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Le vaccin contre le VPH pourrait aussi venir en aide aux femmes qui ont le VIH

Le VPH est une maladie qui frappe fort depuis quelques années. Le virus du papillome humain, de son vrai nom, est statistiquement en hausse depuis quelque temps, mais un vaccin pourrait changer la donne dans le futur.

Et ce vaccin pourrait également profiter aux femmes atteintes du VIH, selon ce que rapporte www.nih.gov. Les chercheurs ont découvert que les risques potentiels chez les porteuses du VIH de développer un cancer sont similaires à ceux encourus par celles atteintes du VPH.

« Plusieurs travailleurs de la santé hésitent à prescrire le vaccin contre le VPH immédiatement après le début de la vie sexuelle d’une jeune femme ou d’une adolescente. Toutefois, les résultats des études démontrent que le vaccin peut apporter beaucoup de bénéfices, et même chez les patientes atteintes de VIH, ou qui vont l’être au cours de leur vie », explique l’auteure en chef de cette récente étude, Jessica Khan.

Dre Khan, de l’University of Cincinnati College of Medicine, rappelle également l’importance de la prévention des maladies transmissibles sexuellement chez les jeunes filles.

D’autres études concernant les liens entre le VIH, le VPH et ces vaccins seront publiées dans un futur rapproché.

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Perdre du poids pourrait améliorer le sommeil

La qualité du sommeil pourrait être augmentée lorsqu’on perd du poids, rapporte www.nlm.nih.gov. C’est une nouvelle étude qui fait ce constat, traçant un lien direct entre la perte de quelques kilos et l’amélioration du sommeil.

De plus, l’étude révèle également que la qualité des nuits peut aussi varier en fonction de la façon dont vous avez perdu ce poids.

Kerry Stewart, professeure de médecine à la Johns Hopkins University School of Medicine, confirme : « Nous avons découvert qu’une amélioration significative de la qualité du sommeil peut être observée lorsque des gens en surpoids réussissent à en perdre. La clé semble résider dans le fait de diminuer les gras, spécialement autour de la taille ».

L’étude comptait 77 patients en surpoids ou obèses, souffrant de diabète de type 2 ou en phase de prédiabète. Les participants ont été divisés en deux groupes, dont l’un suivait un régime et un programme d’exercice physique. Les autres n’ont fait que suivre le régime. Tous les patients devaient répondre à des questions concernant leur rythme de sommeil et sa qualité.

Après six mois, 55 participants demeuraient, et les deux groupes avaient perdu 15 livres chacun, en moyenne. Les résultats sont clairs : le sommeil est augmenté lors de la perte de poids, avec ou sans exercice.

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Les sièges d’appoint devraient être utilisés jusqu’à l’âge de 8 ans

La revue Pediatrics publie un rapport d’experts qui se sont penchés sur les accidents de voiture ayant entrainé la mort d’enfants.

Ces experts américains ont constaté que dans les États qui ont des lois pour promouvoir les sièges d’appoint pour les enfants plus vieux, les taux de mortalité étaient beaucoup plus bas.

Par exemple, les États qui ont des lois pour les enfants de 6 et 7 ans avaient un taux de mortalité et de blessures incapacitantes réduit de 35 %. Pour les enfants de 4 à 6 ans, ce taux était réduit de 20 %.

Même si l’utilisation prolongée des sièges d’appoint est si bénéfique, peu de parents les conservent assez longtemps. Environ 50 % des enfants de 4 à 5 ans seraient encore dans un siège d’appoint, ainsi que seulement 35 % des enfants de 6 à 7 ans.

« En nous basant sur ces données, nous croyons que l’utilisation des sièges d’appoint ne devrait pas être une simple suggestion. Il est clair que ces lois sauvent des vies, et nous recommandons que de telles lois soient mises en vigueur partout », ont noté les auteurs de l’étude, selon MedicalNewsToday.

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Le risque de suicide chez les enfants serait surestimé

Des chercheurs new-yorkais ont constaté que les enfants étaient peut-être trop rapidement référés par les écoles pour un risque suicidaire, après avoir noté que moins de la moitié de ces enfants envoyés à l’urgence ont finalement reçu un traitement psychiatrique.

« Les écoles ont une politique de tolérance zéro envers les enfants qui disent vouloir se tuer. Ils les envoient immédiatement passer une évaluation psychiatrique », a noté l’auteur de l’étude, le Dr Mark Weems.

