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L’acrylamide durant la grossesse peut produire des bébés de faible poids

Selon une étude menée dans différents pays européens auprès de nouveau-nés et de leurs mères, plus le taux d’acrylamide dans le sang du cordon ombilical était élevé, plus les bébés risquaient d’être de faible poids et d’avoir un périmètre crânien réduit.

1101 femmes qui venaient d’accoucher ont rempli un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires, puis les chercheurs ont mesuré le taux d’acrylamide chez leurs bébés.

Ils ont constaté que pour chaque augmentation de 10 pmol par gramme d’hémoglobine (une quantité infime), le poids de naissance était réduit de 35 grammes, et le périmètre crânien était réduit de 0,6 millimètre.

L’acrylamide est produit naturellement lorsque des aliments riches en amidon sont cuits ou frits à des températures élevées.

L’Organisation mondiale de la santé considère également que la substance est « probablement cancérigène ». Le consensus est que l’exposition à la substance doit être limitée le plus possible, particulièrement durant la grossesse, puisqu’il a déjà été établi que l’acrylamide traverse le placenta, selon Santé Log.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Environmental Health Perspectives.

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L’exercice serait plus bénéfique que les activités sociales pour le cerveau

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que faire de l’exercice physique régulièrement serait encore plus efficace que les activités sociales ou les exercices mentaux pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

Pour cette étude, des chercheurs écossais ont examiné les dossiers de 638 patients nés en 1936 et ayant subi une numérisation du cerveau en 1973. Ces dates bien précises permettent un résultat plus précis que d’autres études effectuées sur le même sujet.

Déjà, bien sûr, les chercheurs faisaient un lien entre le vieillissement et les problèmes cérébraux, comme la perte de mémoire. Cependant, sur une période de trois ans, les spécialistes ont constaté, chez les patients qui suivaient un programme d’exercice physique régulier, un effet du vieillissement beaucoup moins présent et ravageur que chez ceux qui ne bougeaient pas.

Ainsi, on peut conclure que l’exercice peut bel et bien contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

L’auteur Alan Gow, de l’Université d’Édimbourg, explique : « Les gens de 70 ans et plus qui pratiquent des activités physiques, incluant la marche quotidienne, démontrent moins de signes de vieillissement ou d’affaiblissement du cerveau que les autres, inactifs. En contrepartie, nous avons constaté que les activités sociales et les exercices mentaux n’ont pas d’impact réel sur ce phénomène ».

La relation de cause à effet de l’exercice versus la conservation des facultés cérébrales demeure toutefois à prouver hors de tout doute.

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Un examen du côlon plus simple et aussi efficace pour les femmes

Les femmes de moins de 70 ans ont un risque plutôt faible de voir apparaître une grosseur anormale dans la partie supérieure du côlon, suggère une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ainsi, toujours selon les chercheurs de l’étude, plusieurs femmes pourraient opter pour des tests de dépistage du cancer du côlon plus simples, moins intrusifs et tout aussi efficaces.

Même si plusieurs autres types de tests sont offerts, et même si les spécialistes américains ne recommandent une colonoscopie que tous les dix ans pour les femmes âgées de 50 ans et plus (en plus d’autres tests sporadiques), il semble que le choix de prédilection dans le domaine demeure le plus invasif et onéreux.

Thomas Imperiale, un gastro-entérologue de l’Université de l’Indiana, met en garde contre ce choix. Selon lui, les gens croient trop aisément que de subir une colonoscopie est suffisant, et qu’aucun autre test n’est nécessaire.

Il explique : « Plusieurs personnes ne subissent aucun autre test de dépistage du côlon, car ils croient qu’une colonoscopie est suffisante et indispensable. Il existe d’autres avenues ».

Ainsi, il est suggéré d’en discuter avec son médecin, afin de trouver les meilleures solutions de dépistage pour vous.

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Statistiques alarmantes de consommation chez les adolescents

La plus récente étude de l’Institut de la statistique du Québec concernant les habitudes de consommation diverses de nos adolescents renferme certaines statistiques alarmantes, rapporte radio-canada.ca.

D’abord, les chiffres sont toujours élevés en matière de surplus de poids, quoi que la courbe de progression, elle, ait ralenti.

La drogue, l’alcool et les produits du tabac sont toujours aussi prisés par la jeunesse québécoise, bien que l’on n’enregistre pas de hausse massive récente.

