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Le stress et la pauvreté réduiraient l’espérance de vie

www.nlm.nih.gov rapporte une étude fascinante (et désolante à la fois) qui révèle que dans des conditions de stress similaires, les gens plus aisés vivraient plus longtemps que ceux qui sont moins fortunés.

L’étude britannique laisse croire que la pauvreté et le stress forment une combinaison mortelle, une véritable « bombe à retardement ».

Le Dr Antonio Ivan Lazzarino, de l’Université London, y croit mordicus : « Ces gens ont réellement un taux de mortalité plus élevé. Bien plus que l’on pourrait imaginer en associant simplement ces deux facteurs (pauvreté et stress) ».

Ainsi, les gens qui sont à l’aise financièrement échapperaient à cette combinaison mortelle. Si l’on ne peut affirmer que l’argent fait le bonheur, on peut probablement conclure que celui-ci aide cependant à faire passer la pilule du stress.

L’étude a été publiée dans la plus récente édition en ligne des Archives of Internal Medicine et compare les données de plus de 65 00 personnes de 35 ans et plus durant une période de dix ans (1994 à 2004).

Pour les chercheurs à la tête de l’étude, les résultats sont clairs. La pauvreté et le stress forment une dangereuse combinaison.

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L’eau du robinet jouerait-elle un rôle dans le développement des allergies?

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov propose un lien possible entre l’eau du robinet et le développement de certaines allergies alimentaires.

Si la nouvelle peut faire peur, on ne peut s’empêcher de constater qu’une telle cause à effet serait tout à fait logique, bien que les spécialistes se gardent d’employer une telle expression.

Plus concrètement, les chercheurs de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI) ont étudié les composantes chimiques retrouvées dans l’eau « plate » du robinet, dont les dichlorophénols.

Ces derniers sont des composantes utilisées, entre autres, pour la création de pesticides. On pourrait retrouver ces pesticides dans le traitement de plusieurs fruits et légumes sur le marché.

L’étude suggère que « les hauts niveaux de pesticides à base de dichlorophénols peuvent possiblement affaiblir la tolérance à la nourriture chez certaines personnes ».

La Dre Elina Jerschow explique plus en détail le phénomène : « Ces composantes chimiques sont retrouvées fréquemment dans les pesticides utilisés par les fermiers, ainsi que dans les produits contre les insectes (moustiques, par exemple) et les produits contre les mauvaises herbes. Même chose pour l’eau du robinet ».

À la suite d’une étude plus approfondie qui impliquait plus de 2200 participants, les chercheurs ont constaté qu’un lien pouvait être établi entre l’eau du robinet et la montée en flèche des cas d’allergies alimentaires, notamment chez les enfants.

D’autres études sont attendues sur le sujet.

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Des statistiques alarmantes concernant l’huile de palme

On apprenait récemment que le fameux Nutella pourrait bien se retrouver dans l’eau chaude à la suite de nombreuses études qui pointent du doigt les produits utilisateurs de l’huile de palme.

Cette huile est considérée par plusieurs comme néfaste pour la santé, ou à tout le moins grasse et propice au gain de poids.

Selon ce que rapporte topsante.com, il n’y aurait pas que le Nutella à placer au banc des accusés. De fait, on apprend qu’un produit sur trois vendu fréquemment en épicerie contiendrait de l’huile de palme ou une autre huile végétale grasse similaire, et que les étiquettes ne sont pas toujours claires à cet effet.

Une étude effectuée par l’Observatoire de la qualité de l’alimentation (Oqali) a permis de constater que la moitié des produits communs vendus dans les marchés contiennent de l’huile végétale grasse. Du nombre, 34 % contiennent de l’huile de palme.

Il semble que les grandes multinationales alimentaires aiment bien utiliser cette huile, en fonction de ses coûts de production moins élevés. On la retrouverait notamment dans les biscuits, les gâteaux industriels et les barres tendres.

On suggère aux gens de favoriser l’utilisation d’huiles végétales saines et l’achat de produits qui en contiennent, par exemple l’huile d’olive, l’huile de colza ou encore l’huile de noix.

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Une nouvelle percée permet de mieux comprendre le développement du SIDA

Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter le processus de déclenchement et de développement du virus du SIDA. Il s’agit d’une percée majeure qui pourrait bien paver la voie à d’autres avancées majeures.

