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Prendre les allergies au sérieux

Une nouvelle étude démontre que les gens ne prennent trop souvent pas au sérieux le phénomène des allergies et les risques qui s’y rattachent. C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui fait part de ces recherches.

On apprend que le nombre de visites dans les urgences pour des conséquences dues aux différents types d’allergies est plus élevé qu’on pourrait le croire, et qu’il serait facile d’abaisser ce nombre par la prévention et la conscientisation.

Le phénomène le plus courant est appelé anaphylaxie, qui définit une réaction allergique causée par l’alimentation. Elle peut aussi survenir à la suite d’une piqûre d’insecte ou encore à la prise d’un médicament.

12 000 cas d’anaphylaxie ont été analysés aux fins de l’étude, et 25 % de ceux-ci en étaient de sévères. On déplore le fait que très peu d’entre eux avaient déjà consulté leur médecin pour cette question, ou encore un spécialiste en allergie.

Pourtant, on rappelle que les praticiens et experts du domaine peuvent grandement aider ces patients, et surtout leur procurer de l’épinéphrine (EpiPen).

Cette dernière est un antidote qui sauve des milliers de vies chaque année et qui devrait être possédé par chaque personne souffrant d’une allergie, suggère l’étude.

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Les enfants ont besoin d’un minimum de sept minutes d’exercice intense par jour

Des chercheurs ont fait porter des appareils mesurant le niveau d’activité physique à plus de 600 enfants pendant une semaine. Le poids, la circonférence de la taille et la pression artérielle de ceux-ci ont aussi été mesurés régulièrement.

Les données indiquent que les enfants passaient environ 70 % de leur temps à faire des activités sédentaires, 23 % à faire de l’activité physique légère, 7 % à faire de l’exercice modéré, et seulement 0,6 % à faire de l’exercice vigoureux.

Les garçons étaient moins sédentaires que les filles, et plus les enfants passaient du temps à faire de l’exercice intense, moins ils étaient en surplus de poids.

« Notre recherche démontre que les enfants n’ont pas besoin de beaucoup d’activité physique intense pour en tirer les avantages. Mais ces sept minutes doivent être vraiment intenses pour prévenir le gain de poids, l’obésité et tous les problèmes reliés. Et ce que nous avons découvert, c’est que la plupart des enfants n’en faisaient pas assez », a noté l’auteur de l’étude, Richard Lewanczuk, un chercheur en médecine et dentisterie pour l’Université de l’Alberta.

Les résultats ont été publiés dans le journal Archives or Pediatrics & Adolescent Medicine.

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Des protéines cérébrales mutantes sont en lien avec l’autisme

Des chercheurs néo-zélandais ont découvert un lien entre l’autisme et des protéines du cerveau ayant subi une mutation. Ces protéines, appelées Shank3, seraient responsables d’une absence de communication entre certaines cellules cérébrales.

Cette découverte ouvre une piste intéressante, parce qu’elle signifie que la recherche devrait se concentrer sur ces protéines mutantes, disent les scientifiques dans un article publié dans la revue médicale Journal of Neuroscience. En poursuivant leurs travaux, ceux-ci pourraient par exemple arriver à rétablir le fonctionnement normal de ces cellules et redonner des habiletés cognitives aux enfants sévèrement touchés par le trouble.

« Les cellules cérébrales sont extrêmement “sociables” et “se parlent” sans arrêt », a expliqué la chercheuse Jo Montgomery. « Ce que nous avons démontré, c’est que lorsque ces mutations reliées à l’autisme se produisent, le fonctionnement des synapses dans le cerveau est modifié, et ces cellules ne répondent pas. C’est un sujet de recherche important en ce moment, étant donné qu’on ne connaît pas encore la cause de l’autisme », a-t-elle ajouté, tel que rapporté par PsychCentral.

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Les bébés imitent un geste inhabituel si celui-ci est accompagné d’un mot

Lors d’une expérience en psychologie, des chercheurs ont intentionnellement fait un geste inhabituel devant des bébés et tout-petits à partir de 14 mois, c’est-à-dire appuyer sur un interrupteur électrique avec leur front. Puis, ils ont laissé les enfants jouer avec l’interrupteur eux-mêmes, pour voir s’ils reproduiraient le geste étrange ou non.

