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Invalidité au travail : Le mal de dos en serait la cause principale

Les maux de dos seraient désormais la principale cause d’invalidité professionnelle dans le monde, selon Top Santé, qui rapporte la publication de deux études sur le sujet.

Ces deux études dites croisées sont le fruit des efforts de chercheurs américains et australiens, qui se sont penchés sur plusieurs autres recherches en la matière effectuées dans pas moins de 187 pays dans le monde.

Les résultats semblent clairs pour le Dr Damien Hoy de l’Université du Queensland, en Australie, et le Dr Roy Burstein de l’Institute for Health Metrics and Evaluation, à l’Université de Washington.

Les deux spécialistes constatent que les maux de dos sont devenus la première cause qui explique les requêtes en invalidité de la part des travailleurs sur la planète.

« La lombalgie entraine une invalidité globale et ces douleurs dans le dos ont tendance à augmenter avec l’âge. Avec le vieillissement de la population, il est urgent de poursuivre les recherches pour mieux comprendre les lombalgies et trouver des traitements efficaces », croit par ailleurs le Dr Hoy.

Les pires statistiques en matière d’invalidité due aux maux de dos et à la lombalgie seraient observables en Afrique du Nord, en Europe et au Moyen-Orient.

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La pollution de l’air serait responsable d’au moins 7 millions de décès

Top Santé rapporte les conclusions émises par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans un rapport qui fait état d’un lourd bilan en matière de pollution de l’air.

Selon les données de l’OMS, la pollution de l’air serait responsable d’au moins 7 millions de décès depuis 2012, un chiffre astronomique qui a de quoi faire réfléchir. Loin de vouloir ralentir, le phénomène serait responsable d’un décès sur huit dans le monde, toujours selon l’OMS.

Les pires conséquences de la pollution seraient observables dans certains pays de l’Asie du Sud-Est, qui compteraient à eux seuls 5,9 millions de morts prématurées liées à la pollution.

Un bilan trop lourd qui touche aussi les femmes et enfants de ces nations aux prises avec le fléau de la pollution, et qui fait dire à l’OMS que le moment est venu d’agir.

Des solutions doivent être étudiées et appliquées, explique-t-on dans le rapport, par exemple une diminution de l’utilisation du diesel et de nouvelles règles en matière de circulation.

La décision repose toutefois entre les mains des dirigeants des pays concernés, qui ne sont pas toujours favorables à de grands changements écologiques.

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Le champignon shiitake en prévention du VPH et du cancer?

Le champignon shiitake pourrait-il permettre de contribuer à la prévention et au traitement du VPH et du cancer cervical? C’est la conclusion qui semble ressortir d’une étude américaine rapportée par le Daily Mail (UK), voulant que l’aliment en question puisse carrément détruire le virus du papillome humain (VPH).

Un effet qui aurait également le grand avantage de prévenir du cancer cervical souvent associé au VPH, comme plusieurs cas et recherches l’ont démontré au cours des dernières années.

Hautement contagieux, le VPH fait des siennes chez les femmes depuis un bon moment maintenant, et l’annonce d’un possible traitement à l’aide d’extraits de champignon shiitake s’avère une bonne nouvelle, quasi miraculeuse.

Des essais sur des souris ont démontré l’impact du champignon sur la destruction du virus, sur une période de 90 jours.

« Les résultats de cette étude ont été vraiment encourageants », lance la Dre Judith Smith de l’Université du Texas.

D’autres recherches et essais sont attendus sur le sujet, mais les résultats préliminaires permettent de croire à un nouveau traitement possible du VPH.

Les conclusions de l’étude ont été présentées lors du 45e Annual Meeting on Women’s Cancer de la Society of Gynecological Oncology, du côté de Tampa en Floride.

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Le stress s’avère l’ennemi de la fertilité

Le stress est une porte ouverte sur de nombreux ennuis de santé, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Plusieurs études démontrent les impacts du stress sur la santé, qui peut même influencer la longévité d’un individu.

Une nouvelle étude américaine trace cette fois un parallèle entre le stress et l’infertilité, rapporte Santé Log, et semble confirmer la théorie précédemment avancée par une étude en provenance du Royaume-Uni.

L’étude de l’Université d’Ohio State analysait en effet un groupe de femmes afin de vérifier la corrélation possible, et a estimé à 29 % la réduction des chances d’une femme de tomber enceinte lorsque celle-ci présente des marqueurs biologiques de stress importants.

