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Comprendre l’effet placebo

L’effet placebo, soit la faculté de guérir par un médicament ou un remède qui n’en est pas un réellement, est l’un des mystères médicaux qui fascinent le plus.

Comment une pilule qui n’en est pas une peut-elle soigner? Comment un patient peut-il se croire traité alors qu’il ne l’est pas?

Des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center(BIDMC) et de la Harvard Medical Schoolont tenté de répondre à ces questions, et bien d’autres, concernant le mystère entourant « l’effet placebo », rapporte www.nlm.nih.gov.

Utilisée constamment dans des cliniques et centres pharmacologiques à travers le monde, la méthode du placebo permet entre autres de vérifier les effets d’un médicament sur un groupe de personnes en les comparant avec un autre qui reçoit un placebo.

Pourquoi certaines personnes réagissent alors comme si elles recevaient un médicament véritable? La réponse pourrait se trouver dans le bagage génétique de chaque individu. Certains, par exemple, produiraient plus de dopamine, ce qui contribue à hausser la réponse de ceux-ci devant un placebo.

On appelle ces gens des « placebos-répondeurs », et ces derniers pourraient jouer un rôle majeur dans la conception future de certains essais cliniques. Les chercheurs pensent que l’on pourra bientôt prédire quelles personnes sont des « placebos répondeurs ».

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Les amateurs de thé vert mieux protégés contre le cancer

Les amateurs de thé vert seraient mieux protégés contre le cancer, affirme une étude reprise par www.nlm.nih.gov.

Ce serait particulièrement vrai pour les femmes plus âgées qui en boivent régulièrement. Les risques pour cette tranche de la population, en consommant du thé vert, diminueraient considérablement en ce qui a trait aux cancers du côlon, de l’estomac et de la gorge

Les recherches, effectuées sur des femmes originaires de la Chine, démontrent que celles qui boivent du thé ont 14 % moins de chances de développer une de ces maladies, contrairement à celles qui n’en boivent pas.

Si les résultats semblent évidents, les chercheurs tiennent à mettre un bémol sur la question, puisque selon eux, les gens qui sont amateurs de thé sont aussi généralement plus conscients de leur santé en général. D’autres facteurs sont donc peut-être à considérer.

Malgré tout, selon le Dr Wei Zheng, chef du département d’épidémiologie de la Vanderbilt University School of Medicine de Nashville, les vertus du thé en matière de prévention du cancer sont tout de même prouvées et claires.

Il est donc suggéré d’intégrer cette boisson à notre régime alimentaire, même si l’effet de causalité n’est pas démontré entièrement.

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Les noix : des alliées dans la guerre contre le diabète

Les personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent compter sur les noix comme alliée pour aider à maitriser les effets de cette terrible maladie.

En effet, selon extenso.org, la consommation de noix permet de diminuer le taux de LDL dans le sang, soit le mauvais cholestérol. On reconnait aussi une hausse probable du taux de bon cholestérol.

Les noix sont déjà recommandées aux patients aux prises avec des problèmes cardiovasculaires.

Partant de là, des spécialistes ont voulu vérifier les effets bénéfiques des noix sur des patients atteints de diabète, entre autres afin de tenter de maitriser les niveaux de sucre dans le sang.

L’étude, provenant de l’Université de Toronto, en Ontario, analyse les dossiers de 24 patients, dont 10 diabétiques et 14 en pleine santé. On a alors comparé les effets de la consommation de noix sur l’organisme à court terme.

Agissant sur le système gastrique, les matières grasses des noix ont en effet semblé agir sur les taux de sucre des sujets. Cependant, le principe a mieux fonctionné chez les sujets dits « normaux ».

Plusieurs autres facteurs viennent faire varier les données et résultats, mais il semble que la théorie de base s’avère exacte.

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Des tests incroyables qui changent la perception

Cette nouvelle a de quoi surprendre et pour cause : elle semble tout droit sortie d’un film de science-fiction ou d’un épisode de Fringe.

