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Les pédiatres lancent un message clair : il faut protéger les enfants des pesticides

« Les enfants sont en contact avec des pesticides de façon quotidienne et sont particulièrement vulnérables à ceux-ci et à leur toxicité », a affirmé l’auteur du rapport, le Dr James Roberts, selon MedPageToday.

Le rapport note plusieurs sources communes de pesticides : les insecticides contenus dans la maison, les médicaments contre les puces et les tiques pour les animaux, les pesticides utilisés sur les terrains privés ainsi que les résidus provenant de l’agriculture.

Les médecins ont ajouté que l’apport en pesticides le plus important provenait de la nourriture. Un régime alimentaire biologique permet ainsi de « réduire la métabolisation des pesticides de manière radicale et immédiate », ont indiqué les pédiatres, en se basant sur les résultats d’une étude récente.

Les médecins sont peu souvent capables de bien reconnaître une intoxication aux pesticides, a également signifié le rapport, qui présente certains symptômes et traitements précis.

L’association médicale a donné ses recommandations au gouvernement américain, suggérant de meilleures lois sur l’étiquetage et de plus grands efforts pour surveiller la situation sur le plan national.

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Les bébés exposés à l’alcool durant la grossesse ont une structure du cerveau différente

Des chercheurs polonais ont fait passer un test de résonnance magnétique à 200 enfants dont la mère avait bu de l’alcool durant la grossesse, ainsi qu’à 30 enfants qui n’avaient pas été exposés à l’alcool.

Les tests leur ont permis de mesurer la taille et la forme d’une partie du corpus callosum, une zone du cerveau responsable de la communication entre les deux hémisphères.

Les enfants qui avaient été exposés à l’alcool avaient un corpus callosum beaucoup plus mince que les autres. « Les changements que nous avons observés sont très fortement associés à des problèmes psychologiques chez les enfants », a indiqué l’auteur de l’étude, le Dr Andrzej Urbanik, selon Science Daily.

Le syndrome d’alcoolisme foetal, une maladie qui affecte le développement physique et psychologique des enfants dont la mère a bu de façon importante durant la grossesse, a une incidence de 0,1 à 1,5 cas par 1000 naissances.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du récent congrès de la Radiological Society of North America.

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Comment consommer efficacement fruits et légumes en hiver

L’hiver apporte son lot de problèmes (surtout au Québec), et les gens qui aiment manger santé savent que trouver de bons fruits et légumes durant cette saison en est un.

La variété et la qualité des fruits et légumes retrouvés en épicerie baissent dramatiquement lorsqu’arrive la saison froide, et il devient alors plus difficile de trouver ses vitamines.

Pour contrer le phénomène, e-sante.com propose d’éviter de stocker ses fruits et légumes au réfrigérateur, mais plutôt d’en acheter moins et plus souvent. La réfrigération contribue à faire perdre aux aliments leurs précieuses vitamines.

Aussi, on conseille de conserver fruits et légumes loin des sources de chaleur et de lumière. De plus, il serait néfaste de « faire tremper » ces aliments. On suggère plutôt de les rincer rapidement sous l’eau du robinet.

Évitez les petits morceaux et ne préparez pas vos assiettes trop longtemps d’avance. Également, les spécialistes en nutrition déconseillent de faire cuire les légumes dans un trop grand volume d’eau (lorsqu’on les fait bouillir, par exemple), ce processus diluant les vitamines.

On propose plutôt de les cuire à la vapeur et de ne pas les faire réchauffer une deuxième fois lorsqu’ils sont déjà propres à la consommation.

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La caféine ne jouerait pas de rôle dans le développement du diabète

Une vaste étude vient d’être publiée concernant le diabète de type 2 et les éléments qui peuvent contribuer à son développement.

Si l’étude permet de confirmer le lien entre les boissons sucrées et le diabète, il en est autrement pour ce qui est de la caféine, dont l’impact sur la santé demeure ambigu.

Et pourtant, l’étude est si exhaustive qu’elle aurait dû jeter de la lumière sur le débat. C’est pas moins de 100 000 hommes et femmes qui ont été suivis aux fins de ces recherches, et ce, sur une période de 22 ans.

On note une hausse de 23 % des risques de diabète de type 2 chez les gens qui consomment beaucoup de boissons sucrées (jus, cola, boisson énergie, etc.), mais les chiffres demeurent sensiblement les mêmes lorsqu’on ajoute la caféine dans l’analyse. En bref, le sucre joue un facteur, mais la caféine non.