Les spécialistes croient donc que malgré la pression et le stress qui surgissent souvent lors de périodes de vaines tentatives de procréation, les couples ne doivent pas céder à la panique ou à l’angoisse, et s’assurer de demeurer étroitement liés.

Les conclusions complètes de l’étude américaine sur le stress et l’infertilité ont été publiées dans le magazine Human Reproduction.

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La vitamine D et la dépression : des études contradictoires

Les études qui s’attardent aux effets de la vitamine D sur la santé mentale et les symptômes de la dépression sont pour le moins contradictoires. Après une première vague d’études qui avaient démontré un lien entre la consommation de vitamine D et les risques de dépression, une seconde vague venait invalider l’énoncé.

Cette deuxième vague d’études laissait même entendre que la vitamine D pouvait en fait réduire les symptômes de dépression, de quoi rendre le tout franchement confus pour le consommateur et le patient moyen.

Pour ajouter à cela, Medical News Today rapporte la publication d’une toute nouvelle étude sur le sujet, qui semble trancher le débat. Selon cette recherche en provenance de l’Université Columbia (New York), la vitamine D ne réduit pas les symptômes de dépression et pourrait n’avoir aucun impact sur la santé mentale.

Le Dr Jonathan A. Schaffer, qui dirige les travaux à Columbia, estime que les essais précédents étaient presque tous « caractérisés par une limitation de la méthodologie ».

Le Dr Schaffer affirme également que malgré qu’il « soit tentant » de tracer un tel lien, de plus vastes études sur le sujet devront être conduites. Pour l’instant, rien ne permettrait d’affirmer un lien entre la vitamine D et la dépression.

Les conclusions du Dr Schaffer ont été publiées dans le journal Psychosomatic Medicine.

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L’odorat humain plus puissant qu’on le croit

Nous avons tendance à sous-estimer la puissance de notre odorat, semble-t-il, si l’on se fie aux informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude contredit de précédentes recherches qui ont estimé que l’odorat humain pouvait discerner jusqu’à 10 000 odeurs différentes, concluant plutôt que nos capacités olfactives pouvaient plutôt s’étendre jusqu’à un trillion de possibilités.

« Il a souvent été dit que les humains ne pouvaient distinguer que 10 000 différentes odeurs », confirme le coauteur de l’étude, M. Andreas Keller, de l’Université Rockefeller de New York.

Or, si l’étude de Keller est juste et que nous sommes en mesure de discerner un trillion de variantes, il faudra alors considérer que l’odorat est un sens plus puissant que notre ouïe ou encore notre vue.

Pourtant, l’humain semble résolu à considérer son odorat moindre et à sous-estimer ce sens, souvent en se comparant aux capacités de certains animaux, par exemple.

« On a tendance à ne pas faire confiance à notre odorat parce qu’on est mauvais pour identifier et nommer des odeurs. Mais nommer et identifier ne sont pas les raisons pour lesquelles notre système olfactif a évolué. Au lieu de cela, il évolue pour nous permettre de discriminer des odeurs très différentes, comme le moindre indice qu’un aliment est périmé. Notre étude montre que nous sommes excellents à cette tâche », résume Andreas Keller.

Les résultats de cette étude sur l’odorat humain sont présentés dans le magazine Science.

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Alcool et marijuana : une consommation transmise de génération en génération

Une nouvelle étude sur les risques intergénérationnels en matière de dépendance aux drogues et à l’alcool estime que la consommation est une habitude qui peut être transmises aux générations suivantes, rapporte Top Santé.

Tout comme les bonnes habitudes et les bons exemples, les mauvais sont aussi calqués par les enfants, et il semble que ce soit particulièrement vrai dans le cas de l’alcool et des drogues douces comme le cannabis.

L’étude américaine sondait près de 2000 parents et leurs enfants, demandant à ces derniers de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes quant à l’alcool et au cannabis.

Le résultat est clair pour les chercheurs de la Sam Houston State University, Dre Kelly Chevalier en tête, et démontre que les risques sont nettement plus élevés pour les enfants de parents consommateurs et adeptes de ces drogues douces d’en faire eux-mêmes l’expérience sur une base régulière dans le futur.

On parle d’un risque cinq fois plus grand en matière d’alcool et deux fois plus grand concernant la marijuana, comparativement aux enfants de parents qui n’en consomment pas.