C’est qu’un homme a vu ses perceptions être bousculées lors de tests effectués par des chercheurs de l’Université Stanford, rapporte www.nlm.nih.gov. Ces derniers ont utilisé une technique de stimulation cérébrale électrique (sans douleur) sur un patient, Ron Blackwell, un homme de 47 ans.

« Tu viens juste de te transformer en quelqu’un d’autre! Ton visage s’est métamorphosé. », a déclaré le sujet peu de temps après le test. En effet, sa perception des visages était soudainement altérée, n’arrivant plus identifier une personne qu’il avait pourtant sous les yeux depuis quelques minutes, voire des heures.

Voilà qui repousse les limites de notre compréhension de la « perception » et des réalités qui nous entourent. En stimulant des terminaisons nerveuses précises du cerveau à l’aide d’électrodes, les chercheurs ont pu dénaturer la réalité perçue par le patient, qui n’en croyait plus ses yeux.

« Tu ressembles presque à quelqu’un que j’ai déjà vu… mais quelqu’un de différent. Tu étais quelqu’un d’autre… comme si tes caractéristiques faciales s’étaient transformées. »

Une percée incroyable dans le monde encore inconnu du cerveau et de ses capacités. On suggère aussi qu’il pourrait s’agit d’une percée pour contrer certaines maladies rares, comme la prosopagnosie.

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La participation des parents pour un meilleur résultat dans le traitement du déficit d’attention

À partir de données provenant de 237 parents d’enfants de 6 à 12 ans ayant reçu un diagnostic de trouble du déficit de l’attention (TDA) au cours des 18 derniers mois, des médecins ont développé un nouveau questionnaire standardisé.

Comportant trois parties, celui-ci permet aux parents de mieux définir et de prioriser leurs objectifs quant au traitement, leur attitude devant la médication et leur niveau de confort par rapport à la thérapie comportementale.
 
Une fois complété, le questionnaire sert de guide pour appuyer les familles ainsi que les professionnels de la santé et cibler le traitement le plus approprié.
 
« C’est important pour nous de savoir si le but premier des parents est d’améliorer le comportement de l’enfant, d’obtenir une meilleure performance académique ou d’arriver à une meilleure dynamique familiale », a indiqué l’auteur de l’étude, le pédiatre Alexander Fiks, tel que rapporté par EurekaAlert!.
 
10,4 millions d’enfants américains ont reçu un diagnostic de TDA cette année. Des psychostimulants ont été prescrits dans 87 % des cas.
 
Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Academic Pediatrics.
 
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Les parents ont tendance à minimiser les inquiétudes de leurs enfants

Selon une étude menée auprès de plus de 500 enfants âgés de 4 à 11 ans, les parents auraient systématiquement tendance à considérer que les enfants sont moins inquiets et plus optimistes qu’ils ne le sont vraiment.

Les chercheurs ont d’abord interrogé les parents à l’aide d’un questionnaire leur demandant d’évaluer l’anxiété et l’optimisme de leurs enfants, puis ils ont demandé aux enfants eux-mêmes de se prononcer sur différentes questions, en utilisant une échelle faite de différentes images.
 
Les questions posées étaient variées, portant par exemple sur la peur du noir ou encore l’inquiétude devant la possibilité que quelque chose arrive à un être cher.
 
Cette étude donne une perspective intéressante, car le consensus en psychologie veut que les enfants de moins de 7 ans ne soient généralement pas en mesure de bien exprimer leurs émotions et leurs états d’âme. Les psychologues et intervenants se fient donc souvent aux réponses des parents.
 
L’auteure de l’étude, la psychologue Kristin Lagattuta, affirme que les résultats indiquent qu’il faut peut-être faire attention en présence d’évaluations indirectes d’enfants, réalisées par leurs parents ou par d’autres adultes.
 
Idéalement, l’évaluation psychologique d’un enfant devrait provenir de sources multiples, incluant les réponses de ce dernier, a-t-elle ajouté, selon le Science Daily.
 
