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Les blessures à la tête et les pesticides en cause dans certains cas de Parkinson

Deux facteurs qui n’ont à première vue aucun lien entre eux sont pointés du doigt pour leur rôle possible dans le développement de la maladie de Parkinson, selon www.nlm.nih.gov.

Il semble que ce soit la combinaison de ces deux caractéristiques qui soulève l’inquiétude des spécialistes. En effet, l’exposition à des pesticides, doublée à d’un antécédent de blessure à la tête, serait une porte ouverte pour la maladie de Parkinson.

Selon les chercheurs à la tête de cette récente étude, il n’y a toujours aucune preuve directe de ce qu’ils avancent, mais la compilation des données de plusieurs études précédentes sur le sujet indique une cause à effet possible.

L’historique familial en matière de santé et d’autres facteurs environnants peuvent aussi, et doivent, être pris en considération.

James Bower, un neurologiste de la clinique Mayo, au Minnesota, qui n’a pas participé à cette étude, la commente : « Je crois que nous commençons à réaliser qu’il n’y a pas qu’une seule raison majeure en cause dans le développement de la maladie de Parkinson. Il pourrait y avoir plusieurs chemins qui mènent à l’ultime développement de la maladie ».

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Discuter de la fin de vie mènerait à des traitements moins agressifs

Les patients en phase terminale, comme ceux atteints du cancer, seront moins enclins à opter pour des traitements agressifs en fin de vie s’ils ont des discussions ouvertes sur le sujet.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les propos d’une étude récente sur le sujet. On parle entre autres de l’importance du lien patient-médecin, et de celle de bien communiquer.

Ainsi, plusieurs patients en fin de vie laisseront tomber les traitements qui n’ont pour but que de leur ajouter quelques jours, mais qui n’améliorent pas leur situation ou qui ne leur procurent pas de soulagement réel. De telles méthodes acharnées sont par ailleurs onéreuses.

La Dre Jennifer Mack, auteure principale de l’étude et médecin au Dana-Farber Cancer Institute de Boston, explique : « Les soins agressifs individuels en fin de vie ne sont pas nécessairement mauvais. C’est juste que la plupart des patients qui acceptent le fait qu’ils sont en train de mourir ne veulent souvent plus recevoir ce type de traitement. Nous devrions nous assurer que de bonnes discussions sur le sujet ont lieu rapidement après un diagnostic de cancer incurable ».

L’étude analysait les cas de 1231 patients en phase terminale et note que les discussions à cet effet ont souvent lieu trop tard.

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Stanford à la rescousse des gens aux prises avec des problèmes de poids

L’Université Stanford annonce qu’elle croit être en mesure de venir en aide aux gens qui désirent conserver leur silhouette après avoir perdu du poids, affirme topsante.com.

Les chercheurs se sont principalement attaqués au problème de « l’effet yo-yo », c’est-à-dire le phénomène remarqué chez certaines personnes qui arrivent à perdre du poids, mais qui le reprennent aussitôt.

Non seulement la perte et la prise de poids rapide ne sont pas bonnes pour la santé, il s’agit d’un comportement qui risque de décourager la personne en surpoids de tenter d’en reperdre.

L’étude publiée par ces chercheurs en décevra sans doute plusieurs, alors que celle-ci ne produit pas de solution miracle. Simplement, on parle d’utiliser son gros bon sens.

Et voilà que repart la même chanson : manger plus de légumes, manger moins, noter ses repas et ses apports caloriques dans un grand livre, faire de l’exercice.

Si l’on constate que les mesures proposées ne changent guère, les chercheurs suggèrent toutefois aux gens en surpoids de prendre de nouvelles habitudes alimentaires et de vie avant de commencer un régime ou un programme d’exercice.

Pour eux, il faut être prêt mentalement avant de l’être physiquement.

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Les enfants qui subissent de la violence ont une moins bonne santé une fois adultes

Des chercheurs ont d’abord émis comme hypothèse que le stress vécu durant l’enfance modifiait la réponse au stress, ce qui, à long terme, exposait davantage les individus à la maladie.

130 personnes, âgées de 65 ans en moyenne, ont été interrogées sur des événements éprouvants vécus récemment, mais aussi durant leurs premières années de vie. Des échantillons sanguins ont ensuite été prélevés pour évaluer trois marqueurs biologiques.

