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Les symptômes de dépression mieux reconnus chez les femmes

Les gens seraient plus habiles à repérer des symptômes de dépression nerveuse chez une femme que chez un homme, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est une nouvelle étude sur le sujet qui vient de paraître qui tend à démontrer ce phénomène, en analysant les différentes perceptions du public quant à la dépression, selon le sexe de la personne en cause.

Ainsi, on a soumis aux participants de l’étude des descriptions de symptômes (identiques) chez une femme, puis chez un homme (fictifs). On leur demandait alors de décider si ces personnes-tests souffraient selon eux de dépression, et si elles devaient demander l’aide d’un professionnel.

En se basant sur les mêmes symptômes, les répondants ont rapidement tranché du côté de la femme, ressentant même de la sympathie à son égard, beaucoup plus que dans le cas de l’homme.

L’auteur principal de l’étude, Viren Swami, indique qu’il s’agit véritablement d’une question de perceptions et d’attentes préconçues selon le sexe de la personne présentant des symptômes.

Outre ce préjugé, le chercheur de l’Université Winchester, en Angleterre, déplore celui entretenu à l’égard des pratiques en psychiatrie et des traitements contre la dépression.

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Le sucre vilipendé par les spécialistes

On le savait, le sucre n’est pas l’ingrédient le plus bénéfique pour la santé. Ses effets néfastes sont connus partout, à commencer par sa propension à faire prendre des kilos en trop.

Voilà que des chercheurs de la communauté scientifique mondiale attaquent les propriétés du sucre de façon beaucoup plus agressive, le taxant même d’être carrément « toxique ».

C’est ce qui ressort de plusieurs recherches et études, selon ce que rapportent plusieurs sources, dont radio-canada.ca.

Celles-ci tendent à démontrer que la consommation de sucre de façon « chronique », quotidienne, aurait des effets dévastateurs sur la santé. Le sucre peut non seulement vous rendre malade, mais aussi faire varier vos humeurs, augmenter la fatigue ainsi que la faim, et déclencher des maladies chroniques.

Le principal accusé dans cette affaire est le glucose-fructose, un ingrédient artificiel de plus en plus utilisé par les grandes compagnies et multinationales alimentaires de ce monde, entre autres pour ses faibles coûts de production.

On somme la population de réduire le plus possible la quantité de sucre absorbée dans une journée et de bien lire les ingrédients de ce que vous consommez.

On estime que la consommation quotidienne de sucre des Québécois se situe entre 26 et 41 cuillérées par jour!

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Un vaporisateur pour garder les hommes fidèles

C’est toute une découverte que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs tentent d’établir un lien entre un vaporisateur nasal et la fidélité masculine!

Une seule utilisation, simple et rapide, permettrait aux hommes d’assurer leur loyauté pour leur douce moitié, puisque le produit semble les « éloigner » des femmes inconnues et séduisantes.

Impossible? Peut-être pas. Il semble que l’ingrédient actif soit l’hormone d’ocytocine, qui est déjà retrouvée naturellement dans le corps. Elle est d’ailleurs associée aux sentiments d’amour et de confiance.

Produite dans le cerveau (hypothalamus), l’hormone jouerait un rôle prédominant dans le désir de faire des enfants et de créer des liens véritables et solides, chez les couples notamment.

Pour confirmer le tout, les chercheurs ont tenté d’effectuer une étude, dont les résultats ont finalement été publiés dans le The Journal of Neuroscience tout récemment.

Il appert que des 86 hommes hétérosexuels étudiés, ceux qui avaient reçu l’hormone supplémentaire d’ocytocine se tenaient véritablement plus à distance d’une femme-test X, en l’occurrence une chercheuse qualifiée de « séduisante » selon le consensus, que comparativement à ceux qui n’avaient reçu qu’un placebo.

Les chercheurs concluent, au fil des différents tests, que l’ocytocine pourrait véritablement aider les hommes portés vers l’infidélité.

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Une controverse signée Nutella

Les études et rapports concernant la populaire tartinade chocolatée Nutella lui font connaître des moments éprouvants depuis quelques mois, alors que ses vertus sont remises en question.

D’abord attaqué pour le nombre de calories qu’il contient, le Nutella est maintenant ciblé pour une nouvelle raison : l’huile de palme dans sa liste d’ingrédients.

C’est que de nouveaux rapports viennent d’être publiés concernant cette huile, rapporte topsante.com, et ils ne sont pas très positifs.

C’est que l’huile de palme est bourrée de gras saturés, extrêmement néfastes pour la santé. Plusieurs pays songent d’ailleurs à instaurer une nouvelle taxe sur tous les produits qui renferment de l’huile de palme.

