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Le changement d’heure augmente les statistiques d’AVC

Le changement d’heure estival apprécié de tant de gens pourrait-il avoir des conséquences néfastes sur la santé?

C’est ce qui ressort d’une étude américaine sur le sujet, qui estime que le changement d’heure augmente les statistiques d’accident cardiovasculaire de près de 25 %, rapporte Top Santé.

En fait, malgré ses allures de bénéfice, le passage à l’heure d’été aurait une incidence aussi forte, sinon plus, sur le corps que le décalage horaire. Affectant le rythme circadien de l’organisme, plus de gens seraient victimes de crises cardiaques le lundi suivant le changement d’heure.

C’est la conclusion à laquelle arrive le Dr Amneet Sandhu, de l’Université du Colorado, qui publie l’étude.

Celui-ci suggère notamment d’ajuster la période de coucher et de réveil en conséquence, afin de contrer les impacts du changement d’heure sur notre horloge biologique. Des siestes de dix ou quinze minutes durant la journée seraient également bénéfiques.

Les observations et conclusions de l’étude du Dr Sandhu vont dans le même sens que deux études précédemment proposées par l’INSERM.

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La consommation de fruits et légumes bénéfique chez les jeunes femmes

Manger fréquemment des fruits et légumes lorsqu’on a 20 ans permettrait de nombreux bénéfices pour la santé plus tard au cours de la vie, mais surtout lorsqu’on est une femme, selon une étude rapportée par Santé Log.

L’étude présentée dans le cadre du projet CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults) estime que les jeunes femmes au début de la vingtaine qui choisissent de manger des fruits et légumes auront moins de risques d’éprouver des problèmes cardiovasculaires au tournant de la quarantaine.

L’étude analyse les données de près de 2500 participants et note entre autres un risque réduit de 40 % de voir l’apparition de plaques au niveau des artères chez les femmes de 40 ans.

On conseille néanmoins aux hommes de consommer eux aussi leur part de fruits et de légumes, même si cette étude ne parvient pas à observer le même résultat pour les hommes que pour les femmes.

On rappelle également que d’autres facteurs peuvent influencer les statistiques et le risque de troubles cardiaques, comme le tabagisme, la sédentarité et la surconsommation de viandes rouges et de boissons sucrées.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du congrès de l’American College of Cardiology.

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Être trop mince comporte aussi des risques pour la santé

Une nouvelle étude estime qu’une personne sous le poids santé recommandé court aussi plusieurs risques pour sa santé et pourrait même voir son espérance de vie diminuer, rapporte le ScienceWorldReport.

C’est un physicien du St. Michael’s Hospital de Toronto, le Dr Joel Ray, qui s’est penché sur la question et a analysé les données de 51 études précédentes qui étudiaient les impacts sur la santé d’un poids considéré trop faible.

Les risques de décès prématurés seraient aussi grands, sinon plus, chez les personnes trop minces que chez les personnes obèses, observe le Dr Ray. Ce dernier croit par ailleurs qu’il pourrait être utile de revoir nos façons de penser en termes de quantification et d’analyse du poids des patients.

« Nous avons l’obligation de nous assurer d’éviter de créer une épidémie d’adultes trop minces, et qui seraient en temps normal de poids correct. Nous sommes alors obligés d’utiliser le bon outil de mesure. Si notre objectif est plutôt la lutte à l’excès de gras, nous pourrions changer pour une mesure de la circonférence de la taille », explique le Dr Ray, en lien avec le l’IMC (Indice de Masse Corporelle), qu’il croit désuet et non représentatif.

L’étude complète a été publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health.

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Les boissons gazeuses diètes dangereuses pour la santé cardiaque des femmes?

La surconsommation de boissons gazeuses diètes serait possiblement dommageable pour la santé des femmes, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude américaine en provenance de l’Iowa estime que les femmes qui consomment de grandes quantités de ces boissons sont plus à risque que les autres de subir un infarctus ou de développer des troubles cardiovasculaires.

Cette nouvelle recherche, qui se base sur les données de plus de 60 000 dossiers de patientes en post-ménopause, contribue donc à détruire le mythe que les boissons gazeuses diètes sont « sans danger » pour la santé.

« Ce n’est pas la première étude à démontrer un lien entre la consommation de soda diète et le risque d’attaque et de maladies cardiaques. Ce ne devrait plus être une surprise désormais », déclare la professeure Susie Swithers, qui analyse les résultats sans prendre part à l’étude.

Les conclusions complètes de l’étude seront présentées lors du prochain congrès de l’American College of Cardiology, du côté de Washington.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Première impression : notre voix s’en charge

On dit souvent qu’on ne peut faire deux fois une bonne première impression, ou que cette dernière se joue dans les deux premières minutes d’une rencontre. Mais selon une nouvelle étude américaine et écossaise, notre voix ferait le travail beaucoup plus rapidement que ça, et à notre insu.