Les enfants étaient beaucoup plus susceptibles de reproduire le geste lorsque celui-ci était annoncé par un mot inventé (maintenant je vais « bliquer » la lumière) que si le geste n’était pas accompagné du langage.

Les chercheurs ont indiqué que cela démontrait que même lorsqu’ils sont aussi petits, les enfants coordonnent leurs intuitions à propos des comportements humains à imiter en se basant sur le langage.

« Cette expérience montre pour la première fois que même pour des bébés qui commencent à peine à décoder le langage, les mots font la promotion de gestes culturels partagés, et ce, de façon complètement naturelle », a noté la coauteure de l’étude, Sandra Waxman, selon Science Daily.

« Cela signifie que le langage procure aux bébés une clé très importante, qui leur ouvre la porte d’un monde plus large que ce qu’ils connaissent et qui contient des intentions sociales. »

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Le Tamiflu : complètement inutile et inefficace?

C’est toute une bombe que propose le British Medical Journal, en Angleterre, alors que la publication suggère que le Tamiflu serait complètement inutile et inefficace.

Le Tamiflu est ce médicament dont les gouvernements de partout dans le monde avaient fait des provisions de masse, en prévision d’une pandémie d’influenza, communément appelée virus de la grippe.

Désirant prévenir la planète d’une épidémie de grippe (et de ses souches les plus graves), on avait fait appel à la compagnie Roche pour produire cet antidote.

Or, les chercheurs associés au British Medical Journal tentaient d’obtenir les données des essais cliniques du Tamiflu depuis 2009 et viennent d’arriver à la limite de leur patience.

Ils appellent maintenant au boycottage de tous les produits de la compagnie, jusqu’à ce que la lumière soit faite sur ce médicament qui, selon eux, n’aurait potentiellement aucun effet.

Macleans.ca rapporte également que les chercheurs suggèrent fortement aux nations qui ont acheté des stocks de Tamiflu de façon massive de prendre des procédures légales et de demander le remboursement des sommes publiques investies dans ce médicament.

Une histoire qui n’a pas fini de faire jaser, alors qu’on attend toujours la divulgation des données de ces essais cliniques.

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Ces aliments qui procurent une belle peau

Une panoplie de produits pour la peau sont vendus sur le marché, et certains d’entre eux fonctionnent plutôt bien, aux dires des principales intéressées, mais il existe aussi des solutions… intérieures!

Vous aurez bien sûr compris que l’on parle ici de l’alimentation, qui peut faire varier votre éclat, votre teint ou encore la texture de votre peau.

En effet, plusieurs aliments sont bénéfiques pour l’épiderme, mais ils obtiennent moins de publicité que ceux qui agissent contre les maladies plus graves, à une époque obnubilée par la santé physique.

Quels sont ces aliments qui procurent une belle peau? En voici quelques-uns, en accord avec TopSanté.

On suggère d’abord le kiwi qui, avec sa forte teneur en vitamine C, aide au maintien du collagène retrouvé dans la peau et est responsable de son élasticité. Le kiwi permettrait donc d’aider à ralentir les effets visibles du vieillissement.

Les fruits de mer seraient aussi de précieux alliés, protégeant les cellules grâce aux teneurs en oméga-3, en zinc, en sélénium et en ADH (acide docosahexaénoïque).

Viennent ensuite le thé vert et l’huile d’olive, qui protègent entre autres des effets du soleil et de ses rayons ultra-violets, ainsi que de l’évaporation de l’eau contenue dans la peau.

Pour conclure, on suggère les fruits rouges, comme les fraises et les framboises.

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Le thé noir réduirait-il les risques de diabète?

Une récente étude démontre que les cas de diabète de type 2 sont plus bas dans les pays où les gens consomment du thé noir. C’est du moins ce que révèlent les statistiques, rapporte www.nlm.nih.gov, ce qui soulève une question évidente. Le thé noir réduirait-il les risques de diabète?

Ce n’est pas la première fois que la communauté scientifique pose cette question, puisque plusieurs autres études précédentes ont démontré les effets potentiels du thé noir sur la santé.

Le chercheur Ariel Beresniak et ses collègues de DataMining International à Genève, en Suisse, ont vérifié les données de 50 pays (sur chaque continent) en 2009 et les ont comparées aux taux de diabète de type 2 diagnostiqués.

