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Manger et boire beaucoup de fruits, pas toujours un gage de perte de poids

On répète sans cesse que les fruits et légumes représentent la base d’une alimentation saine, et c’est un fait. Cependant, trop de gens croient que d’en manger constamment permet de se rassasier adéquatement, et d’ainsi prévenir le gain de poids.

Or, une nouvelle étude rapportée par www.nlm.nih.gov conclut qu’il pourrait s’agir d’un mythe. Des chercheurs ont tenté l’expérience, en proposant des fruits et légumes avant les repas à un groupe de patients tests (dont les bilans de santé variaient d’obèse à normal). D’autres ont reçu un jus de fruit, ce qui n’a pas semblé freiner les ardeurs gastronomiques des sujets, au contraire.

Des 34 participants à l’étude, presque tous ont quand même enregistré des gains de poids en ajoutant des fruits, ou des jus de fruits, à leur alimentation quotidienne.

Cela s’expliquerait par le fait que le simple fait d’ajouter des fruits et légumes ne signifie pas une perte de poids automatique, mais plutôt qu’il faut alors diminuer la consommation d’autres aliments.

De plus, l’absorption de liquides comme les jus de fruits ne stimule pas l’organisme de la même façon que le font les solides, ce qui vient brouiller les cartes.

On suggère donc de remplacer de « mauvais » aliments par des fruits, et non pas de les manger en plus! De plus, il semble que les jus de fruits sont à éviter, alors que les sujets de l’étude qui en ont reçu avant les repas ont mangé près de 200 calories par repas de plus que leurs congénères.

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Dormir plus pourrait vous rendre plus tolérant à la douleur

Voici une nouvelle qui ravira les grands dormeurs de ce monde. En effet, si vous cherchiez de nouvelles excuses pour faire la grasse matinée, Topsante.com rapporte une étude qui s’adresse à vous.

Elle s’adresse également aux personnes qui ont un seuil de tolérance à la douleur peu élevé, puisqu’elle conclut que deux heures de sommeil supplémentaires par nuit pourraient vous rendre moins sensible à la douleur.

La National Sleep Fondation, dont les conclusions ont été publiées dans le magazine Sleep, explique que dormir sept à neuf heures par nuit favorise non seulement la performance, mais aussi la résistance à la douleur.

L’équipe de chercheurs en tête de l’étude a analysé les cas de 18 jeunes adultes de 18 à 35 ans, dont 9 devaient dormir deux heures de plus qu’à leur habitude, alors que l’autre moitié conservait le même rythme.

On leur faisait ensuite passer des tests de douleur, pour finalement conclure que les sujets qui avaient dormi davantage devenaient plus résistants à la douleur, parfois même jusqu’à 25 % plus que les autres.

Pour terminer, on rappelle que d’autres études ont précédemment conclu qu’un sommeil suffisant et de qualité permet de conserver plus facilement un poids santé ainsi que de meilleures performances quotidiennes au travail.

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Un médicament contre le diabète efficace contre le cancer de l’ovaire

Une nouvelle étude rapportée par Santelog.com parle d’une découverte intéressante concernant le cancer de l’ovaire.

Cette maladie fait des ravages chez les femmes, et les chercheurs multiplient les efforts pour tenter de trouver des solutions. Il y en a peut-être une qui se développe en ce moment, alors que des chercheurs de la Clinique Mayo affirment être en mesure d’allonger la durée de vie de patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire grâce à un traitement contre le diabète.

Il s’agit de la metformine, un médicament bien connu, qui pourrait bien avoir une double propriété. On avait par ailleurs déjà associé la metformine à des résultats encourageants observés dans certains cas de cancers du poumon, notamment.

Cette fois, les chercheurs ont analysé les dossiers de 61 patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire à qui l’on a administré de la metformine. On a ensuite comparé ces résultats avec ceux de 178 patientes qui n’ont pas reçu le traitement.

Les résultats sont clairs : les patientes sous metformine augmentent leur durée de vie. Et cela peut même aller jusqu’à cinq années supplémentaires, affirment les experts.

Il s’agit d’une percée intéressante qui pourrait mener à d’autres traitements en matière de cancer de l’ovaire.

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Des produits chimiques dans l’eau et les aliments pourraient causer les allergies alimentaires

Les produits chimiques en question, les dichlorophénols, sont également utilisés pour produire les pesticides, donc ils se retrouveraient aussi dans certains fruits et légumes.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Annals of Allergy, Asthma and Immunology. L’étude a inclus 2000 enfants de 6 ans et plus. Environ 400 de ces enfants avaient une allergie alimentaire, et plus de 1000 d’entre eux avaient une allergie environnementale.

