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Les enfants de cinq ans ont la générosité « stratégique »

Selon une étude américaine publiée dans le journal PLoS ONE, les enfants reproduisent un modèle bien connu chez les adultes, en modulant leur générosité en fonction du regard et de la reconnaissance des autres.

Les chercheurs ont présenté des autocollants à des enfants de cinq ans et leur ont donné la possibilité d’en offrir un ou quatre à un autre enfant du même âge. Les enfants étaient beaucoup plus susceptibles d’être généreux lorsque l’autre enfant était présent et lorsque les autocollants étaient présentés dans une enveloppe transparente plutôt qu’opaque, signifiant que l’autre enfant voyait le nombre d’autocollants qu’il allait recevoir.

Ce comportement s’est avéré exact, peu importe le nombre d’autocollants que les enfants recevaient au départ. La science a déjà établi que les adultes obéissent à ce même modèle. Les œuvres de charité reçoivent par exemple plus d’argent lorsque le public peut savoir qui a fait un don ainsi que le montant donné, tel que rapporté par MedicalNewsToday.

« Même si nous avons été surpris par la fréquence à laquelle les enfants ont eu un comportement antisocial, les conditions dans lesquelles ils ont choisi d’agir avec générosité sont vraiment intéressantes et suggèrent que les petits ont un comportement social stratégique beaucoup plus sophistiqué que nous le croyions auparavant », a observé l’auteure de l’étude, Kristin Lyn Leimbruber.

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Une nouvelle étude s’attarde aux maux de tête chez les enfants

Les données portant sur 5671 Brésiliens âgés de 5 à 12 ans ont été analysées pour les biens de cette étude. Parmi ces enfants, 20,6 % n’avaient jamais de maux de tête. 9 % des enfants avaient des migraines épisodiques, 17,6 % avaient « probablement des migraines » non confirmées, tandis que 0,6 % avaient des migraines chroniques. Un groupe de contrôle comptait également des enfants éprouvant plutôt des maux de tête de tension.

Sans surprise, les enfants souffrant de migraines, peu importe le type, rapportaient beaucoup plus de difficultés à l’école que les enfants qui ne souffraient d’aucun mal de tête, tel que mesuré à travers leur performance par rapport à la moyenne et leur taux d’absentéisme.

Leurs problèmes scolaires étaient également plus élevés que ceux des enfants qui souffraient de maux de tête de tension.

L’auteur de l’étude, le Dr Marcelo Bigal, s’est dit intéressé par les problèmes neurologiques se cachant peut-être derrière ces migraines et pouvant « causer non seulement la douleur associée aux migraines, mais aussi des troubles sensoriels qui mènent à des difficultés d’apprentissage », a-t-il expliqué à Medscape.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Neurology.

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Les sandwichs-déjeuner de fast-food au box des accusés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui vous fera peut-être réfléchir deux fois plutôt qu’une la prochaine fois que vous engloutirez un repas de grande chaîne de fast-food en guise de petit déjeuner.

C’est que ces sandwichs, souvent composés de viandes, d’œufs et de fromage, sont de véritables petites bombes à retardement pour votre cœur, selon les experts.

L’effet serait même immédiat, toujours selon l’étude, alors que ce sandwich aux allures inoffensives aurait un impact instantané sur vos vaisseaux sanguins.

De l’aveu même de l’auteur en chef de l’étude, le Dr Todd Anderson, celle-ci est préliminaire et n’a pas été comparée aux effets qu’ont les aliments plus santé au déjeuner. Cependant, il affirme sans hésitation que les repas offerts le matin dans les chaînes de restauration rapide sont dangereux pour la santé.

« Même un seul mauvais choix alimentaire du genre peut avoir son impact immédiat. En les cumulant, ceux-ci deviennent de plus en plus dangereux, statistiquement. »

Après avoir offert ce genre de repas-déjeuner à 20 patients aux fins de l’étude, et en comparant les réactions du corps de ceux qui avaient consommé des repas sains, les chercheurs concluent que les vaisseaux sanguins commencent déjà à moins bien fonctionner deux heures après la consommation.

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Un vaccin contre la grippe qui prévient aussi les problèmes cardiaques

La polémique entourant les vaccins contre la grippe fait rage depuis le début de leur existence. Le débat est encore à son paroxysme aujourd’hui, mais voilà qu’une étude canadienne donne des armes au camp pro-vaccins.