Les gens qui avaient vécu de la violence durant leur enfance et avaient été stressés récemment avaient un niveau deux fois plus élevé d’un marqueur appelé IL-6, comparativement aux gens qui n’avaient pas été maltraités, même s’ils avaient aussi vécu un stress récent.

Le professeur en psychologie Jean Philippe Gouin a expliqué que « si la production de marqueurs inflammatoires comme le IL-6 est essentielle à la lutte contre les infections, une surproduction peut entrainer le développement de troubles. Une production exagérée peut donc donner lieu à un état physiologique qui, au fil des ans, augmente le risque de maladie cardiovasculaire ».

L’étude a été publiée dans Annals of Behavioral Medicine.

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Les médecins ont besoin d’aide pour mieux traiter les commotions chez les enfants

La revue médicale Pediatrics rapporte les résultats d’un sondage mené auprès de 145 médecins de famille ou œuvrant dans une clinique traitant des urgences. Parmi ceux-ci, 91 % avaient traité au moins un enfant qui avait une commotion cérébrale, et 92 % ont recommandé au moins un patient à un spécialiste des commotions durant les trois mois précédents.

Les auteurs du sondage ont noté que les médecins avaient obtenu des résultats très variables dans la manière de reconnaître les signes et les symptômes des commotions cérébrales.

Ils ont également souligné que les cliniques familiales sont le meilleur endroit pour traiter et effectuer un suivi par rapport aux commotions, mais doivent connaître le protocole à mettre à place.

Le nombre de commotions cérébrales chez les enfants a quadruplé depuis 2009, a révélé l’auteur, le Dr Mark Zonfrillo, tel que rapporté par Medical News Today.

Un programme spécial de formation sur les commotions cérébrales a été instauré cette année par des experts provenant d’un hôpital pour enfants de Philadelphie, permettant à plus de 100 médecins de se familiariser avec les exigences reliées à cette condition.

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Les enfants qui habitent dans des milieux défavorisés risquent plus d’être obèses

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 17 530 enfants de 5 ans, qui vivaient dans 4700 quartiers différents partout aux États-Unis. Ils ont ajusté les résultats pour tenir compte du statut économique de la famille, de la composition de celle-ci, du niveau d’éducation de la mère ainsi que du temps passé par l’enfant à regarder la télévision.

Malgré ces ajustements, les enfants qui vivaient dans des quartiers pauvres avaient 28 % plus de chances d’être obèses, et les enfants vivant dans les quartiers de classe moyenne avaient 17 % plus de chances, comparativement aux enfants vivant dans les quartiers affluents.

Selon l’étude, le fait de vivre dans un quartier à forte proportion ethnique réduisait quant à lui le risque d’obésité de 20 % pour les enfants.

« Nous savons qu’il existe des caractéristiques spécifiques pour les familles et les enfants qui sont associées à l’obésité. Ces relations sont plutôt bien comprises, mais nous ne comprenons pas encore parfaitement l’influence du milieu et de la communauté, par exemple les caractéristiques sociales et démographiques du milieu dans lequel les gens vivent », a expliqué le sociologue Justin Denney, selon MedicalNewsToday.

Près de 32 % des enfants américains sont en surpoids ou obèses. Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue Social Science & Medicine.

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Des différences dans les gènes de non-fumeuses atteintes du cancer

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait des percées importantes en matière de génétique et de cancer, alors que ceux-ci auraient trouvé des variantes dans les gènes de patientes atteintes du cancer du poumon.

Plus précisément, ces récentes découvertes ont été remarquées chez des patientes non-fumeuses atteintes de ce type de cancer.

On parle donc de différences génétiques observées dans trois régions, spécialement chez les femmes asiatiques, qui s’appliqueraient dans plusieurs cas de cancers du côté des non-fumeurs.

Ainsi, les chercheurs sont en train de confirmer la « provenance » du cancer du poumon chez ces femmes, un mystère pour celles qui n’ont jamais touché une cigarette de leur vie.

