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Vous êtes au régime? Évitez les smoothies

Les smoothies, ces boissons fruitées très populaires qui bénéficient d’une image saine, s’avèrent un choix de prédilection pour les gens qui sont au régime et qui veulent remplacer certaines boissons sucrées par des jus.

Voilà qu’une étude rapportée par Top Santé dénonce la fausse publicité entourant ces produits, puisqu’elle révèle qu’une quantité appréciable de sucre se retrouve dans ces fameux smoothies.

Ils ne seraient donc pas le choix santé par excellence, encore moins pour perdre du poids. On note cependant qu’il est vrai que les smoothies renferment beaucoup de vrais fruits, ce qui est une bonne nouvelle.

Avec cela viendrait cependant tellement de sucre qu’il faudrait y penser deux fois avant d’intégrer ces produits à notre régime alimentaire, selon les chercheurs en tête de cette étude.

« Il est clair que les smoothies ne sont pas aussi “sains” qu’on le pense. Ils sont une bonne source de fruits et de minéraux, mais ils peuvent contenir beaucoup de sucre et de calories », commente Richard Lloyd, auteur en chef de l’étude.

Pire encore, il appert qu’un smoothie normalement retrouvé en épicerie renferme plus de calories et de sucre qu’une boisson gazeuse!

On suggère aux fans de smoothies de s’en faire à la maison, ce qui permet de contrôler ce qu’ils contiennent.

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La vitamine D pourrait réduire le risque d’autisme

Dans le cadre de l’étude menée aux États-Unis, les chercheurs ont examiné la prévalence du trouble du spectre autistique (TSA) chez les enfants et les adolescents, selon l’État dans lequel ils vivaient.

Ceux-ci ont découvert que dans les États qui avaient le plus haut niveau de rayons de soleil ultra-violets B (UVB) durant l’été et l’automne, il y avait deux fois moins d’enfants avec un TSA que dans les États qui en avaient le moins.

La vitamine D est vitale, mais le corps humain ne peut la produire seul. Il la produit à la suite de l’exposition au soleil, ou encore avec l’aide de suppléments.

Les chercheurs ont également établi que les enfants afro-américains avaient 40 % plus de chance que les Caucasiens d’avoir un diagnostic de TSA. À cause de la pigmentation de leur peau, les Afro-Américains arrivent moins bien à métaboliser les rayons du soleil, ce qui ajoute une piste supplémentaire.

Il reste à déterminer si ce risque d’autisme plus élevé est dû à une carence en vitamine D de la mère pendant la grossesse, de l’enfant pendant ses premières années, ou encore à une combinaison de ces deux facteurs, selon PsychCentral.

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Les pédiatres américains prennent position pour conserver le thimérosal dans les vaccins

La revue médicale Pediatrics a publié un bref communiqué de l’American Academy of Pediatrics (AAP), où les représentants de celle-ci affirment souhaiter conserver le thimérosal dans les vaccins destinés aux enfants. L’association de pédiatres soutient donc une proposition déjà émise par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le thimérosal est utilisé pour éviter le développement de bactéries et de champignons dans les vaccins. Toutefois, depuis les années 90, plusieurs parents ont soulevé des questions reliées à l’administration de mercure chez de jeunes enfants, à cause du potentiel de neurotoxicité et d’une association possible avec l’autisme.

La Federal Drug and Administration (FDA) a même déjà émis une analyse affirmant que l’effet cumulatif du mercure associé aux vaccins que les enfants reçoivent pourrait surpasser le niveau jugé sécuritaire. Aux États-Unis ainsi que dans la plupart des pays développés, le thimérosal a été retiré de la plupart des vaccins au début des années 2000.

Depuis ce temps toutefois, plusieurs études n’ont pas réussi à prouver qu’il existe bel et bien un risque, ce qui explique cette volte-face de l’AAP, qui semble uniquement basé sur des facteurs économiques.

« Le thimérosal rend possible l’utilisation de flacons multidoses, ce qui réduit le coût des vaccins ainsi que la demande sur une chaine de production déjà très sollicitée », ont écrit deux experts dans le communiqué, selon MedPageToday.

L’OMS avait quant à elle affirmé qu’il n’existait pas vraiment d’alternative au thimérosal, et que retirer celui-ci pourrait sérieusement compromettre les programmes d’immunisation.

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Les femmes enceintes ont moins de problèmes de violence et de santé lorsqu’elles sont mariées

Durant le temps de leur grossesse et peu après, les femmes mariées ont moins de problèmes de violence conjugale, de problèmes de consommation ou de dépression post-partum que les autres, affirment les chercheurs.

