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Le bacoflène serait bel et bien efficace pour contrer l’alcoolisme

On vous parlait récemment de l’optimisme des spécialistes concernant le bacoflène, un médicament qui pourrait bien s’avérer un précieux allié dans le traitement de l’alcoolisme.

Voilà que l’on confirme ses propriétés, selon topsante.com, alors que des chercheurs français viennent de publier une étude sur le sujet.

Originalement, le bacoflène est un traitement neurologique utilisé dans certains cas, mais on lui a découvert récemment des propriétés qui faisaient croire aux spécialistes qu’il pourrait aussi servir de traitement contre l’alcoolisme.

Depuis, on a testé cette théorie sur une centaine de patients du Groupe Hospitalier Paul-Guiraud, tous diagnostiqués avec des problèmes de dépendance liés à l’alcool.

Les conclusions sont faciles à tirer pour les chercheurs : le bacoflène fonctionne vraiment.

Pratiquement tous les patients ont vu leur consommation d’alcool baisser, et « l’envie de boire » serait bel et bien moins envahissante.

Cependant, on note certains effets secondaires possibles. De la somnolence, des vertiges, des hallucinations, des nausées, de l’hypotension, de l’énurésie et des réactions dépressives sont tous des symptômes qui ont pu être observés chez les patients sous bacoflène.

Ceux-ci ne seraient cependant pas observables de façon systématique.

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Les enfants séropositifs risquent plus que les autres d’avoir des problèmes cardiaques

L’étude menée en Espagne a porté sur 150 enfants et adolescents séropositifs, ainsi que 150 autres jeunes qui avaient le même âge et le même sexe que chacun des enfants atteints de la maladie.

Tous les participants ont subi des échographies pour mesurer l’épaisseur de leur artère carotide. Cette mesure était beaucoup plus élevée chez les patients séropositifs que chez les autres, même une fois que les chercheurs aient ajusté les données pour tenir compte de différents facteurs comme l’âge, le sexe et l’indice de masse corporelle.

Les chercheurs ont utilisé cette mesure particulière, parce qu’elle est fortement associée au développement éventuel de maladies cardiovasculaires. Les antirétroviraux pris par les patients atteints du VIH affectent souvent leur taux de cholestérol, et le virus provoque un état d’inflammation permanent dans leur corps. Ces deux facteurs les prédisposent au développement de problèmes cardiaques.

L’auteure de l’étude, la Dre Talia Sainz Costa, a expliqué que « lorsqu’ils atteindront 50 ans, ces jeunes auront accumulé beaucoup de toxines reliées au traitement et beaucoup d’effets secondaires de l’infection, ce qui les mettra particulièrement à risque d’avoir des problèmes cardiaques et d’autres complications », selon MedPageToday.

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La mémoire serait trompeuse et jouerait un rôle dans l’appétit

On apprend que la mémoire pourrait bien s’avérer un ennemi mortel lorsqu’on tente de surveiller son poids et de conserver sa ligne, selon topsante.com.

Un ennemi mortel et discret, selon ce que l’on comprend, ce qui le rend doublement plus insidieux. C’est que l’appétit ne serait pas qu’un réflexe instinctif, affirment des chercheurs britanniques.

En fait, la mémoire jouerait un rôle primordial dans le processus de la faim et de l’appétit, si l’on en croit l’étude publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE. Ainsi, le niveau de la faim ressentie aurait beaucoup à voir avec ce que l’on se souvient d’avoir mangé, et non ce que l’on a réellement mangé.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les comportements de 100 personnes volontaires. Ils se sont rendu compte que ceux qui étaient encore rassasiés après quelques heures n’étaient pas ceux qui avaient mangé le plus, mais plutôt qui se souvenaient clairement d’avoir en effet mangé.

« La mémoire de notre dernier repas a un plus gros impact sur notre appétit que la taille de notre repas », lance le professeur de psychologie Jeffrey Brunstrom, également directeur de l’étude.

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Le fer donné aux bébés de petit poids permet d’améliorer leur comportement plus tard

Pour une étude menée en Suède, 285 nouveau-nés de petit poids (de 2 à 2,5 kilos) ont reçu un supplément de fer quotidien entre 6 semaines et 6 mois.

