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Des chercheurs développent une prothèse cardiaque « vivante » pour les nouveau-nés

Des chercheurs du Texas ont publié les résultats de leur recherche, provenant de nombreuses années d’effort pour en arriver à créer une prothèse cardiaque biocompatible, qui bat comme un cœur humain.

Aux États-Unis, environ un enfant sur 250 naît avec une malformation cardiaque congénitale, mais seulement 3 à 6 sur 10 000 souffrent d’un problème appelé tétralogie de Fallot, qui requiert l’ajout d’une prothèse sur le ventricule droit du cœur.

En ce moment, ces prothèses sont faites de tissus synthétiques ou prélevés sur des vaches ou sur le corps du petit patient. Elles servent à protéger les tissus cardiaques et à permettre à ceux-ci de bien se développer. Le problème est qu’elles ne grandissent pas avec le patient et ne s’incorporent pas vraiment aux tissus cardiaques.

Puisque les prothèses actuelles sont considérées par le corps comme un « tissu mort », le cœur fonctionne moins bien avec celles-ci, ce qui expose ces enfants à un risque plus élevé de développer de l’insuffisance cardiaque, de l’arythmie et de la fibrillation.

La prothèse « vivante » développée par les chercheurs pourrait remplacer avantageusement les prothèses artificielles, tout en se dégradant naturellement dans le corps une fois que le cœur n’en a plus besoin.

Toutefois, il reste encore plusieurs années de recherche avant que cette nouvelle prothèse puisse être utilisée, selon ce que rapporte Medical News Today.

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Les enfants ne devraient pas boire plus de deux verres de lait par jour

Pediatrics publie les résultats d’une étude observationnelle révélant que boire trop de lait nuit aux réserves de fer chez les enfants de 2 à 6 ans.

Plus spécifiquement, chaque verre dépassant la limite établie à deux faisait augmenter le niveau de vitamine D de 6,5 % chez les enfants, mais réduisant également les précieuses réserves de fer de 3,6 %.

Selon les experts, boire deux verres par jour, pour un total de 500 ml, est suffisant pour les enfants, leur apportant le calcium et la vitamine D nécessaires, tout en ayant un effet minimal sur les réserves de fer.

Un bémol a été soulevé pour les enfants à la pigmentation de peau plus foncée, par contre, puisque ceux-ci réussissent moins bien à métaboliser la vitamine D. Ces enfants pourraient par exemple prendre un supplément de la vitamine.

La vitamine D et le fer sont tous deux vitaux pour les enfants. Le premier est crucial pour la santé des os et la prévention de plusieurs maladies, tandis que le deuxième joue un rôle clé dans le développement cérébral et psychomoteur, selon MedPageToday.

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Les besoins spéciaux des enfants malentendants

Même si les études prouvent que les enfants malentendants ont les mêmes capacités scolaires que les autres, leur participation dans la classe et leur intégration sociale est plus difficile.

Même avec des prothèses auditives, ces enfants ont souvent du mal à bien comprendre l’information nécessaire à cause du bruit ambiant, et ils peuvent se sentir laissés pour compte.

Des chercheurs ont mesuré la compétence sociale ainsi que l’impression de solitude perçue par des enfants malentendants dans deux contextes différents : l’inclusion individuelle, où un seul enfant malentendant faisait partie d’une classe ordinaire, et l’inclusion de groupe, où une classe ordinaire comptait plusieurs de ces enfants avec des problèmes d’audition.

Les enfants en inclusion individuelle avaient une compétence sociale plus élevée que ceux faisant partie de l’inclusion de groupe. La capacité de bien parler était cruciale au sein des deux groupes. Moins bonnes étaient leurs habiletés langagières, et plus ils étaient susceptibles de se sentir seuls.

L’auteure de l’étude, la professeure Tova Most de l’Université de Tel-Aviv, a affirmé que l’intégration était généralement positive pour ces enfants, « leur permettant d’être plus proches de la maison et d’interagir avec des enfants de leur voisinage », selon Science Daily.

Cependant, elle a également précisé que pour les enfants qui ne possèdent pas de bonnes habiletés langagières et cognitives, l’intégration peut se révéler un échec.

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Londres : sale et inhospitalière?

Si la nouvelle en surprendra plus d’un, elle fera aussi sans doute sourire ceux qui sont plus familiers avec la ville de Londres, en Angleterre.

C’est que l’on apprend, via le Toronto Sun, que la ville anglaise commence à perdre sa cote d’amour auprès de certains voyageurs du monde entier. Pourquoi? Parce qu’elle serait sale et inhospitalière, pour commencer.

C’est ce qui ressort d’un vaste sondage effectué par TripAdvisor, qui fait un palmarès de 40 grandes villes du monde et demande aux répondants de les coter selon leurs opinions.

Londres est arrivée avant-dernière en ce qui a trait à l’ouverture amicale des citoyens envers les touristes, 28e en matière de sécurité, 26e pour la propreté des lieux, et 35e pour son retour sur investissement.

Car oui, en plus d’être peu amicale, la capitale anglaise semble ne pas vous en donner pour votre argent.

Malgré tout, Londres a tout de même été votée ville de l’année aux TripAdvisor’s 2012 Travellers Choice Awards, ce qui semble contradictoire.