Ce dernier a analysé les données provenant de 581 enfants, incluant 160 qui avaient été référés à un hôpital pour des idées suicidaires, contre 421 qui l’avaient été pour des problèmes comportementaux.

De ceux-ci, 49,6 % des jeunes du premier groupe ont nécessité une intervention significative, contre 56,5 % des enfants du deuxième groupe « de contrôle ». Les garçons et les filles avaient un reçu un traitement dans une proportion égale.

Un expert en développement et comportement chez les enfants, le Dr Jeffrey Okamoto, a par contre exprimé des doutes sur le fait que ces enfants étaient identifiés comme étant suicidaires trop rapidement. Il a plutôt émis l’hypothèse que ces derniers « recevaient peut-être un traitement inadéquat ».

Ces données ont été présentées au congrès de l’American Academy of Pediatrics.

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Les grands-pères jouent un rôle de plus en plus important auprès de leurs petits-enfants

L’étude a porté sur environ 5550 grands-parents âgés de 60 à 85 ans dans 11 pays européens. Le chercheur a établi que c’était un avantage pour les grands-parents d’être encore en couple, mais que les hommes bénéficiaient particulièrement d’avoir une partenaire de vie.

Également, même si au début de leur vie de grands-parents, les grands-mères passent plus de temps avec les enfants, cette différence est progressivement réduite. Passé l’âge de 70 ans, c’est habituellement le grand-père qui a le rôle prédominant.

« Les grands-parents sont plus impliqués qu’auparavant », a expliqué le chercheur finlandais Knud Knudsen, « en partie parce les parents d’aujourd’hui sont très préoccupés par leur travail et leur carrière », selon Science Daily.

Il a ajouté que c’était une situation gagnante pour toute la famille élargie, parce que « des grands-parents plus en santé et en forme qu’avant et qui souhaitent occuper une place privilégiée auprès de leurs petits-enfants peuvent aider beaucoup les parents qui travaillent dans leur vie quotidienne parfois chaotique ».

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La haute pression chez les jeunes : des diagnostics déficients

L’American Heart Association lance un cri d’alerte concernant les problèmes de haute pression chez les jeunes et met en garde les praticiens contre certaines lacunes de diagnostics observées.

Il semble que les médecins ne soient pas très enclins à surveiller d’éventuels problèmes de haute pression chez les plus jeunes, un phénomène pourtant bien réel.

www.newsroom.heart.org rapporte que dans plusieurs cas, les patients ne reçoivent un tel diagnostic que longtemps, parfois jusqu’à quatre ans, après l’apparition réelle du problème.

Les jeunes fumeurs, entre autres, sont sujets à faire de la haute pression.

Fait étonnant, les femmes médecins obtiennent une meilleure note, alors qu’elles font régulièrement des diagnostics de haute pression chez leurs patients plus jeunes.

C’est d’ailleurs une femme, Heather Johnson, qui est à la tête de l’étude. Elle déclare : « Les jeunes adultes de 18 à 24 ans qui passent dans les cliniques se font pourtant tester au niveau de la pression sanguine. Cependant, il n’y a aucune documentation, et les diagnostics réels sont rares. Nous voulons savoir pourquoi ».

On suggère aux jeunes patients de prendre le temps de poser des questions à cet effet lors de leurs visites chez le médecin de famille.

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Découvrez les triglycérides

Que sont les triglycérides? www.e-sante.com nous suggère de l’apprendre rapidement, car ils jouent un rôle clé sur notre santé.

Pourtant peu connus du « grand public », les triglycérides sont des acides gras qui peuvent devenir risqués pour la santé, à l’image du cholestérol. Fabriqués en partie dans le sang à la suite des consommations trop importantes de sucre et d’alcool, ils jouent à la base un rôle de « réserve énergétique ».

Lorsque le corps en produit trop, cela a pour effet d’épaissir le sang, entre autres. De plus, les triglycérides se stockent dans les tissus adipeux. Ces conséquences peuvent être observées les lendemains de veille, lors de ce phénomène communément appelé « gueule de bois ».

Au final, ils peuvent augmenter les risques de problèmes cardiovasculaires, spécialement lorsqu’une personne présente également un taux excessif de mauvais cholestérol (LDL) dans le sang.

