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Un lien entre l’autisme et les infections durant la grossesse?

Les données sont basées sur l’analyse de 101 033 femmes danoises, qui ont été suivies pendant une période moyenne de 10 ans, durant leur grossesse et après la naissance de leur enfant.

De ce nombre, les chercheurs ont regroupé une cohorte de femmes qui avaient souffert d’une infection durant leur grossesse, entre autres les infections respiratoires, les cystites, l’influenza, les infections à levure et l’herpès.

Les enfants de ces dernières n’avaient pas un risque plus élevé de recevoir un diagnostic de trouble du spectre autistique, quoique le risque était deux fois plus élevé pour le diagnostic spécifique d’autisme infantile, une forme plus sévère du trouble.

Ce risque de souffrir d’autisme infantile était aussi trois fois plus élevé lorsque les femmes avaient vécu un épisode fébrile ayant duré une semaine ou plus.

Toutefois, les chercheurs indiquent que la manière dont l’étude a été menée ne démontre pas hors de tout un lien de causalité et pourrait donc résulter du hasard, selon MedPageToday. L’analyse a été publiée dans la revue Pediatrics.

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Les mères bipolaires ont plus de chance d’accoucher de bébés prématurés

Dans le cadre d’une étude publiée dans le British Medical Journal, des chercheurs ont observé 320 mères qui recevaient un traitement pour leur bipolarité, ainsi que 554 mères qui n’étaient pas traitées. Celles-ci ont été comparées avec l’ensemble des femmes qui ont accouché durant une période de plus de quatre ans en Suède.

Les femmes qui souffraient de bipolarité, que cette maladie soit traitée ou non, risquaient plus que les autres d’accoucher par césarienne, d’accoucher avec l’aide d’un aspirateur ou de forceps, ou d’avoir eu un accouchement provoqué (37,5 % des femmes qui recevaient un traitement, comparé à 30,9 % des femmes qui n’étaient pas traitées et 20,7 % de l’ensemble des femmes).

Les femmes bipolaires, traitées ou pas, avaient aussi 50 % plus de chances d’accoucher prématurément. Les chercheurs ont indiqué que les femmes bipolaires étaient plus souvent fumeuses, en surpoids ou souffraient de problèmes d’alcool que l’ensemble de la population, ce qui pourrait influencer les accouchements avant terme.

« La question n’est pas de savoir s’il faut traiter ou non, mais plutôt de comprendre comment traiter de manière optimale », a expliqué l’expert en santé mentale Salvatore Gentile, selon Science Daily. « Puisqu’aucun médicament n’est complètement sécuritaire, les médecins, même s’ils sont dans l’incapacité de fournir un traitement “parfaitement sûr”, peuvent quand même espérer en trouver un qui est “moins dommageable” ».

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Du bleu pour éviter de tomber endormi au volant

Topsante.com rapporte que des tests ont été effectués sur des automobilistes, en conduite réelle, afin de tenter d’enrayer les accidents de voiture liés aux conducteurs endormis derrière le volant.

Et ils y seraient parvenus, toujours selon le site, par un moyen fort ingénieux. Figurez-vous que la simple diffusion d’une lumière bleue à l’intérieur d’un véhicule permettrait au conducteur de demeurer bien éveillé.

On lance même que cette technique serait tout aussi efficace que la caféine! Dur d’y croire, mais il semble pourtant que ce soit le cas, selon les chercheurs du laboratoire Sommeil, Attention et Neuropsychiatrie de l’Université Bordeaux Segalen.

Ces derniers expliquent que la diffusion continue d’une lumière bleue stimule des cellules nerveuses de la rétine qui sont reliées à des zones du cerveau qui régissent l’état de l’éveil.

Par conséquent et en parallèle, le taux de mélatonine qui sert à nous « endormir » la nuit ne serait pas augmenté, comme habituellement lorsqu’un conducteur devient fatigué.

Les spécialistes mettent par contre en garde les conducteurs qui voudraient tenter l’expérience qu’ils doivent s’assurer de ne pas s’aveugler eux-mêmes avec une lumière mal positionnée!

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Deux grammes de sel de trop quotidiennement peuvent vous mener vers la mort

L’un des ennemis jurés de la saine alimentation est de retour à l’avant-scène, avec de récentes études qui démontrent encore une fois l’importance de réduire le plus possible sa consommation de sel.

