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Les dessins animés aident les enfants qui doivent être anesthésiés

La revue médicale Anesthesia & Analgesia publie les résultats d’une étude portant sur 130 enfants, âgés de 3 à 7 ans, qui devaient subir des chirurgies de routine, en particulier l’ablation des amygdales.

Ceux-ci ont été séparés en trois groupes avant la procédure : les premiers ont pu regarder leur dessin animé préféré sur un ordinateur portable ou une tablette, les deuxièmes ont pu jouer avec un objet favori qu’ils avaient apporté de la maison, et les troisièmes ont tout simplement attendu.

Dans la salle d’attente, l’anxiété des enfants était la plus basse dans le groupe des jouets. Toutefois, une fois dans la salle d’opération, les enfants du groupe des dessins animés étaient les moins anxieux. Chez ceux-ci, l’anxiété a été évaluée comme « basse ou absente » dans 43 % des cas, comparativement à 23 % pour les enfants du 2e groupe, et 7 % des enfants du 3e groupe.

L’auteur de l’étude menée en Corée du Sud, le Dr Joengwoo Lee, a expliqué que « les jeunes enfants adorent souvent regarder des dessins animés, et ils peuvent devenir tellement concentrés qu’ils en viennent à peu réagir à leur environnement », selon ScienceDaily.

La méthode habituelle pour soulager les enfants avant une anesthésie est de leur donner un médicament sédatif, mais celui-ci peut entrainer des effets secondaires indésirables.

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L’aspirine, efficace pour contrer les problèmes de caillots sanguins

L’aspirine est encore louangée pour ses vertus thérapeutiques et préventives, dans une nouvelle étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Après avoir confirmé les bienfaits de la prise quotidienne d’aspirine pour prévenir les maladies et problèmes cardiaques, voilà que les chercheurs confirment qu’elle peut aussi prévenir les problèmes de caillots sanguins.

Ces derniers sont souvent sournois, puisque le quart des patients atteints voient ces caillots se former sans aucune raison apparente. Les plus fréquents sont ceux retrouvés dans la jambe et dans les poumons, phénomène appelé thromboembolie veineuse.

Les praticiens prescrivent de puissants médicaments anti-caillots aux patients qui développent ce type de problème, souvent des mois après la formation d’un caillot. Mais qu’en est-il de la prévention de futurs problèmes? Voilà la question que se sont posée les chercheurs, Timothy Brighton en tête.

« Ce que les résultats présentés aujourd’hui révèlent, c’est que la prise quotidienne à faible dose d’aspirine peut grandement faire baisser les risques de récidive d’un caillot sanguin et de thromboembolie veineuse. Même chose du côté des maladies cardiovasculaires, alors que les risques chutent de près de 30 %. »

Pour 75 % des cas, les causes de thromboembolies veineuses sont connues (blessure, opération, maladie, etc.). Seulement, 1 cas sur 4 représente un mystère pour les praticiens.

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Manger au restaurant augmente vos calories

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, ne devrait surprendre personne, aux dires mêmes des chercheurs à sa tête. On cible les adolescents, mais aussi les parents et leur propre consommation, alors que les restaurants sont plus en vogue que jamais.

On parle (et blâme) bien sûr les chaînes de restauration rapide, mais les chercheurs mettent également le public en garde contre les restaurants plus « traditionnels ».

L’auteure en chef de l’étude, Lisa Powell, explique : « Les parents devraient se rendre compte que de manger au restaurant n’est pas une substitution parfaite aux repas à la maison. La consommation en restaurant ne devrait pas être une norme. Ceux-ci utilisent des techniques impliquant des gras, des sucres et des sels ajoutés, souvent néfastes pour la santé. Manger au restaurant trop souvent aura des conséquences à long terme sur l’organisme ».

Les données analysées ont été celles recensées aux États-Unis entre 2003 et 2008, sur les habitudes alimentaires et la santé des citoyens américains, ainsi que celles de leurs enfants.

La chercheuse croit qu’il est tout indiqué de faire cette mise au point.

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Les mathématiques peuvent vous faire mal

Les mathématiques peuvent vous faire mal… et ce n’est pas une figure de style. Selon santelog.com, qui rapporte une étude américaine (Chicago), des chercheurs ont établi que les mathématiques ou certaines sciences peuvent causer de véritables maux aux gens qui ne se sentent pas à la hauteur.

Cette réaction en déclenche une autre d’anxiété, que le cerveau peut matérialiser en véritables douleurs physiques. Il s’agit du même genre de réaction que lorsqu’une personne subit un rejet social ou se retrouve en situation de danger, toujours selon le site.