D’autres problèmes peuvent aussi survenir, dont l’inflammation du pancréas.

Bien entendu, encore une fois, les spécialistes suggèrent de surveiller notre alimentation, en coupant les excès de sucre, de gras et d’alcool. L’exercice est aussi une bonne façon de contrer et de réguler les taux de cholestérol et de triglycérides dans le sang.

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À l’âge de 6 mois, les enfants souffrant d’autisme ont un développement normal

Pour le bien d’une nouvelle étude, les chercheurs ont suivi 235 enfants de l’âge de 6 mois à 3 ans. Leur développement a été évalué sur les plans de la motricité, du langage et de l’aspect social.

Bien que le développement des enfants des deux groupes était similaire au début de l’étude, les chercheurs ont examiné des différences dans l’apparition du TSA.

Un sous-groupe, à déclenchement « précoce », montrait déjà des signes de retard développemental à l’âge de 14 mois, tandis qu’un autre sous-groupe, à déclenchement « tardif », a plutôt montré des signes de retard vers la fin de la période d’observation.

L’auteure, la Dre Rebecca Landa, a expliqué que « les outils cliniques classiques n’identifient pas d’anormalités à 6 mois chez les bébés qui recevront plus tard un diagnostic de TSA. Donc, la supposition voulant que n’importe quel enfant qui sera autiste le démontre d’une façon évidente lorsqu’il est bébé est véritablement un mythe », selon Medscape.

Cette étude, la plus complète à ce jour sur le sujet, a été publiée dans la revue Child Development.

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Les décès liés aux problèmes cardiaques augmentent en hiver

C’est une statistique bien surprenante que nous livre l’American Heart Association, via son site www.newsroom.heart.org.

En effet, on nous apprend que le taux de mortalité relié aux problèmes cardiaques est en augmentation chaque hiver. Plus encore, l’endroit où vous vivez n’aurait aucune incidence sur les risques, pas plus que le climat de votre environnement.

Les études démontrent que les statistiques observées concernant les décès liés au cœur durant l’hiver ont été similaires dans sept endroits différents (Los Angeles, Texas, Arizona, Georgie, Washington, Pennsylvanie et Massachusetts), sous sept climats tout aussi différents.

L’auteur en chef de l’étude, Bryan Schwartz, qui présentait ces résultats devant l’American Heart Association’s Scientific Sessions 2012, se dit surpris.

« Il était surprenant de constater ces faits, car le climat était le suspect principal pour expliquer les variations des taux de mortalité selon les saisons. Il appert que les gens ont tendance à vivre moins sainement durant l’hiver », explique le chercheur.

Il conseille donc à la population de prendre doublement soin d’elle durant la période hivernale. Il ne faut pas oublier de faire de l’exercice et de bien manger, selon le Dr Schwartz.

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Un lien entre le stress en bas âge et l’anxiété à l’adolescence chez les filles

Une étude s’est attardée sur les liens entre l’exposition au stress dans les premières années de vie et le développement de problèmes de santé mentale comme l’anxiété et la dépression.

Les chercheurs ont analysé les encéphalogrammes de 57 adolescents, 28 filles et 29 garçons. Le cerveau de certaines filles présentait des connexions cérébrales plus faibles entre la région qui interprète les « menaces » perçues et la région qui permet de réguler les émotions négatives.

En étudiant l’historique de ces filles, les chercheurs ont pu observer que celles-ci avaient souvent eu une mère qui vivait beaucoup de stress lorsqu’elles étaient bébés. De plus, à l’âge de quatre ans, ces filles avaient un niveau de cortisol élevé – cette hormone étant directement liée au stress.

Les jeunes filles devaient également décrire leur niveau de stress au moment de l’encéphalogramme, mais ce facteur a été beaucoup moins significatif pour prédire leurs connexions cérébrales que leur historique d’exposition au stress, selon PsychCentral.

« Ces données posent des questions sur la manière dont les garçons et les filles ont une réponse différente au stress vécu en bas âge. Nous savons que les femmes souffrent plus souvent de troubles d’humeur et de l’anxiété, et cette différence entre les sexes est très prononcée, particulièrement à l’adolescence », a rapporté l’auteur de l’étude, Richard Davidson, un professeur de psychologie et de psychiatrie à l’Université du Wisconsin à Madison.