Les bébés qui naissent avec un faible poids sont plus à risque d’avoir plus tard des problèmes cognitifs et de comportement. Ils sont également plus susceptibles d’avoir une carence en fer, qui peut affecter le développement neurologique.

À l’âge de 42 mois, ces enfants, ainsi que 85 enfants du même âge dont le poids de naissance était normal, ont subi des tests d’intelligence et une évaluation comportementale. Même s’il n’y avait pas de différence significative entre le QI des deux groupes, les enfants ayant pris un supplément de fer avaient un taux de problèmes comportementaux moins élevé.

« Ces résultats suggèrent à la fois que le risque plus élevé de problèmes comportementaux chez les bébés de petit poids peut être prévenu, mais consolide aussi un lien de causalité entre les suppléments de fer et un meilleur comportement chez les enfants à risque d’avoir une carence en fer », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Staffan Berglund, selon MedPageToday.

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Le jeûne pourrait aider certains enfants épileptiques

L’étude a porté sur 6 enfants âgés de 2 à 7 ans, qui avaient tous une forme sévère du trouble neurologique qui n’était pas contrôlée par la médication. Les enfants suivaient une diète cétogène, c’est-à-dire qu’ils mangeaient presque uniquement des aliments à haute teneur en gras et très peu de glucides.

Les scientifiques pensent que ce régime particulier sert bien cette population d’enfants en apportant des changements biochimiques dans leur cerveau, empêchant les courts-circuits qui causent les crises d’épilepsie.

Ces enfants ont de plus commencé à jeûner un jour sur deux. Quatre d’entre eux ont eu une réduction de leurs crises, de 50 à 99 %. Trois parmi les six ont été capables de poursuivre ce jeûne alterné pendant deux mois ou plus.

« Nous croyons que le jeûne affecte les cellules nerveuses d’une manière complètement différente du régime cétogène », a noté l’auteur de l’étude, le Dr Adam Hartman, tel que rapporté par Science Daily.

Les chercheurs ont noté que des études plus poussées sont nécessaires pour élucider les effets du jeûne. Les résultats ont été publiés dans la revue médicale Epileptic Research.

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Les Afro-Américaines abusées durant leur enfance risquent beaucoup plus de développer de l’asthme

L’étude a suivi 28 456 Afro-Américaines, qui ont répondu à des questionnaires sur les sévices dont elles avaient pu être victimes jusqu’à l’âge de 11 ans.

Lorsque ces femmes en avaient vécu, leur risque de développer de l’asthme à l’âge adulte était 20 % plus élevé que chez les autres.

« Il s’agit de la première étude qui montre une association entre les sévices durant l’enfance et le développement de l’asthme à l’âge adulte. Ces résultats suggèrent que le stress chronique mène à l’asthme, et ce, même des années plus tard », a expliqué l’auteure de l’étude, Patricia Coogan, selon Science Daily.

Elle a ajouté : « Étant donné la prévalence élevée d’asthme et d’enfants abusés, cette association est d’une grande importance du point de vue de la santé publique ».

Les Afro-Américains ont un taux d’asthme plus élevé que les autres groupes ethniques. Même si ceux-ci ne forment que 12 % de la population des États-Unis, 22 % des enfants victimes de sévices sont afro-américains.

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Au-delà des antidépresseurs : l’importance de la thérapie

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, conclut que les patients qui souffrent de dépression auraient avantage à allier leur traitement à des séances de thérapie.

C’est que dans plusieurs cas, les antidépresseurs ne font pas, ou peu, le travail. Tout cela laisse le patient dans un sentiment d’impuissance face à son état, ce qui peut aggraver la situation.

Des chercheurs britanniques tiennent donc à rappeler l’importance d’un bon suivi de la part d’un spécialiste en santé mentale dans les cas de dépressions.

L’étude parle même d’une augmentation des chances de rémission jusqu’à trois fois plus élevée que pour ceux qui n’utilisent que les antidépresseurs.

Nicola Wiles, de l’Université Bristol, commente l’étude : « Lorsque les gens reçoivent un diagnostic de dépression et qu’ils ne réagissent pas aux médicaments et antidépresseurs, la thérapie cognitive et psychologique permet de voir leurs symptômes diminuer de façon significative. La qualité de vie est grandement améliorée grâce à la thérapie ».