Le simple fait d’être obligé de résoudre des équations peut enclencher ce processus chez ceux qui n’ont pas la bosse des mathématiques.

Ces réactions d’angoisse ou d’anxiété qui se métamorphosent en douleur physique existent déjà, selon les chercheurs. Cela dépend de la personne et de ses peurs, mais l’appréhension peut mener au mal.

Ces données permettent de mieux comprendre certains comportements humains, puisqu’il semble évident qu’une personne va tenter d’éviter toute situation qui le place dans ce genre de situation extrême.

On peut remarquer ce phénomène, dans le cas qui nous concerne, chez les gens qui fuient tout type de calcul mental ou tout genre de problème mathématique, et ce, tout au long de leur vie.

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La prise quotidienne de multivitamines ne prévient pas des maladies cardiaques

L’American Heart Association annonce les résultats d’une toute nouvelle étude et tient à mettre en garde la population dès maintenant. Selon www.newsroom.heart.org, la prise de multivitamines quotidiennement ne préviendrait pas des maladies cardiaques.

Ce serait particulièrement vrai chez les hommes, surtout pour les 50 ans et plus. Il appert que les tests effectués chez cette tranche démographique révèlent l’inefficacité des multivitamines.

Par contre, on explique que la prise quotidienne de ces suppléments n’a causé aucun tort. Il n’y a donc pas de danger à les essayer.

Ces résultats ont été présentés à l’American Heart Association’s Scientific Sessions 2012, devant des spécialistes et chercheurs du domaine.

Le Dr Howard D. Sesso a mentionné : « Les multivitamines sont le choix de suppléments numéro 1 aux États-Unis, surtout chez les adultes. Même si elles sont utilisées pour combler des carences en vitamines et minéraux, les rumeurs qui leur confèrent des propriétés thérapeutiques contre certaines maladies chroniques et cardiaques sont fausses ».

Les études menées suivaient 14 641 hommes adultes de plus de 50 ans, en essais cliniques. Les résultats sont sans équivoque pour les spécialistes.

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L’automutilation chez les jeunes est différente de celle des adultes

Pour le bien d’une étude, un chercheur a relevé les résultats d’un sondage mené auprès de 1000 jeunes. 40 % de ceux-ci avaient déjà eu un comportement d’automutilation.

Toutefois, seule une faible proportion de ceux-ci le faisaient sur une base régulière et d’une manière qui pouvait ressembler à l’automutilation chez les adultes qui ont un trouble de santé mentale.

« Il est important que les écoles et les professionnels de la santé sachent comment aider les jeunes qui s’automutilent. Ils doivent savoir réagir correctement et ne pas les juger tous de la même manière. Chez plusieurs jeunes, cette pratique peut être relativement inoffensive et souvent temporaire. Cela peut être vu comme une certaine forme d’expérimentation, ou encore refléter des problèmes qui ne sont pas vraiment sérieux », a affirmé l’auteur de l’étude, le psychologue Jonas Bjärehed, selon PsychCentral.

Par contre, le Dr Bjärehed a également affirmé que de plus en plus de jeunes éprouvent des problèmes reliés au stress et à la maladie mentale, ajoutant que si les jeunes s’automutilent, ils ont un risque plus grand de récidiver et d’en arriver à un problème.

Les résultats de cette étude, réalisée en Suède, ont récemment été présentés comme soutien à une thèse de doctorat à l’Université de Lund.

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Le tabagisme durant la grossesse n’influence pas la consommation des enfants

Même si plusieurs études discernent un nombre plus élevé d’enfants ayant des problèmes d’abus d’alcool ou de drogues avec des mères qui ont fumé durant leur grossesse, les auteurs d’une nouvelle méta analyse ne croient pas qu’il y ait là un lien de cause à effet.

Les chercheurs ont analysé deux échantillons de jeunes représentatifs, un aux États-Unis et un en Suède. Dans l’étude américaine, les chercheurs ont relevé si les jeunes affirmaient fumer ou encore consommer de l’alcool et de la marijuana, ainsi que s’ils avaient commencé cette consommation avant l’âge de 14 ans.

Dans l’étude suédoise, les chercheurs se sont plutôt attardés à des événements comme une condamnation reliée à la consommation ou encore à une admission à l’hôpital pour des problèmes d’alcool ou de drogue.

Malgré les contextes différents, les deux études sont arrivées à des conclusions similaires, ce que les chercheurs ont décrit comme étant « remarquable ». Toutefois, il leur a été impossible de démontrer hors de tout doute qu’il existait un lien entre les deux problèmes.

La donnée la plus marquante provenait du fait qu’entre frères et sœurs d’une même famille, le risque de problèmes de consommation restait le même, et ce, même si la mère avait cessé de fumer entre ses grossesses.

Les auteurs de l’analyse ont expliqué que ces données « suggèrent fortement que le risque plus élevé de problèmes de consommation avait pour cause des facteurs familiaux », tel que rapporté par MedPageToday.

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Différentes réactions des enfants face aux catastrophes naturelles

Dans une étude toujours en cours, 141 enfants fréquentant une école dans un quartier de la Nouvelle-Orléans très affecté par l’ouragan Katrina en 2005 ont été évalués pour détecter un syndrome de stress post-traumatique (SSPT), 24 et 30 mois après l’événement. Les chercheurs les ont également évalués peu après le passage de l’ouragan Gustav, qui a frappé en 2008.

Environ 25 % des enfants ont dit qu’ils avaient regardé « beaucoup » de programmation télé sur Gustav, alors que 31 % en avaient regardé « énormément ».

La quantité d’information regardée était directement reliée à des symptômes du SSPT, mais les chercheurs ont remarqué que les enfants qui avaient des antécédents d’anxiété, de détresse et de perception qu’ils étaient en danger risquaient beaucoup plus que les autres de réagir fortement aux images présentées.

« Les professionnels de la santé qui ont de jeunes patients avec des problèmes d’anxiété tels que le trouble de stress post-traumatique devraient peut-être s’assurer que les parents comprennent les effets potentiels des médias sur ceux-ci », ont noté les chercheurs, selon ScienceDaily.

Ces données préliminaires ont été publiées dans la revue Psychological Science.

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Un vaccin pour contrer la dépendance à la méthamphétamine

Les statistiques concernant la consommation de drogues en Amérique du Nord sont légèrement en hausse. Les seuls changements observés sont cette tendance vers de nouvelles drogues, à commencer par la méthamphétamine.
 
Cette dernière, communément appelée « speed », fait des ravages chez les 18-34 et plusieurs chercheurs tentent de développer des méthodes pour aider ceux qui aimeraient s’en sortir, un peu à l’image de la méthadone pour l’héroïne.
 
Ce n’est que récemment qu’a été établie la notion de dépendance concernant cette drogue, vendue en pilules. Maintenant publics, les problèmes de dépendance à la méthamphétamine pourraient bien se frotter à une découverte récente.
 
C’est ce que rapporte www.santelog.com, qui annonce la création d’un nouveau « vaccin » pour aider les toxicomanes aux prises avec le « speed ». En effet, les chercheurs ont réussi à traiter et désintoxiquer des rats chez qui on avait créé cette forme de dépendance.
 
Il ne reste plus qu’à tester le vaccin sur les humains, mais le produit est prometteur, affirment les experts. Il permet de bloquer certains effets de la drogue, notamment au cerveau, et de créer une production supplémentaire d’anticorps.
 
D’autres résultats sont attendus sous peu.
 
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Engager un(e) nutritionniste… pourquoi pas?

L’Académie de Nutrition américaine lance une invitation aux Nord-Américains qui ont des problèmes de poids, rapporte www.nlm.gov.

L’agence fait remarquer que si vous avez des problèmes à maintenir votre poids ou à en perdre, il vous serait peut-être fort utile de penser à réserver les services d’un spécialiste de la question, soit un(e) nutritionniste.

Et pourquoi pas? Après tout, nous dépensons de petites fortunes pour mieux manger et tâcher de faire de l’exercice, sans parler de toutes les autres dépenses inutiles.

Investir dans un spécialiste de la nutrition pourrait bien devenir un investissement sur vous-même, suggère l’Académie. Il peut vous apporter conseils et soutien, en plus de créer un plan de match détaillé, selon vos goûts et objectifs.

Il s’agit d’un élément de motivation supplémentaire pour les gens qui veulent s’occuper de leur poids ou de leur santé. En effet, un(e) nutritionniste peut également vous aider à mieux gérer les problèmes chroniques comme le cholestérol et la haute pression, ainsi que les allergies alimentaires.

Plus important encore, le spécialiste en nutrition pourra convenir avec vous d’un plan à long terme, car s’il est parfois simple d’améliorer sa santé à court terme, conserver les bonnes habitudes est souvent une autre paire de manches.