Emma Shaw, de TripAdvisor, conclut : « Cette étude ne fait que démontrer que même une grande ville ne peut être parfaite à tous les égards ».

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Les régimes « yo-yo » seraient mauvais pour le coeur

Ce qu’on appelle le phénomène des régimes « yo-yo » est défini par le fait de perdre du poids rapidement et de le reprendre tout aussi vite.

Ce processus serait néfaste pour le cœur, spécialement chez les femmes un peu plus âgées. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle d’une étude affirmant que ces femmes voient leurs chances de développer une maladie ou un problème cardiaque augmenter substantiellement.

Bien que le fait de perdre du poids soit une excellente chose pour la santé, c’est lors de la reprise de ces kilos perdus que le pire se produit. Non seulement ces personnes retrouvent tous les facteurs négatifs sur la santé d’avant, mais la reprise de poids les accentue.

C’est donc dire qu’elles seront en moins bonne santé après la reprise de poids qu’avant d’en perdre, théoriquement.

« Pour les femmes post-ménopausées qui considèrent une perte de poids, maintenir leur poids peut être tout aussi bénéfique que d’en perdre. Même une reprise partielle de la masse perdue peut mener à des risques accrus de diabète et de problèmes cardiovasculaires », explique l’auteur en chef de l’étude, Daniel Beavers.

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« L’avantage de la survie » démontré chez les médaillés olympiques

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov vient démystifier le rapport entre la longévité et la pratique de certains sports.

Ainsi, on apprend d’abord que ceux qui pratiquent une activité de faible intensité sporadiquement, comme le golf, verraient leur durée vie augmenter de façon identique à ceux qui pratiquent un sport un peu plus intense.

C’est lorsqu’on arrive au sport d’élite que les chercheurs peuvent constater un réel changement sur la durée de vie potentielle. Ainsi, les chercheurs australiens en tête de l’étude parlent d’un véritable « avantage de survie » observable chez les médaillés olympiques, notamment.

L’auteur en chef, Philip Clarke, explique : « Nous ne cherchions pas à déterminer si les médaillés olympiques vivaient plus longtemps, mais plusieurs explications sont possibles quant à ce phénomène, dont l’activité physique, des choix de vie sains, le rang social et le statut qui découlent d’une victoire sur la scène mondiale ».

On note par ailleurs que les sportifs professionnels qui évoluent dans des sports de contact comme le football, le rugby ou le hockey auraient un taux de mortalité 11 % plus élevé (en fonction de la durée de vie) que leurs compatriotes des sports d’élite ou de puissance (cyclisme, canot-kayak, etc.).

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Le système immunitaire pourrait bien ne pas s’affaiblir avec l’âge

C’est toute une nouvelle que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une étude qui remet en doute l’affaiblissement du système immunitaire lors du vieillissement vient de paraître.

C’est du moins ce que croient les chercheurs canadiens à l’origine de l’étude, qui déclarent que les gens âgés sont encore assez forts pour combattre et terrasser les virus connus.

Encore une fois, ce sont les fameuses cellules T qui sont à l’honneur. Ces cellules de défense permettent de lutter contre les infections virales avec la même vigueur et force chez un jeune que chez une personne plus âgée.

« Depuis fort longtemps, il était normal de croire que les personnes plus âgées étaient plus à risque face aux infections parce qu’ils manquaient de cellules immunitaires. Mais, ce n’est tout simplement pas le cas. Les personnes âgées sont certainement capables de développer une immunité face aux virus », lance candidement Jonathan Bramson de l’Université McMaster d’Hamilton, en Ontario.

Pour en arriver à cette conclusion, Bramson et son équipe ont analysé les réponses du système immunitaire de trois groupes de sujets différents, de différentes tranches d’âge, évidemment.

Tous les groupes ont démontré que les réactions des cellules T étaient les mêmes.

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Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

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Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

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Vous êtes au régime? Évitez les smoothies

Les smoothies, ces boissons fruitées très populaires qui bénéficient d’une image saine, s’avèrent un choix de prédilection pour les gens qui sont au régime et qui veulent remplacer certaines boissons sucrées par des jus.

Voilà qu’une étude rapportée par Top Santé dénonce la fausse publicité entourant ces produits, puisqu’elle révèle qu’une quantité appréciable de sucre se retrouve dans ces fameux smoothies.

Ils ne seraient donc pas le choix santé par excellence, encore moins pour perdre du poids. On note cependant qu’il est vrai que les smoothies renferment beaucoup de vrais fruits, ce qui est une bonne nouvelle.

Avec cela viendrait cependant tellement de sucre qu’il faudrait y penser deux fois avant d’intégrer ces produits à notre régime alimentaire, selon les chercheurs en tête de cette étude.

« Il est clair que les smoothies ne sont pas aussi “sains” qu’on le pense. Ils sont une bonne source de fruits et de minéraux, mais ils peuvent contenir beaucoup de sucre et de calories », commente Richard Lloyd, auteur en chef de l’étude.

Pire encore, il appert qu’un smoothie normalement retrouvé en épicerie renferme plus de calories et de sucre qu’une boisson gazeuse!

On suggère aux fans de smoothies de s’en faire à la maison, ce qui permet de contrôler ce qu’ils contiennent.