C’est du moins ce que conclut le Dr Frank Hu, de l’Université Harvard, qui déclare : « Nous avons déterminé que la caféine ne fait aucune différence. Le café peut être bénéfique, et la caféine qu’il contient ne semble pas jouer un rôle positif ou négatif dans le développement potentiel du diabète ».

Une grande victoire pour les buveurs de café du monde entier!

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Bientôt de meilleurs traitements contre les commotions cérébrales?

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait une découverte qui pourrait bien améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de commotion cérébrale.

En effet, des spécialistes affirment qu’ils ont décelé des changements au niveau du cerveau, observables dans les cas de commotion cérébrale, et qui pourraient faire progresser la façon de faire dans des cas de complications postcommotion, notamment.

L’étude, qui compile ces résultats, a été publiée dans le journal Radiology et fait état de tests effectués sur 23 patients aux prises avec une commotion cérébrale (ou en complication postcommotion), et sur 18 patients en parfaite santé.

Il appert qu’une commotion cérébrale influencerait des zones-clés du cerveau, celles-là mêmes qui place l’organisme en état de repos. Lors d’une commotion, les mêmes zones seraient influencées, plaçant le corps dans ce que l’on appelle « l’état de base réseau » (default-mode network). Ce dernier définit l’état d’une personne en repos, ou lorsqu’elle « part dans la lune ».

On constate que les conséquences d’une commotion sont vérifiables dans ces mêmes zones cérébrales, altérant le système réseau mentionné ci-haut. On constaterait le même genre d’altération chez les gens souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs croient qu’une amélioration des traitements est envisageable à la suite de cette découverte.

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Une diète riche en soya serait inutile contre les effets de la ménopause

Une vaste et récente étude suggère que contrairement à ce que l’on pensait il n’y a pas si longtemps, une diète riche en soya ne serait pas bénéfique pour contrer les effets de la ménopause.

On le sait, la ménopause arrive avec son lot de désagréments, notamment les fameuses bouffées de chaleur que les femmes ressentent à cette période de leur vie. On croyait que le soya pouvait avoir un rôle-clé dans l’affaiblissement de ces symptômes, mais voilà qu’une nouvelle étude vient contredire la théorie.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte les conclusions des chercheurs, qui savent que plusieurs femmes préfèrent ne pas prendre les médicaments déjà offerts pour améliorer l’expérience de la ménopause. On tente donc de trouver de nouveaux moyens plus naturels, et le soya était porteur d’espoir.

« Nous souhaitions trouver des moyens pour aider les femmes à contrôler leur santé, et nous étions optimistes à l’égard des produits de soya. Nous pensions que ceux-ci constitueraient une bonne solution. Malheureusement, le soya ne semble pas prévenir des symptômes désagréables de la ménopause », explique Ellen Gold, professeure à l’Université de Californie.

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Un nouveau médicament pour contrer l’éjaculation précoce

Si le sujet en fait rire plus d’un, il y en a d’autres qui n’ont pas du tout envie de s’esclaffer lorsqu’il est question d’éjaculation précoce.

C’est que ce problème, classé comme une dysfonction érectile, toucherait près d’un homme sur trois, ce qui n’est pas une mince affaire. Pas étonnant, donc, de voir les compagnies pharmaceutiques tenter d’enrayer le phénomène par un médicament miracle.

Il semble que ce soit chose faite, alors que la France verra ses pharmacies offrir le Priligy à ses clients dès 2013. Ils ne seront pas les seuls, puisque le médicament est déjà offert dans certains pays de l’Union européenne.

Le Priligy est composé de dapoxétine, rapporte Topsante.com, et agit au niveau de la sérotonine sécrétée par l’homme. Celle-ci serait d’ailleurs responsable de la lenteur de l’éjaculation.

La sexologue Catherine Solano explique : « C’est une molécule qui augmente le taux de sérotonine entre les neurones, l’hormone qui permet une relation sexuelle plus longue ».

Bien que l’on veuille éviter de parler de « miracle », les chercheurs affirment que le médicament pourrait bien tripler la longueur des ébats sexuels chez l’homme qui en fera l’usage.