Après avoir compilé les données de 14 études sur le sujet, incluant les dossiers de pas moins de 14 000 patientes asiatiques (6600 atteintes du cancer du poumon, et 7500 en santé), l’équipe de chercheurs a constaté les variations dont il est question dans l’étude au niveau des chromosomes 6 et 10.

Bien entendu, les auteurs de la super-étude rappellent l’importance d’éviter la fumée secondaire dans votre environnement immédiat, ce qui pourrait accélérer le processus du cancer du poumon chez les non-fumeurs aux prises avec ce type de variation génétique.

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Le secret de la minceur dans les légumes et féculents

e-sante.fr rapporte que les légumes et féculents pourraient détenir les secrets de la minceur, en plus d’un corps en santé.

Les recherches rappellent d’abord la forte teneur en eau des légumes, qui n’apporte non seulement que très peu (pas) de calories, mais crée aussi un phénomène de « coupe-faim ».

Vous aurez donc moins envie de vous gaver de sucreries ou de prendre des collations si vous augmentez vos portions de légumes.

Pour ce qui est des féculents, que l’on retrouve notamment dans le pain, le riz, les pâtes, le maïs, les pommes de terre et certains légumes, ils apportent une belle combinaison de fibres et de glucides à l’organisme. Ce taux permet aussi de bien rassasier, sans un grand apport calorique.

Ceci contrecarre les théories concernant les effets négatifs du pain sur la minceur. On suggère d’en consommer surtout le matin, au lieu des céréales remplies de sucre.

Non seulement ces aliments sont excellents pour la santé, mais ils seraient deux piliers dans la guerre aux kilos, semble-t-il. Les légumes et féculents permettent aussi d’abaisser les risques de plusieurs maladies.

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L’impact de la méditation sur les émotions défini dans une étude

La méditation est vantée depuis des lunes, mais demeure un phénomène marginal, une méthode appliquée par un faible pourcentage de la population.

Souvent faussement identifiée comme étant de la « charlatanerie » ou encore stigmatisée comme un « comportement ésotérique », la méditation a pourtant de nombreux adeptes qui connaissent très bien ses bienfaits.

La communauté scientifique semble en voie de consolider les vertus de cette pratique, alors que quelques études commencent à sortir sur le sujet.

C’est le cas de celle publiée dans les Frontiers in Human Neuroscience, selon ce que rapporte santelog.com.

Ces recherches démontrent que les impacts de la méditation sur le cerveau ainsi que sur les émotions sont majeurs. On parle même d’effet durable sur la structure du cerveau!

Les participants de l’étude ont suivi un programme de huit semaines qui incluait bien sûr des séances de méditation. Les chercheurs du Massachusetts General Hospital (MGH) de l’Université de Boston ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique pour constater les effets tangibles et physiques sur le cerveau.

Ainsi, les effets sont non seulement remarquables, mais il appert que les émotions en sont aussi affectées, même lorsque les patients ne méditaient plus ou étaient « hors méditation ».

De l’avis même des chercheurs de l’étude, c’est peut-être la première fois que de tels liens sont scientifiquement prouvés.

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Prendre les allergies au sérieux

Une nouvelle étude démontre que les gens ne prennent trop souvent pas au sérieux le phénomène des allergies et les risques qui s’y rattachent. C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui fait part de ces recherches.

On apprend que le nombre de visites dans les urgences pour des conséquences dues aux différents types d’allergies est plus élevé qu’on pourrait le croire, et qu’il serait facile d’abaisser ce nombre par la prévention et la conscientisation.

Le phénomène le plus courant est appelé anaphylaxie, qui définit une réaction allergique causée par l’alimentation. Elle peut aussi survenir à la suite d’une piqûre d’insecte ou encore à la prise d’un médicament.

12 000 cas d’anaphylaxie ont été analysés aux fins de l’étude, et 25 % de ceux-ci en étaient de sévères. On déplore le fait que très peu d’entre eux avaient déjà consulté leur médecin pour cette question, ou encore un spécialiste en allergie.

Pourtant, on rappelle que les praticiens et experts du domaine peuvent grandement aider ces patients, et surtout leur procurer de l’épinéphrine (EpiPen).

Cette dernière est un antidote qui sauve des milliers de vies chaque année et qui devrait être possédé par chaque personne souffrant d’une allergie, suggère l’étude.