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Les fruits « colorés » et les légumes au sommet de leur forme en automne

Le Dana-Farber Cancer Institute de Boston tient à rappeler à la population que la période actuelle en est une excellente pour intégrer les fameux fruits et légumes à son régime alimentaire.

Il appert que, selon les propos rapportés par www.nlm.nih.gov, la valeur nutritive des fruits et légumes est à son meilleur en automne. Même chose, donc, pour les propriétés anti-cancer des fruits dits « colorés ».

Stacy Kennedy, nutritionniste du Dana-Farber Institute, rappelle que ces fruits « colorés » (ainsi que les légumes) pourraient bien être la clé principale d’une vie sans cancer.

La pomme, par exemple, contient des nutriments qui protègent les cellules d’ADN des dommages qui pourraient mener à un cancer.

« La clé est de les manger crus, avec la peau. C’est là que se trouvent la plupart des nutriments. Et plus la pigmentation du fruit est puissante et riche, plus ses propriétés de protection contre le cancer sont élevées.

Elle souligne aussi l’importance et la puissance des légumes foncés et verts, comme le brocoli et les choux de Bruxelles, par exemple.

L’automne serait donc la saison parfaite pour remettre son corps sur la bonne voie!

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Les cellules souches à la rescousse du coeur

Si le débat des cellules souches continue de faire rage, il faut avouer que les plus récentes découvertes dans le domaine sont fort prometteuses.

Difficile de repousser le concept du revers de la main lorsqu’on constate que le principe pourrait sauver des milliers de vies, et Santelog.com rapporte une nouvelle percée importante, qui touche cette fois la cardiologie.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont en effet annoncé qu’ils pourraient parvenir à « réparer » un cœur malade grâce aux cellules souches, en transformant des cellules plus vieilles et usées par de toutes nouvelles.

Publiées dans la plus récente édition du Journal of the American College of Cardiology, ces conclusions risquent de créer une onde de choc dans le domaine médical.

Les chercheurs soulignent également le fait que, contrairement à une transplantation cardiaque, ce procédé élimine toute possibilité de rejet de la part du patient.

Le professeur Milica Radisic explique : «Nous pourrons bientôt créer des tissus meilleurs pour réparer les lésions telles que celles causées par les anévrismes ou les crises cardiaques ».

Ce principe d’inversement des cellules est qualifié de véritable « fontaine de jouvence » par les auteurs de ces recherches.

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La vitamine D aiderait à prévenir les caries

Une analyse s’est attardée à 24 études cliniques dont la portée remonte jusqu’aux années 1920, incluant environ 3000 enfants de 6 différents pays industrialisés, dont le Canada. Ces enfants étaient âgés de 2 à 16 ans, avec un âge moyen de 10 ans.

Même si la science a déjà prouvé que la vitamine D joue un rôle important dans la santé des os, son rôle dans la santé dentaire a fait l’objet d’une controverse depuis les années 1950, avec certaines autorités en santé défendant son effet bénéfique, et d’autres niant celui-ci.

Même si plusieurs études semblent prouver l’importance de la vitamine D pour la prévention des caries, l’Institute of Medecine, le Department of Human Health and Services ainsi que l’American Dental Associationn’ont à l’heure actuelle pas tiré de conclusions à cet égard et n’ont donc pas émis de recommandations.

L’auteur de l’analyse, le Dr Philippe Hujoel, a critiqué cette absence de prise de position, affirmant que « de telles inconsistances n’ont pas de sens d’un point de vue des preuves cliniques », selon EurekAlert!.

Un autre médecin qui n’a pas été impliqué dans l’analyse, le Dr Michael Hollick, était d’accord avec son collègue, notant que les données provenant de l’analyse « réaffirmaient l’importance de la vitamine D dans la santé dentaire ».

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Le trouble obsessionnel compulsif est difficile à diagnostiquer chez les enfants

La revue médicale allemande Deustches Ärzteblatt International parle des difficultés à reconnaître et à traiter le trouble obsessionnel compulsif (TOC) chez les patients plus jeunes, affirmant qu’un diagnostic est souvent retardé, alors qu’une intervention rapide a des effets très positifs.

Les chercheurs ont expliqué que le symptôme du TOC le plus présent chez les enfants était le lavage des mains compulsif, qui était présent chez près de 87 % de cette population. Ces enfants peuvent aussi présenter des comportements répétitifs et de vérification, ainsi que des pensées agressives obsessives.