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Une étude révèle un variant génétique qui « prédit » l’heure… de la mort

Une nouvelle saisissante fait le tour des médias et du Web depuis quelques heures, alors que le Beth Israël Deaconess Medical Center publie une étude concernant un variant génétique qui pourrait prédire l’heure de votre mort, ou à tout le moins la période de la journée.

Aussi terrifiante qu’invraisemblable, cette nouvelle est transmise par plusieurs sources, dont Santelog.com. Le site rapporte également que le variant permet de savoir si vous êtes une « personne de nuit », un noctambule ou encore un lève-tôt né.

Si cette dernière information est plus évidente à déduire par nous-mêmes, il en va autrement du moment de notre mort! Or, il semble pourtant logique que la fameuse « horloge biologique » qui régit tant de choses au cours de notre vie puisse aussi déterminer le moment du dernier souffle.

L’horloge circadienne (terme véritable de l’horloge biologique) détermine les moments de la journée où vous vous sentez plus en forme, et ceux où vous êtes plus somnolent.

Le Dr Andrew Lim, auteur principal de l’étude, déclare : « De précédents travaux chez les jumeaux ont suggéré que le retard ou la précocité de l’horloge peut être héréditaire. Des expériences sur l’animal ont également suggéré l’influence de gènes spécifiques ».

En clair, les chercheurs croient qu’une telle découverte pourrait influencer le choix de certains traitements chez des patients en phase terminale, entre autres.

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Une découverte en nanotechnologie pour améliorer la chimiothérapie pour les enfants cancéreux

Des chercheurs australiens ont réussi à développer une nanoparticule permettant de multiplier l’efficacité de la chimiothérapie pour les enfants atteints de neuroblastome. Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue Chemical Communications.

Lorsqu’ils survivent à ce cancer particulièrement virulent, les enfants ont habituellement d’autres problèmes de santé importants à long terme, en raison de la toxicité de la chimiothérapie utilisée et des fortes doses nécessaires.

Une découverte qui a le potentiel de réduire les effets négatifs de la chimiothérapie est donc considérée comme majeure. La nanoparticule créée par les chercheurs est non toxique et parvient à transporter du monoxyde d’azote, un agent de chimiothérapie puissant, directement vers les cellules cancéreuses.

Le Dr Cyrille Boyer, auteur de l’étude, a indiqué que « lorsque nous avons injecté la chimiothérapie dans des cellules de neuroblastome qui avaient été prétraitées avec la nouvelle nanoparticule, nous n’avons eu besoin que d’un cinquième de la dose habituelle », rapporte MedicalNewsToday. « En rendant la chimiothérapie cinq fois plus efficace, nous pourrions réduire considérablement les effets négatifs sur les cellules saines et les tissus. »

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Une nouvelle façon d’effectuer des tests de résonnance magnétique chez les enfants

Lorsqu’ils doivent passer un test de résonnance magnétique, les enfants subissent généralement une anesthésie générale ou une autre forme de sédation, pour s’assurer qu’ils demeurent immobiles et n’aient pas peur. Comme ces procédures ne sont pas sans risque, particulièrement lorsqu’elles doivent être répétées, des chercheurs allemands ont essayé de trouver un autre moyen.

Ceux-ci ont ainsi présenté 2461 images de résonnance magnétique, provenant de 326 enfants, incluant 97 % que des radiologistes ont qualifiées de « pertinentes pour effectuer un diagnostic ». Comment ont-ils procédé?

Ils ont d’abord préparé tous les enfants, âgés en moyenne de 7 ans, d’une façon qui était appropriée à leur âge, à ce qui allait se dérouler durant l’examen. Ils ont donné suffisamment de temps aux enfants pour visiter les lieux et se familiariser avec eux, et ils ont permis aux enfants d’apporter une peluche ou autre doudou avec eux dans la machine, ainsi que d’avoir leurs parents auprès d’eux. De plus, les chercheurs ont utilisé une technique de numérisation appelée BLADE, qui minimise les effets de flou sur les images.

De cette façon, ils ont réussi à examiner correctement 41 % des enfants de 3 ans, 91 % des enfants de 4 ans, et 98 % des enfants de 5 ans sans devoir utiliser l’anesthésie ou la sédation.

Les chercheurs ont déploré le fait que les hôpitaux ne veulent souvent « pas se donner la peine » d’essayer cette technique, pour permettre aux enfants de mieux vivre ce test, selon MedicalNewsToday.

L’étude a été publiée dans le journal médical allemand Röfo.