Les femmes qui vivaient en union de fait risquaient plus de vivre au moins un de ces trois problèmes, quoiqu’il y avait une forte corrélation entre la santé de la femme et la durée de la cohabitation. Ainsi, lorsque l’union datait de moins de deux ans, les problèmes étaient plus fréquents, mais plus les conjoints passaient de temps ensemble, plus le risque diminuait.

Les femmes séparées ou divorcées étaient, sans grande surprise, les plus susceptibles de vivre ces problèmes, spécialement lorsque la séparation survenait avant la naissance de l’enfant.

L’étude a analysé les données provenant de 6421 femmes enceintes ou en périnatalité, compilées par l’Agence de santé publique du Canada. 10 % des femmes mariées vivaient un de ces problèmes, comparativement à 20 % des femmes en union de fait. Les femmes seules étaient dans cette situation dans 35 % des cas, ainsi que 67 % des femmes qui s’étaient séparées ou avaient divorcé avant la naissance de l’enfant.

Au Canada, en 1971, 9 % des enfants naissaient de couples non mariés, alors qu’aujourd’hui, c’est plutôt 3 0 %, tel que rapporté par Science Daily.

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Un nouveau test s’attarde au développement du langage chez les enfants autistes

Des psychologues ont développé une nouvelle technique appelée évaluation du regard de préférence. La Dre Laetitia Naigles se déplace chez l’enfant, ce qui rend celui-ci plus à l’aise et réduit au maximum son anxiété envers des personnes ou des lieux inconnus.

Les enfants à partir d’un an s’assoient ensuite pour regarder deux vidéos qui jouent côte à côte sur le même téléviseur. La chercheuse observe vers laquelle des deux vidéos l’enfant porte son regard et son attention. Selon elle, les enfants qui comprennent le langage auront plus tendance à suivre la vidéo qui est associée avec le son.

« Lorsque j’ai commencé à travailler avec des enfants avec un TSA, j’ai réalisé qu’ils avaient les mêmes problèmes que les très jeunes enfants qui se développent normalement. Les enfants avec un TSA pourraient comprendre plus qu’ils ne veulent le montrer, parce qu’ils n’ont pas une grande inclination sociale et ont des difficultés avec la communication », a expliqué la chercheuse, selon Science Daily.

Tester leur attention, plutôt que leur demander de répondre à des questions ou de pointer des objets, s’avère donc une technique qui leur convient mieux. La chercheuse espère que d’autres spécialistes se mettront aussi à utiliser cette manière de faire.

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Les réactions face au stress seraient influencées par les neurones

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont réussi à identifier un processus cérébral qui pourrait expliquer pourquoi certaines personnes réagissent mieux que d’autres en situation de stress.

Il s’agit en fait d’un système précis de circuits cérébraux qui déclenchent une réaction de résilience ou de susceptibilité accrue face à des éléments stressants ou angoissants.

On croit que ce système est celui qui peut mener certaines personnes vers des états dépressifs lorsque confrontées à des événements ou des épreuves difficiles. On croit donc que certaines nouvelles méthodes pourraient être appliquées dans le traitement de la dépression ou de l’anxiété chronique, notamment.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont reproduit ce système sur des souris, en augmentant ou en inhibant le processus en question. Pour y parvenir, on a créé un système précis par luminosité, qui ne dure qu’une fraction de seconde.

Les rongeurs ont alors réagi exactement comme on le prédisait. Les souris plus « fortes » ont sombré dans des états dépressifs lorsque placées en situation de stress, alors que les souris plus anxieuses ont semblé plus résilientes, soudainement.

Le Dr Ming-Hu Han, de la Mount Sinai School of Medicine de New York, explique : « Pour la première fois, nous avons démontré qu’un contrôle spécifique de certains circuits du cerveau peut changer immédiatement les comportements dépressifs ou anxieux, notamment avec notre méthode, en utilisant une lampe DEL ».

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La malbouffe peut créer une dépendance

Une étude canadienne vient confirmer ce que beaucoup pensaient déjà, c’est-à-dire que la malbouffe et les aliments gras peuvent créer une véritable dépendance.

Au même titre que la drogue et l’alcool, la nourriture grasse et malsaine provoquerait certains changements au cerveau, qui réagirait lorsqu’on cesse (ou tente de cesser) de manger de la malbouffe.

Un état de « manque » serait alors observable, ce qui confirme les pires craintes des différentes agences de santé dans le monde.

Ce sont des conclusions qui ont été publiées dans la plus récente édition de l’International Journal of Obesity, et rapportées notamment par santelog.com.

