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Peu importe la méthode d’apprentissage de la propreté choisie, les résultats sont les mêmes

Des chercheurs viennent de publier une étude qui tente de clore un débat vieux de presque cent ans sur l’apprentissage de la propreté, en affirmant que peu importe la méthode choisie, il ne semble pas y avoir d’influence sur les accidents urinaires chez les enfants.

Les chercheurs ont spécifié qu’il y a deux méthodes générales reliées à l’apprentissage de la propreté : celle initiée par le parent, souvent plus hâtive, et celle où le parent attend que l’enfant se dise prêt.

Ceux-ci ont analysé des données sur une population d’enfants âgés de 4 à 12 ans qu’ils ont séparés en deux groupes, ceux qui n’avaient pas d’accidents urinaires une fois l’apprentissage de la propreté terminé, et ceux qui souffraient d’incontinence ou de problèmes urinaires. Ils ont découvert qu’il n’y avait aucun lien entre ces problèmes et la méthode choisie.

Les chercheurs ont conclu que leur étude « révèle que le débat sur la meilleure méthode n’était pas basé sur des preuves scientifiques, mais plutôt sur des opinions. Nos résultats devraient rassurer les parents qui craignaient que les problèmes urinaires chez leurs enfants soient reliés à un apprentissage de la propreté incorrect. Ce n’est pas le cas », a dit le Dr Joseph Barone, selon Medical News Today.

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Une nouvelle étude s’attarde sur les comportements anxieux chez les parents

La science a déjà établi un lien entre des parents anxieux et des enfants anxieux, mais de nouvelles données précisent quels comportements semblent favoriser la transmission d’une génération à une autre.

Selon des chercheurs de l’Université Hopkins, la forme la plus répandue des troubles anxieux, la phobie sociale, était celle qui risquait le plus de générer de l’anxiété chez les enfants.

L’étude s’est attardée aux interactions entre 66 parents anxieux et leurs enfants de 7 à 12 ans. Les chercheurs ont observé les patients alors qu’ils collaboraient à accomplir deux tâches, et les ont évalués selon différents critères.

Parmi ceux-ci, les chercheurs ont remarqué que les parents souffrant de phobie sociale étaient moins affectueux envers leurs enfants, les critiquaient beaucoup plus et exprimaient des doutes sur les capacités de réussite des jeunes.

Ces comportements parentaux sont reconnus pour susciter de l’anxiété chez les enfants, et s’ils sont répétés, ils peuvent se transformer en un véritable trouble anxieux chez les jeunes, ont affirmé les chercheurs, selon ScienceDaily.

L’anxiété est causée par une combinaison de facteurs génétiques et liés à l’environnement. Les chercheurs ont souligné l’importance de mieux maitriser les facteurs environnementaux pour prévenir le développement de troubles anxieux chez les enfants.

Un enfant sur cinq souffre d’anxiété aux États-Unis, mais cette maladie est encore peu diagnostiquée.

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La mortalité chez les jeunes atteints du diabète est en baisse, mais toujours préoccupante

Selon une analyse publiée dans Morbidity and Mortality Weekly Report, le taux de décès reliés au diabète chez les jeunes a baissé de 61 % entre 1968 et 2009. Par contre, cette mortalité a augmenté de 1,6 % par année entre 1984 et 2009.

Le taux de décès plus bas est dû au fait que les médecins connaissent et reconnaissent maintenant mieux la maladie qu’il y a 40 ans, et que les médicaments ont été améliorés. Les chercheurs ne pouvaient toutefois pas expliquer la légère tendance à la hausse.

Les données analysées ne spécifiaient pas de quel type de diabète les jeunes étaient atteints, mais les auteurs ont noté que la grande majorité devait souffrir de diabète de type 1, selon Medscape. La plupart des décès étaient attribuables à des complications telles que l’acidocétose ou l’hypoglycémie.

« Ces données montrent des améliorations dans la mortalité reliée au diabète chez les jeunes, mais indiquent aussi qu’il y a encore un grand besoin de trouver d’autres solutions pour diagnostiquer et traiter le diabète juvénile », a expliqué l’auteure de l’analyse, Sharon Saydah, chercheuse aux Centers for Diseases Control and Prevention, une autorité en santé aux États-Unis.

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Apprendre à maintenir son poids avant d’en perdre serait plus efficace

www.nlm.nih.gov propose aux gens qui luttent contre les kilos en trop de peut-être agir bien avant de commencer à perdre réellement du poids.