Ce sont des bio-informaticiens de l’Université Pompeu Fabra, à Barcelone en Espagne, qui ont réussi le tour de force en utilisant la science et la technologie à leur avantage pour « décoder » la manière dont une protéine s’y prend pour déclencher la maturation du virus dans l’organisme.

Les chercheurs ont bon espoir de voir cette découverte permettre de faire avancer considérablement la quête de traitement du VIH, selon ce qu’ils déclarent dans un article paru dans la plus récente édition des Actes de l’Académie américaine des Sciences.

Utilisant des principes de simulation moléculaire, les chercheurs ont reconstitué les étapes de la maturation des virions, des particules virales, qui passent subitement de l’inertie complète à un mode infectieux radical. Le virus peut ensuite se répliquer à sa guise.

La protéine qui déclenche toute l’opération se nomme « protéase du VIH », et elle agirait comme des ciseaux, découpant toute la chaîne des protéines qui forment le VIH, les rendant « libres » et individuelles. Celles-ci sont ensuite à même de devenir des bases pour de nouvelles particules virales.

Il s’agit d’une découverte étonnante, car jamais on n’avait aussi bien compris le fonctionnement et le développement du VIH, concèdent les experts.

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Les foetus ont une exposition considérable au bisphénol A

En utilisant des technologies de pointe, des chercheurs ont étudié le foie de 50 foetus au cours du premier et du deuxième trimestre de grossesse, pour découvrir qu’environ 95 % d’entre eux avaient des traces de bisphénol A.

Ce composé chimique nocif est présent dans de nombreuses sources, comme certains plastiques, les boîtes de conserve et les cannettes, ainsi que les reçus de caisse. Le BPA est absorbé par le corps par ingestion, inhalation et par contact cutané.

Le taux de BPA dans le foie des foetus était variable, mais certains avaient une exposition très élevée. Les chercheurs ont également remarqué que les bébés avaient une concentration plus grande de BPA libres, par opposition à la forme dite « conjuguée », qui est éliminée par l’organisme. Ce fait suggère que les foetus ne sont pas en mesure d’éliminer le BPA comme les adultes le font.

« Le message général de notre étude, c’est de faire comprendre aux gens que le corps des adultes est capable de fonctionner avec une certaine exposition au bisphénol A, mais que les foetus en développement ne sont pas en mesure de le faire », a expliqué l’auteure Muna Nahar, citée par EurekAlert.

Des études précédentes ont relié le BPA à une panoplie de problèmes de santé sérieux, incluant le cancer du sein et de la prostate, ainsi que des problèmes reliés à la reproduction et au comportement.

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Une nouvelle technique permettrait d’aider les enfants avec un trouble de coordination

L’auteur de l’étude, le Dr Geoffrey Bingham, a expliqué ainsi le trouble, dont il a lui-même souffert durant son enfance : « Il n’y a aucune cause neurologique connue du trouble de coordination relié au développement, mais ce problème a des répercussions émotives, sociales et académiques. Par exemple, ces enfants ont souvent du mal à lire et à écrire, même si typiquement ils sont très intelligents », selon Medscape.

Plus de 75 % de ces enfants ne recevraient jamais de diagnostic. Le Dr Bingham a ainsi conçu un programme d’intervention pour les aider, en mettant particulièrement l’accent sur l’écriture, parce qu’il s’agissait d’une composante très importante pour le fonctionnement de ces enfants.

Le programme consistait en un appareil de réalité virtuelle en 3D muni d’un stylet, qui permettait aux enfants d’améliorer leur motricité fine de façon très précise.

Durant l’étude, 8 enfants de 7 et 8 ans qui souffraient de ce trouble ont passé 20 minutes à jouer avec l’appareil, une fois par semaine. Après 6 semaines, il n’y avait pratiquement plus de différence entre les résultats de ces enfants et ceux qui n’avaient pas de problème de coordination.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Journal of Child Neurology.

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Les enfants autistes ne vivent pas la peur de la même manière que les autres

La revue Autism Research publie les résultats d’une étude menée sur 30 enfants ayant reçu un diagnostic de trouble du spectre de l’autisme (TSA), ainsi que sur 29 enfants qui n’avaient pas la maladie.

Les chercheurs montraient aux enfants une carte jaune, puis ceux-ci recevaient une bouffée d’air dans le visage sans avertissement. Au milieu de l’expérience, les chercheurs ont changé la couleur de la carte qui précédait la bouffée d’air et ont mesuré la réponse du système nerveux des enfants, pour voir si celui-ci pouvait enregistrer le changement et prévoir ce qui s’en venait.