C’est le cas du Nutella, dont l’image positive commence à en prendre pour son rhume. Selon les spécialistes, il serait trop huileux, beaucoup trop gras, trop calorique et trop sucré.

La polémique concernant l’huile de palme s’ajoute donc à la mauvaise presse du produit.

Et qu’en est-il des « bons » ingrédients contenus dans le Nutella, dont les publicités nous vantent les mérites? Les chiffres parlent de 13 % de noisettes, 7 % de cacao en poudre et 6 % de lait écrémé en poudre, ce qui s’avère très peu pour contrebalancer les ingrédients plus néfastes que contient le produit.

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Les produits ignifuges reliés à des retards du développement neurologique chez les enfants

Les chercheurs ont analysé les échantillons sanguins provenant de 279 femmes durant leur grossesse puis à l’accouchement, et ont fait de même avec leurs enfants lorsque ceux-ci avaient atteint l’âge de 7 ans. À partir de 5 ans, ces enfants ont subi des tests évaluant leur développement neurologique.

Les résultats « montrent qu’il y a une relation proportionnelle entre les niveaux de produits ignifuges de la mère durant la grossesse et ces problèmes chez les enfants », selon les auteurs de l’étude, menée pour les Centers for Disease Control américains.

97 % des Américains ont des niveaux sanguins détectables de ces produits, selon EurekAlert!.

Les produits ignifuges étudiés faisaient partie de la classe des polybromodiphényléthers, qui contient plus de 200 composés chimiques à base de brome. Ceux-ci sont couramment utilisés, entre autres dans les meubles rembourrés, les tapis et les appareils électroniques.

Ces produits chimiques sont facilement transférés dans l’environnement et sont soient respirés ou ingérés par la poussière, se logeant ensuite dans les cellules graisseuses.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Environmental Health Perspectives.

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Le soccer peut-il causer des dommages au cerveau?

Le soccer peut-il causer des dommages au cerveau? C’est une question que se sont posée des chercheurs allemands récemment, et qui a mené à une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte les conclusions de ces recherches étonnantes, mais importantes, concernant un sport de plus en plus populaire à travers le monde, notamment en Amérique du Nord.

Les chercheurs du laboratoire de psychiatrie et neuro-image de la Harvard Medical School, Dre Inga Koerte en tête, expliquent : « Nous avons utilisé les systèmes d’imagerie par résonnance magnétique les plus sophistiqués pour enquêter sur la matière blanche du cerveau des joueurs de soccer professionnels qui n’avaient pas d’antécédents de blessure à la tête ou de commotion cérébrale ».

« Nous avons comparé les résultats à ceux de nageurs professionnels et avons constaté que oui, il y a des variations au niveau du cerveau. Ces changements ont aussi été observés chez d’autres sportifs qui pratiquent des sports de contact. Ils sont subtils, mais ils sont là. Il est difficile de dire quels seront les impacts de ces changements, mais ils sont observés dans des régions importantes pour la mémoire et l’attention, notamment. »

Ces résultats étaient publiés dans le Journal of the American Medical Association. D’autres études sont attendues sur le sujet.

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Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables aux toxines contenues dans les aliments

Dans une étude publiée dans la revue Environmental Health, des chercheurs ont mesuré le niveau d’exposition à des toxines trouvées dans des aliments courants chez les adultes et les enfants, puis ont déterminé la fréquence à laquelle ces aliments étaient consommés.

Les enfants étaient particulièrement vulnérables aux toxines étudiées, c’est-à-dire l’arsenic, les dioxines, le DDE et la dieldrine.

Ainsi, 100 % des 364 enfants âgés de 2 à 7 ans ayant participé à l’étude excédaient les niveaux jugés sécuritaires pour prévenir le cancer, et ce, pour l’ensemble de ces toxines. Plus de 95 % des enfants dépassaient également le niveau de risque acceptable pour l’acrylamide, une toxine contenue dans les frites et les croustilles.

Les chercheurs ont également noté des fruits et légumes qui contenaient un très haut niveau de pesticides : les tomates, les pêches, les pommes, les poivrons, les raisins, la laitue, le brocoli, les fraises, les épinards, les poires, les haricots verts ainsi que le céleri. Les produits laitiers en contenaient aussi beaucoup.

« Nous voulions nous attarder aux enfants parce qu’une exposition en bas âge peut avoir des effets à long terme sur de nombreuses maladies. Les autorités calculent maintenant les risques en se basant uniquement sur l’exposition à des contaminants individuels. Mais nous voulions comprendre l’effet cumulatif de l’exposition à ces contaminants. Ces résultats montrent que nous devons empêcher l’exposition des jeunes enfants à des toxines multiples si l’on veut diminuer leur risque de cancer », a expliqué l’auteur de l’étude, Rainbow Vogt, tel que rapporté par Medical News Today.