Le trouble du déficit d’attention et d’hyperactivité (TDAH) est également présent chez 70 % de ces patients. Lorsqu’il n’est pas traité, le TOC devient souvent chronique et mène à des problèmes de santé mentale importants à l’âge adulte.

Un diagnostic précoce est possible chez ces enfants à travers des tests psychologiques, a noté la chercheuse Susanne Walitza, selon Psych Central. Le traitement de première ligne du TOC est la thérapie comportementale, une technique qui demande beaucoup de temps, mais qui fonctionne. Durant cette thérapie, les patients sont confrontés à des situations qui provoquent les manifestations du TOC, tout en apprenant à maitriser ces manifestations.

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Moins de rivalité entre frères et soeurs pour une meilleure santé plus tard

Les chercheurs ont travaillé avec 174 familles, chacune avec un enfant en 5e année et un autre entre la 2e et la 4e année. Celles-ci ont participé à un programme qui utilisait des jeux, des jeux de rôle, des activités artistiques et des discussions pour permettre aux frères et sœurs de communiquer de manière positive, de résoudre des problèmes, de trouver des solutions où tout le monde gagne, et de se voir comme les membres d’une équipe plutôt que comme des compétiteurs.

Les enfants qui ont participé au programme étaient plus confiants et en plus grand contrôle de leurs émotions, ont obtenu de meilleures notes à l’école et ont démontré moins de problèmes d’internalisation que les enfants qui n’avaient pas suivi le programme.

Les chercheurs affirment que « des relations négatives avec ses frères et sœurs sont fortement liées avec des comportements agressifs, antisociaux et délinquants, incluant l’abus d’alcool et de drogues à l’adolescence », selon Science Daily.

C’est pourquoi ils souhaitaient intervenir auprès d’enfants qui se rapprochaient de la transition vers l’école secondaire, où les comportements à risque deviennent plus susceptibles de se manifester.

« Par contre, les relations positives entre frères et sœurs sont associées à une meilleure santé et un plus grand bien-être », ont-ils ajouté.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Adolescent Health.

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Une boisson gazeuse par jour pourrait mener au cancer de la prostate

Si une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours, il semble que ce soit tout le contraire en ce qui concerne les boissons gazeuses.

En effet, radio-canada.com rapporte une étude qui prétend qu’une boisson gazeuse par jour pourrait suffire à mener au cancer de la prostate.

L’étude suédoise, très sérieuse, a été publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition et relate les observations effectuées par les chercheurs de l’Université Lund, Isabel Drake en tête.

Cette dernière parle même d’un risque de cancer de la prostate accru de 40 % chez les hommes qui consomment fréquemment des boissons de ce genre. Ce sont les conclusions qu’elle tire à la suite de tests effectués sur 8000 hommes âgés de 45 à 73 ans, évalués sur une période de 15 ans.

Aussi au banc des accusés : les régimes alimentaires de riz et de pâtes ainsi que les déjeuners forts en sucres et sucres ajoutés.

Difficile, d’ailleurs, de ne pas tracer un lien entre cette étude et celle parue récemment qui taxait le sucre d’être « toxique » pour l’organisme. Il semble que ce soit l’ennemi à abattre et, dans ce cas-ci, les boissons gazeuses.

Pour corroborer le tout, des études en Asie démontrent que les Asiatiques qui résident aux États-Unis (plus grand consommateur de boissons gazeuses dans le monde) développent plus de cancers de la prostate que leurs compatriotes demeurés en Asie.

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Le pamplemousse et les médicaments : un danger réel

Ce qui semble au départ être une blague étrange devient vite inquiétant, alors que les sources qui confirment la dangerosité du pamplemousse, lorsque combiné à certains médicaments, se multiplient.

Au tour du Devoir de rapporter la nouvelle, parlant même de « cocktail explosif ».

Étrange tout de même de devoir considérer le pamplemousse comme un ennemi, mais le Dr David Bailey (Lawson Health Research Institute, Ontario) et ses collègues croient que le public n’est pas assez informé sur le sujet et qu’il doit l’être.

Ils ont d’ailleurs publié un article dans le Journal de l’Association médicale canadienne afin de sensibiliser tout le monde, y compris les spécialistes de la santé et les praticiens.

Le Dr Bailey explique que bon nombre de médicaments qui sont prescrits couramment et qui sont absolument nécessaires dans le traitement de maladies communes ou graves pourraient mettre les patients en danger lorsque combinés avec des agrumes, surtout le pamplemousse.