« Cette étude est unique et rare. Elle prédit l’usage de la substance sur plusieurs générations. Cette relation identifiée entre les générations peut fournir des informations importantes sur l’impact du comportement des parents dans l’adolescence et l’âge adulte de l’enfant », mentionne Dre Chevalier.

Les chercheurs croient donc qu’il est important pour les parents de revoir leurs habitudes à l’arrivée des enfants, ou de s’assurer de s’adonner aux vices des drogues douces et de l’alcool dans le plus grand secret, si absolument nécessaire.

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Des épices et herbes pour abaisser la consommation de sel

Une nouvelle étude vante les mérites des épices et des herbes pour contrer le phénomène de surconsommation de sel, un véritable fléau de l’ère moderne en alimentation, rapporte MedicalNewsToday.

L’étude en provenance de San Diego s’est intéressée aux substituts possibles du sel dans notre alimentation et a demandé à un groupe d’adultes de se prêter au jeu, en tentant d’incorporer des épices et herbes à leurs repas.

55 participants ont d’abord dû suivre un régime à faible teneur en sodium sur une période de quatre semaines. Le groupe a ensuite été scindé en deux, une moitié devant tenter de conserver une faible consommation de sel par sa seule volonté, et le deuxième par des herbes et épices.

Le deuxième groupe est parvenu à abaisser sa moyenne de consommation de sel quotidienne de près de 1000 milligrammes, un résultat non négligeable.

« Les personnes du groupe ont appris des stratégies pour régler le problème, utiliser des herbes et épices, comment faire le suivi de leur diète, comment choisir les bons aliments en commande et comment rendre une faible consommation de sel permanente », explique Cheryl A.M. Anderson, auteure de l’étude et professeure associée à l’Université de San Diego.

L’étude démontre donc que des substituts moins néfastes pour la santé permettent de lutter contre la surconsommation de sel dans l’alimentation quotidienne.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Hypertension et présentés lors d’une réunion de l’American Heart Association.

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Boire de l’eau ne ferait pas maigrir

Une spécialiste en nutrition américaine contredit et invalide le mythe qui veut que le fait de boire de l’eau contribue à faire maigrir, rapporte Top Santé, de quoi décevoir les adeptes de l’eau en plein cœur d’un régime.

C’est la nutritionniste Beth Kitchin qui s’attaque au mythe en rappelant d’abord qu’il n’existe que bien peu d’études, d’essais ou de travaux démontrant véritablement les bienfaits d’une consommation accrue d’eau sur le succès d’un régime et sur le maintien du poids.

« Je ne dis pas que boire de l’eau n’est pas bon, mais on ne dispose que d’une seule étude montrant que les personnes qui consommaient plus d’eau dépensaient quelques calories de plus par jour », lance d’abord Mme Kitchin.

Elle poursuit en étayant son opinion sur le sujet, écorchant au passage les indications qui nous somment de consommer au moins 1,5 litre d’eau quotidiennement.

« Oui, on a besoin d’apports liquides, mais pas obligatoirement en eau… On ne dispose pas de preuves démontrant qu’elle fait fondre les graisses ni qu’elle entraîne un sentiment de satiété. Adopter une alimentation contenant des aliments riches en eau comme les fruits, les légumes et les soupes peut contribuer (à un régime) », poursuit la spécialiste en nutrition.

En clair, même l’eau ne peut servir de solution miracle et d’excuse pour ne pas intégrer un régime alimentaire sain et l’exercice physique à son quotidien si l’on veut perdre du poids!

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Un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une petite étude britannique qui semble démontrer une certaine efficacité d’un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques.

Le médicament en question est le simavastin, commercialisé sous le nom de Zocor, qui semble prévenir la contraction du cerveau dans les cas de sclérose en plaques.

On parle même d’une réduction de ce symptôme pouvant aller jusqu’à 43 % chez certains patients en deuxième stage progressif de sclérose en plaques, une excellente nouvelle.

Le Zocor permettrait donc d’établir une nouvelle façon de faire en traitement de la maladie, si d’autres tests plus poussés venaient à confirmer son double effet.

« L’effet est sous réserve et nécessite une plus grande étude de phase 3, mais semble prometteur pour tous les types de sclérose en plaques. Parce qu’il s’agit d’un médicament (Zocor) déjà approuvé, dont on connaît le profil et qui s’avère peu coûteux, il pourrait devenir possible de l’utiliser assez rapidement si d’autres études confirment l’effet suggéré », résume bien la Dre Jacqueline Palace, neurologiste consultante pour l’Université Oxford.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 19 mars du Lancet.