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Il faut s’attaquer au problème d’obésité chez les enfants très tôt, disent les chercheurs

Dans la première étude, menée en Suède, 44 % des enfants obèses de 6 à 9 ans ont réussi à faire baisser leur indice de masse corporelle (IMC) d’au moins un demi-point, comparativement à seulement 8 % des adolescents de 14 et 16 ans.

Les résultats provenant de la deuxième étude, celle-ci menée aux Pays-Bas, ont démontré que des enfants âgés de 3 à 5 ans ont obtenu de bien meilleurs résultats avec une intervention multidisciplinaire pour contrer l’obésité que les enfants ayant reçu simplement les soins habituels.

Les enfants du premier groupe ont non seulement réussi à faire baisser leur IMC d’au moins un demi-point, mais ont aussi maintenu leur perte de poids pendant au moins un an.

Pour chaque année où la prise en charge était devancée, les enfants augmentaient leurs chances de réduire leur IMC d’un demi-point de 47 %.

« De plus en plus de preuves nous indiquent que la petite enfance est une période critique pour prévenir une trajectoire d’obésité qu’il devient beaucoup plus difficile de faire dévier lorsque les jeunes entrent au secondaire », ont observé les auteurs de l’étude, tel que rapporté par MedPageToday.

Les études ont été publiées dans la revue médicale Archives of Pediatrics and Adolescent Medecine.

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La coqueluche peut être diagnostiquée à l’aide d’un système de reconnaissance vocale

Un groupe de médecins de l’Université de l’Iowa a développé un nouveau logiciel de « classification vocale robuste » qui a réussi à reconnaître la coqueluche dans 92 % des cas.

Le système permet bien de distinguer la toux reliée à la coqueluche de la toux ordinaire, et même de celle associée à la laryngite. La coqueluche est particulièrement grave chez les jeunes enfants, et ceux-ci développent habituellement une toux vraiment caractéristique, plus que les patients d’autres groupes d’âge.

Aux États-Unis seulement, les médecins estiment qu’il y aura environ 10 000 cas de coqueluche dans les prochains 6 à 8 mois, ajoutant qu’il s’agit « d’un problème important ».

À l’heure actuelle, les tests prennent une journée ou deux avant de confirmer la maladie, selon Medscape. Avec l’aide de ce logiciel, qui pourrait même être utilisé comme application sur un téléphone intelligent ou une tablette, un parent pourrait par exemple enregistrer la toux de son enfant et envoyer le fichier à son médecin.

Les chercheurs espèrent que la nouvelle technologie sera mise à l’épreuve avec un plus grand nombre de patients de différents groupes d’âge.

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Les habitudes de vie de la mère influencent le poids de leur bébé

Selon une analyse portant sur 7 études examinant le poids des enfants, les bébés nés de mères trop grosses avaient beaucoup plus de chances que les autres de souffrir d’embonpoint à partir de l’âge de trois ans. Une tendance qui s’accentuait à partir de l’âge de 7 ans.
 
Les enfants nés de mères fumeuses avaient également un risque d’embonpoint plus élevé de 47 %.
 
Les auteurs de l’étude ont remarqué que l’allaitement offrait une certaine protection contre le surpoids chez les enfants; peu importe la durée, les enfants allaités avaient un risque 15 % moins important d’être en surpoids. Les bébés qui avaient reçu des aliments solides avant l’âge de 4 mois avaient quant à eux un risque accru de 12 %, coïncidant avec un risque 6 fois plus élevé chez les bébés nourris au lait maternisé.
 
« Ces données pourraient servir à développer des listes ou des recommandations afin que les médecins puissent mieux identifier les enfants à risque de souffrir d’embonpoint », ont noté les auteurs, tel que rapporté par Med Page Today.
 
Les résultats de cette analyse ont été publiés dans le British Medical Journal.
 
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Les bienfaits de la pomme

Si vous êtes un fan de la pomme et que vous êtes du genre à faire le plein de ce fruit chaque automne, sachez que c’est une excellente habitude.