On parle de pas moins de 85 médicaments répertoriés qui réagiraient en présence de l’agrume. Du nombre, 43 pourraient avoir des conséquences aussi graves que le décès.

« Je ne crois pas que cette interaction soit connue aussi bien qu’elle le devrait, d’autant plus qu’il y a tellement de nouveaux médicaments qui apparaissent sur le marché et qui ont le potentiel d’engendrer des effets graves », conclut le Dr Bailey.

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Le sexe et la santé : nouvelle étude

Plusieurs études sont sorties sur le sujet de l’amour, de la sexualité et de la santé au fil des dernières années. Si certains résultats se voulaient contradictoires au départ, les conclusions voulant que le sexe soit bénéfique sur la santé deviennent de plus en plus partagées par la communauté scientifique.

De nouvelles recherches viendraient corroborer les théories selon lesquelles une sexualité active a des effets bénéfiques sur la santé.

e-sante.fr rapporte une étude sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Université Duke, qui explique que l’acte sexuel est bénéfique pour réduire les maux de tête, pour la mémoire et pour la ligne.

De plus, une sexualité saine et active permettrait de faire baisser les risques de cancer de la prostate et du sein, en plus d’une production supplémentaire d’anticorps. Le sexe pour se protéger de la grippe? Il semble que oui, à tout le moins partiellement.

L’étude de Duke a été effectuée sur 270 sujets sur une période de 25 ans et a noté que plus les hommes avaient des rapports sexuels fréquents, plus ils vivaient vieux. Ce ne serait pas forcément le cas chez la femme, alors que la notion de « qualité sexuelle » vient faire varier la donne.

Pour conclure, les chercheurs rappellent qu’il a été démontré que le bonheur permet de vivre plus longtemps. Une vie sexuelle satisfaisante serait donc non seulement bénéfique sur le plan physique, mais aussi psychologique, ce qui contribuerait encore plus au prolongement de la vie… en pleine santé.

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Les suppléments à base de levure de riz rouge : attention

Topsante.com rapporte qu’une alerte a été lancée par plusieurs associations concernant certains suppléments alimentaires à base de levure de riz rouge.

C’est que, selon les experts, la plupart de ces produits ne sont pas seulement « inutiles », mais peuvent également représenter un danger pour l’organisme.

Recommandés pour faire baisser le taux de mauvais cholestérol dans le sang, certains de ces suppléments ne contiendraient pas les doses nécessaires de la molécule qui permet de faire baisser ces taux. Le traitement s’avère donc inefficace.

En contrepartie, d’autres compléments du genre (toujours à base de levure de riz rouge) contiendraient des doses trop importantes, représentant ainsi un véritable danger pour le consommateur.

On suggère fortement de consulter son médecin avant d’entreprendre un tel traitement, et les associations (notamment en Europe) veulent que les autorités légifèrent en la matière.

On souhaite que les dangers reliés à ces suppléments soient dévoilés et officialisés, et que les compléments qui ne contiennent pas les doses suffisantes de la molécule monacoline K ne soient plus recommandés comme traitement pour le cholestérol.

Selon les spécialistes, il est important de corriger le tir et de transmettre ces informations au public.

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Les enfants des pays développés ne sont pas à l’abri de la tuberculose

Même si les cas de tuberculose restent assez rares chez les enfants d’ici, ceux-ci ne sont pas immunisés contre la maladie, ont averti les chercheurs.

« Ces études nous ramènent au fléau créé par cette maladie ancienne, et ce, à la fois dans des pays où la prévalence est élevée et dans ceux où les cas sont moins fréquents », a expliqué l’auteur, le Dr Jeffrey Starke, dans un article accompagnant les études.

Celui-ci a rappelé l’urgence pour tous les pays d’avoir des stratégies de prévention efficaces. Les chercheurs ont remarqué trois populations d’enfants nord-américains chez qui les efforts de prévention seraient particulièrement importants : les enfants dont les parents sont nés dans d’autres pays, les enfants nés dans d’autres pays, et les enfants nés ici, mais appartenant à des groupes traditionnellement à risque.

Aux États-Unis par exemple, environ 75 % des cas de tuberculose chez les enfants ont une connexion internationale, soit par l’origine, soit par la famille ou par l’historique de résidence. Par contre, 25 % ou 2660 cas entre 2008 et 2010 ne pouvaient pas être liés à ces causes, selon MedPageToday.