Pour en arriver à ce constat, les spécialistes canadiens ont analysé le comportement de souris qui étaient nourries « grassement » et à qui l’on offrait par la suite des repas sains et équilibrés. Plus de 90 rongeurs faisaient partie de l’étude.

Du lot, la plupart des souris ont ressenti des symptômes de manque comme de l’angoisse ou de l’anxiété, en plus de démontrer une motivation hors du commun lorsque placées devant des aliments sucrés ou gras.

Les chercheurs croient donc qu’il serait possible, et même nécessaire, de créer un médicament qui pourrait venir en aide aux gens qui voudraient se désintoxiquer de la malbouffe. Il existe déjà des traitements similaires pour contrer l’alcoolisme et la toxicomanie.

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La metformine a un effet bénéfique chez les enfants souffrant d’obésité morbide

Dans le cadre d’une nouvelle étude portant sur 151 enfants qualifiés de « très obèses », la moitié ont reçu de la metformine, tandis que les autres ont pris un placebo.

Lorsqu’ils ont reçu de la metformine, les enfants ont vu leur IMC baisser de façon significative, en association à une amélioration de leur glycémie à jeun. De plus, ces améliorations étaient toujours observables après six mois.

Il s’agissait de la première étude observant les effets de la metformine sur une population pédiatrique. La science a déjà établi que ce médicament retarde l’apparition du diabète de type 2 chez les adultes.

« Nos données apportent une preuve que la metformine est efficace, sécuritaire et bien tolérée chez les enfants obèses à risque de développer le diabète de type 2 », a dit l’auteure de l’étude, la Dre Deborah Kendall, citée par EurekAlert!.

Elle a ajouté : « La metformine pourrait même également stimuler ces patients à effectuer des changements dans leur style de vie, ce qui peut mener à une réduction des risques reliés au diabète de type 2 et à ses problèmes associés ».

L’étude a été menée en Grande-Bretagne, et les résultats ont été publiés dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.

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Le lait maternisé peut être toxique pour les cellules

Chez les nouveau-nés prématurés, une maladie rare et sévère appelée entérocolite nécrosante est la principale cause de décès reliée à des causes intestinales.

Cette maladie se produit lorsque la digestion cause la mort de cellules de l’intestin, et les chercheurs ont déjà remarqué qu’elle se produit beaucoup plus souvent chez des enfants nourris au lait maternisé.

Dans une étude effectuée en laboratoire, les chercheurs ont reproduit la digestion humaine de lait maternel ainsi que de neuf marques de lait maternisé, incluant certaines spécifiquement destinées aux bébés prématurés.

Les résultats ont été assez frappants : la digestion du lait maternisé causait la mort de cellules, un phénomène appelé cytotoxicité, alors que le lait maternel n’avait pas cet effet.

Dans certains cas, la mort de cellules était observée en moins de 5 minutes. À titre d’exemple, le lait maternisé a causé la mort d’entre 47 % et 99 % des cellules neutrophiles, le type de globules blancs le plus abondant dans le corps humain, qui jouent un rôle vital dans le système immunitaire.

Les acides gras libres libérés durant la digestion du lait maternisé pourraient être la cause de cet effet nocif. Les chercheurs croient ainsi que le lait maternel possède un mécanisme de protection contre la cytotoxicité.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Pediatric Research.

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Moins de décès en centre hospitalier au Canada depuis deux ans

Le Devoir rapporte qu’une étude a été effectuée afin de faire le bilan des taux de mortalité des différents hôpitaux canadiens.

Une première bonne nouvelle découle des résultats de cette étude : il y a moins de décès en centre hospitalier au Canada depuis deux ans.

C’est l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) qui commandait l’étude, pour une cinquième année consécutive. Le Québec se retrouve dans les statistiques pour la première fois depuis le début de ce processus, et il appert que la province se situe dans la moyenne.

Le Québec obtient même de meilleurs résultats que plusieurs autres provinces, malgré quelques hôpitaux qui font augmenter la moyenne.

Le ministre de la Santé Réjean Hébert se dit satisfait de ces chiffres.

L’étude fonctionne avec un système de ratio, sur une échelle de 100. Lorsqu’un hôpital se retrouve avec un ratio supérieur à 100, il est de mise de se poser des questions, affirme l’Institut.

Les deux meilleurs hôpitaux, en terme de taux de mortalité, sont le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (74) et l’Hôtel-Dieu de Lévis (77).

On rappelle qu’il s’agit d’une moyenne, et que certains facteurs pourraient faire varier certains résultats.