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La consommation de viande et l’asthme

La viande vient de subir un blâme de la part de spécialistes, pour sa collaboration possible dans le développement de l’asthme et de maladies similaires, comme le rhume des foins, affirme une étude rapportée par Lanutrition.fr.

L’étude australienne rappelle que l’asthme est une maladie respiratoire, et que pour ce type de problème, les facteurs alimentaires ne sont que très peu connus. En fait, on pointe souvent du doigt le mode de vie, la pollution et, bien sûr, les gènes.

Ce sont toutes des raisons réelles, mais qu’en est-il du régime alimentaire? Ce que nous mangeons peut-il influencer notre système respiratoire? Les chercheurs pensent que oui, à commencer par la viande.

Après avoir suivi 156 053 adultes âgés de 45 ans et plus ayant connu des problèmes d’asthme et/ou de rhume des foins, et en les questionnant sur leurs habitudes alimentaires, les spécialistes n’hésitent pas à faire le lien.

Donc, le facteur de risque pour ceux qui mangent beaucoup de viande augmenterait de près de 20 %, en comparaison avec les gens qui en mangent moins ou pas du tout.

En contrepartie, on suggère aux patients asthmatiques de manger plus de légumes, jusqu’à deux ou trois portions de plus que ce que suggèrent les guides alimentaires.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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La fécondation in vitro cause plus de malformations congénitales

L’étude a été réalisée en Californie, l’endroit aux États-Unis où la FIV est la plus courante. Les chercheurs ont ciblé 4795 enfants nés par FIV en 2006 et 2007 et les ont comparés à un groupe témoin d’enfants conçus naturellement.

Ils ont noté que 3463 enfants nés après FIV étaient atteints de malformations congénitales.

Même en ajustant les statistiques pour mieux refléter différents facteurs externes (par exemple l’âge de la mère, le groupe ethnique et le sexe de l’enfant), les chercheurs ont révélé que 9 % des enfants nés après FIV avaient des malformations, comparativement à 6,6 % des bébés conçus naturellement.

Cette statistique suggère que les bébés conçus par la fécondation in vitro sont 25 % plus susceptibles d’avoir une malformation congénitale, particulièrement aux yeux, au cœur et aux organes génitaux et urinaires.

« Les parents qui envisagent la fécondation in vitro ou d’autres formes de procréation médicalement assistée doivent discuter avec leur médecin des risques associés avant de prendre une décision », a noté la chirurgienne et auteure de l’étude, Lorraine Kelley-Quon, selon Santéblog.

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La puberté chez les garçons se produit plus tôt qu’avant

Selon une nouvelle étude menée aux États-Unis par l’American Academy of Pediatrics, les garçons amorcent maintenant la puberté à l’âge moyen de 10,1 ans pour les Caucasiens, 9,1 ans pour les Afro-Américains, et 10 ans pour les Latino-Américains.

Les médecins ont compilé des données sur 4131 jeunes garçons et ont observé qu’en moyenne, ceux-ci deviennent pleinement pubères à 11,5 ans, 10,2 ans, et 11,4 ans pour chacun des groupes ethniques respectifs.

La date des données précédentes sur lesquelles les médecins se sont basés pour établir la comparaison n’a pas été précisée, mais les données remontent à « plusieurs décennies », selon l’association.

La pédiatre et auteure de l’étude, Marcia E. Herman-Giddens, a remarqué que « ces données contemporaines sur l’âge de la puberté chez les garçons étaient nécessaires non seulement pour les pédiatres et les experts en santé publique, mais aussi pour les parents », tel que rapporté par Santé Log.

Les résultats ont été publiés dans la revue médicale Pediatrics. Plusieurs études ont déjà établi que la puberté chez les filles survient également de façon plus précoce, mais il s’agit de la première étude qui s’attarde aux garçons.

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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La polémique concernant les produits bios fait rage

De plus en plus de gens se tournent vers les produits alimentaires biologiques depuis quelques années. Le nombre de gens résistant à l’idée est tout aussi nombreux, et la polémique entourant le concept bio fait toujours rage.

Une super étude sur le sujet risque d’alimenter les débats, puisqu’elle conclut que les aliments biologiques ne seraient pas « meilleurs » que les autres sur le plan nutritionnel, selon Lanutrition.fr.

Voilà qui a de quoi surprendre et qui mettra sans le doute le feu aux poudres dans le camp des pro-bio, qui vantent constamment les mérites de ces produits.

Les chercheurs ont donc sélectionné 237 études sur le sujet et analysé les résultats. Ils concluent qu’aucun effet significatif ne distingue l’agriculture biologique de l’agriculture conventionnelle, excepté le fait que les produits ne contiennent pas ou peu de pesticides.

Aussi, les aliments biologiques contiendraient moins de bactéries résistantes aux antibiotiques. Des avantages, certes, mais qui ont moins de poids que ce nous aurions pu croire. De plus, les aliments « normaux » contenaient en majorité des résidus de pesticides sous les normales obligatoires en alimentation.

Le bio serait un choix idéal pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées aux prises avec des problèmes de santé chroniques.

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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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Les antioxydants encore en vedette dans la lutte contre le cancer

Les antioxydants se retrouvent encore cités dans une nouvelle étude, eux qui sont déjà abondamment mis en vedette dans la lutte contre le cancer, cette fois en lien avec le cancer de la prostate.

Ces recherches tendent à démontrer que les hommes qui consomment des fruits, des légumes et du thé (et les antioxydants qu’ils contiennent) sont moins à risque de développer la forme la plus agressive de cancer de la prostate.

Les taux de survie seraient donc augmentés dans le cas d’un diagnostic de cancer de la prostate, rapporte www.nlm.nih.gov. Cependant, de l’aveu même des chercheurs, ces résultats sont partiels et limités. Il faudra donc attendre avant de pouvoir conclure qu’un régime alimentaire à base de fruits, légumes et autres végétaux protège vraiment contre le cancer.

Par contre, à la suite de l’examen de 1900 patients atteints, ceux qui avaient une meilleure diète et consommaient des fruits et légumes (et/ou du thé) avant l’apparition de la maladie ont donc réduit de 25 % leurs chances de développer la forme la plus ravageuse du cancer de la prostate.

« Nous voyons bien que même si cela ne vous prévient pas du cancer, les antioxydants permettent de se protéger de sa version la plus agressive », conclut la professeure Susan Steck de l’University of South Carolina’s Arnold School of Public Health.

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Les antidépresseurs augmenteraient les risques de crise cardiaque

Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.

L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.

Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.

« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.

Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».

Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.