Pour ceux qui en auraient assez de croquer des pommes, ou encore ceux qui détestent les fruits, voici quelques raisons qui vous pousseront peut-être à vous réconcilier avec cet aliment.

D’abord, à l’aube de l’Halloween et du gavage de friandises en règle, sachez que la pomme est une arme redoutable dans la prévention de la carie. Il vous sera peut-être difficile de convaincre vos enfants, par contre.

Ensuite, selon plaisirsante.com, la pomme permettrait également de stimuler et de conserver la mémoire, grâce à la quercétine, un antioxydant qu’elle contient.

Aussi reconnue pour ses vertus anti-cancer, la pomme est l’ennemi de plusieurs maladies graves. Les problèmes cardio-vasculaires, entre autres, sont aussi minimisés statistiquement en consommant des pommes quotidiennement (le raisin possèderait également des qualités similaires).

« Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours ». Cette expression est tout à fait juste, les recherches indiquant que les chances de développer des problèmes vous menant chez le médecin sont réduites de 27 % si vous mangez des pommes de façon régulière

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Les médicaments sont un « bon premier pas » pour traiter l’alcoolisme

Deux médicaments qui sont souvent utilisés dans le traitement de l’alcoolisme seraient également appropriés à différentes étapes de la thérapie, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Campral et ReVia sont deux traitements qui ne déclenchent pas de dépendance, et qui ne rendent pas le patient malade s’il les mélange avec de l’alcool. Voilà qui peut s’avérer pratique pour ceux qui souhaitent arrêter progressivement de consommer, mais sans avoir recours à une cure en centre de désintoxication.

64 tests cliniques d’évaluation ont permis aux chercheurs californiens, à l’origine de l’étude, de découvrir que le Campral permettait d’aider efficacement les patients déjà sobres à ne pas rechuter. Le ReVia, quant à lui, permet de baisser la consommation d’alcool chez les cas plus lourds, en enlevant une partie de « l’appel » de la bouteille.

Au total, c’est 11 000 dossiers de patients qui ont été suivis, et les conclusions sont claires aux yeux des spécialistes : ces médicaments fonctionnent.

Et tout cela a du sens pour les experts en dépendances, vu la façon dont ces médicaments agissent sur le cerveau. Tout cela est logique et bénéfique, selon le Dr. Raymond Anton, du Center for Drug & Alcohol Programs de l’Université de Caroline du Sud.

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Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
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L’aspirine pourrait contrer les effets du vieillissement du cerveau

Les vertus de l’aspirine sont déjà bien connues des gens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires, ou qui souhaitent simplement prévenir des problèmes cardiaques, comme un AVC.

Mais voilà qu’une nouvelle étude suédoise propose l’idée que l’aspirine pourrait également être bénéfique pour soutenir le cerveau lors du vieillissement, contrant ainsi certains effets dommageables.

C’est en tout cas ce que rapporte le site nim.nih.gov, qui parle de ces bienfaits lors d’une prise quotidienne, toujours selon l’étude. Cette dernière a par ailleurs été effectuée sur 700 femmes de 70 à 92 ans, dont la plupart étaient déjà traitées pour des problèmes cardiaques divers.

Celles qui ont absorbé de petites doses d’aspirine de façon quotidienne auraient démontré un déclin mental moins important que celles qui n’en prenaient pas, sur une période totale de cinq ans.

Des tests de mémoire, de capacité verbale, et autres défis ont été utilisés pour en venir à ces conclusions. Les résultats sont clairs : les femmes utilisant l’aspirine ont démontré moins de perte de capacité cérébrale, certaines voyant même leurs scores (aux tests) augmenter!

Le Dr. Richard Isaacson, auteur en chef de l’étude, déclare : « Ce qui est bon pour le cœur est souvent bon pour le cerveau. »

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Lancement d’une nouvelle « boîte à outils » pour traiter les enfants autistes

L’American Academy of Pediatrics a officiellement dévoilé un nouvel ensemble d’outils permettant d’aider les médecins qui doivent traiter des enfants souffrant de troubles du spectre autistique (TDA).