On entend par là que les gens qui désirent maigrir devraient se conscientiser aux raisons pour lesquelles ils ont du mal à maintenir un poids régulier. Changer ses habitudes avant de perdre de la masse offrirait de plus grandes chances de succès, c’est-à-dire de ne pas reprendre le poids perdu.

Car c’est là une bonne partie du problème. Si plusieurs personnes parviennent à maigrir, une bonne partie reprendra éventuellement et progressivement les kilos perdus.

C’est spécialement vrai pour les femmes, selon une étude publiée par l’Université Stanford. Les chercheurs ont observé les comportements de 267 femmes en surpoids durant 28 semaines.

Séparées en deux groupes, les femmes du groupe A devaient passer huit semaines à apprendre comment bien maintenir leur poids, avant de passer aux 20 semaines du programme d’entraînement et de perte de masse.

Les femmes du groupe B ont plutôt fait le contraire, perdant d’abord du poids grâce au programme, puis apprenant les rudiments par la suite.

Après un an passé chacune de leur côté, les femmes du groupe A avaient repris, en moyenne, trois livres, pour sept livres chez celles du groupe B.

La théorie initiale s’avère donc exacte, selon les chercheurs.

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Des bactéries naturelles pour contrer le C. difficile

Le C. difficile est une bactérie puissante qui fait rage un peu partout dans le monde, surtout dans les hôpitaux. De fait, elle est responsable de 70 % des infections rapportées dans les centres hospitaliers, selon santelog.com.

Le Québec n’y échappe pas, bien au contraire. Les cas de C. difficile sont nombreux dans la Belle Province, et des chercheurs de partout tentent de l’enrayer.

La solution pourrait provenir d’autres bactéries, selon ce que proposent des chercheurs du Welcome Trust. Leur travail auprès des bactéries pourrait bien porter des fruits et permettre de contrer efficacement le fléau C. difficile.

Il faut d’abord comprendre que des bactéries naturelles de l’intestin sont en mesure de lutter naturellement contre la bactérie C. difficile, en éliminant ses formes latentes. Le problème, c’est que certains traitements d’antibiotiques peuvent affaiblir ou éliminer cette protection, laissant toute la place à l’infection et la prolifération de la bactérie.

Les chercheurs ont donc étudié le phénomène intestinal et réussi à recréer un véritable cocktail composé de six bactéries qui serait en mesure d’enrayer définitivement le problème, même dans ses formes les plus graves et agressives.

Une excellente nouvelle pour les patients et autres employés des centres hospitaliers partout dans le monde.

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Le fast-food reçoit un autre blâme

Les chaînes de restauration rapide n’ont vraiment pas bonne presse depuis le tournant des années 2000, et les gens qui ignorent les effets néfastes de cette nourriture n’ont sûrement pas ouvert un journal depuis 12 ans.

Qu’à cela ne tienne, les chercheurs et spécialistes du monde entier s’entendent pour dire qu’on ne fera jamais assez de prévention en terme de nutrition, et spécialement pour prévenir les gens des dangers de la malbouffe.

Cette fois, c’est une équipe de l’Université de Montréal qui attaque le fast-food, en mettant en garde contre les méfaits immédiats de la malbouffe sur les artères. Ils ont comparé ce type de régime à une diète méditerranéenne, afin de confirmer la présence de différents types de gras, rapporte www.nlm.nih.gov.

Les conclusions confirment effectivement que la malbouffe renferme des gras saturés, nocifs, alors que les plats dits méditerranéens contiennent plutôt des gras polyinsaturés bénéfiques.

L’étude suivait 28 hommes non-fumeurs qui adoptaient d’abord un régime alimentaire santé. Puis, on leur a offert un repas de fast-food une semaine plus tard.

Ce seul repas a entrainé des dommages aux fonctions endothéliales, qui jouent un rôle dans la dilatation des vaisseaux sanguins. Ce système influence la possibilité de développer ultérieurement des problèmes cardiaques.

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Les « cellules T reprogrammées » prometteuses dans la lutte au cancer

Santelog.com rapporte une annonce du Human Gene Therapy, une revue spécialisée scientifique, sur des percées prometteuses qui ont été effectuées grâce aux « cellules T reprogrammées ».

Ces cellules, qui ciblent et détruisent les cellules tumorales, apparaissent comme de véritables sauveuses. Les plus grandes avancées se feraient dans les cas de cancer du cerveau.

C’est le Dr Richard Morgan qui mène cette vaste équipe internationale à la tête du projet, dont les membres font partie de l’Institut National du Cancer (NCI), du National Institute of Health (NIH) à Bethesda et de l’Université Duke.