En fait, selon l’étude rapportée par Top Santé, il suffirait d’à peine une seconde pour que notre interlocuteur se fasse une impression de notre personnalité et de nos traits distinctifs, simplement par le son de notre voix.

Les chercheurs en tête de l’étude, pour la plupart des psychologues des universités de Glasgow et Princeton, ont proposé plusieurs fois la même salutation provenant de voix et de personnes différentes à quelque 320 sujets volontaires.

Fait étonnant, il aura fallu moins d’une seconde à chaque sujet de l’étude pour tirer les mêmes conclusions concernant les voix proposées!

« Il est étonnant qu’en si peu de temps, vous puissiez obtenir une impression précise sur une personne. D’autant  plus que, indépendamment de savoir si elle est exacte, votre impression est la même que celle que reçoivent les autres auditeurs », lance le Dr Phil McAleer, coauteur de l’étude.

Comme on sait maintenant que la voix nous trahit, il est possible de la travailler ou de l’utiliser afin d’envoyer une meilleure image de soi-même, rappellent également les chercheurs.

Cette fascinante étude a été publiée par le magazine PLoS One.

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Une marinade de bière pour des grillades sécuritaires

Même si le printemps se fait tardif et timide au Québec en ce moment, les deux belles saisons seront bientôt à nos portes et mettront la table pour les plaisirs estivaux, notamment celui des bons repas en plein air et des barbecues.

Un autre plaisir coupable en été est sans aucun doute celui de siroter une bonne bière, et une nouvelle étude propose une double utilité à la boisson pour ceux qui aiment bien s’installer au barbecue pour faire cuire leur viande.

Selon cette nouvelle étude, par ailleurs rapportée par ScienceDaily, il serait possible de se protéger de certaines substances et bactéries potentiellement dangereuses retrouvées dans la viande en été grâce à l’utilisation d’une marinade à base de bière.

La bière ainsi utilisée permettrait notamment de combattre la possible présence d’hydrocarbones aromatiques polycycliques (HAP ou PAH en anglais), qui se forment lorsqu’on cuit une viande à haute température.

Les chercheurs ont testé la théorie en effectuant la cuisson de portions de viande de porc à l’aide marinade de bière (Pilsner), de bière non alcoolisée et de bière noire. Cette dernière aurait permis d’obtenir les meilleurs résultats, réduisant les niveaux d’HAP de plus de la moitié.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

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Santé : Les assurances privées laissent les consommateurs sur leur faim

Plusieurs consommateurs et clients qui souscrivent à des régimes d’assurances privés en santé, que ce soit de façon personnelle ou via l’employeur, commencent à décrier le faible rapport qualité-prix observable depuis un bon moment.

Plus chères et moins généreuses, plusieurs polices d’assurance laissent les consommateurs sur leur faim, alors que ceux-ci découvrent souvent sur le tard qu’ils ne sont pas couverts pour un traitement ou besoin spécifique.

À quoi bon souscrire et payer des sommes respectables mensuellement si on ne gagne pas de tranquillité d’esprit au final? Voilà la question qui se pose.

C’est Le Devoir qui lance le débat, en rapportant l’étude et l’analyse d’un chercheur de l’Université de Colombie-Britannique, Michael Law. Ce dernier a calculé la différence observable entre les cotisations moyennes et le retour sur l’investissement d’un consommateur en soins de santé, et ce, au cours des 20 dernières années.

En 1994, le client moyen voyait sa police d’assurance privée lui remettre 92 % de ses cotisations sous forme de couverture et de soins de santé, alors que la moyenne actuelle ne se situerait qu’autour de 74 %.

« Imaginez si seulement 74 % de l’argent du ministère de la Santé servait à donner des soins de santé. Les gens descendraient dans la rue pour protester », croit Michael Law.

On estime à 4,4 milliards de dollars l’argent investi par les Canadiens dans des régimes d’assurance maladie privés sans aucun retour sous forme de soins.

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La protéine 73 et la fertilité masculine

Des chercheurs américains et allemands expliquent le lien qui existe entre une protéine spécifique et la capacité de reproduction masculine dans une nouvelle étude fort intéressante, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’Université Göttingen en Allemagne et de l’Université Stony Brook de New York ont découvert qu’une protéine appelée P73 est nécessaire au bon fonctionnement du système reproducteur masculin, après avoir mené une série de tests et d’analyses sur des souris.

« Lors de la reproduction, deux types de protéines interviennent. La famille des protéines 53 et celle des protéines 63 qui, chez les mammifères, détruit les œufs et le sperme qui présentent des défauts et dommages à l’ADN. Nous avons constaté que sans la protéine 73, les spermatozoïdes n’étaient pas viables », peut-on lire dans les conclusions de l’étude allemande et américaine.

Si ces révélations ne veulent possiblement pas dire grand-chose pour commun des mortels, il est intéressant d’apprendre que celles-ci pourraient mener à de nouvelles possibilités en matière de traitement de l’infertilité masculine.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Cell Biology.