Ce « kit » se base sur les résultats des plus récentes recherches sur le sujet, et inclut des recommandations sur la manière de détecter, de diagnostiquer, d’effectuer des suivis, de traiter et de recommander les patients.

La co-auteure de cette boîte à outils, la Dre Susan Levy, a indiqué que les spécialistes se sont appuyés sur un « ensemble » similaire ayant été récemment développé pour les troubles de déficit de l’attention et de l’hyperactivité, qui connaît un grand succès auprès des médecins, selon Medscape.

La psychiatre pédiatrique Laura Polittle a quant à elle affirmé que puisque de plus en plus d’enfants reçoivent un diagnostic de TDA, il était crucial pour les médecins d’avoir plus d’outils à leur disposition. Ceci leur permettant de mieux détecter les signes avant-coureurs chez les jeunes enfants et de les référer promptement à des spécialistes.

« L’intervention en bas âge est particulièrement importante », a-t-elle noté, « puisque l’on sait que les enfants avec un TDA fonctionnent beaucoup mieux lorsqu’ils suivent des traitements éducatifs et comportementaux intensifs très rapidement dans leur apprentissage. »

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Le côté sombre des concours de beauté chez les enfants

La revue médicale Academy of Child and Adolescent Psychiatry a publié une analyse concernant les concours de beauté juvéniles, signé par la Dr. Martina Cartwright.
 
Celle-ci affirme que ces événements « n’ont souvent rien à voir avec les enfants, et existent plutôt pour satisfaire les besoins de leurs parents ».
 
Cartwright avance que ces concours de beauté peuvent nuire à la santé des enfants, ainsi qu’à leur estime d’eux-mêmes. Faire face à autant de tension et à une telle obsession de la perfection, uniquement basée sur leur apparence physique, a des conséquences très négatives.
 
Les jeunes filles devenues adolescentes seraient poussées à développer des problèmes d’image corporelle, voire même d’anorexie et de boulimie, tel que rapporté par PsychCentral.
 
Toujours selon la chercheuse, certains parents montrent des signes d’un syndrome qu’elle appelle « princesse par procuration », une forme de « distorsion de la réalisation par procuration ».
 
Ce syndrome pousse les parents à chercher à tout prix à obtenir une reconnaissance sociale et des gains financiers à travers leur enfant, peu importe les risques ou les problèmes causés pour ceux-ci.
 
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Les enfants souffrant d’hémorragie cérébrale s’en tirent mieux que les adultes

66 % des enfants ayant eu une hémorragie cérébrale étaient toujours en vie après 5 ans, selon une nouvelle étude portant sur 59 patients. C’est un meilleur résultat que pour les adultes, qui ont un taux de survie après un an variant de 39 % à 53 %.
 
Selon un suivi effectué autour de 5 ans après l’événement, la plupart des survivants souffraient cependant de déficits neurologiques allant de légers à sévères. De plus, ils éprouvaient souvent des difficultés scolaires ou de fonctionnement de base.
 
Les chercheurs ont souligné que les séquelles allaient généralement de pair avec le volume de l’hémorragie, et étaient beaucoup plus significatives lorsque le volume sanguin avait été supérieur à 4 % du volume cérébral total.
 
Les enfants s’en sortant le mieux étaient ceux qui avaient souffert d’anomalies vasculaires intracrâniennes, tandis que ceux dont l’hémorragie avait été provoquée par une maladie cardiaque congénitale éprouvaient plus de difficultés.
 
Dans la revue Archives of Neurology, les auteurs ont affirmé que le fait qu’il soit maintenant plus facile de « caractériser les effets à long terme des hémorragies permettrait aux médecins de mieux identifier les séquelles ainsi que le potentiel de problèmes à long terme pour leurs patients », selon Med Page Today.