Il faut aussi noter qu’il s’agit de la première étude d’importance du genre dans le domaine, et qu’il est difficile de comparer avec des données précédentes, recueillies par d’autres méthodes. Ainsi, même si l’on semble constater que les courbes de progression sont stables, les chiffres n’en demeurent pas moins très élevés, surtout pour de jeunes humains encore en croissance.

En voici quelques-uns : 1 adolescent sur 5 présenterait des problèmes de poids (surplus), alors que la moitié (49 %) affirme ne pas être à l’aise avec son apparence corporelle.

En matière de consommation, l’alcool semble être le choix de prédilection du groupe visé, avec un taux de 60 % des répondants qui affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois.

La drogue fait partie de la vie du quart des répondants, qui avouent en avoir consommé dans l’année en cours. La marijuana est encore le choix numéro un des amateurs de stupéfiants dans nos écoles.

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Un lien entre traumatisme crânien dans l’enfance et criminalité adulte

Une étude révèle que les traumatismes au cerveau, fréquents chez les enfants qui tombent ou qui font du sport, pourraient mener certains jeunes à devenir des criminels.

Les chercheurs ont appelé ces blessures une « épidémie silencieuse », affectant le jugement des individus ainsi que leurs habiletés sociales, ne leur permettant plus de maitriser leurs impulsions.

C’est ainsi qu’un sondage auprès de prisonniers adultes britanniques a révélé que 60 % d’entre eux avaient déjà souffert d’un traumatisme crânien durant l’enfance.

Cette proportion est nettement plus élevée que dans la population générale, ont remarqué les chercheurs, ajoutant que les problèmes neurodéveloppementaux tendaient également à être beaucoup plus présents chez les gens ayant commis un crime.

Les conséquences associées à ces troubles incluent les difficultés d’apprentissage et de communication, ainsi que des problèmes comportementaux et émotifs.

« Même si les enfants qui ont souffert de traumatismes au cerveau ou de problèmes neurodéveloppementaux peuvent reconnaître la différence entre le bien et le mal, ils ne peuvent peut-être pas comprendre les conséquences de leurs gestes et ne sont pas capables de maitriser leurs comportements », a affirmé Maggie Atkinson, la commissaire responsable des enfants en Angleterre, tel que rapporté par le Daily Mail.

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Le manque de calcium lié à des problèmes hormonaux chez la femme

Les femmes qui ont une carence en calcium dans leur alimentation sont plus à risque de développer une condition hormonale causée par une suractivité des glandes parathyroïdes. Ces problèmes peuvent affaiblir les os et ainsi mener à des fractures et autres problèmes divers.

C’est ce qu’affirme www.nlm.nih.gov, qui reprend les constats d’une étude menée par la Dre Julie Paik et ses collègues du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Aux fins de l’étude, les chercheurs ont suivi plus de 58 000 dossiers de patientes, âgées de 39 à 66 ans, qui n’avaient pas de problèmes connus liés aux glandes parathyroïdes.

Les participantes ont été divisées en cinq groupes distincts, basés sur leurs habitudes de consommation de calcium. Les données compilées sont celles observées chaque quatre ans, sur une période de 22 ans.

Les résultats sont clairs : après un certain âge, les femmes qui consomment régulièrement des sources de calcium voient diminuer de 44 % leurs chances de développer des problèmes liés aux glandes parathyroïdes.

Un indicatif clair de l’importance du calcium. Les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium fait le travail, et que 500 milligrammes quotidiennement font chuter les risques jusqu’à 59 % de moins.

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Les écrans dans les chambres d’enfants seraient directement reliés à l’obésité

Selon une étude publiée dans la revue médicale Pediatric Obesity, les enfants qui obtiennent une heure additionnelle de sommeil par jour ont 30 % moins de chances d’être obèses.

Ceux qui possèdent des appareils électroniques dans leurs chambres, par exemple des téléviseurs, ordinateurs, jeux vidéo et téléphones cellulaires, avaient également beaucoup plus de chances d’être en surpoids.

L’étude a été menée en Alberta auprès de 3400 enfants de cinquième année. La moitié d’entre eux possédaient un téléviseur, un lecteur de DVD ou une console de jeu dans leur chambre, alors que 21 % avaient un ordinateur, et 17 % avaient un cellulaire. 5 % des enfants possédaient tous ces appareils.