Ceux-ci ont été en mesure de créer des cellules (Lymphocytes) T, qui cibleraient les antigènes retrouvés dans les cellules souches de gliomes, caractéristiques à plusieurs types de cancers agressifs au cerveau.

Souvent accompagnés d’un diagnostic mortel et d’une longévité maximale de deux ans, ces types de cancers pourraient bien être finalement contrés de façon efficace.

De son côté, Cellectis Therapeutics annonçait, au congrès de l’European Society of Gene & Cell Therapy, qu’elle venait de réussir à reprogrammer des cellules T qui enrayent et tuent les cellules cancéreuses.

On prévoit être en mesure éventuellement de produire ces cellules massivement, afin de soigner des patients atteints de cancer (cerveau, prostate, leucémie, poumon, etc.).

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Une seule protéine serait à l’origine de plusieurs troubles psychiatriques chez les enfants

Des chercheurs allemands ont découvert que la malformation d’une protéine spécifique liée au développement du cerveau, appelée SRGAP3, serait la cause de troubles chez les souris présentant des symptômes qui s’apparentent à certains problèmes psychiatriques et neurologiques chez les humains.

Comme les scientifiques savent que cette protéine a une fonction similaire chez l’humain, ils pensent que la SRGAP3 pourrait être liée à plusieurs maladies telles que la schizophrénie, les handicaps mentaux, le trouble du spectre autistique et l’hydrocéphalie.

Selon les chercheurs, ces problèmes sont tous causés par un problème de malformation du système nerveux, et il est maintenant établi que l’on peut tous les relier à cette protéine.

« Ces problèmes sont parmi les plus dévastateurs que peuvent vivre les enfants et les jeunes adultes », a noté l’auteur de l’étude, Dudan Bartsch, tel que rapporté par EurekAlert!. « Nous espérons que nos données serviront à mieux comprendre ces maladies, et surtout à en arriver à fournir de meilleurs traitements. »

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale The FASEB Journal.

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Une bactérie du lait au secours des gens qui souffrent de problèmes intestinaux

Plusieurs personnes souffrent de problèmes intestinaux, ce qui peut rendre la digestion plus qu’inconfortable, ou encore mener à des maladies plus graves comme celle de Crohn.

Un traitement efficace est peut-être en train de voir le jour, et il apparaîtrait sous la forme primaire d’une bactérie contenue dans le lait. C’est du moins ce que rapporte santelog.com, qui rapporte une étude effectuée par des chercheurs du CNRS.

Ces derniers, des Français, ont reproduit artificiellement une bactérie qui permettrait de soulager tous ceux aux prises avec ce genre de problèmes. L’ayant baptisée « bactérie bénéfique » aux fins de vulgarisation, les spécialistes sont optimistes de développer des traitements à la suite de cette création.

L’élément important de ces recherches est l’élafine, une protéine capable de soulager ou de guérir les maux intestinaux, mais encore fallait-il trouver le moyen de l’injecter directement dans l’intestin. L’équipe de chercheurs de Toulouse a donc recréé artificiellement la protéine, à partir de bactéries modifiées, pour l’associer au lait, simplement.

Les tests sur des souris ont démontré que le système fonctionne. L’avenir s’annonce donc prometteur dans la lutte aux troubles intestinaux, ainsi que contre la maladie de Crohn.

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Les femmes enceintes devraient prendre de la vitamine B12 avec de l’acide folique

Un expert irlandais a émis une recommandation s’adressant aux femmes enceintes ou qui veulent concevoir, affirmant que celles-ci devraient prendre un supplément de vitamine B12 pour réduire encore plus leurs chances d’avoir un bébé qui souffre de spina bifida ou d’autres problèmes du système nerveux central.

Les médecins recommandent déjà aux femmes qui pensent être enceintes prochainement et celles qui sont dans le premier trimestre de leur grossesse de prendre un supplément d’acide folique quotidien.

Combiner les deux vitamines serait encore plus efficace que l’acide folique (une autre forme de vitamine B) pris seul, avise cet expert en recherche sur les vitamines, le Dr John Scott.

« Il nous semble clair qu’en plus d’un supplément d’acide folique de 400 mg par jour, prendre un supplément de vitamine B12 de 2,5 mg apporte une réduction supplémentaire significative des anomalies du tube neural », a-t-il conclu dans son rapport, selon le Daily Mail.

Environ un bébé sur 1000 naît encore avec une anomalie du tube neural, et les chercheurs estiment que l’acide folique pourrait prévenir 72 % de ces cas.