Les enfants avec un TSA prenaient beaucoup plus de temps que les autres avant d’apprendre et d’anticiper le changement que les autres. Ceci indiquait que le système nerveux des enfants avec un TSA ne réussissait pas à se débarrasser de la première peur de manière adéquate.

« Nous pouvons constater une forte corrélation entre l’anxiété et les comportements répétitifs. Ce que nous faisons, c’est de relier des symptômes utilisés pour diagnostiquer le TSA avec des difficultés émotionnelles, qui ne sont pas considérées comme un signe classique d’autisme », a indiqué l’auteur de l’étude, le professeur de psychologie Mickle South, tel que rapporté par Science Daily.

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La santé du bébé est influencée par la place que prend la famille pour sa mère

Pour une étude, des chercheurs ont envoyé des questionnaires à 4633 mères de milieux défavorisés, pour évaluer leurs croyances et leurs valeurs par rapport au rôle de la famille et à la responsabilité de celle-ci.

La santé des enfants a ensuite été étudiée, et les chercheurs ont découvert que pour chaque point sur la valeur accordée à la famille, les bébés avaient un poids plus élevé à la naissance de 71 grammes, et ce, indépendamment de tous les autres facteurs, par exemple le sexe du bébé.

La valeur accordée à la famille était également inversement proportionnelle au risque pour l’enfant de développer de l’asthme.

« Les croyances culturelles et les idéaux reliés à la famille peuvent être distincts de la réalité présente d’une personne. Cela nous apparaît comme une ressource culturelle, qui a un impact favorable sur la reproduction chez les mères et sur des marqueurs de santé cruciaux chez leurs enfants. Ces données suggèrent que la santé est transmise d’une génération à une autre », a expliqué l’auteure de l’étude, Cleopatra Abdou, selon Science Daily.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science and Medicine.

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Trop de sport pourrait raccourcir l’espérance de vie

Une nouvelle étude qui vient en contredire plusieurs autres concernant les bienfaits du sport sur la santé risque fort de faire jaser au sein de la communauté sportive.

C’est que des chercheurs américains affirment que faire trop de sport pourrait bien être nocif pour la santé, et du même coup réduire l’espérance de vie des principaux intéressés.

C’est du moins ce que rapporte topsante.com, qui parle de « fatiguer son cœur » à force de trop courir, par exemple.

Bien entendu, les chercheurs à la tête de l’étude ne veulent pas décourager la pratique d’activités physiques, bien au contraire, ni donner des munitions aux fans de la procrastination.

Cependant, ils veulent simplement mettre en garde les « accros du sport » contre des risques possibles sur leur santé à long terme.

James O’Keefe et Carl Lavie, des cardiologues, expliquent : « Une routine d’activité physique modérée peut allonger votre vie de plusieurs années. À l’inverse, courir trop vite, trop loin et pendant de trop longues années, peut raccourcir votre existence ».

Concernant la course à pied, on suggère donc de se limiter à environ 30 minutes maximum quotidiennement, pour un effet bénéfique maximal sur la santé et l’espérance de vie.

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La caféine pourrait bien vous rendre trouillard

Voici une nouvelle qui en surprendra plus d’un, et qui fera certes sourire plusieurs grands consommateurs de café.

C’est que la National Sleep Foundation vient de faire paraître une série de symptômes qui peuvent accompagner une trop grande consommation de caféine, et l’un de ceux-là est la peur.

www.nlm.nih.gov parle de « trouille », un sentiment relatif à la peur, mais aussi apparenté à l’angoisse et l’anxiété. On suggère d’abaisser sa consommation de café si l’on est sujet à ce genre de réactions négatives.

Aussi, on rappelle qu’un trop-plein de caféine peut aussi mener à de l’irritabilité, des étourdissements, des nausées, des maux de tête et de l’insomnie.

L’association parle également des risques de palpitations cardiaques, ou encore carrément de l’accélération du rythme du cœur. Aussi, une trop grande consommation de caféine peut mener à des problèmes de motricité, certaines personnes subissant soudainement des problèmes de coordination.

La déshydratation et des passages à la salle de bains plus fréquents sont à prévoir. On peut compenser la déshydratation par une consommation accrue d’eau, mais le meilleur moyen demeure encore de boire moins de café.

Plusieurs associations et spécialistes s’accordent pour dire qu’on ne devrait pas dépasser trois cafés par jour, en moyenne.