« Malheureusement, les spécialistes et les accès à ce genre de thérapie se font rares dans certains pays, dont le nôtre (Angleterre). Trop de pays n’offrent pas ce genre de service et laissent donc en plan les gens dépressifs qui ne ressentent pas les effets des antidépresseurs. »

On suggère de discuter avec votre médecin avant la prise d’antidépresseurs, afin de voir les possibilités de consultation offertes.

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Manger moins de gras pourrait suffire à faire perdre du poids

www.nlm.nih.gov rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs britanniques qui croient que le simple fait de « couper dans le gras » permettrait une perte de poids.

C’est du moins ce qu’ils affirment dans une étude publiée dans le journal BMJ. Selon eux, il n’y a pas que les régimes qui sont bénéfiques pour perdre quelques kilos. Remplacer des aliments gras par d’autres qui le sont moins, et par conséquent réduire sa consommation de corps gras, peut permettre aux gens qui aimeraient perdre quelques kilos d’y parvenir.

Les chercheurs de l’Université d’East Anglia parlent d’une perte de poids d’environ 3,5 livres, en moyenne, chez les sujets observés.

Pour parvenir à ces conclusions, on a observé les changements chez des sujets qui ont coupé les matières grasses de façon significative, puis on les a comparés à ceux observés chez d’autres qui n’ont rien changé à leur alimentation.

On constate que le simple fait d’abaisser la consommation de gras permet au corps de maigrir, naturellement.

L’étude compilait des résultats obtenus dans 33 essais et contrôles un peu partout dans le monde, notamment en France, aux États-Unis, au Canada et en Nouvelle-Zélande.

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Les oméga-6 n’augmenteraient pas les risques d’attaque cardiaque

La polémique concernant les oméga-6, qui commencent à faire parler d’eux de plus en plus, fait rage depuis un certain temps.

La communauté scientifique est profondément divisée sur le sujet, alors que plusieurs chercheurs croient aux bienfaits des oméga-6 sur le cœur. D’autres sont plutôt convaincus qu’ils peuvent augmenter le risque de problèmes cardiaques éventuels, en plus de provoquer des inflammations.

L’étude dont il est question tentait de déterminer les effets des oméga-6 en évaluant les dossiers de 22 000 Américains, des hommes, sur une période de 17 ans. Par la suite, on a comparé les dossiers des 788 sujets qui ont développé des problèmes cardiaques avec ceux qui avaient le même profil (âge, sexe, paramètres), mais qui n’en avaient pas développé, explique www.nlm.nih.gov.

Au final, on sent que le débat risque de faire rage encore longtemps, puisque les notions et conclusions varient d’une étude à l’autre. Pour celle-ci, par exemple, tout ce que les chercheurs arrivent à affirmer avec certitude, c’est que les oméga-6 ne seraient pas néfastes pour la santé.

De là à dire qu’ils protègent, il y a un pas à franchir. Cependant, tous semblent s’entendre pour dire que les oméga-6 ont le mérite de gérer la haute pression, un facteur de risque des maladies cardiovasculaires.

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Des résultats décevants pour la vitamine D dans le traitement de la démence

Les chercheurs espéraient pouvoir faire une corrélation entre la vitamine D et le traitement de la démence et de certaines maladies dégénératives, mais il semble que les résultats soient plutôt décevants.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet vient d’être publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.

Malgré tout, plusieurs experts gardent espoir de voir la vitamine D donner des résultats en matière de traitement de la démence, notamment.

Pour en arriver aux conclusions de la présente étude, des chercheurs du HealthPartners Institute for Education and Research, une branche à but non lucratif de la HMO (Health Maintenance Organization), ont analysé les dossiers de plus de 2000 patientes qui ont reçu des suppléments de vitamine D et de calcium.

La Dre Rebecca Rossom explique : « Je crois que l’étude ne regarde que les effets directs de la vitamine D sur la démence, mais elle demeure importante néanmoins, car elle fait le bilan des habitudes des femmes concernant celle-ci ».

De plus, on rappelle que le calcium, ainsi que la vitamine D, demeurent d’excellents alliés pour un vieillissement sain, à commencer par leurs effets protecteurs sur les os.