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Cellules T : Un dérivé du VIH pour lutter contre la leucémie

On vous apprenait récemment certaines percées importantes en matière de lutte au cancer, notamment grâce aux cellules T.

Ces cellules sont celles qui peuvent être « reprogrammées » afin de traiter certains patients aux prises avec des maladies très graves.

On apprend maintenant que deux cas sont venus démontrer l’efficacité de cette nouvelle façon de faire, alors que deux jeunes patients auraient vu leur cancer s’affaiblir ou disparaitre grâce à cette technique très moderne.

Mais il y a plus…

En effet, selon ce qu’explique santelog.com, il semble que ce traitement soit possible grâce à un dérivé du virus du VIH, dans une forme sécurisée. Aussi incroyable et paradoxal que cela puisse paraître, les spécialistes utilisent ce « dérivé » du VIH afin de créer des cellules tueuses qui attaquent les tumeurs.

Ces résultats, incluant les rapports qui confirment le succès de ce type de traitement sur plusieurs patients, ont été dévoilés lors d’une réunion de l’American Society of Hematology qui se tenait au début du mois (décembre).

L’équipe de l’Université de la Pennsylvanie se dit très heureuse de ces résultats et est portée par un vent d’optimisme concernant cette nouvelle méthode de traitement contre le cancer.

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Le café de nouveau vanté pour ses bienfaits sur la santé

Le café reprend ses lettres de noblesse petit à petit, et une nouvelle étude vient une fois de plus vanter les mérites de cette boisson très populaire.

Cette fois-ci, c’est une étude de l’American Cancer Society, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui explique que boire quelques tasses de café par jour pourrait bien prévenir le cancer de la bouche ainsi que certains types de cancer de la gorge.

Il semble qu’il soit établi que les buveurs de café réguliers sont moins à risque de développer ces cancers que ceux qui n’en boivent qu’occasionnellement.

Janet Hildebrand, auteure principale de l’étude, commente : « Le café est l’une des boissons les plus consommées dans le monde, et il contient une variété d’antioxydants, de polyphénols et d’autres éléments actifs qui aident à protéger le corps contre le développement de certaines maladies, dont les cancers. Même s’ils sont moins présents aux États-Unis, les cancers oraux et de la gorge sont parmi les dix cancers les plus communs dans le monde ».

Cette étude est le résultat d’analyses de plusieurs autres recherches menées sur le café et le cancer, depuis 1982.

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Les poissons vendus à New York ne respectent pas tous les normes

Si vous habitez la Grosse Pomme ou que vous prévoyez un voyage à New York, vous voudrez peut-être éviter d’acheter ou de consommer des produits de la mer, notamment certains poissons.

On apprend, par l’entremise de www.nlm.nih.gov, que les poissons vendus à New York ne seraient pas tous respectueux des normes de qualité imposées.

De plus, il semble que plusieurs marchands n’hésitent pas à changer les étiquettes pour faire passer un produit pour ce qu’il n’est pas, c’est-à-dire plus frais ou encore de meilleure qualité.

C’est le groupe de défense des océans Oceana qui publie une étude sur le sujet et qui veut sensibiliser les New-Yorkais ainsi que les autorités au problème. On rapporte que près de trois commerces d’alimentation sur cinq commettraient ces fautes d’étiquetage, laissant le consommateur dans une zone grise.

Bien entendu, la motivation derrière ces comportements est économique. Plusieurs marchands n’hésiteraient pas à faire passer un poisson peu coûteux pour un produit de qualité supérieure, afin d’épargner des frais. Même chose du côté de plusieurs restaurants de sushis de la Grosse Pomme.

New York ne serait donc pas un choix judicieux pour aller déguster des fruits de mer et des sushis cette année. On conseille aux citoyens et aux touristes d’être vigilants.

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La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement

Tous les amoureux des félins et propriétaires de chats voudront sans doute lire cette nouvelle. Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les germes contenus dans la litière de votre chat, et plus particulièrement ceux contenus dans les « cadeaux » laissés dedans, pourraient avoir des effets néfastes sur le cerveau.