Selon les chercheurs, ceux qui avaient une ou plusieurs sensibilités à des aliments avaient un niveau de dichlorophénols beaucoup plus élevé dans le sang que ceux qui n’avaient aucune allergie alimentaire.

« Même si la manière dont l’étude a été réalisée ne nous permet pas hors de tout doute de conclure que les pesticides sont responsables des allergies, celle-ci soulève certainement des doutes sérieux et justifie de poursuivre la recherche », a dit le Dr Kenneth Spaeth, directeur du centre de médecine occupationnelle et environnementale d’un hôpital dans l’État de New York, selon Consumer Healthday.

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Les enfants subissent beaucoup plus de tests de diagnostic qu’avant

Pediatrics publie les résultats d’une étude à laquelle ont participé plus de 63 000 enfants entre 2001 et 2009. Le pourcentage des enfants qui ont passé un tomodensitomètre (aussi souvent appelé un « scan »), par exemple, a augmenté de 34 %.

Les chercheurs ne pouvaient pas prouver que ces tests étaient vraiment nécessaires. Ceux-ci étaient surtout effectués dans un contexte hospitalier, particulièrement lorsque l’enfant se présentait à l’urgence avec des blessures ou des traumatismes, des symptômes gastro-intestinaux ou des anomalies congénitales.

En particulier, durant la durée de l’étude, les enfants étaient 4,22 fois plus susceptibles de subir ces tests dans un contexte hospitalier plutôt que s’ils visitaient une clinique, et 2,73 plus susceptibles s’ils étaient à l’urgence. Les enfants avec des anomalies congénitales avaient quant à eux 67 % plus de chances, par rapport à la décennie précédente.

« La controverse reliée au risque de cancer plus élevé, particulièrement pour les enfants, demande que des pratiques claires soient établies, et que ces tests soient évalués afin de réduire une exposition non nécessaire à la radiation », a expliqué l’auteure, la Dre Jeannie Huang, selon MedPageToday.

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Les enfants subissent beaucoup plus de tests de diagnostic qu’avant

Pediatrics publie les résultats d’une étude à laquelle ont participé plus de 63 000 enfants entre 2001 et 2009. Le pourcentage des enfants qui ont passé un tomodensitomètre (aussi souvent appelé un « scan »), par exemple, a augmenté de 34 %.

Les chercheurs ne pouvaient pas prouver que ces tests étaient vraiment nécessaires. Ceux-ci étaient surtout effectués dans un contexte hospitalier, particulièrement lorsque l’enfant se présentait à l’urgence avec des blessures ou des traumatismes, des symptômes gastro-intestinaux ou des anomalies congénitales.

En particulier, durant la durée de l’étude, les enfants étaient 4,22 fois plus susceptibles de subir ces tests dans un contexte hospitalier plutôt que s’ils visitaient une clinique, et 2,73 plus susceptibles s’ils étaient à l’urgence. Les enfants avec des anomalies congénitales avaient quant à eux 67 % plus de chances, par rapport à la décennie précédente.

« La controverse reliée au risque de cancer plus élevé, particulièrement pour les enfants, demande que des pratiques claires soient établies, et que ces tests soient évalués afin de réduire une exposition non nécessaire à la radiation », a expliqué l’auteure, la Dre Jeannie Huang, selon MedPageToday.

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Les traumatismes vécus durant l’enfance modifient l’ADN

C’est bien connu que les enfants qui ont vécu des traumatismes ou des sévices risquent beaucoup plus que les autres de souffrir d’anxiété et de troubles psychiatriques plus tard. Plusieurs maladies, dont les maladies mentales, sont causées par une interaction entre les gènes et l’environnement.

Les résultats d’une nouvelle étude révèlent que la prédisposition génétique influence largement le fait de développer un problème psychiatrique ou non.

L’étude a porté sur environ 2000 personnes ayant vécu des traumatismes sévères, certains durant l’enfance, et d’autres plus tard dans leur vie. Le tiers de ceux-ci souffraient de syndrome de stress post-traumatique, et le risque de développer cette maladie était directement relié à la sévérité de l’abus ainsi qu’à des variantes spécifiques du gène FKPP5. Ce gène est responsable de la manière dont les individus réagissent au stress.

