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Des herbes très dangereuses pour la santé liées à des cas de cancer

De plus en plus de gens se tournent vers les médecines alternatives pour tenter d’enrayer des problèmes de santé, mais certains produits seraient hautement dangereux pour la santé, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est le cas des herbes qui contiennent de l’acide aristolochique, comme le Fang Chi.

Ce n’est pas la première fois que les agences de santé mettent la population en garde contre ce genre de produit. Une vaste campagne de sensibilisation avait été lancée en 2001, 2003 et 2005 au Canada et aux États-Unis, après que des tests aient révélé les dangers reliés à l’utilisation de produits contenant de l’acide aristolochique.

Cette fois, une étude taïwanaise vient mettre le clou final au débat, alors qu’elle conclut que des cas de cancers de la vessie et des reins sont directement liés à la prise de ces herbes. Plus précisément, l’étude parle de cas recensés chez des herbalistes et homéopathes qui ont été en contact direct et fréquent avec ces produits, dont le Fang Chi.

Le deux tiers des personnes au nombre des cas recensés étaient des femmes.

Plusieurs produits contenant de l’acide aristolochique sont toujours vendus en magasins en Asie, et les spécialistes tiennent mordicus à l’implantation de lois plus strictes pour en freiner la vente.

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Des greffes de cellules pour traiter le Parkinson dès 2013

Santelog.com nous apprend que pas moins de cinq greffes de cellules cérébrales sont au programme en 2013, afin de tenter d’aider des patients souffrant de la maladie de Parkinson.

C’est l’hôpital universitaire de Lund qui aura la tâche d’accomplir ces exploits, les traitements s’inscrivant dans le cadre d’une étude européenne. Ce sera la première tentative du genre depuis une décennie, et les résultats sont prometteurs.

Seule ombre au tableau, c’est bien entendu le fameux débat des cellules souches qui risque fort de revenir au premier plan de l’actualité. Plusieurs percées et traitements expérimentaux similaires à celui-ci seront mis à l’essai en 2013.

Dans ce cas-ci, on parle de remplacer les cellules cérébrales mourantes par des neuves, ce qui permettrait d’inverser (ou à tout le moins de combattre) le processus des maladies dégénératives comme le Parkinson, mais aussi la maladie d’Alzheimer.

Les thérapies cellulaires régénératives du genre ont rencontré plusieurs obstacles depuis la création du concept dans les années 80 et 90, mais les chercheurs ont bon espoir de réussir de petits miracles rapidement, entre autres grâce aux percées dans le domaine de la génétique et des nouvelles technologies.

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De nouveaux tests sanguins pour détecter les signes précoces de cancer

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une nouvelle étude parle de la possibilité de voir apparaitre de nouveaux tests sanguins, qui pourraient s’avérer fort utiles dans le dépistage du cancer.

Selon les conclusions de l’étude, les praticiens de partout pourraient avoir accès à ces nouveaux types de tests et ainsi être en mesure de diagnostiquer plus rapidement les signes précurseurs de cancer chez leurs patients.

Cependant, les recherches n’en sont qu’à leur stade préliminaire, et les questions concernant cette percée sont encore nombreuses, notamment concernant les coûts et l’interprétation des résultats de ces tests.

Malgré tous ces points d’interrogation, il n’en demeure pas moins qu’un test sanguin basé sur l’ADN et la génétique serait toute une avancée dans le domaine.

C’est ce que croit le Dr Victor Velculescu, codirecteur du programme Cancer/Biologie du Johns Hopkins Kimmel Cancer Center de Baltimore : « Ce serait une bonne façon de détecter les stades précoces du cancer chez nos patients, et d’en déterminer le niveau au fur et à mesure des traitements ».

D’autres tests sont aussi en essais, dont un qui pourrait même aller jusqu’à détecter les cellules cancéreuses dans le sang bien avant le développement de la maladie.

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La mode est au Ritalin chez les universitaires, ce qui inquiète les autorités

Une tendance déplorable des dernières années dans les écoles du pays, notamment au Québec, est de consommer du Ritalin afin d’être bien prêt et concentré pour ses examens.

L’importance de ne pas « couler » est grande, et la pression de réussir est forte, on le comprend. En associant ce principe au phénomène de la popularité grandissante des médicaments contre les troubles de l’attention comme le Ritalin, vous avez un cocktail potentiellement explosif.