Par conséquent, ces effets pourraient bien jouer sur le comportement des maîtres. C’est du moins ce que conclut une étude sur le sujet, publiée dans la plus récente édition du journal PLoS Pathogens.

Ainsi, on apprend que c’est ce processus qui mène à la toxoplasmose, une maladie déclenchée par une exposition massive à ces germes. Si cette maladie est somme toute bien connue, il en va autrement de ses effets sur le cerveau et sur le comportement.

C’est que selon l’étude, de 30 à 50 % des propriétaires de chats seraient déjà infectés par la toxoplasmose, mais le système immunitaire serait en mesure de contrer la maladie dans la grande majorité des cas.

Donc, dans sa forme indétectable commune, la toxoplasmose pourrait mener à de la schizophrénie ou encore à une dépression.

De plus, on a constaté des changements comportementaux chez certains, qui devenaient subitement plus extrovertis qu’à l’habitude, par exemple. De l’agressivité, des envies de prendre des risques et d’autres symptômes du genre sont aussi observables chez certains sujets.

On suggère de bien nettoyer la litière de votre animal et de le faire souvent, en plus de garder la toilette féline dans une zone réservée et recluse du reste de la maison.

La toxoplasmose peut être fatale chez les gens qui ont un système immunitaire déficient.

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Le déficit d’attention à l’origine de plusieurs autres problèmes de santé?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que les troubles de déficit d’attention et d’hyperactivité pourraient bien mener à d’autres problèmes de santé ultérieurement.

On explique que les enfants qui souffrent de ces troubles et qui voient les symptômes perdurer durant la vie d’adulte sont sujets à divers problèmes de santé mentale et physique.

On note d’abord ceux qui découlent du stress, les gens souffrant de déficit d’attention ayant souvent des pointes d’angoisse ou d’anxiété plus fréquentes que les autres.

L’étude en question est le résultat d’analyses sur différents patients sur une période de 30 ans. On a constaté que les sujets cibles développaient souvent des problèmes au travail, financiers ou encore sociaux.

L’intégration en société serait nettement plus difficile avec un trouble de déficit de l’attention, ce qui pourrait mener à une dépression ou des désordres antisociaux importants.

De plus, tout le stress découlant de ces problèmes indirects liés au déficit d’attention et à l’hyperactivité pourrait mener à des troubles physiques comme des problèmes cardiovasculaires.

Cependant, les chercheurs spécifient qu’aucune cause à effet directe n’a été prouvée jusqu’à maintenant.

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La psychothérapie aide les enfants qui souffrent du trouble de stress post-traumatique

Des chercheurs ont analysé les résultats provenant de 14 études sur le sujet, incluant 758 patients pédiatriques qui avaient vécu un traumatisme ayant mené au trouble.

Le temps était un facteur-clé du traitement de ces enfants, puisqu’en particulier, la psychothérapie cognitivo comportementale apportait une amélioration significative jusqu’à un an après.

Dans trois des études analysées, les patients qui avaient effectué une psychothérapie, peu importe laquelle, avaient une amélioration qualifiée de 4,2 fois plus grande que ceux qui appartenaient au groupe de contrôle.

« Il existe des preuves assez claires de l’efficacité de la psychothérapie, et particulièrement de la psychothérapie cognitivo comportementale, pour traiter le trouble de stress post-traumatique chez les enfants », a indiqué l’auteure de l’analyse, la Dre Donna Gillies, selon Medscape.

Celle-ci a également urgé les médecins à mieux suivre ces enfants, afin de mieux comprendre si ces thérapies peuvent faire une différence à long terme.

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Manquer d’oxygène durant l’accouchement augmente le risque d’hyperactivité

L’étude menée aux États-Unis a porté sur près de 82 000 enfants de cinq ans, dont certains avaient manqué d’oxygène à cause de différents facteurs.

Parmi ceux-ci, la prééclampsie augmentait le risque d’hyperactivité chez les enfants de 34 %, l’asphyxie à la naissance était associée à un risque 26 % plus élevé, et le syndrome de détresse respiratoire néonatal augmentait le risque de 47 %.