Tel que rapporté par Science Daily, les chercheurs allemands ont montré que ces variantes génétiques faisaient une différence au point de vue physiologique pour ceux qui étaient affectés, particulièrement dans leurs cellules nerveuses.

En réaction au stress extrême, les personnes qui possèdent cette variante vivent un changement permanent de leur ADN, appelé une modification épigénétique. Cette modification n’était présente que chez les individus qui avaient vécu ces traumatismes durant l’enfance, et pas chez les autres.

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Un traitement controversé de l’autisme peut être dommageable pour la santé

Des chercheurs mettent en garde les parents, après avoir analysé les résultats de cinq études portant sur la chélation, un traitement intraveineux qui permet soi-disant d’éliminer les éléments toxiques comme le mercure du corps humain. En tout, les études portaient sur 82 enfants, âgés de 3 à 14 ans, qui avaient reçu ce traitement pendant un à sept mois.

Les effets secondaires étaient nombreux et potentiellement dangereux, par exemple la fièvre, les vomissements, l’hypertension et l’hypotension, l’arythmie cardiaque et l’hypocalcémie. Ce dernier effet peut être mortel, parce qu’il cause des arrêts cardiaques, ce qui s’est malheureusement produit avec un jeune de 5 ans ayant participé à une des études.

La chélation est particulièrement problématique parce que la théorie voulant que l’autisme soit causé par une accumulation de mercure dans l’organisme n’a même pas été prouvée, a expliqué Tonya Davis, la coauteure de l’étude.

« Utiliser la chélation pour enlever des métaux du corps humain afin d’améliorer les symptômes de l’autisme peut être vu comme étant non fondé et illogique », a-t-elle ajouté, selon Science Daily.

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Le régime alimentaire des Américains bien en deçà des normes prescrites

Les autorités et associations américaines pour la santé doivent certainement commencer à être découragées par le comportement de leurs concitoyens, alors qu’une nouvelle étude vient encore confirmer que les Américains ne respectent pas les normes alimentaires prescrites par leurs propres spécialistes.

Ainsi, www.nlm.nih.gov rapporte qu’une récente étude sur le sujet démontre un manque flagrant de conscientisation alimentaire chez l’Américain moyen.

Cependant, les conclusions donnent tout de même de bonnes notes aux gens plus âgés, aux femmes ainsi qu’aux enfants, quoique les résultats demeurent décevants. C’est donc particulièrement inquiétant dans le cas des hommes d’âge moyen, qui ne semblent pas se soucier outre mesure de ce qu’ils avalent.

L’étude analysait les comportements alimentaires de 8272 Américains et proposait un système de pointage. Pour chaque aliment suggéré par l’Association (comme les fruits, les légumes, les noix, le poisson, etc.), on accordait des points. Seules les personnes âgées ont obtenu la note de passage, et de peu (65 %).

Gary Bennett, chercheur à l’Université Duke de Durham, en Caroline du Nord, conclut en affirmant : « Je crois qu’il s’agit d’une étude importante, parce qu’elle démontre clairement ce que nous avons suspecté depuis longtemps : il existe des disparités profondes dans les régimes alimentaires des Américains. La diète américaine en soi doit s’améliorer ».

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Le virage santé des chaînes de fast-food serait-il inutile?

Plusieurs grandes chaînes de restauration rapide ont pris le virage santé ces dernières années, offrant aux clients qui le désirent de nouvelles options moins néfastes pour l’organisme.

Le simple fait d’ajouter des aliments plus verts aux menus ne rendrait pas le phénomène des fast-food plus sain pour la population et ne ferait pas baisser le nombre moyen de calories ingérées non plus.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les conclusions d’une étude parue dans l’édition de novembre de l’American Journal of Preventive Medicine. Les chercheurs ont analysé les menus de plusieurs grandes chaînes de restauration rapide, dont McDonald’s, Burger King, Wendy’s, Taco Bell, PFK, Arby’s et Dairy Queen, entre autres.

Pour Katherine Bauer, auteure en chef de l’étude, l’effort est louable, mais l’impact minime. Elle explique : « Une entrée de salade, de plus en plus populaire, peut aussi être néfaste. Avec du poulet frit sur le dessus et de la sauce à salade traditionnelle, votre salade pourrait contenir plus de calories qu’un hamburger ».

Des nutritionnistes appelés à commenter l’étude se disent d’accord avec ces résultats.

Les chercheurs suggèrent notamment de limiter les visites dans ce genre de restaurants et de manger plus souvent à la maison.