Radio-canada.ca confirme les craintes des autorités, rapportant que des professionnels de la santé d’Halifax ont décidé de bouger dans ce dossier.

Ils lancent donc une alerte s’adressant aux étudiants qui ont développé cette habitude, rappelant que des effets secondaires sont possibles à long terme. La dépendance est aussi fréquente chez les utilisateurs de Ritalin (et d’Aderral), le médicament agissant un peu comme la cocaïne sur l’organisme.

Les autorités de la santé d’Halifax rappellent également que la drogue est trop facilement accessible sur le marché, entre autres à cause des nombreuses ordonnances émises par les praticiens.

Il s’agit d’un dossier qui prend de l’ampleur depuis un bon moment déjà, mais les autorités commencent à peine à parler du problème.

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Le sirop de maïs blâmé dans plusieurs cas de diabète

Le sirop de maïs est un ingrédient utilisé abondamment par les grandes compagnies du domaine de l’alimentation, et il serait à blâmer dans plusieurs dossiers, dont celui de la hausse des cas de diabète en Amérique.

C’est que le produit possède une haute teneur en glucose-fructose, rapporte Santelog.com, et que celui-ci s’avèrerait toxique pour l’organisme, comme on l’apprenait récemment.

Peut-on éviter de consommer de trop grandes quantités de sirop de maïs? La réponse est oui, mais il vous faudra faire quelques sacrifices. Choisir un bon régime alimentaire permet d’éviter le problème partiellement, puisque l’ingrédient en cause se retrouve majoritairement, vous l’aurez compris, dans les desserts et autres produits du sucre.

Par exemple, les biscuits, la crème glacée et les fameuses boissons gazeuses ont tous des teneurs en glucose-fructose beaucoup trop élevées.

Une étude qui analyse les habitudes de consommation de 43 pays dévoile que ceux qui utilisent des quantités abondantes de sirop de maïs dans leurs produits voient leur taux de diabète grimper de 20 % dans la population.

Difficile de nier le lien direct entre ces ajouts et la montée fulgurante du diabète, de type 2 notamment, à travers l’Amérique du Nord.

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Une intervention rapide peut prévenir les problèmes de comportement chez les enfants

L’instigateur du projet, Pal Roland, du Center for Behavioural Research, explique ainsi que plusieurs systèmes, dont celui mis en place en Norvège, font une intervention à l’envers : la majorité des efforts sont consacrés à l’école secondaire. Le chercheur propose plutôt que les ressources soient mieux distribuées, avec de l’aide offert dès la garderie, la maternelle et l’école primaire.

Le projet, intitulé The Challenging Child (l’enfant difficile), met l’accent sur les manières d’identifier, même en bas âge, les enfants qui pourraient avoir besoin d’aide. Ce n’est pas toujours facile, étant donné que tous les jeunes enfants peuvent exprimer de la frustration et de la colère. Mais c’est dans la sévérité et la fréquence de cette négativité qu’on peut voir des signes avant-coureurs.

Le chercheur mentionne entre autres la transition entre la garderie et l’école primaire comme une source majeure de stress pour certains enfants à risque, qui peuvent développer des comportements négatifs simplement parce qu’ils ne savent pas comment bien exprimer ou canaliser ce stress.

Il faut épauler ces enfants, leur procurer du soutien, notamment en formant bien les enseignants et intervenants et en se transmettant de l’information sur les stratégies qui fonctionnent.

Les parents sont aussi des acteurs-clés pour aider leurs enfants. « La plupart des gens mettent l’accent sur les professionnels, mais je crois que les parents sont une influence majeure sur leurs enfants. Ces parents devraient recevoir une formation des enseignants ou intervenants, afin qu’ils développent leur expertise », a ajouté M. Roland, selon Medical News Today.

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L’allergie aux arachides chez les enfants serait liée à l’eczéma et l’allergie aux oeufs

Pour le bien de l’étude toujours en cours, 834 enfants considérés comme à risque de développer une allergie aux arachides, mais ne présentant aucun symptôme, ont été recrutés entre l’âge de 4 et 10 mois.

Ces enfants seront suivis jusqu’à 5 ans, pour voir s’ils ont développé ou non l’allergie. Certains participants consomment ainsi des arachides 3 fois par semaine, tandis que d’autres s’abstiennent complètement pendant toute la durée de l’étude.