On notait aussi les variations concernant les maladies chroniques respiratoires, infectieuses et cardiovasculaires.

Les résultats sont clairs aux yeux de l’équipe : les pays consommateurs de thé noir affichent des taux de diabète moins élevés. Parmi eux, on retrouve notamment le Royaume-Uni, l’Irlande et la Turquie.

Les moins grands consommateurs de ce type de thé seraient la Corée du Sud, le Brésil, la Chine, le Maroc et le Mexique.

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Un lien entre l’allergie aux arachides et statut socio-économique des enfants

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 8306 patients américains, dont 776 avaient un niveau élevé d’anticorps aux arachides. L’allergie aux arachides était en général plus fréquente chez les garçons, ainsi que chez les enfants provenant de minorités ethniques.

Une autre conclusion peut-être un peu plus surprenante provenait du fait qu’un revenu familial élevé était associé à un risque beaucoup plus grand de souffrir d’allergie aux arachides.

Ce résultat semble confirmer une hypothèse émise par de nombreux allergologues : plus le niveau d’hygiène est élevé dans une maison, moins les enfants sont exposés aux germes durant leur petite enfance, et plus il y a de chances de développer un problème d’allergie.

« Même si plusieurs enfants peuvent développer une tolérance aux produits allergènes à mesure qu’ils grandissent, seulement 20 % de ceux-ci vont pouvoir surmonter une allergie aux arachides », a expliqué l’allergologue Stanley Fineman, selon Medical News Today.

Les résultats ont été présentés au congrès annuel de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology.

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20 % des gens atteints du VIH l’ignoraient lors de leur premier rapport sexuel

Selon ce que rapporte www.nih.gov, 20 % des gens atteints du VIH ignoraient leur situation lors de leur premier rapport sexuel.

Voici une nouvelle stupéfiante, si l’on considère que les gens ciblés dans ce constat étaient infectés depuis leur naissance. C’est 1 personne sur 5, donc, qui ne savait pas qu’elle était porteuse du VIH en entamant sa vie sexuelle active.

De plus, l’étude rapportée explique qu’en plus de ce nombre, plusieurs auraient menti à leur partenaire sexuel avant les rapports physiques ou auraient simplement « omis » de le dire.

Pour conclure cette étude alarmante, le site affirme qu’un autre pourcentage très élevé avoue ne pas avoir porté de condom ou de protection lors de leurs premières expériences sexuelles.

Les auteurs de cette étude lancent un cri d’alerte et somment les parents qui connaissent l’état de santé de leur enfant (VIH depuis la naissance) de les informer de la situation avant qu’ils n’atteignent l’adolescence, afin de stopper la prolifération du virus chez d’autres personnes.

L’étude sondait 330 répondants atteints du VIH depuis leur naissance, de 10 à 18 ans, et portait sur leurs habitudes sexuelles.

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Des résultats mitigés reliés aux suppléments de fer et d’oméga-3 chez les enfants

Dans le cadre de l’étude, 321 enfants provenant d’Afrique du Sud ont reçu un supplément de fer ou un supplément d’oméga-3, ou encore les deux. Les enfants, âgés de 6 à 11 ans, avaient tous un déficit important de ces éléments avant de recevoir les suppléments.

Après 8 mois, les enfants qui souffraient d’anémie ont démontré des améliorations de leur mémoire et de leurs aptitudes d’apprentissage. Dans des tests de mémoire, ils ont par exemple réussi à se souvenir de 2 mots sur 12 de plus qu’auparavant.

Les résultats étaient plus mitigés pour les enfants qui avaient une carence en fer, mais sans anémie et qui ont aussi reçu des oméga-3. Les filles dans cette condition ont plutôt eu des résultats pires qu’avant, tandis que les garçons ont légèrement amélioré leur performance.

Toujours selon les résultats de l’étude, il n’y avait aucun avantage associé aux suppléments d’oméga-3.

L’auteure, Jeannine Baumgartner, a expliqué que puisque le nombre d’enfants dans chaque catégorie, par exemple ceux qui souffraient d’anémie, était relativement petit, les résultats doivent être interprétés avec précaution.

« La question se pose à savoir si donner des suppléments à des enfants d’âge scolaire n’est pas déjà trop tard pour voir des résultats bénéfiques sur leur performance cognitive », a-t-elle ajouté, selon Medscape.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition.