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Les fruits et légumes bénéfiques contre les maladies rénales

Des patients aux prises avec des problèmes ou des maladies aux reins pourraient obtenir un soulagement grâce aux bons vieux fruits et légumes. Cela permettrait également d’améliorer leur santé en général. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov.

Celle-ci fait le constat que l’ajout de fruits et légumes au régime alimentaire quotidien peut grandement améliorer l’état des gens qui souffrent de maladies rénales.

De plus, une deuxième étude en complément trace un lien direct entre les maladies du rein et une mauvaise alimentation.

Comme on utilise souvent la thérapie alcaline comme traitement contre les problèmes rénaux, les chercheurs ont voulu savoir si le fait de hausser la consommation de fruits et légumes chez un patient pouvait avoir un effet similaire.

Des 108 patients observés aux fins de l’étude, le tiers a reçu des fruits et légumes, un tiers a pris un médicament alcalin et les autres n’ont rien changé du tout. On a ainsi pu vérifier les changements sur les trois groupes.

La conclusion est que les théories des chercheurs s’avèrent exactes. Les gens qui ont reçu les fruits et légumes ont grandement amélioré leurs conditions (ainsi que ceux qui ont reçu le traitement).

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La gestion du stress est déterminante pour votre santé

Santelog.com rapporte une étude qui place la gestion du stress en haut de la liste des facteurs qui peuvent déterminer si vous aurez des problèmes de santé dans le futur.

Le facteur principal serait bel et bien la gestion du stress, et non le stress lui-même, rapportent les chercheurs à la tête de l’étude.

Plus encore, ils allèguent que le style de vie actuel et votre réponse au stress quotidien peuvent influencer votre santé des dix prochaines années.

Pour parvenir à de tels constats, les chercheurs ont étudié les cas de 2000 personnes, durant huit nuits consécutives. À chacune de ces nuits, les participants devaient répondre à des questions concernant les événements stressants de la vie quotidienne, leur santé et leur productivité.

Ainsi, les spécialistes ont pu reconstituer une journée type ainsi que le degré de stress qui l’accompagne. Des échantillons d’ADN ont aussi été prélevés. Puis, les participants ont dû refaire l’exercice, dix ans plus tard (1995-2005), pour vérifier les impacts de la gestion du stress sur la santé.

Les résultats sont clairs : ceux qui sont bouleversés quotidiennement par des situations de stress et qui en ressentent les effets sont plus à risque de développer des problèmes comme l’arthrite ou des maladies cardiovasculaires.

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Les médicaments contre le TDAH ne causent pas de problèmes cardiaques sévères chez les enfants

Une nouvelle étude ayant analysé les données provenant de plus de 55 000 enfants américains qui avaient reçu un traitement pour le TDAH a relevé les « événements cardiovasculaires » chez ces enfants.

Bien que l’étude ait constaté que ces enfants avaient consulté un médecin pour des problèmes cardiovasculaires 20 % plus souvent que des enfants ne prenant pas ces médicaments, les problèmes « graves » tels que le décès ou l’hospitalisation n’étaient pas plus fréquents.

« Les spécialistes se posaient la question depuis une dizaine d’années », a expliqué l’auteure de l’étude, Almut Winterstein, citée par MedicalNewsToday.

La psychiatre Regina Bussing a toutefois rappelé que cette étude ne s’attarde qu’aux effets à court terme des médicaments, et que les conséquences possibles à long terme ne sont toujours pas connues.

Elle conseille donc aux parents de cesser la médication et de consulter un médecin si l’enfant présente un symptôme inhabituel.

Le Ritalin et l’Adderall, qui sont tous les deux des stimulants du système nerveux central, sont les deux médicaments les plus souvent prescrits pour le TDAH.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le British Medical Journal.

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Une troisième dose de vaccin RRO pourrait prévenir des épidémies d’oreillons

Lors d’une épidémie locale d’oreillons ayant affecté la région de New York en 2010, les autorités en santé publique ont mené une campagne d’immunisation additionnelle du vaccin RRO, parmi des enfants et adolescents qui avaient déjà reçu les deux doses recommandées.

Grâce à cette intervention ponctuelle, le taux d’infection parmi tous les jeunes ayant reçu le vaccin est passé de 4,93 % à 0,13 %, tandis que le taux d’infection dans la population générale a diminué de 75,6 %.

Les chercheurs ont présenté les résultats de cette expérience dans la revue Pediatrics.

Des épidémies d’oreillons sont à prévoir dans l’avenir, même parmi la population d’enfants vaccinés, ont prévenu les chercheurs. Ceci à cause de facteurs tels que des problèmes avec les vaccins, une immunité qui diminue avec le temps ou alors une forte concentration de la population, selon Medscape.

Toutefois, les chercheurs affirment que cette seule étude n’est pas suffisante pour justifier que toute la population reçoive une 3e dose du vaccin pour l’instant, ajoutant que « d’autres études seraient nécessaires pour vérifier et confirmer ces données ».

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La fièvre inexpliquée chez les tout-petits est majoritairement d’origine virale

76 % des enfants ayant participé à l’étude, qui s’étaient présentés à l’urgence avec de la fièvre sans cause apparente, avaient une infection d’origine virale.

51 % de ces tout-petits, âgés de 2 à 36 mois, ont quand même reçu des antibiotiques, même si ceux-ci n’ont aucun effet sur les virus.

Parmi les virus notés, l’adénovirus, une infection respiratoire, était le plus fréquent, ce qui a surpris les chercheurs, suivi par l’entérovirus, une infection gastro-intestinale.

Un autre résultat inattendu : une proportion significative des enfants avait aussi jusqu’à 4 virus, ce qui a poussé les chercheurs à demander que de nouveaux tests soient créés pour permettre de bien identifier la source de la fièvre chez les jeunes enfants.

« L’incapacité à bien distinguer les patients qui souffrent d’une infection d’origine bactérienne de ceux qui ont un virus peut pousser les médecins à prescrire des antibiotiques quand même », a noté le Dr Joshua Colvin, selon Medscape.

« Nous espérons qu’une plus grande reconnaissance des infections virales pourra réduire de beaucoup la prise des antibiotiques chez ces enfants. »

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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L’hypoglycémie chez les prématurés ne nuit pas au développement des enfants

La revue médicale Pediatrics publie les résultats d’une étude menée en Angleterre sur des enfants nés avant 32 semaines de grossesse, qui avaient souffert d’hypoglycémie à plusieurs reprises durant les dix premiers jours de leur vie.

Chaque enfant a été comparé à un autre né au même hôpital, au même âge et au même poids, mais qui n’avait pas eu d’épisode de glucose sanguin faible.

Les enfants ont été évalués à l’âge de 2 ans, puis à l’âge de 15 ans. Les chercheurs n’ont constaté aucune différence significative dans le développement des jeunes enfants, ni dans le QI des adolescents, peu importe leur groupe.

Cette étude se veut rassurante, car une analyse précédente avait noté une causalité possible entre l’hypoglycémie chez les bébés nés avant terme et des troubles du développement moteur et cognitif à l’âge de 18 mois.

Les chercheurs de la nouvelle étude ont expliqué que « même s’ils comprenaient que l’hypoglycémie symptomatique pouvait être dommageable à long terme, beaucoup de médecins mettaient en doute le fait qu’un niveau de glucose sanguin bas pouvait vraiment causer des problèmes s’il n’était pas relié à d’autres signes cliniques », tel que rapporté par Medscape.

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Une diète riche en protéines pour favoriser la perte de poids

Les gens qui consomment beaucoup de protéines lors de leurs repas et collations pourraient bien réussir à perdre quelques livres de plus que les autres, selon www.nlm.nih.gov.

Ces résultats proviennent d’une analyse de plusieurs études qui tendent à démontrer que sur une période de 12 semaines, ceux qui ont haussé leur consommation de protéines auraient perdu 1,8 livre de plus que ceux qui en mangeaient moins.

Tous les autres facteurs alimentaires devaient être similaires entre les groupes de gens étudiés, afin d’en venir à ces conclusions.

Ainsi, les protéines pourraient aider ceux qui aimeraient perdre quelques livres, raconte le Dr Thomas Wycherley, de l’Université d’Australie du Sud.

Il explique : « Les pertes de poids du groupe super-protéiné étaient supérieures, mais de façon modeste. Même à faible échelle, ceci peut tout de même signifier une importance clinique pour la population en général ».

Aucun changement n’a toutefois été observé en ce qui a trait aux taux de cholestérol ou de pression sanguine chez un groupe ou l’autre, précise l’étude.

Dr Wicherley émet l’hypothèse que le corps dépenserait peut-être plus de calories en brûlant des protéines que d’autres éléments.

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Une analyse met en lumière les particularités de l’intimidation virtuelle

Une méta-analyse de 15 études sur le phénomène de l’intimidation virtuelle vient d’être publiée dans la revue médicale Behavioral Difficulties. Celle-ci révèle que cette nouvelle forme d’intimidation est maintenant largement répandue dans les écoles et présente ses caractéristiques particulières.

L’intimidation virtuelle obéit au même « abus de pouvoir systémique » que sa forme traditionnelle, mais est indirecte, et les moyens technologiques lui permettent même parfois d’être anonyme, ce qui ajoute au tourment des victimes.

 L’intimidateur voit rarement la réaction de sa victime, et est donc encore moins conscient des conséquences de son comportement. L’auditoire de l’intimidateur est aussi beaucoup plus vaste.

Les chercheurs s’attardent aux facteurs émotifs et comportementaux complexes qui entrent en jeu à la fois pour l’intimidateur et sa victime, affirmant par exemple que les cyberintimidateurs montraient un « désengagement moral » encore plus grand que celui des intimidateurs traditionnels.

Les enfants qui sont heureux à l’école risquent moins de devenir des victimes, ont également affirmé les chercheurs, selon Science Daily, sans toutefois élaborer sur les facteurs pouvant rendre les enfants moins heureux en milieu scolaire et les liens potentiels de ceux-ci avec l’intimidation.

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Un professeur attaque le cannabis

Le débat concernant la légalisation du cannabis fait rage depuis belle lurette, et voilà qu’un professeur, docteur et pharmacologue attaque les « vertus » de la marijuana ainsi que son image surfaite, selon lui.

C’est ce que rapporte santelog.com, qui reprend ses propos. Selon le Dr Jean Costentin, qui a été directeur de l’Unité de Neuropsychopharmacologie (CNRS) et de l’Unité de Neurobiologie clinique (CHU de Rouen), l’image avancée par les médias dans le cas du cannabis est souvent fausse et teintée par la motivation du profit.

Selon lui, on fait trop souvent bonne presse à cette drogue, dans le but de la faire entrer « par la grande porte » dans nos sociétés développées. Il rappelle les effets néfastes et secondaires possibles de la marijuana, précisant qu’au final, ce sont les trafiquants qui y gagnent au change, et non la population.

Il cite en exemple le cas de la Californie, qui a assoupli ses politiques et qui a vu les cas de fraude de prescriptions et d’abus augmenter en flèche, en devenant trop libérale sur le sujet.

Le principe actif du THC (tétrahydrocannabinol) peut être administré à des patients par d’autres voies que celle de la fumée, conclut-il.

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Les hommes pourraient aussi bénéficier des traitements contre l’ostéoporose

Les hommes plus âgés qui sont à risque de fractures ou de développer des problèmes aux os pourraient bien tirer profit des mêmes médicaments contre l’ostéoporose prescrits généralement aux femmes.

C’est ce qu’avance une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ces traitements, appelés les bisphosphonates, permettent de renforcer la solidité des os, en créant de la masse osseuse. Plusieurs hommes ont déjà testé ce genre de traitement, et plusieurs en ont vu les bénéfices, notamment pour les os du dos.

Le Dr Robert Recker déclare : « Les problèmes et les risques de fractures ne disparaissent pas parce que vous êtes un homme. Nous avons complètement ignoré ce problème chez les hommes. La moitié des femmes au-dessus de 40 ans vont subir au moins une fracture liée à l’ostéoporose dans leur vie, mais aussi le quart des hommes. C’est un problème substantiel et réel ».

Toujours selon le praticien, qui n’a pas participé à l’étude en question, il existe plusieurs moyens de soulager ces problèmes chez les hommes, tout comme chez les femmes.

« Les bisphosphonates en sont un », assure-t-il.