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Une étude de 30 ans s’attarde aux liens entre la santé de la mère et celle de l’enfant

Menée en Australie depuis 1981, l’étude suit une population de 4000 mères et de 4000 enfants. Les mères participantes à l’étude ont commencé à être suivies durant leur grossesse, puis ensuite lorsque l’enfant avait 6 mois, cinq ans, 14 ans, 21 ans et 30 ans.

Plus de la moitié des jeunes adultes ayant participé à l’étude ont déjà eu un problème de santé mentale. Les chercheurs ont indiqué que lorsque combinés, les problèmes psychiatriques communs comme l’anxiété, la dépression et les problèmes de consommation forment la plus grande cause de mort prématurée dans les pays développés, et pourtant, la science connaît encore assez peu les facteurs qui mènent à leur développement et à leur récurrence durant la première partie de la vie.

« L’étude va apporter de l’information importante pour influencer le traitement et la prévention de ces maladies », a noté l’auteur de l’étude, Jake Najman, selon Medical News Today.

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Le tamoxifène serait plus efficace sur une période de dix ans

Le tamoxifène est un traitement bien connu contre le cancer du sein, et ses bienfaits sont reconnus par l’ensemble de la communauté scientifique.

Voilà que l’on apprend, via santelog.com, que le traitement serait bien plus efficace lorsqu’utilisé sur une période de dix ans, au lieu des cinq années de traitement normalement offertes.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition de Lancet, la même publication qui avait précédemment confirmé les effets du tamoxifène sur une période de cinq ans.

Cette fois, des chercheurs de l’Université Oxford (en collaboration avec d’autres instituts de recherche) ont analysé les dossiers de deux groupes de patientes. Le premier groupe a été traité au tamoxifène durant cinq ans, et le deuxième pendant dix ans.

On a recensé un nombre évident de cas en moins de récidives et de décès pour le groupe des « dix ans », contrairement à ceux des « cinq ans ».

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les chercheurs pensent pouvoir affirmer dès maintenant que les femmes, notamment celles diagnostiquées très tôt, devraient être traitées au tamoxifène durant une décennie, même après la disparition prétendue de la maladie.

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Une mauvaise alimentation durant la grossesse prédispose les bébés au diabète

Des chercheurs espagnols ont découvert que les bébés nés de mères qui se sont mal alimentées durant la grossesse naissaient avec un « profil diabétogène », c’est-à-dire que les nouveau-nés montraient un niveau de glucose sanguin et d’insuline plus élevés que la normale, ainsi qu’un marqueur de la résistance à l’insuline.

Même si les bébés tendaient à naître avec un poids d’environ 3,3 à 3,5 kilos lorsque la mère consommait suffisamment d’aliments pour lui procurer l’énergie adéquate, les chercheurs ont été surpris de constater que le nombre de calories n’était pourtant pas un gage d’une bonne alimentation.

« Plus de la moitié des femmes avaient une mauvaise alimentation, incluant beaucoup de protéines animales riches en gras saturés et pas assez de glucides provenant des légumes et des légumineuses. Les habitudes alimentaires de plus d’un tiers des femmes différaient grandement du régime méditerranéen, pourtant reconnu comme le meilleur au monde pour la santé. Il est surprenant que les femmes ne changent pas leurs habitudes en mieux durant la grossesse », a dit l’auteur de l’étude, Francisco Sanchez-Muniz, tel que rapporté par Medical News Today.

Les résultats ont été publiés dans l’European Journal of Clinical Nutrition.

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Les problèmes de sommeil respiratoires et comportementaux vont souvent de pair chez les enfants

La revue Behavioral Sleep Medicine publie les résultats d’une étude affirmant que les enfants qui ronflent ou font de l’apnée du sommeil ont fréquemment aussi des troubles du sommeil de nature comportementale, par exemple le fait de se réveiller souvent, et vice versa. Pourtant, les enfants traités pour un de ces problèmes ne sont pas habituellement évalués et traités pour l’autre.

