,9 %, ce qui s’avère une bonne nouvelle.

« Les bactéries ont des virus tout comme nous. On prend ce qui existe déjà dans la nature et on le concentre afin d’avoir un impact sur cette bactérie », conclut M. Ebner.

La souche d’E. coli testée par Ebner et ses collègues aurait fait à elle seule 20 morts et causé plus de 60 000 maladies aux États-Unis, en 2011 seulement.

Les résultats de l’étude de l’Université Purdue ont été publiés dans le Journal of Animal Science.

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Des médecins s’inquiètent d’éventuels surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer

Pourrait-on voir un phénomène de surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer dans le futur, notamment avec la hausse des cas potentiels liés au vieillissement global de la population? C’est la conclusion que proposent des médecins britanniques dans une nouvelle étude, rapporte Top Santé.

Ces derniers estiment à 44 millions le nombre de personnes qui souffrent de troubles et déclins cognitifs, un nombre qui pourrait tripler d’ici 2050.

La hausse ouvre donc la porte aux diagnostics de plus en plus hâtifs, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi puisque la maladie d’Alzheimer peut être ralentie lorsque prise en charge rapidement.

Mais il existe un piège. « Fixer des objectifs pour le nombre de diagnostics de la maladie d’Alzheimer est dangereux. Le désir de faire grimper les taux pourrait pousser certaines personnes à être diagnostiquées à tort », explique le Dr Martin Brunet.

De nombreuses autres maladies et divers autres troubles de santé font également partie de ce qu’on appelle communément la « démence », et les médecins britanniques s’inquiètent de voir les patients qui en souffrent être mal diagnostiqués et, par conséquent, traités.

On estime cependant que la maladie d’Alzheimer représente jusqu’à 80 % des cas reconnus de démence.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Un Québécois sur trois ignore sa prescription

Radio-Canada rapporte une statistique étonnante qui porte à réflexion, alors qu’une nouvelle étude affirme que le tiers des Québécois ne respecte pas les ordres du médecin lorsque celui-ci effectue une prescription.

Un Québécois sur trois, donc, ignorerait le traitement prescrit par son médecin, un résultat qui étonne les chercheurs de l’Université McGill en tête de l’étude. Malgré tout, la statistique ressemble au résultat obtenu chez nos voisins du sud, alors que les États-Unis affichent des résultats semblables en la matière.

Les raisons de ces refus d’obtempérer ne sont pas encore connues, puisque l’étude en question ne comprend pas de sondage à cet effet. On ne peut donc que spéculer sur les résultats obtenus par l’épidémiologiste Robyn Tamblyn, mais on peut s’attendre à ce que la peur des médicaments et leurs coûts parfois très élevés soient au cœur du phénomène.

38 % des prescriptions d’antidépresseurs, par exemple, ne seraient pas respectées par les patients, un sommet dans cette étude. Encore plus inquiétant, un nombre élevé de prescriptions de médicaments contre l’insuffisance coronaire, l’hypertension artérielle, le cholestérol et le diabète ne sont également pas respectées.

Les conclusions et statistiques de l’étude ont été publiées dans les Annals of Internal Medicine.