C’est que ces chercheurs canadiens affirment que le vaccin moyen antigrippal administré à la population avant l’hiver protègerait non seulement de l’influenza, mais aussi des risques d’une attaque cardiaque.

C’est ce que rapporte topsante.com, qui ajoute que l’étude s’est effectuée en analysant les cas de 3227 patients, dont la moitié étaient déjà suivis pour des troubles cardiaques.

Bien sûr, certains ont alors reçu le vaccin véritable, alors que les autres se sont vus offrir un placebo. Étaient analysés ensuite les accidents et activités cardiovasculaires vécus par les patients durant l’année suivante, ce qui a permis aux chercheurs d’en arriver à de telles conclusions.

Ils avancent même le chiffre de 50 %, en parlant de la réduction des risques. Plus étonnant, ils affirment que sur 34 personnes vaccinées contre la grippe, l’une d’entre elles sera sauvée d’un infarctus.

Voilà qui va donner de quoi discuter dans les chaumières cet hiver. Les pro-vaccins se sentiront donc doublement en sécurité, mais parions que les sceptiques ne seront pas si faciles à convaincre.

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Le poisson, mais pas les suppléments, protégerait contre les crises cardiaques

Vous pouvez diminuer vos risques d’attaque cardiaque en intégrant du poisson à votre régime alimentaire, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Et non, les suppléments n’ont pas le même impact que le vrai poisson, selon ces chercheurs. De quoi raviver les débats déjà houleux entre partisans de prise de suppléments d’oméga-3 et de poissons véritables.

Donc, l’étude indique que quelques portions par semaine (2 à 4) de poissons peuvent grandement augmenter vos chances d’éviter une attaque. On cible particulièrement les poissons huileux, visqueux, comme la sardine ou le maquereau.

Des changements sont observés lorsqu’une personne ajoute deux portions de poisson à son régime alimentaire hebdomadaire, concluent les chercheurs, mais passer de trois à quatre portions fait descendre les risques de crise cardiaque de 6 %. Les gens qui en consomment très souvent (cinq portions ou plus par semaine) verraient les mêmes risques diminuer parfois jusqu’à 12 %.

Le Dr Rajiv Chowdhury, de l’Université Cambridge en Angleterre, est convaincu de ce qu’il avance, mais tient à répéter une fois de plus que les suppléments alimentaires n’ont pas le même impact que le vrai poisson, voire pas d’impact du tout.

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Les bienfaits de la pomme

Si vous êtes un fan de la pomme et que vous êtes du genre à faire le plein de ce fruit chaque automne, sachez que c’est une excellente habitude.

Pour ceux qui en auraient assez de croquer des pommes, ou encore ceux qui détestent les fruits, voici quelques raisons qui vous pousseront peut-être à vous réconcilier avec cet aliment.

D’abord, à l’aube de l’Halloween et du gavage de friandises en règle, sachez que la pomme est une arme redoutable dans la prévention de la carie. Il vous sera peut-être difficile de convaincre vos enfants, par contre.

Ensuite, selon le magazine Sélection, la pomme permettrait également de stimuler et de conserver la mémoire, grâce à la quercétine, un antioxydant qu’elle contient.

Aussi reconnue pour ses vertus anti-cancer, la pomme est l’ennemi de plusieurs maladies graves. Les problèmes cardio-vasculaires, entre autres, sont aussi minimisés statistiquement en consommant des pommes quotidiennement (le raisin possèderait également des qualités similaires).

« Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours ». Cette expression est tout à fait juste, les recherches indiquant que les chances de développer des problèmes vous menant chez le médecin sont réduites de 27 % si vous mangez des pommes de façon régulière

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L’exercice à jeun serait plus efficace pour la perte de poids

Lorsque vient le temps de commencer un programme d’exercice, comme la course à pied, le moment de la journée où faire cadrer ces activités est souvent un problème. Les journées vont vite et l’action ne manque pas, surtout si vous avez une famille.

Si votre but est de perdre du poids, une nouvelle étude pourrait bien venir trancher le débat et vous faire faire votre jogging dès le lever. En effet, selon santelog.com, l’étude rapporte que la course matinale, à jeun, est la plus efficace pour perdre des kilos, ou à tout le moins ne pas en prendre.