Avant le début de l’étude, les chercheurs avaient classé les enfants en 4 groupes, selon leur niveau d’eczéma, de leur allergie aux œufs et de leur réponse aux arachides lors d’un test cutané.

« Nos données montrent que les facteurs de risque les plus importants pour la sensibilité aux arachides étaient l’allergie aux œufs et l’eczéma », ont révélé les auteurs, cités par Medscape.

Il s’agit de résultats préliminaires, qui ont été publiés dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology.

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Les coussins de positionnement pour bébés ne sont pas sécuritaires

Les CDC présentent un nouveau rapport sur les coussins de positionnement, à la suite de la mort de 13 nouveau-nés en lien avec ceux-ci.

Douze de ces bébés avaient moins de trois mois, et la plupart avaient été couchés sur le côté. Quatre de ces bébés étaient nés prématurément, et trois étaient des jumeaux. Huit bébés étaient des garçons, et quatre avaient eu des symptômes de maladie respiratoire peu avant leur décès.

Les auteurs du rapport trouvent déplorable que « plusieurs coussins de positionnement aient été mis en marché pour le public, et présentés comme réduisant le risque de mort subite, améliorant le sommeil et la santé », alors qu’aucune preuve n’existe à cet effet, selon Medscape.

La FDA a demandé à toutes les entreprises qui manufacturent ces coussins de les retirer des rayons en attendant de pouvoir fournir des données qui démontrent les avantages reliés à ceux-ci.

Les CDC ont également relevé le fait qu’environ 25 % des parents ne suivent pas les recommandations officielles voulant que les bébés doivent toujours être couchés sur le dos, même s’il a été prouvé que c’était la position la plus sécuritaire.

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Le risque d’obésité peut être prédit dès la naissance

Le journal PLoS ONE publie les résultats d’une étude qui a permis à des chercheurs finlandais de développer une formule prédisant le risque pour un nouveau-né de devenir obèse.

Les chercheurs ont d’abord essayé de prédire ce risque en se basant sur des facteurs génétiques complexes qu’ils ont étudiés chez plus de 4000 enfants, pour finalement se rendre compte qu’il était beaucoup plus facile de faire cette prédiction dès la naissance.

Les facteurs de prédiction sont l’indice de masse corporelle des deux parents, le nombre de personnes dans la famille, le poids à la naissance, le statut professionnel de la mère, et si celle-ci a fumé durant la grossesse. Le calculateur est proposé en ligne (en anglais seulement).

Selon l’étude, les 20 % d’enfants dont le risque est le plus élevé à la naissance formeront plus tard 80 % des enfants obèses. Les chercheurs ont indiqué que seulement 10 % des cas d’obésité sont causés par des facteurs génétiques. La formule permettrait donc d’offrir des services et du soutien aux familles le plus à risque.

« Une fois que les enfants sont obèses, il est difficile pour eux de perdre du poids, alors la prévention demeure la stratégie la plus efficace, et celle-ci doit commencer le plus tôt possible », a affirmé l’auteur, Philippe Froguel, selon Science Daily.

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Le chien pourrait contribuer à la création de nouveaux vaccins

C’est une nouvelle étonnante que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs de l’Université de Géorgie, aux États-Unis, affirment que de nouveaux vaccins pourraient être créés à partir d’un virus de chien.

Les canidés pourraient donc consolider leur statut de « meilleur ami de l’homme » en venant à la rescousse de l’humain, qui n’arrive pas à créer des vaccins pour certaines maladies et certains virus, comme le H5N1 ou le VIH.

Un des virus du chien pourrait détenir des solutions, expliquent les chercheurs dans la plus récente édition de la revue PLoS ONE.

Le Dr Biao Be, professeur d’infectiologie en médecine vétérinaire à l’UGA, explique : « Nous pouvons utiliser ce virus comme vecteur de toutes sortes de pathogènes contre lesquels il est difficile de vacciner. Nous avons mis au point un vaccin contre la grippe H5N1 avec cette technique et nous travaillons également au développement de vaccins contre le VIH, la tuberculose et le paludisme ».

Le virus en question, le PIV5, serait inoffensif pour l’homme, car le système immunitaire de ce dernier serait en mesure de le reconnaître et de le détruire efficacement.