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Le vaccin quadrivalent conjugué contre le méningocoque est sécuritaire pour les bébés

Sanofi Pasteur, le fabricant du vaccin contre le méningocoque MenACWY-D, a rapporté les résultats d’une analyse confirmant que celui-ci est sécuritaire et apporte une immunité lorsqu’administré chez les bébés à 9 mois et à 1 an.

Le vaccin a été approuvé en 2005 pour les patients de 11 ans et plus. En 2007, son utilisation a aussi été autorisée pour les enfants de 2 à 10 ans, et finalement, pour les bébés à partir de 9 mois en 2011.

L’analyse s’attarde sur 3 études portant sur un total d’environ 5000 bébés, certains ayant reçu le vaccin et certains formant un « groupe de contrôle ». Il s’agit des mêmes études qui ont mené à l’approbation du vaccin chez les tout-petits.

Un mois après la vaccination, une immunité contre le méningocoque était présente chez une vaste majorité des enfants, et le vaccin ne semblait pas interférer avec les vaccins contre la coqueluche, les oreillons, la rubéole, la varicelle et le pneumocoque.

Les effets secondaires étaient généralement légers. Par exemple, de 25 à 30 % des bébés ont eu de l’érythème et de l’enflure à l’endroit où ils ont reçu l’injection, mais ces réactions avaient tendance à s’estomper dans les 3 jours suivants. 3 à 5 % des bébés ont plutôt eu des effets secondaires sérieux, ce qui était comparable au groupe de contrôle.

La compagnie suisse a publié ces résultats dans la revue médicale Pediatric Infectious Disease Journal.

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Même une quantité d’alcool modérée durant la grossesse peut avoir un effet sur le QI de l’enfant

PLoS ONE publie les résultats d’une nouvelle étude britannique portant sur les données de plus de 4000 mères et leurs enfants. Les femmes ont rempli des questionnaires sur leur consommation d’alcool à deux reprises durant leur grossesse, et le QI de leur enfant a été mesuré à l’âge de 8 ans. Les enfants ont ensuite subi des tests pour détecter des variantes génétiques précises reliées à la métabolisation de l’alcool.

En moyenne, les enfants avaient un QI de deux points moins élevé pour chaque modification génétique vérifiée. Puisqu’elle portait sur le code génétique et non sur des facteurs qui peuvent aussi être reliées au mode de vie (comme l’alimentation ou le tabagisme de la mère), cette étude est considérée comme plus aboutie que plusieurs précédentes, qui relevaient plutôt du domaine de l’observation.

L’auteure de l’étude, la Dre Sarah Lewis, a noté que « nos résultats suggèrent que même à des niveaux qui sont normalement considérés comme inoffensifs, la consommation d’alcool durant la grossesse entraine des différences au niveau du QI. Ceci dépend de l’aptitude du fœtus à éliminer l’alcool. Cela prouve que même à des niveaux modérés, l’alcool influence le développement du cerveau », rapporte ScienceDaily.

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Même une quantité d’alcool modérée durant la grossesse peut avoir un effet sur le QI de l’enfant

PLoS ONE publie les résultats d’une nouvelle étude britannique portant sur les données de plus de 4000 mères et leurs enfants. Les femmes ont rempli des questionnaires sur leur consommation d’alcool à deux reprises durant leur grossesse, et le QI de leur enfant a été mesuré à l’âge de 8 ans. Les enfants ont ensuite subi des tests pour détecter des variantes génétiques précises reliées à la métabolisation de l’alcool.

En moyenne, les enfants avaient un QI de deux points moins élevé pour chaque modification génétique vérifiée. Puisqu’elle portait sur le code génétique et non sur des facteurs qui peuvent aussi être reliées au mode de vie (comme l’alimentation ou le tabagisme de la mère), cette étude est considérée comme plus aboutie que plusieurs précédentes, qui relevaient plutôt du domaine de l’observation.

L’auteure de l’étude, la Dre Sarah Lewis, a noté que « nos résultats suggèrent que même à des niveaux qui sont normalement considérés comme inoffensifs, la consommation d’alcool durant la grossesse entraine des différences au niveau du QI. Ceci dépend de l’aptitude du fœtus à éliminer l’alcool. Cela prouve que même à des niveaux modérés, l’alcool influence le développement du cerveau », rapporte ScienceDaily.