Les chercheurs ont analysé les données provenant de plus de 11 000 enfants âgés de 18 mois à 5 ans. Leurs parents ont rempli un questionnaire afin d’évaluer les problèmes de sommeil d’ordre respiratoire, ainsi que les comportements problématiques reliés au sommeil, incluant le refus d’aller se coucher, le fait de se lever à nouveau après avoir été mis au lit, les cauchemars, se réveiller après seulement quelques heures de sommeil, etc. Lorsque l’enfant accumulait 5 de ces comportements, les chercheurs considéraient qu’il avait un problème.

De 15 à 27 % des enfants avaient un problème de sommeil comportemental, et parmi ceux-ci, de 26 à 40 % avaient également un problème relié à la respiration.

Les chercheurs affirment que même s’il est peu probable qu’un problème comportemental donne lieu à un problème d’ordre respiratoire, le contraire est souvent vrai, selon Science Daily.

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Les enfants en forme ont de meilleures notes à l’école

312 enfants de 11 à 13 ans ont participé à l’étude, durant laquelle leur condition physique complète a été évaluée, incluant leur pourcentage de gras, leur force musculaire, leur flexibilité et leur endurance.

Les chercheurs ont ensuite comparé ces résultats avec des notes que les élèves avaient obtenues durant toute l’année scolaire dans quatre matières clés, ainsi que lors d’un test normalisé.

Les enfants qui étaient dans la meilleure forme physique étaient également ceux qui réussissaient le mieux à l’école et qui ont obtenu les meilleures notes au test, et ce, peu importe s’il s’agissait de garçons ou de filles et s’ils avaient ou non amorcé la puberté.

Le coauteur de l’étude, James Pivarnik, a affirmé que les écoles qui décidaient de couper dans l’éducation physique et dans la récréation pour se concentrer sur les matières de base pourraient compromettre la réussite des étudiants dans les tests normalisés, ce qui pourrait affecter négativement le financement et le prestige de l’école.

« Les enfants en forme deviennent le plus souvent des adultes en forme. Et maintenant, en plus, nous savons que la condition physique est liée à la réussite académique. Espérons que les deux continueront d’aller de pair », a-t-il ajouté, selon Science Daily.

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La prudence serait de mise concernant les études en nutrition sur le cancer

www.nlm.nih.gov nous met en garde contre plusieurs études qui seraient parues concernant le cancer et la nutrition. Notamment, certaines de ces études en avaient contre plusieurs aliments qui, selon elles, pourraient favoriser le développement de divers cancers.

On parle entre autres de la cannelle et du homard qui, selon des chercheurs californiens, ne seraient pas dangereux du tout. Ces chercheurs ont d’abord dressé une liste de 50 aliments aléatoires, puis ont fait des recherches pour dénicher des études qui supposaient des risques de cancer plus élevés les concernant.

Leurs conclusions : beaucoup trop d’études « bidon » sont publiées, ce qui désinforme la population.

« Nous avons vu et étudié un grand nombre d’études… beaucoup trop d’études qui suggèrent que certains aliments spécifiques favoriseraient le développement de certains cancers. Les gens prennent peur ou croient qu’ils devront changer de style de vie et prendre de grosses décisions, puis se rendent compte que les études en question sont finalement réfutées quelque temps plus tard », lance le Dr John Loannidis du Stanford Prevention Research Center, en Californie.

Selon lui, la façon dont les études sont faites et publiées devrait être revue, afin d’assurer la meilleure qualité possible d’information donnée au public.

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Blessures au hockey : changer les règles serait plus efficace que la prévention

Une étude canadienne conclut que pour éviter les blessures au hockey, ou à tout le moins en réduire le nombre, il serait plus efficace de carrément changer certaines règles en place.

Les chercheurs canadiens arrivent à cette conclusion de façon générale, mais aussi plus précisément dans le cas des joueurs juniors et des plus jeunes.

Ainsi, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, la prévention concernant la violence au hockey ne fonctionne pas vraiment. L’intensité du sport et la pression de gagner feraient en sorte qu’on oublie rapidement les notions de respect et de prévention…

On prône donc plutôt l’ajustement de certains règlements, notamment en ce qui concerne les mises en échec.

Le Dr Michael Cusinamo, auteur en chef de l’étude, explique : « Il est très clair que, selon ce que nous savons, lorsqu’on change ou resserre la règlementation et que l’on envoie un message clair que certains gestes ne seront pas tolérés, il est possible d’abaisser les taux de blessures. On pourrait voir de trois à douze fois moins de blessures qu’en ce moment ».