57 % des jeunes ont affirmé qu’ils se servaient de ces appareils tard le soir, alors qu’ils étaient censés dormir. Les enfants qui possédaient un appareil avaient 1,5 fois plus de chances d’être obèses, tandis que cette statistique grimpait jusqu’à 2,6 fois plus de chances si les enfants avaient trois appareils.

L’auteur de l’étude, Paul Veugelers, s’est adressé aux parents en disant que « si vous voulez que vos enfants aient un style de vie plus sain et dorment mieux, sortez la technologie de leur chambre », selon le Science Daily.

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La caféine aide à traiter les bébés prématurés

Les bébés nés avant 29 semaines de gestation qui reçoivent de la caféine pour contrer l’apnée durant les trois premiers jours de vie avaient moins besoin d’un respirateur et restaient moins longtemps à l’hôpital, selon une étude menée aux États-Unis.

L’étude s’est attardée sur les données provenant de 198 bébés prématurés. Certains parmi ceux-ci ont reçu de la caféine pendant les trois premiers jours, tandis qu’un autre groupe a pu en recevoir à partir de la quatrième journée.

La durée moyenne du séjour à l’hôpital pour les bébés ayant reçu de la caféine rapidement était de 82 jours, comparativement à 152 jours pour les autres.

De plus, les bébés du premier groupe ne sont restés que 19 jours sous le respirateur artificiel, en comparaison à 61 jours pour les autres.

Même après 5 ans, les bébés qui n’avaient pas reçu de la caféine rapidement avaient 36 % plus de chances de souffrir d’un problème de motricité, selon Medscape.

Les résultats de l’étude ont été présentés au congrès de l’American Academy of Pediatrics.

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Cellulaires et cancer du cerveau : un précédent

Le lien suspecté entre l’utilisation massive du téléphone cellulaire et certains cancers du cerveau n’est pas nouveau. Depuis les débuts de cet appareil moderne, les inquiétudes sont nombreuses quant à ses effets possibles sur le cerveau.

En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer de l’OMS publiait un communiqué indiquant que les fréquences des téléphones portables étaient effectivement potentiellement dangereuses.

Mais voilà qu’un véritable précédent dans ce dossier a été créé récemment en Italie. En effet, selon ce qu’annonce radio-canada.ca, un homme atteint d’une tumeur, monsieur Innocenzo Marcollini, a convaincu un tribunal italien que l’utilisation de son téléphone était responsable de son diagnostic.

Le plaignant affirme avoir utilisé son appareil de 5 à 6 heures par jour pendant 12 ans. Appelée à commenter cette décision, la professeure Magda Havas, de l’Université Trent en Ontario, se dit en accord.

Elle déclare : « On commence à reconnaître qu’on ne peut pas placer un émetteur d’ondes sur notre cerveau sans s’attendre à ce que cela ait des effets. »

Rappelons que le Canada (Santé Canada), quant à lui, ne reconnait pas la causalité du téléphone cellulaire pour des cas de cancer ou de tumeur.

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Sourire : un allié puissant dans la guerre au stress

Une arme sans pareille pour lutter contre le stress est à la portée de tout un chacun, affirme une étude, et il s’agit du rire.

Selon ce que rapporte topsante.com, même le simple fait de sourire nous permettrait de contrer les effets du stress, ennemi numéro un de la santé en 2012. Un sourire abaisserait le rythme cardiaque de façon instantanée, première étape pour faire baisser son taux de stress quotidien.

La revue Psychological Science publiait récemment cette étude, menée par Sarah Pressman, qui poursuit ses conclusions en affirmant qu’il s’agit d’un truc efficace pour garder le moral en toutes circonstances, tout en ayant des vertus pour la santé cardiaque.

Pour étayer ses propos, la chercheuse a vérifié les réactions de 169 personnes, des étudiants, en situation stressante. On forçait les sourires à l’aide de baguettes et on plaçait ensuite les participants devant une épreuve qui peut rendre nerveux, comme se plonger les mains dans de l’eau glacée.

En conclusion, les gens qui souriaient pendant les tests enregistraient des pointes de stress moins élevées que leurs homologues qui gardaient un faciès neutre.

S’il n’est pas si facile de rire ou sourire sur commande, il semble que d’imiter le geste soit suffisant pour en obtenir les bienfaits.