Cette affirmation provient des chercheurs de Glasgow, en Écosse, à l’origine de l’étude publiée dans la plus récente édition du British Journal of Nutrition. L’étude suivait dix adultes masculins en surpoids (28 ans de moyenne), et on mesurait les impacts d’un exercice physique à différentes étapes de la journée.

Les résultats sont clairs, la dégradation des graisses est plus élevée à jeun que plus tard dans la journée, après un repas ou un petit déjeuner. La dépense énergétique est également plus élevée avant de manger, constatent les chercheurs.

Les tests semblent donc concluants, mais les spécialistes tiennent à rappeler que de faire de l’exercice est l’objectif ultime, peu importe le moment de la journée.

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Un gène lié au tabagisme et au déficit d’attention

Les fumeurs et les gens aux prises avec des problèmes de déficit d’attention (TDAH) pourraient bien avoir un gène qui les prédisposait à cette condition, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est qu’une étude tente de démontrer l’existence d’un tel gène, qui augmenterait le facteur de risques pour ces personnes de développer la manie de fumer ou le TDAH.

De plus, des statistiques percutantes affirment que les gens souffrant de déficit d’attention ont d’ailleurs plus de chances de commencer à fumer tôt et de fumer deux fois plus.

Pour cette plus récente étude, les chercheurs ont analysé les tests sanguins de plus de 450 enfants de 6 à 12 ans aux prises avec le TDAH, ainsi que ceux de leurs parents et familles. Les échantillons ont été testés pour vérifier cinq variations génétiques possibles associées avec différents comportements reliés au tabagisme.

Le nombre de cigarettes consommées par jour et le fait de cesser et de recommencer à fumer sont des variables observées.

De l’avis de tous les spécialistes, ces conclusions sont intrigantes et prometteuses, mais doivent être testées davantage avant de pouvoir parler de cause à effet, ou encore de traitement.

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Les antidépresseurs de type ISRS sont associés à beaucoup de risques lorsque pris pendant la grossesse

Des chercheurs ont analysé les données provenant de différentes études s’attardant à des femmes ayant pris des antidépresseurs de la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine (ISRS) durant leur grossesse, ce qui les poussent à recommander que ces médicaments ne soient prescrits aux femmes enceintes ou à celles voulant le devenir qu’avec « une très grande réserve », ainsi qu’avec « un accompagnement complet ».

Les ISRS étaient associés à un risque plus élevé de fausse couche, d’accouchement avant terme, à des complications néonatales et même à des problèmes neurocomportementaux à long terme tels que l’autisme, selon l’analyse.

L’auteur Adam Urato a expliqué que trois points majeurs ressortaient de cette analyse. « Premièrement, il existe des preuves claires et préoccupantes que les ISRS posent des risques pour les femmes enceintes et apportent des complications de grossesse. Deuxièmement, il n’y a pas vraiment de preuves que ces médicaments apportent des avantages. Et troisièmement, nous souhaitons fortement que les patients, les médecins ainsi que le grand public soient au courant de ces faits », tel que rapporté par EurekAlert.

L’usage d’antidépresseurs a augmenté de 400 % depuis les 20 dernières années. Les résultats de l’analyse ont été publiés dans la revue médicale Human Reproduction.

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L’intimation entraine des conséquences à long terme

Selon une analyse réalisée par le Crime Victims’ Institute, avoir été victime d’intimidation est relié à problèmes de santé générale, des troubles de santé mentale, des problèmes de comportement, des troubles alimentaires, du tabagisme, de l’abus d’alcool et même des problèmes d’itinérance.

Les auteurs de l’analyse recommandent d’investir dans des programmes d’aide aux victimes ainsi que dans les programmes de prévention. Ces programmes devraient apporter une aide immédiate, à la fois physique et psychologique, aux victimes.

Même s’il s’agit d’une aide à court terme, l’auteure Leana Bouffard a souligné que « ce type d’investissement pourrait avoir l’avantage supplémentaire de réduire les effets nuisibles à long terme trouvés dans cette étude ainsi que dans d’autres. Ceci pourrait diminuer les coûts associés à la victimisation sur le système de santé et pour la société en général », tel que rapporté par ScienceDaily.

La présente analyse se base sur une étude à long terme menée sur un large échantillon représentatif des jeunes adultes américains. Parmi ceux-ci, 19 % disaient avoir déjà été victimes d’intimidation.