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Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.

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Des fèves pour contrer les effets du diabète

Les patients atteints de diabète de type 2 pourraient gagner un meilleur contrôle sur les effets de cette terrible maladie en ingérant simplement une tasse de fèves (ou de lentilles) quotidiennement.

C’est ce que prétendent des chercheurs dans une nouvelle étude, des affirmations reprises par www.nlm.nih.gov. Ils ont démontré qu’en comparaison à une diète riche en fibres et grains entiers, une dose quotidienne de légumineuses mènerait à un contrôle plus adéquat du taux de sucre dans le sang, ainsi que de la pression sanguine et des niveaux de cholestérols.

Voilà une percée intéressante, surtout que ce « traitement » est simple et fort peu onéreux. Après trois mois de ce régime, les participants de l’étude ont vu fondre leurs chances de développer des maladies cardiovasculaires de 1 %, un chiffre faible, mais qui démontre un impact réel sur le corps.

Le Dr David Jenkins, de l’hôpital St-Michaels de Toronto, explique : « Les légumineuses sont une bonne source de protéines, et les protéines tendent à absorber le sucre dans le sang. Une diminution de la pression sanguine est aussi observable ».

Il conseille donc la consommation régulière de fèves et de lentilles et conclut en rappelant que cette suggestion s’applique à tout le monde.

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Des fèves pour contrer les effets du diabète

Les patients atteints de diabète de type 2 pourraient gagner un meilleur contrôle sur les effets de cette terrible maladie en ingérant simplement une tasse de fèves (ou de lentilles) quotidiennement.

C’est ce que prétendent des chercheurs dans une nouvelle étude, des affirmations reprises par www.nlm.nih.gov. Ils ont démontré qu’en comparaison à une diète riche en fibres et grains entiers, une dose quotidienne de légumineuses mènerait à un contrôle plus adéquat du taux de sucre dans le sang, ainsi que de la pression sanguine et des niveaux de cholestérols.

Voilà une percée intéressante, surtout que ce « traitement » est simple et fort peu onéreux. Après trois mois de ce régime, les participants de l’étude ont vu fondre leurs chances de développer des maladies cardiovasculaires de 1 %, un chiffre faible, mais qui démontre un impact réel sur le corps.

Le Dr David Jenkins, de l’hôpital St-Michaels de Toronto, explique : « Les légumineuses sont une bonne source de protéines, et les protéines tendent à absorber le sucre dans le sang. Une diminution de la pression sanguine est aussi observable ».

Il conseille donc la consommation régulière de fèves et de lentilles et conclut en rappelant que cette suggestion s’applique à tout le monde.

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Les intimidateurs sont beaucoup plus susceptibles de souffrir d’un problème de santé mentale

Pour le bien d’une étude menée aux États-Unis, les chercheurs ont analysé des données provenant de 63 997 enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans. Parmi ceux-ci, 15,2 % étaient identifiés comme des intimidateurs, tandis que 16,6 % avaient reçu au moins un diagnostic de problème de santé mentale.

Selon les données, 29,8 % des enfants souffrant d’un trouble de santé mentale avaient des comportements d’intimidation, comparativement à seulement 12,4 % de ceux qui n’avaient pas reçu un tel diagnostic.

Les problèmes de santé mentale les plus fréquents étaient la dépression, l’anxiété, le déficit d’attention ou l’hyperactivité, ainsi que le trouble oppositionnel avec provocation.

« Cette étude confirme ce que nous soupçonnions depuis longtemps », a avancé le pédiatre Benjamin Hoffman à Medscape. « Dans une relation d’intimidation, c’est l’intimidateur qui nous inquiète le plus. Bien sûr, nous nous préoccupons de la victime et des conséquences sur celle-ci, mais les facteurs qui poussent l’intimidateur à avoir ce comportement sont également très importants. »

Les résultats de l’étude ont été présentés au congrès de l’American Academy of Pediatrics.