Ce risque plus élevé était le même, peu importe le groupe ethnique auquel appartenait l’enfant, ainsi qu’après un ajustement relié à l’âge gestationnel à la naissance et à d’autres facteurs.

« Nos données pourraient avoir des implications cliniques importantes », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Darios Getahun, tel que cité par PsychCentral. « Elles pourraient par exemple aider les médecins à identifier les nouveau-nés à risque, qui pourraient ainsi faire l’objet d’une surveillance, et poser un diagnostic plus tôt, lorsque le traitement est le plus efficace. »

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L’épigénétique jouerait un rôle crucial dans le développement de l’homosexualité

La nouvelle recherche a montré que durant le développement du foetus, certains épimarqueurs spécifiques du sexe, qui devraient être « effacés » pour ne pas passer d’une génération à l’autre, sont parfois conservés de façon « antagoniste ».

Cela signifie que le foetus n’est pas complètement « protégé » de la variation substantielle de testostérone qui se produit durant la grossesse, selon le sexe du bébé.

L’épigénétique constitue une couche d’information supplémentaire reliée à nos gènes, qui régule l’expression de ceux-ci. Les gènes contiennent en quelque sorte des instructions, mais ce sont les épimarqueurs qui dirigent la manière dont ces instructions sont appliquées.

Même si les scientifiques croient depuis longtemps que l’homosexualité a une origine génétique, il n’a jamais été possible d’identifier un gène relié à la préférence sexuelle jusqu’à maintenant.

Un des auteurs de l’étude, Sergey Gavrilets, a affirmé que « la transmission des épimarqueurs sexuellement antagonistes est le mécanisme le plus plausible pour expliquer l’homosexualité humaine du point de vue de l’évolution », selon Science Daily.

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Les traitements de manipulation pourraient aider les bébés qui font des coliques

La Cochrane Library publie les résultats d’une analyse de 6 études portant sur 325 enfants avec des coliques, qui ont subi des traitements dits « de manipulation » ou fait partie d’un groupe de contrôle.

Les chercheurs ont rapporté que dans cinq des six études, les bébés qui avaient reçu ces traitements avaient pleuré en moyenne une heure et douze minutes de moins par jour, ce qui correspond à une amélioration significative.

Comme les parents savaient quel traitement leur nouveau-né recevait, les chercheurs ont toutefois noté que cela pouvait influencer quelque peu les résultats. Aucun parent n’a toutefois dit que son enfant avait cessé de faire des coliques à la suite des traitements.

« La majorité des parents ont rapporté que leur bébé pleurait moins chaque jour que les nouveau-nés qui n’avaient pas reçu de traitement. Cette différence est importante pour les parents qui doivent vivre avec les coliques. Il n’y avait pas non plus d’effets secondaires ou néfastes reliés à l’ostéopathie ou à la chiropractie », a expliqué le professeur George Lewith, selon Science Daily.

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Les carottes en vedette pour la prévention du cancer du sein

Topsante.com rapporte une étude américaine qui met l’accent sur les carottes pour prévenir le cancer du sein.

Les propriétés anti-cancer des légumes, notamment en matière de cancer colorectal, sont bien connues. Mais plus encore, il appert que les légumes à forte teneur en caroténoïdes seraient encore plus efficaces. Et où retrouve-t-on de fortes doses de caroténoïdes? Oui, dans les carottes.

Les chercheurs américains en tête de l’étude ont démontré clairement les effets d’une diète forte en caroténoïdes, en analysant les dossiers de plusieurs milliers de patientes, dont presque la moitié étaient atteintes d’un cancer du sein.

Les patientes qui avaient un taux de caroténoïdes plus élevé dans le sang ont vu les risques de développer un cancer du sein diminuer radicalement, et encore plus chez les non-fumeuses.

Les résultats de cette étude, menée par des chercheurs de l’Université Harvard, ont été publiés récemment dans le Journal of the National Cancer Institute.

Les caroténoïdes ne se retrouvent pas que dans les carottes! On note que pour retrouver ces nutriments en forte dose, il faut miser sur les fruits et légumes colorés, ou foncés si vous préférez.