Plus difficile à dire qu’à faire, cependant, alors que cet ingrédient est utilisé massivement par une panoplie de compagnie et de chaînes de restauration dans les aliments qu’ils proposent aux consommateurs.

Et ces derniers se retrouvent bien embêtés lorsque vient le temps d’abaisser leur consommation d’un ingrédient omniprésent dans leur environnement.

Il faudra pourtant y parvenir, selon l’étude de l’OMS, puisque l’ingestion de deux grammes de sel de trop par jour pourrait bien vous mener directement vers votre tombe, rapporte santelog.com.

Déjà, dès 2002, l’Organisation mondiale de la santé lançait une alerte et conseillait vivement aux citoyens de partout de réduire leur consommation de sel de 20 %. C’était il y a dix ans, et les choses ne se sont guère améliorées.

Pour tenter d’aider les consommateurs, ils ont dressé une petite liste des aliments qui contribuent le plus à hausser l’apport en sel :

1. Pain et biscottes
2. Charcuterie
3. Soupes
4. Fromages
5. Plats composés
6. Pizzas, quiches et pâtisseries salées

Avouons que ces aliments sont parmi les plus populaires à travers le monde…

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Le test maison pour la pression sanguine inefficace?

Les tests maison retrouvés un peu partout dans les foyers d’Amérique du Nord pourraient s’avérer inefficaces, selon une nouvelle étude.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs remettent en doute la véracité des résultats proposés par certains de ces tests.

Cependant, ceux-ci fonctionneraient beaucoup mieux lorsque vient le temps de lire les données d’une personne plus âgée ayant déjà souffert de problèmes cardiaques, voire d’un AVC.

Le reste de la population devrait par contre se méfier. C’est ce que conclut l’étude, qui a suivi des patients sur une période d’un an.

Les chercheurs ont donc donné à un groupe des systèmes de tests de pression sanguine populaires et vérifié les données avec un groupe B.

Les résultats sont clairs pour Hayden B. Bosworth, professeur de médecine à l’Université Duke de Durham : « Il y a des différences marquées entre les données réelles et certains résultats affichés par ces tests. Cela fonctionne pour certaines personnes; il ne faut pas les bannir complètement. Il s’agit simplement de déterminer quels tests s’appliquent à quelles personnes. »

On suggère de consulter votre médecin pour avoir l’heure juste et d’entamer un contrôle efficace de la haute pression.

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Un régime fort en glucides lié à la progression du cancer du côlon?

Les preuves ne sont plus à faire concernant le lien direct entre le style de vie et la progression de certaines maladies. Les études s’empilent à ce sujet, et en voici une toute récente qui trace cette fois un lien entre un régime à forte teneur en glucides et la progression du cancer du côlon.

Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les patients qui souffrent déjà de ce type de cancer ont plus de chances de voir la maladie progresser ou réapparaître s’ils suivent une diète forte en glucides.

La même chose se vérifierait chez les gens qui consomment plus de pain, de pommes de terre et de pâtisseries, affirment les chercheurs.

Le Dr Jeffrey Meyerhardt, de l’Institut Dana-Farber contre le cancer, explique : « Étant donné que ce lien est maintenant défini et qu’on peut considérer que plusieurs patients atteints du cancer du côlon qui suivent un régime fort en glucides après le diagnostic le faisaient aussi avant, nous ne pouvons exclure la possibilité que ce type de régime alimentaire augmente le risque de cancer ».

Des révélations-chocs qui ne semblent laisser place qu’à très peu de débats.

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Un vaporisateur pour stimuler le désir chez la femme

Les problèmes de dysfonction sexuelle sont beaucoup plus connus chez l’homme, et les constantes campagnes de publicité ciblant le public masculin n’améliorent pas les choses.

Ce qu’on oublie trop souvent, c’est que plusieurs femmes sont aussi aux prises avec des problèmes de dysfonction sexuelle, à commencer par la perte du désir.

Si les hommes peuvent justement compter sur une panoplie de produits lorsque le désir physique ou psychologique n’y est plus, dont la fameuse pilule bleue Viagra, les femmes se sentent souvent impuissantes devant un tel phénomène.

Voilà qu’une nouvelle solution pourrait faire son apparition, alors que des chercheurs sont à mettre au point un vaporisateur nasal qui permettrait aux femmes de retrouver le désir et le plaisir d’antan.

Composé de testostérone, le « remède » devra être utilisé deux heures avant un rapport sexuel, pour un effet optimal.