Les blessures au hockey, notamment les commotions cérébrales, font l’objet de plusieurs débats chauds en Amérique du Nord.

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Des chercheurs réussissent à « inverser » l’obésité chez des souris

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des chercheurs sont parvenus à « inverser » le processus qui mène à l’obésité chez des souris, en isolant et en manipulant une protéine de l’organisme.

Ainsi, selon ce qu’explique santelog.com, les chercheurs d’une équipe internationale ont réussi l’exploit en favorisant la production de la tyrosine protéine kinase-2 (que nous appellerons Tyk2 pour plus de clarté).

La Tyk2 est une enzyme qui permettrait la régulation du poids et donc de l’obésité. Ces théories et observations ont été publiées dans la plus récente édition du magazine scientifique Cell Metabolism.

Le fait d’avoir réussi ce tour de force chez les rongeurs laisse croire qu’ils pourraient reproduire le « traitement » aussi chez l’humain.

C’est la découverte du « tissu adipeux brun » actif chez l’adulte qui a mené à ces conclusions, puisque l’on croyait depuis longtemps que ce type de tissu n’était actif que chez les bébés.

Une corrélation entre ce tissu adipeux et la Tyk2 a ensuite été énoncée, puis maintenant prouvée, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées par les chercheurs.

Le professeur Andrew Larner a bon espoir de voir cette enzyme produire d’excellents résultats, et même un jour peut-être inverser carrément le phénomène d’obésité.

D’autres tests et études sur le sujet sont à venir.

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Les grands prématurés survivent plus souvent qu’avant, mais ont aussi plus de séquelles

Malgré les avancées scientifiques dans le domaine, la date « limite » de 24 semaines semble toujours de mise. Une nouvelle étude menée par le Medical Research Council en Grande-Bretagne a comparé un groupe de bébés nés entre 22 et 26 semaines de grossesse en 2006 à un groupe nés entre 22 et 25 semaines en 1995.

Une amélioration significative pour les bébés nés à partir de 24 semaines a été constatée, c’est-à-dire que la survie est passée de 40 à 53 % durant la décennie. De façon générale, 11 % de plus de ces bébés ont survécu jusqu’à l’âge de 3 ans sans handicap. Mais les chances de survie sans séquelles pour les bébés nés entre 22 et 25 semaines sont restées les mêmes, c’est-à-dire environ une sur cinq.

Il n’y a eu que quelques rares cas de bébés nés avant 24 semaines qui ont survécu, a affirmé l’un des auteurs de l’étude, le professeur Neil Marlow, selon le Daily Mail.

Les grands prématurés, nés avant 27 semaines de grossesse, font souvent face à de nombreux problèmes de santé importants, par exemple des troubles pulmonaires, des difficultés d’apprentissage ou de la paralysie cérébrale.

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Le café en renfort dans la lutte au diabète

Le café connait une bonne période, alors que les études qui font l’apologie de ses vertus sont de plus en plus nombreuses.

Elles contredisent un peu la vague précédente d’études qui mettaient en garde contre les effets néfastes du café. On sait maintenant que les antioxydants présents dans le produit sont excellents pour la santé, notamment pour la prévention de plusieurs cancers.

Santelog.com nous apprend maintenant que la caféine permet aussi aux gens à risque de développer du diabète de s’en protéger. Ainsi, trois ou quatre tasses de café par jour ne seraient pas néfastes, mais pourraient prévenir l’apparition de la maladie.

Étonnant de constater que les chercheurs parlent de « consommation modérée », alors qu’ils suggèrent trois ou quatre tasses quotidiennement. Des études récentes conseillaient de ne pas dépasser trois portions par jour, maximum.

Les spécialistes présents lors du congrès 2012 de la WCPD (Prevention of Diabetes and Its Complications) persistent et signent : les gens qui consomment régulièrement du café auraient 25 % moins de chance de développer du diabète.

On prête également au café des vertus antidépressives et anticancer, en plus de ses propriétés qui protégeraient contre certaines maladies cardiovasculaires et métaboliques.