Les essais cliniques sont avancés, et on pourrait voir l’apparition de ce produit, nommé Tefina pour l’instant, sur le marché incessamment. C’est ce que confirme le professeur Davis de la Monash, qui ajoute que les femmes ne devraient pas hésiter à parler de dysfonction sexuelle avec leur médecin.

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Identifier les enfants à risque de développer l’épilepsie à la suite de convulsions

Selon une étude réalisée par l’autorité en santé américaine, National Institutes of Health, des imageries du cerveau effectuées quelques jours après qu’un enfant ait fait des convulsions fébriles prolongées peuvent révéler des lésions au niveau de l’hippocampe, une partie du lobe temporal en lien avec l’épilepsie.

3 à 4 % des enfants ont des convulsions fébriles lorsqu’ils font de la forte fièvre, et si cette condition est habituellement bénigne, les médecins croient qu’elle augmente le risque d’épilepsie.

30 à 40 % des enfants qui ont eu un ou des épisodes de convulsions fébriles durant 30 minutes ou plus développeront ainsi ce trouble neurologique plus tard.

Dans le cadre de l’étude, 191 enfants ont passé un test de résonnance magnétique quelques jours après des convulsions fébriles, prolongées ou non. Parmi ceux qui avaient fait des convulsions fébriles prolongées, 11,5 % présentaient des lésions à l’hippocampe, tandis qu’on pouvait observer des anormalités de cette structure cérébrale chez 11,5 % des enfants. Seulement 2,1 % des enfants qui avaient fait des convulsions simples avaient ces problèmes.

45,2 % des enfants ayant plutôt passé un encéphalogramme présentaient aussi des anormalités, et il y avait une corrélation entre les résultats des deux tests, ont noté les chercheurs, selon Medical News Today.

Les données ont été publiées dans la revue médicale Neurology.

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Le hochement de tête chez les enfants pourrait prédire une malformation rare

Une neurologue pédiatrique, la Dre Hannah Tully, a récemment présenté les résultats d’une étude où elle a découvert un nouveau symptôme clinique associé à une malformation cérébrale sous-diagnostiquée.

« On croyait auparavant que la RES était extrêmement rare, mais en fait, c’est probablement plus commun que les gens le pensent. Plus de 10 % de nos patients hydrocéphales s’avéraient avoir une RES qui n’avait pas été diagnostiquée », a-t-elle noté lors de sa présentation, au congrès de la Child Neurology Society.

La médecin a d’abord remarqué que plusieurs petits patients dans sa salle d’attente hochaient de la tête. En poussant sa recherche plus loin, elle a détecté que 37 de ses 45 patients qui avaient la RES démontraient ce comportement, particulièrement lorsqu’ils étaient stressés ou fatigués.

Pour certains de ces patients, le hochement de tête pouvait être observé des mois, voire des années avant que la malformation cérébrale soit diagnostiquée.

Le Dr Johnathan Mink, qui n’a pas participé à l’étude, a noté que celle-ci « était un bon exemple de la manière dont une recherche précise sur un trouble rare peut révéler des signes cliniques qui n’avaient jamais été rapportés auparavant », tel que rapporté par Medscape.

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Les habiletés des jeunes enfants à compter seraient reliées à leurs notes en mathématiques plus tard

Les chercheurs ont analysé les données provenant de 3000 enfants d’âge préscolaire, afin de déterminer si certains d’entre eux pouvaient compter jusqu’à 20, et si cela avait un effet sur leurs performances en mathématiques en première année.

Moins de 10 % des enfants étaient capables de réciter les chiffres jusqu’à 20 et d’effectuer quelques calculs. Cependant, ceux-ci avaient effectivement les plus hautes notes en mathématiques quelques années plus tard.

Les chercheurs ont expliqué la différence entre réciter et compter : « Lorsqu’ils récitent, ils répètent une séquence apprise par cœur. Mais lorsqu’ils comptent, les enfants accomplissent une activité cognitive, en établissant une correspondance entre un chiffre et un autre, entre un objet et un nombre qui représente une quantité ».

« Savoir compter donne aux enfants des bases plus solides lorsqu’ils commencent l’école. Les compétences que les enfants maîtrisent en maternelle vont avoir un impact sur toute leur expérience au primaire; c’est pourquoi il est important qu’ils commencent en ayant le plus grand nombre possible de cordes à leur arc », ont-ils ajouté, selon Science Daily.